mardi 18 décembre 2018

Ces dames aux mains fermes - S2 - chapitre 3


CHAPITRE 3 : Edwige entre en action

Gladys s'est rapprochée de Patricia, toujours debout, au coin, après une deuxième fessée parfaitement cuisante qui a encore fait monter d'un cran la température de ses fesses.
Elles présentent maintenant une belle surface rebondie, enluminée d'un resplendissant rouge vermillon nettement distinct à travers le nylon transparent du slip.
La sévère maman caresse et tapote avec gourmandise le volumineux derrière. Patricia pousse un petit gémissement. Ça chauffe dur.
« Je vais faire patienter tes fesses encore quelques minutes, le temps qu'Edwige arrive. Elle va adorer assister à ta fessée. »

Patricia enrage en silence, c'est justement ce qu'elle redoutait. Elle se sent déjà assez humiliée de recevoir trois fessées consécutives par sa mère, alors s'en prendre une devant son amie qu'elle connaît à peine lui semble aller au-delà de ce qu’elle peut supporter. Le pire c'est qu'elle n'a aucune possibilité d'y échapper. Elle tape un peu du pied en signe de protestation, ce qui a pour seul effet de faire tressauter ses fesses et n'impressionne pas Gladys le moins du monde.
« Ah non maman, c'est trop ! S'il te plaît... Pas la fessée devant Edwige, déculottée en plus ! 
– Mais bien sûr que si tu vas l'avoir, ta fessée déculottée devant Edwige ! Ne fais pas ta mijaurée, ce ne sera pas la première fois, ni la dernière que je te corrige en public. Les fessées en sont plus humiliantes et la leçon porte mieux. Ça t'incitera peut-être à te montrer moins insolente !  Et puis tu as une paire de fesses si attrayante, ce serait dommage de ne pas en faire profiter mes amies. » 
Patricia n'a pas le temps d'insister, le carillon de l'entrée annonce l'arrivée d'Edwige. C'est une voisine très proche. Elle habite la maison juste en face. Ce qui donne tout loisir à ces Dames de se faire mutuellement savoir qu'elles corrigent leur mari quand elles s'amusent à les fesser la fenêtre ouverte.
Edwige, comme à son habitude, un peu sans gêne et sans complexe, n'a pas attendu qu'on vienne lui ouvrir. 
« Ne te dérange pas Gladys, je fais un peu comme chez moi ! » lance-t-elle en claquant la porte.
Elle fait irruption dans le salon avec l'impétuosité qui la caractérise. Le port altier et la démarche assurée des femmes autoritaires. Chapeau élégant, tailleur bien ajusté, bas nylon à couture, talon aiguille, sûre d'elle, la créature impressionne.
« Bien sûr, entre !  Dit Gladys, puis à l'attention de Patricia. Toi tu ne bouges pas de là, je veux voir tes fesses bien en évidence ! »
Edwige commence à enlever ses gants en souriant. Elle les balance négligemment sur son sac qu'elle a posé sur le bras du fauteuil à proximité.
« Ce que j'aime quand je viens chez toi, dit-elle en s'asseyant. C'est d'avoir toutes les chances d'être accueillie à chaque fois, par une paire de fesses bien rouges récemment corrigées. Hier c'était ton fils, aujourd'hui ta fille, je vois que tu pratique l'alternance et qu'elle n'échappe pas à la fessée.
– Que veux-tu, l'insolence et les mauvais comportements ont un prix. Et le prix à payer c'est la fessée ! Encore et toujours la fessée. Je n'ai pas besoin de te faire l'article, c'est de loin la meilleure méthode pour corriger les mauvaises habitudes ! »

La belle femme enveloppa d'un regard gourmand le derrière flamboyant de Patricia qui fulminait dans son coin de devoir l'exhiber ainsi, gonflé de claques, écarlate et cuisant de sa dernière fessée. La visiteuse ne regrettait pas le déplacement.
– Je vois ça oui, ses fesses sont resplendissantes. Pas besoin d'y regarder à deux fois pour voir qu'elles viennent de s'en prendre une sévère.
– Deux sévères, tu veux dire !
– Tu as bien raison. Il ne faut pas hésiter à leur claquer les fesses à chaque fois qu'ils le méritent. C'est ce que je fais avec Stephen et les enfants. Ça claque sec à la maison, Je te leur flanque de ces fessées. Je te garantis que je les fais filer droit, tu peux me faire confiance !
– Et bien, tu arrives pile au bon moment, J'allais justement administrer sa troisième à mademoiselle qui m'a fait un gros caprice tout à l'heure !  Si tu veux en profiter c'est l'occasion. »
Edwige n'était pas du genre à faire des manières. Pour rien au monde, elle n'aurait manqué l'occasion d'assister à une fessée et encore moins d'en administrer une.

« Avec plaisir ma chérie ! Mais avant j'aimerais savoir si tu n'aurais pas retrouvé une bague quelque part. J'ai l'impression d'en avoir perdue une ici hier.
– Ecoute non, après ton coup de téléphone, j'ai regardé où tu étais assise et autour... je n'ai rien vu.
– Bon... J'ai dû la perdre chez moi, peut-être en fessant Stephen. Pourtant j'enlève toujours mes bagues quand je le corrige. Ça laisse des traces sur les fesses et j'ai horreur de ça. Je termine toujours ses fessées à la main pour obtenir un beau derrière bien rouge sur toute sa surface, sans marques dessus. » 
 Gladys sourit en approuvant d'un hochement de tête et puis enchaîne.
« Tu as raison, c'est plus agréable à regarder quand ils sont au coin en pénitence. Mais, maintenant c'est l'heure de la nouvelle fessée de Patricia. Je voudrais profiter que ses fesses sont encore chaudes pour qu'elle la sente mieux passer.
– Bien sûr, je t'en prie, ne la fais pas attendre plus longtemps et moi non plus d'ailleurs. 
– Oui je voudrai en finir avec sa dernière fessée pour avoir le temps de me détendre la main et retrouver de la fermeté de poignet avant le retour d’Edouard, Tu comprends, tel que je le connais, ça ne m'étonnerait pas que je sois obligée de lui en flanquer une avant le dîner.   
– Mais tu l'as déjà corrigé hier, et pas qu'un peu !
– Oui je sais, mais depuis un certain temps il est infernal. Il lui faut pratiquement une fessée par jour, quand ce n'est pas plusieurs ! »

Gladys connaît par cœur les travers de comportement de son incorrigible mari et se doit souvent d'anticiper sur la nécessité de sévir. En règle générale, il a sa fessée pratiquement chaque soir en rentrant, pour une faute, un oubli, un propos déplacé, ou un motif quelconque, même futile, qui entraîne systématiquement la déculottée de rigueur. La répétition quotidienne, la force de l'habitude en ont fait presque un rituel. Et monsieur se retrouve régulièrement dans la salle à manger les fesses rouges et cuisantes, obligé de dîner déculotté, assis sur les cuisses pour se soulager le derrière. Gladys ne lui passant rien, cela lui vaut généralement une nouvelle fessée pour mauvaise tenue à table, qu'elle agrémente souvent d'une troisième lorsqu'il continue à gémir en se tortillant sur sa chaise à cause de la cuisson de ses fesses... Madame est intraitable sur les bonnes manières en toutes circonstance et aussi bien pendant les repas. Sans état d'âme pour ses pleurs et ses supplications, elle multiplie les fessées jusqu'à ce qu'il se tienne convenablement. S’il ne finit souvent pas manger froid, ses fesses par contre sont toujours cuites à point.


Edwige échange un clin d'œil complice avec sourire entendu.
« C'est bien ma chérie, quand on a la chance d'avoir de pareilles paires de fesses sous la main, il est impardonnable de ne pas en profiter. Moi c'est un peu pareil à la maison.... Mais je parle, je parle...je te laisse t'occuper de ta fille, elle attend sa fessée. »

Elle se cale dans le fauteuil et croise haut les jambes en faisant crisser le nylon de ses bas. Le spectacle d'une bonne fessée bien menée l'émoustille toujours presque autant que lorsque c'est elle qui les administre.
Gladys à son tour, s'installe à nouveau, confortablement, sur le canapé et retrousse sa jupe, sur ses jarretelles pour y accueillir le derrière de sa fille.
« Patricia ma chérie, c'est l'heure, viens ici que je te déculotte ! »
Le ton est mesuré presque affectueux comme si la fessée qu'elle préparait était un événement domestique banal, tout à fait naturel.
Patricia, dans son coin, sursaute et se retourne en regardant les deux femmes par-dessus son épaule. Elle ne peut s'empêcher de se prendre les fesses à deux mains comme pour les protéger à l'avance de ce qui les attend. Elles ont beau bien encaisser, elles sont encore sensibles.
« Ah non maman, tu ne vas tout de même pas me déculotter et me mettre la fessée devant Edwige !
  Tiens donc, voyez-vous ça ! Et qu'est ce qui m'empêcherait de le faire...Hein ?
  Maman... non... S'il te plaît, pas la fessée déculottée devant Edwige !
Gladys s'amuse ouvertement de voir sa fille de vingt-quatre ans, la jupe retroussée, les fesses rouges en évidence, s'énerver et taper du pied comme une gamine. Elle en rajoute l'air goguenard.
– « Je vais me gêner !  Non seulement tu vas recevoir ta fessée en présence d'Edwige, mais en plus je vais te la mettre déculottée... pour mieux te punir de ton arrogance. »
  Patricia hors d'elle, ne se contrôle plus malgré sa position critique. Elle trépigne.
« Continue ma chérie, continue à taper du pied ! Dit sa mère, affichant un calme bien énervant. Puisque c'est comme ça... c'est Edwige elle-même qui va te déculotter !  Elle a l'habitude et le fait très bien. N'est pas Edwige, si tu veux te faire plaisir ? »


Edwige baisse la culotte pour donner la fessée


L'intéressée n'a pas l'air étonné. Elle ne se fait pas prier et se trémousse d'aise sur son fauteuil en commençant à retrousser sa jupe sur ses cuisses qu'elle tapote du plat de la main avec un sourire prometteur.
« Et comment ! Je ne demande qu'à rendre service. Si mademoiselle veut bien m'amener ses fesses, je vais me faire un plaisir de te les déculotter !
– Tu obéis Patricia, immédiatement ! On a assez perdu de temps comme ça, tes fesses vont refroidir ! »
 Gladys s'est levée du canapé et pointe un doigt autoritaire vers son amie qui n'en demandait pas tant. Elle était venue chercher une bague qu'elle pensait avoir perdue et allait se retrouver avec la fille de son amie à déculotter sur ses genoux pour assister ensuite à sa fessé. Il y a des jours comme ça ou tout se déroule à merveille, rendant chaque moment agréablement rempli. A chacun ses petits plaisirs. Pour Edwige, il suffisait d'une paire de fesses bien rouge, à contempler ou à claquer pour voir la vie en rose, et se mettre de bonne humeur.

« Patricia, on t'attend !  Même position que tout à l’heure, dépêche-toi ! »

Insiste Gladys qui s'impatiente devant la mauvaise volonté de sa fille à venir présenter ses fesses à déculotter. Celle-ci n'en a pas plus envie que de changer ses bas nylon contre des collants en laine tricotés main. La règle fait pourtant qu'elle ne doit montrer aucune hésitation pour obéir à l'ordre de venir recevoir une fessée. En ce qui la concerne c'est loin d'être le cas. Malgré les injonctions de sa mère elle ne se retourne pas et se contente de répondre par-dessus son épaule en se tenant les fesses à deux mains.
« Mais maman, tu ne vas pas...
   Il n'y a pas de mais qui tienne ! Tu ne discutes pas et tu vas présenter tes fesses à, Edwige qui va te déculotter pour ta troisième fessée ! Il t'en reste encore une et je ne vais pas t'en faire cadeau !
– Oh maman, s'il te plaît !
– Inutile ma petite, ça suffit comme ça, je connais la chanson. Continue à discuter et je te mets une fessée supplémentaire ! »
 L'argument est dissuasif. La jupe retroussée sur les reins, les fesses tenues à pleines main Patricia se dirige au ralenti vers sa déculotteuse, en murmurant entre ses dents.
Edwige, indifférente à ses manifestations d'humeur, l'attend avec un sourire épanoui. Elle écarte les jambes pour dégager la place où la jeune femme finit par venir s'agenouiller. Même position que pour la fessée précédente. Elle pose les avant-bras, puis la joue au sol et pousse sur son derrière pour bien l'arrondir afin de faciliter son propre déculottage.
« Ah quand même ! Souligne sa mère en se réinstallent dans le canapé. Aller Edwige, déculotte-moi cette petite effrontée que je lui mette la cuisante fessée qu'elle a largement méritée ! »
– Avec plaisir, chère amie... »
Edwige, qui ne regrette décidément pas d'être venue, glisse ses doigts sous le nylon du slip et le descend le long des hanches en l'enroulant autour de l'élastique avec élégance. Arrivée sur le haut des cuisses, elle la fait claquer avec gourmandise juste sous le pli des fesses pour bien les faire ressortir. Patricia pousse un petit gémissement de honte en trépignant sur ses genoux.
« Vas voir ta mère maintenant, elle attend tes fesses pour la suite de la correction. »

La jeune femme relève la tête, les joues rouges de confusion, mais pas encore autant que la couleur à venir de ses fesses. Alors qu’elle commence à se redresser d'entre les cuisses d’Edwige, la voix sèche de sa mère l'arrête net.
– « Finalement non, remets-toi à genoux, j'ai changé d'avis ! Edwige, puisqu'elle est déjà en position et que tu as ses fesses sous la main, veux-tu lui flanquer toi-même sa fessée ? Ça sera une excellente manière de terminer sa punition et je pense que ça la marquera davantage. »
  Pas besoin de lui dire deux fois, Edwige, ravie de la proposition, ne se fait pas prier.  L'occasion est trop bonne de s'offrir une fessée sur aussi belle paire de fesses.
« Mais bien sûr ma chérie... Avec grand plaisir ! »
 S’exclame-t-elle en commençant déjà à retrousser sa manche, Elle remonte ses bracelets jusqu’au coude pour dégager sa main droite et fesser à l'aise.
« Je n'avais pas prévu de rester si longtemps, mais j'ai encore une bonne heure devant moi avant de rentrer. Ça devrait suffire pour lui remettre les fesses à la bonne température. Surtout que tu as déjà fait une bonne partie du travail. Tu as dû taper fort, elles sont encore rouges et chaudes de la précédente fessée.
« Normal, je suis comme toi, j'aime fesser fort !  Après deux bonnes fessées, les fesses prennent du volume, gagnent en souplesse et deviennent plus retentissantes.
– Oui bien sûr. J'ai d'excellents résultats, sur les fesses de Stephen surtout. Mais il lui faut des séances très sévères, d'au moins trois ou quatre fessées consécutives pour produire un niveau sonore vraiment satisfaisant. En fait il a un fessier comme un diesel. Il faut le chauffer longtemps à plein régime avant d'obtenir du rendement. Et une fois lancé, il claque à merveille.  
– Les fesses de Patricia réagissent un peu comme ça aussi. Elles claquent de mieux en mieux au fur et à mesure qu'elles montent en cuisson. Profites-en ! Mets-lui-en une sévère, ça va lui faire du bien. Il faut qu'elle s'en souvienne pour que la leçon porte ses fruits.
– Fais-moi confiance, j'ai la réputation d'avoir une force de frappe assez performante ! En général, les derrières que je corrige ne l'oublient pas de sitôt »

Patricia ne perd, évidemment, pas une miette de la conversation et, le souffle court, pousse des petits soupirs d'appréhension qui se perdent au ras du sol entre les talons aiguilles de sa correctrice. Elle tremble un peu, meurtrissant ses genoux sur le carrelage au risque de filer ses bas. Ses fesses déculottées, tendues sous la contrainte de   l'humiliante position, redoutent la fessée qui se prépare en frémissant de crainte... plutôt que d'impatience.

Sévère et rigoureuse, Edwige à l'habitude de prendre son temps lorsqu'elle administre une fessée. Elle à sa manière tout à fait personnelle de préparer le derrière à corriger.  D’une paume enveloppante elle caresse d'abord les volumineux hémisphères pour s'en approprier la surface et savoure cette première prise en main avant de les faire sauter sous les claques. Puis, elle commence à les tapoter. D'abord à petites tapes sèches pour bien les faire rebondir. Elle en teste la souplesse et la ferme élasticité acquises sous les deux fessées précédentes. Progressivement les claques se font de plus en plus fortes, et plus rapides. Le temps que la main prenne la mesure du derrière, en épouse l'arrondi, trouve la bonne distance et l'élan nécessaire à un démarrage de fessée puissant et immédiatement très cuisant.  
Patricia serre les dents en fermant les yeux, Elle est aussi tendue que ses fesses.  Elle sent venir la fessée alors qu'Edwige accélère le mouvement et donne de plus en plus d'élan à sa main qui virevolte maintenant d'une fesse à l'autre. Les claques crépitent un peu plus fort. Elles ont beau se révéler peu appuyées, elles contribuent cependant à faire sérieusement remonter la chaleur du fessier, encore très susceptible, après les récentes corrections maternelles du début d'après-midi.

Le salon est provisoirement, presque, calme. De ce calme avant la tempête, seulement troublé par les gémissements rythmiques de Patricia et le joyeux crépitement des claques d'échauffement qu’Edwige lui distribue sur les fesses. Petite mise en appétit, en préambule à la grosse fessée, la troisième de la journée, que celle-ci doit lui administrer à la demande de sa mère. Vu les dispositions de la plantureuse créature, ça va claquer sec et serré. 
Il est bientôt dix-huit heures, Edouard a reçu la consigne de renter du bureau immédiatement après son travail, sans passer, évidemment par la case bistrot. Les raclées du Week-End devraient normalement l'inciter à respecter les horaires. Gladys lui a ordonné d'être là à dix-huit heures trente, sonnantes. Sinon c'est la fessée ! Ou plus exactement, autant de fessées que de minutes de retard !  La seule mesure susceptible de lui inculquer quelques notions d'obéissance, dont il ne prend réellement conscience que les fesses rouges et cuisantes après une bonne déculottée...et encore !

 Edwige, selon sa méthode, continue son petit numéro de percussions sur les fesses de Patricia, pour les amener progressivement à une température satisfaisante, propice à un bon rendement dès le début de la correction.

« Et bien ma chérie... L'interpelle Gladys, qui suit le déroulement des opérations du fond du canapé. Voilà une fessée préparée dans les règles de l'art ! »
Edwige, concentrée sur son sujet répond sans lever la tête de son plan de travail.
« Je ne vais pas avoir le temps de la faire durer aussi longtemps que le motif de la punition l'exige, Il faut donc que je tape fort immédiatement si je veux obtenir un résultat satisfaisant.
« Tu as raison, c'est plus efficace ! 
– D'ailleurs elles commencent à bien chauffer. Encore quelques allers et retours et elles ne vont pas tarder à être prêtes pour la vraie déculottée ! »
Et ça claque de plus en plus sec. Les mains plaquées au sol, Patricia n'en peut plus. Le ventre noué par l’angoisse. Elle redoute le démarrage imminent de la fessée, sans savoir à quel moment elle va réellement commencer. L'attente sous les petites claquées devient tellement insupportable qu'elle en arriverait en en souhaiter le déclenchement au plus vite. La méthode de mise en condition est efficace. Patricia, elle-même sévère fesseuse, se retrouve presque consentante, docile, en position de se faire corriger à son tour, soumise à l'autorité de cette maîtresse femme.

Celle-ci, d'un dernier geste de préparation, glisse ses doigts sous ses jarretelles et les étire de chaque côté du fessier, pour bien dégager toute la surface. Rien ne doit faire obstacle ou seulement perturber l'administration d’une fessée. Elle ajuste le slip, tendu sous les fesses et resserre les cuisses autour des hanches de Patricia qui murmure au sol quelques supplications inaudibles. Edwige n'y prête aucune attention, et savoure l'instant. La fessée s'annonce bien, La main haut levée au-dessus du frétillant derrière déculotté, elle lance un clin d'œil à Gladys qui lui adresse en retour un regard complice  accompagné d'une moue d'incitation à taper fort.

Edwige n'a pas besoin d'encouragement pour taper fort. Elle fesse dur naturellement. Les dents serrées par l'énergie soudainement déployée, le regard rivé sur la cible charnue, elle déclenche une magistrale fessée qui éclate aussitôt avec force d'une fesse à l'autre. La correction est d'emblée tellement sévère que Patricia la bouche grande ouverte au ras du carrelage en suffoque déjà de douleur. C'est la fête à ses fesses qui se démènent furieusement sous les claques et tressautent en cadence, contraintes de suivre le rythme infernal imposé par Edwige qui se régale dessus à pleine main.
« Raaaaaah maman, c'est pas possible !! Ouaiiiiie ! Elle fesse trop fort !! S’égosille la malheureuse. Ce n’est pas une main qu'elle a, c'est un battoir ! Ouaaaaaaaiiiiiie ! Pitié ! Dis-lui d'arrêter !
– Au contraire ma chérie, elle fesse très bien ! C'est exactement la fessée qu'il te fallait ! Quand on a une telle paire de fesses il ne faut pas s'étonner de se la faire claquer de cette manière ! D'ailleurs rappelle nous donc le motif de cette excellente fessée pour que tu ne l'oublies pas.
– Oauiiiie maman, je...je ne peux... peux pas... ça... ça fait... tr...trop mal !
Balbutie la jeune femme durement secoué par les formidables claquées qu'Edwige lui expédie à la volée sur toute la surface des fesses. La forte femme n'a pas besoin de forcer son talent, elles les faits passer du rouge à l'écarlate sans difficulté, sous le regard satisfait de Gladys qui insiste sans états d'âme.
« Je ne comprends pas, ma chérie pourquoi tu mets autant de mauvaise volonté à répondre. Fait-elle, semblant de s'étonner. Puis d'ajouter sans pitié
« Plus fort la fessée, Edwige, fesse la plus fort ! Comme tu sais le faire, Elle doit obéir !
  Avec plaisir ma chère, maintenant que je suis partie, je ne demande que ça ! »


Edwige donne la fessée déculottée


Elle appuie sur le dos de la malheureuse pour l'obliger à cambrer davantage les reins  en  épanouissant son postérieur et continue à fesser en s'appliquant à bien appuyer les claques.
« Ah, c'est encore mieux comme ça ! ironise-t-elle tout en maintenant la cadence. Voilà ce que j'appelle une vraie bonne fessée. Comme je les aime ! »
Gladys, impitoyable, ne cède rien.
« Je dirais même excellente. Continue sur ce rythme, elle n'a toujours pas répondu à ma question. »
Edwige ne se fait pas prier, mais décide de changer de position pour claquer le derrière sous un autre angle. Elle fait relever la jeune femme et la fait basculer en travers de ses cuisses avec une telle force que la malheureuse projetée en avant est obligée de se rattraper sur les mains pour ne pas heurter le sol avec sa tête. Ses fesses rouges et cuisantes sont de nouveau en place mais présentées d'une autre manière. Un peu plus classique mais tout aussi efficace. En quelques seconde, Edwige, qui ne perd pas de temps, ajuste la position du derrière pour le replacer bien à sa main, descend le slip un peu plus bas afin de dégager le haut des cuisses, et, la main bien ferme, reprend la fessée.


Avec les dessins originaux de l'auteur !


Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...

Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 2

Il y a une suite, le chapitre 4

Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.

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Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  ramina16@laposte.net

3 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Wahou !!
    La bouillonnante amie intime de Mam'e Gladys ne déroge pas à son patronyme, amplement justifié : Klakdur ! Ach !!!
    "Tante" Edwige est une redoutable maman, et une maitresse femme accomplie.
    Beau match de "ping-pong fessier". Chacune se renvoie la balle.
    Belles illustrations. Surtout la seconde : la couleur concentre l'œil sur le personnage principal de l'action. Un peu comme un flash-back. Excellente idée. Merci pour le récit. Savoureux comme d'hab'.
    Peter'.

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  2. Bonjour Peter
    Content que vous savouriez...
    Encore quelques bonnes fessées en guise d'exercice physique avant de fesse-toyer avec les agapes de fin d'année.
    Tante Edwige, comme vous dites, n'a pas mis longtemps à montrer ses talents! je dirais : chacune se renvoie les derrières à corriger. Et ce n'est pas fini!...
    Bien vu l'analyse d'image. Le premier plan sombre ( Gladys) renvoie effectivement sur les personnages centraux en couleur vives! Bon, surtout sur les fesses de Patricia qui constituent le principal centre d'intérêt... Pour tout le monde!
    Ramina

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  3. Bonjour Ramina,

    Les fêtes de fin d'Année semblent prometteuses ! Et le Dom Pérignon ne sera certainement pas le seul à faires des étincelles.
    La gent masculine risque fort d'être le divertissement préféré de ces Dames. Gérome et sa redoutaaable Maman seront-ils de la fête ?
    Trois garçons et quatre filles... hum, leurs chances pour y échapper sont bien minces. Et si la mère Fouettard s'invite, eh bien, ça va chauffeeeeer ! Et surtout, ceinture pour les cadeaux. "Tata Edwige, elle est méchante". Na ! (Rires).
    Peter.

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