mardi 25 décembre 2018

Ces dames aux mains fermes - S2 - Chapitre 4


Les déboires d'Edouard.

Patricia hurle de plus belle en tapant des mains par terre... dans l'indifférence générale.
Ses fesses s'enluminent progressivement d'un magnifique rouge écarlate. Elle est en souffrance et se tortille en pleurant sur les jarretelles de sa fesseuse qui continue à lui claquer sa fessée sans état d'âme.

La technique d'Edwige est bien au point et démontre une redoutable maîtrise de la fessée, entretenue, à l’évidence, par une pratique régulière. Pilonnage prolongé d'une fesse, au même endroit, jusqu'à l'écarlate, cuisson pénétrante de la raie en profondeur, puis, passage en rythme à l'autre fesse qui subit le même traitement.  Une fois les deux fesses chauffées au rouge, elle augmente la cuisson sous un joyeux crépitant fesse droite, fesse gauche agrémenté de quelques accélérations surprises du meilleur effet. Patricia trépigne en hurlant. Loin d'attendrir sa correctrice, l'effet est plutôt stimulant. Elle fesse fort, à grandes claques cuisantes bien ajustées, obtenant sans difficulté, une spectaculaire montée en chaleur de l’éclatante paire de fesses.

La maîtresse femme est comblée. Sourire triomphant elle profite des bonnes dispositions   du derrière qu'elle corrige et, sans se faire prier, prolonge la fessée à plaisir, sans que Gladys ai besoin d'insister. La totalité du fessier est en feu et resplendit d'un rouge foncé parfaitement réparti sur toute la surface. Patricia en larmes, commence à opposer de moins en moins de résistance. Elle continue à s'égosiller sans pouvoir maîtriser les mouvements frénétiques de ses fesses qui tressautent en cadence sous la puissance des claques.
« Alors, tu vas te décider à répondre oui ou non ? »
Redemande sa mère, qui s'est levée du canapé pour assister de plus près à la correction. Elle est obligée de hausser la voix pour couvrir le claquement très sonore de la fessée.
– « J'attends toujours ma chérie... et j'ai tout mon temps. Pour qu'elle raison as-tu mérité cette troisième fessée ? Je te préviens, elle va durer tant que tu n'auras pas répondu. »


Edwige donne le fessée déculottée


 Patricia n'en peut plus et fini par céder. L'atroce cuisson de ses fesses s'intensifie sur toute la surface, du pli en haut des cuisses jusqu'au bas de ses reins. Dans un sursaut d'énergie elle réussit à articuler quelques mots sans trop bafouiller et en montant la voie à chaque claque. Edwige s'amuse à la faire grimper dans les aiguës en appuyant davantage les allers et retours. 
– « Paaaaarce que... je... je t'ai maaaal... aiiiiie... paaaaarlé maman !! Aaaaaaah dis-lui d'arrêter s'iiiil te plaît... elle feeeeesse trop fort !!!
– Et bien voilà ! S'exclame Gladys satisfaite. Tu vois quand tu y mets de la bonne volonté, ce n'est pas compliqué ! »
Puis s'adressant à son amie qui continue méthodiquement, à claquer avec entrain, le derrière cramoisi qu'elle fait sévèrement rebondir sur ses cuisses. 
– « C'est bon Edwige, tu peux arrêter. Elle a eu son compte de fessées pour aujourd'hui et la correction qu'elle méritait. Elle commençait à en prendre un peu trop à son aise. N'est-ce pas ma chère ?
 – Ou... oui... Ma... Maman. »
Répond docilement celle-ci la poitrine secouée par les sanglots. Elle essaye de reprendre sa respiration, coupée par les hoquets. Edwige a écarté les cuisses pour libérer sa victime. Elle glisse sur les bas nylon, humides de transpiration et se relève péniblement, les jambes entravées par son slip, les fesses rayonnantes d'un magnifique rouge écarlate. Ses joues, presque aussi colorées, reluisent de larmes dégoulinantes, mêlées de rimmel. Ce n'est plus Patricia, la jeune femme arrogante et autoritaire, prompte à administrer les corrections, qui se remet debout le derrière en feu, mais la fille de la maison, sévèrement fessée à son tour et remise à sa place sous l'autorité de sa mère.

 – « Et bien ma chérie, elle ne t'a pas raté Edwige !  J'espère que tes fesses ont apprécié et que cela va te servir de leçon ! Dit Gladys en lui tapotant le derrière pour apprécier le dégagement de chaleur que laisse deviner sa rougeur incandescente.
– « Maintenant, il ne te reste plus qu'à la remercier pour sa belle prestation, Depuis le temps que je te vantais la qualité de ses fessées, tu peux constater que je n'ai pas exagéré. Elle fesse bien n'est-ce pas !» 

Patricia regarde sa mère d'un air inquiet. Elle se méfie de ces petites tapes faussement affectueuses qu'elle lui met sur le derrière. Si appétissant, rouge et gonflé de claques, qu'il pourrait lui donner envie d'une nouvelle fessée. Elle se tourne vers Edwige en train de souffler sur la main qui vient de lui claquer sa fessée. Elle a tapé fort.
 « Merci... Madame ...  
– Merci... c'est tout ?
– Non maman... Merci pour cette fessée.
– Merci qui ? Recommence !
– Merci madame Edwige... pour cette fessée... 
– Pour cette fessée... seulement ?
– Pour cette bonne fessée... madame !
– Quand même !
– De rien ma chérie, répond l'intéressée, souriante et détendue. Tout le plaisir était pour moi. La prochaine fois je te promets qu'elle sera encore meilleure. C'est un plaisir d'avoir l'occasion de claquer d'aussi belles fesses !»
Les fesses cuisantes après la fessée


Gladys se rassoit dans le canapé et croise ses jambes. Le nylon crisse sur ses cuisses découvertes.
– « Ne soit pas modeste, celle-ci était déjà bien fournie ! Mais c'est vrai qu'avec une telle puissance de feu, tu peux certainement faire encore mieux ! »
Elle enchaîne joyeusement tandis que Patricia, qui n'ose pas prendre d'initiative, attend les consignes debout entre les deux femmes.
– « Après l'effort... Le réconfort comme on dit ! C'est presque l'heure de l'apéritif. Tu as bien encore le temps de prendre un petit pur malt avec nous ? On l'a bien mérité après une telle dépense d'énergie,
– Puisque tu insistes... C'est vrai que la fessée est un réel exercice physique.
– Tout à fait, ça permet d'éliminer des calories en se rendant utile. Patricia, s'il te plaît, veux-tu servir trois Whisky ? Tu en prends un pour toi aussi, ta punition est terminée.
– Oui maman, tout de suite !  Je peux me reculotter ?
– Non, je veux que nous les apportes déculottée, pour qu'on puise se régaler de tes belles fesses écarlates.
– Mais maman, ça va me gêner pour marcher, je risque de renverser.
– Et bien tu n'as qu'à faire attention. Si tu renverses, tu auras une autre fessée. Ce n'est pas compliqué !

Patricia ne répond pas et se dirige vers le bar du salon, la jupe relevée sous la ceinture, le slip en travers des cuisses. La cuisson de son postérieur est si intense qu'elle est obligée de marcher en tortillant des hanches pour atténuer la douleur du frottement des deux fesses l'une contre l'autre. Les deux femmes s'en amusent et ironisent.
« Voilà une bonne chose de faite ! Et ça fait du bien ! Une bonne fessée, ça détend ! Commente Edwige, avec un grand soupir de satisfaction qui provoque un débordement de poitrine incontrôlable. Quel plaisirr de rougir une telle paire de fesses ! Je ne regrette pas d'être venue.
– « Tant mieux ! Répond Gladys. Encore une fois, rien ne vaut la méthode forte pour calmer les ardeurs récalcitrantes. Il était temps que Mademoiselle « réponse à tout », ré-apprenne le respect et l'obéissance. 

La démarche hésitante, Patricia apportait les Whiskys sur un plateau lorsque le bruit de la porte d'entrée se refermant se fit entendre.
« Ah mais voilà Edouard qui rentre ! S'exclame Glagys en saisissant le verre que lui tendait sa fille après avoir servi Edwige. Pile dix-huit heures trente ! Quelle ponctualité, tout d'un coup. Lui qui est toujours en retard, je me demande bien ce qui l'a motivé à ce point »

Edwige se penche vers elle avec un large sourire. Elle lève son verre et trinque avec son amie en échangeant un clin d'oeil complice. 
– « Quelques bonnes fessées bien placées n'en seraient-elles pas à l'origine par hasard ?
– Maintenant que tu le dis, ça serait bien possible... mais en tous cas certainement pas par hasard ! »

Mis à part Patricia, encore sous l'effet persistant de sa dernière fessée, ces Dames en sont aux éclats de rire, lorsque Edouard, débarrassé de son manteau dans le vestibule, entre dans le salon, son porte document à la main. Il semble surpris de voir Edwige avec son épouse et plutôt inquiet de sa présence. Gladys l'interpelle joyeusement sur un ton teinté d’ironie.
– « Mais c'est mon petit mari ! Bonsoir mon chéri. Cette fois tu rentres à l'heure dis donc ! »
Edouard ne sait pas trop s'il doit prendre la remarque comme un vrai compliment ou un de ces propos en forme de sarcasme dont elle est coutumière.
« Et bien oui Gladys, c'est bien l'heure à laquelle tu m'as demandé de rentrer, directement en sortant du bureau.
–Tout a fait trésor, tout à fait !  C'est très bien ! Vas poser ta serviette dans le bureau et rejoins nous, tu arrives juste pour l'apéritif ! Patricia, s'il te plaît, bouge tes fesses et sers un Whisky à ton beau-père. »
Edourad se détend, s'exécute et revient dans le salon. Il n'a pas le temps de s'asseoir. Gladys change de ton et l'interpelle à nouveau devant Edwige.
« Tu vois, il suffit d'employer la bonne méthode, on dirait que les fessées t'ont fait du bien, Non ? »
Edouard rougit. Il ne sait déjà plus où se mettre et cherche un siège du regard.  
– Euuuuh... Ou... Oui sans doute ! Oui chéri !
– Comment ça sans doute ? C'est certain oui ! Et il t'en a fallu combien ce week end pour te faire comprendre qu'il valait mieux rentrer directement à la maison plutôt que de traîner dans les bistrots ? Hein ? »
– Euuuh … je,,, je ne...»
Edouard est pris de court. Il ne s'attendait pas à cette question. Très embarrassé il ne sait quoi répondre et commence à se dandiner d'un pied sur l'autre. Il s'attendait à un meilleur accueil et, il ne sait pas trop pourquoi, la présence d'Ewige ne le rassure pas. Tout peut arriver,
Gladys se tourne vers elle.
– Incroyable ! Cinq fessées hier, plus une ce matin et Il ne s'en souvient même pas ! 
Edwige qui est parfaitement au courant, sourit d'un air faussement navré. 
– « Ou alors il fait semblant et c'est un gros mensonge. Dommage, ça m'aurait intéressé de savoir, pour comparer avec le nombre de déculottées que j'ai mises à Stephen pour les mêmes raisons, puisqu'ils étaient ensemble à faire la tournée des pubs ! »

 Elle rit et fait crisser ses bas en croisant et décroisant les jambes. D'un geste élégant, elle   lisse sa très courte jupe sur ses cuisses. Elle est si bien ajustée que la marque de ses jarretelles apparaît sous le tissu.

– « Rien que pour ça, dit-elle en soulevant son opulente poitrine d'un soupir de dépit, Stephen serait déjà déculotté, sur mes genoux en train de s'en prendre une sévère !
– Oh mais il ne perd rien pour attendre ! Répond Gladys le regard menaçant en direction de son mari. Il ne va pas tarder à venir faire un petit séjour sur les miens ! »

Edouard se rend compte, un peu tard, qu'il a eu tort de mentir. Malgré l'incitation perverse de son amie à le corriger, Gladys ne semble pas décidée à lui flanquer tout de suite le tarif de fessée inscrit au compte des punitions pour mensonges et dissimulations.
 Patricia pendant ce temps-là en profite pour récupérer. La cuisson de ses fesses, pourtant endurantes, s'estompe difficilement. Sa mère d'un signe de tête à fini par l'autoriser à se reculotter et malgré la douleur persistante elle a réussi à s'asseoir près d'elle dans le canapé. Le centre d'intérêt s'est déplacé vers son beau-père. Coincé entre les trois femmes, le malheureux, malgré ses efforts louables de ponctualité, s'est déjà mis en mauvaise posture dès le début de la soirée.

Edwige termine son verre, le pose sur la table basse et regarde sa montre.
« Déjà, dix neufs heures ! Il faut que je file, Stephen aussi doit être rentré...
– Tout de suite là ? Dit Gladys.
– Oui, j'étais juste venu pour ma bague. Mais bon, tant pis. Par contre, merci pour la fessée improvisée. C'était délicieux, Belle fesses, bonne déculottée, je me suis régalée. J'en ai encore la main toute chaude !  De toute façon on remet ça samedi ! »
Gladys l'arrête en posant la main sur son bras au moment où elle se lève.
– Attends, chérie, tu as bien cinq minutes. J'ai encore une petite mise au point à faire avec Edouard et je pense que ça sera encore plus efficace en ta présence.  Tu sais ce que c'est. »
Edouard a à peine touché à son verre. Il prend une poignée de chips et boit une gorgée de whisky. Les glaçons tintent dans le verre. Intrigué, il ne comprend pas très bien ce à quoi son épouse fait allusion ni pourquoi elle retient son amie. Un peu mal à l'aise, il feint la décontraction en prenant la pose sur l'accoudoir du deuxième fauteuil alors qu'Edwige s'est rassise dans l'autre pour répondre à l'invitation de son amie. Pas difficile de comprendre où elle veut en venir.
Gladys interpelle une nouvelle fois son mari, sur un ton qui ne présage rien de bon pour lui. Il tressaute en l'entendant,
« Au fait mon chéri, as-tu pensé à passer chez le teinturier pour ramener mon tailleur, comme je te l'avais demandé ce matin ? »
Edouard ressursaute et manque lâcher son verre alors qu'un glaçon est passé par-dessus bord. La mémoire lui revient d'un coup. Il pâlit en serrant instinctivement les fesses, comme un réflexe conditionné. Il a complètement oublié. Mauvais signe. Il sent le regard accusateur des trois femmes converger vers lui dans un silence lourd de sous-entendu. Pas à l'aise du tout, il tente un piteux oral de rattrapage.
«  Euuuuh... N... Non... Oui mais ... c... c'était fermé !
  Quoi ? Qu'est-ce que tu me racontes, la teinturerie est toujours ouverte le lundi !
– Euuuh non... ce n'est pas ce que je voulais dire... j'ai... j'ai oublié... Non, je... je n'ai pas pu... ».
 Gladys s'amuse de son trouble. Son ton est calme, faussement complaisant. Elle aime le passer un peu sur le grill avant la raclée.,
– Mon pauvre chéri, comment ça tu n'as pas pu ? Qu'est ce qui a bien pu t'en empêcher ?
– A cause des... des tickets. Je... je n'avais pas les tickets. 
– Mince alors !... Tu n'avais pas les tickets... Dit - elle en hochant la tête d'un air navré.
Comme si elle s'adressait à un enfant.
– « Je t'avais pourtant dit ce matin, juste avant ta fessée, que je les posais pour toi sur la commode... dans l'entrée.  Alors... Robin oublie son carnet de correspondance, et toi les tickets pour la teinturerie ! Vous faites la paire tous les deux ! Donc tu n'as pas pu passer récupérer le tailleur dont j'ai besoin pour demain ! »

Elle le regarde fixement dans les yeux. Il reste muet, pétrifié, ses lèvres tremblent légèrement. Elle se met soudain en colère,
« Mais comment peut-on être irresponsable à ce point ? Je ne peux jamais te faire confiance, ni rien te demander ! »

Edwige et Patricia échangent un regard brillant et attendent la suite en souriant, sachant très bien comment cela va finir.  Edouard, une nouvelle fois pris en défaut, empêtré dans ses mensonges et mauvaises explications est au bord de la correctionnelle. Il serre tellement les fesses qu'on ne passerait pas une feuille de papier à cigarette entre les deux. Alors, un manche de martinet, inutile d'y penser !

Gladys, maîtresse de la situation, s'est levée du canapé. Il se recroqueville sur le bras du fauteuil. Elle le toise du haut de ses quinze centimètres de talons aiguille. Le bilan est vite fait,
– « Négligence, et mensonges à répétition, tu sais ce qui t'attend Edouard ?
– Oh chérie s'il te plaît... non !
– Je t'ai posé une question Edouard ! Tu sais ce qui t'attend ? Je t'écoute.
– Pitié Gladys non...Pas maintenant !
– Qu'est-ce que tu as mérité Edouard ?
– J'ai mérité une... Une fessée !
Gladys, avec un large sourire, se retourne vers Edwige et Patricia, qui attendent, la mine réjouie, la suite des opérations.
« Vous voyez ! Qu'est-ce que je disais tout à l’heure ?  Pas besoin de chercher des motifs de fessées, il les amène tout seul ! »
Les trois femmes éclatent de rire. Gladys continue la mise en condition de sa victime en prolongeant à plaisir l'attente de sa correction. Le ton est détaché, toujours un peu ironique.
« Je n'ai pas bien entendu Edouardi. Tu as dit quoi... une fessée ? Une seule ? Tu plaisantes mon ami, c'est au moins deux fessées oui. Une pour ta négligence, l'autre pour les mensonges. Et estime toi heureux mon cher, c'est le tarif minimum. Je pourrais t'en mettre une par mensonge ! »
.
Edouard reste bouche bée, sous les regards amusés de sa sœur et de Edwige, qui ne regrette pas du tout d'être restée. Gladys prend son temps. Elle veut le maintenir sous pression jusqu'au bout. Qu'il en vienne presque à réclamer sa fessée,
– Et comment les fessées s'il te plaît ?
– Euuuh... Non ! Non !... Gladys, je t'en prie ! Pas devant madame Edwige !
– J'ai dit comment les fessées ?
– Déculottées chérie... Déculottées !
– Bien ! Baisse ton pantalon et amène-lui tes fesses ! C'est elle qui va te déculotter ! Edwige, s'il te plaît, veux-tu t'en charger ? »
La plantureuse femme, toujours aussi démonstrative, s'en trémousse d'aise en retroussant ses manches.
« Mais bien sûr ma chérie ! Toujours avec plaisir ! Après la fille, pourquoi pas le beau-père ! Si on m'avait dit en venant ici que j'aurais à déculotter deux paires de fesses comme celles-là... J'aurais douté ! Par ici mon cher, madame Edwige, comme tu dis, va s'occuper de toi ! »

Edouard est mortifié et ne trouve plus les mots pour protester. Se faire déculotter par cette femme encore pire que de le subir devant elle. Gladys est décidément impitoyable et ne lui épargne rien. Le fesser devant témoin ne lui suffit pas, il faut, en plus, qu'elle lui impose un humiliant déculottage.
Mais il n'a pas le choix, il doit s'exécuter sans discuter. Il dégrafe sa ceinture en pleurnichant, déboutonne sa braguette, descend son pantalon sur ses chevilles et se dirige d'un pas hésitant vers sa déculotteuse qui l'attend les mains sur les hanches, le visage rayonnant d'un large sourire de satisfaction.
« Allez, mon ami, il n'y a rien de plus efficace pour apprendre à obéir que de bonnes fessées déculottées. J'en met régulièrement à mon mari et ça lui fait le plus grand bien ! »

Elle retrousse sa jupe au-dessus de ses jarretelles pour éviter les faux plis, le saisit par l'oreille et, passant outre une brève tentative de résistance, l'allonge d'autorité en travers de ses cuisses gainées de nylon. Il se retrouve à couiner, la tête au ras du carrelage, les fesses relevées en bonne position.  En gourmande, elle prend le temps d'en caresser les belles rondeurs d'une main enveloppante et les tapote vigoureusement pour en tester la souplesse. 
« Hummm, solide fessier, bien ferme, il en donne plein la main !  Commente -t-elle en connaisseuse, avec son langage familier habituel. Tout à fait comme celui de mon mari ! Il n'y a pas à dire, les séances de fessées ça vous sculpte un derrière ! »
Satisfaite de sa formule, elle lance un clin d’œil appuyé en direction de Gladys et poursuit ses commentaires. 
« Avec des slips aussi bien garnis, on n'a pas de quoi s'ennuyer ! »
Et elle ponctue sa phrase d'une grosse claque retentissante en plein milieu du fessier. Edouard pousse un cri. Gladys commence à s'impatienter.
« Bon, tu le déculottes oui ou non ? Sinon je vais le faire moi-même !
– Oui, oui, je le déculotte ! Laisse-moi m'amuser un peu avec ses fesses, Après tout, c'est bien toi qui me les as mises entre les mains. »
 Le petit doigt en l'air, elle saisit délicatement l'élastique du slip et le fait lentement glisser sur l'arrondit du derrière pour dégager chaque fesse l'une après l'autre. L'opération demande une certaine dextérité car le fessier est volumineux. La belle femme n'en est pas à son premier déculottage, loin de là. L'obstacle rebondi est vite franchi, et, dans un bruissement de nylon, elle descend le slip en souplesse jusqu'au milieu des cuisses. 
­– « Et voilà !  S'exclame-t-elle avec enthousiasme en faisant bruyamment claquer l'élastique sur la peau. Déculottage réussi !  Monsieur va maintenant aller chercher sa fessée, et au trot ! Je crois que madame s'impatiente et plus on la fait attendre plus les fessées sont sévères !
– Tout à fait ! Confirme l'intéressée. Merci Edwige, belle descente de slip !
Edwige, rajuste une jarretelle et rabat sa jupe sur ses cuisses. Elle la joue modeste en battant des cils.
 – Voyons chérie...l'habitude... tout simplement. Tu sais ce que c'est. Des derrières on en déculotte et on en fesse pratiquement tous les jours. Quand ce n'est pas plusieurs fois par jour. C'est une bonne façon de se maintenir en forme. Non ?

– Tout à fait, une séance de fessées, c'est un peu comme une séance de gymnastique. C'est d'ailleurs ce que je vais faire maintenant. Edouard... Tes fesses ! ... tout de suite ! »
emplit généreusement tout l'espace du salon.


Avec les dessins originaux de l'auteur !


Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...

Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 3

Il y a une suite, le chapitre 5 

Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  ramina16@laposte.net

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.