samedi 8 décembre 2018

Axel en famille - chapitre 73

Tatie Nathalie était satisfaite de son action. Tout était en ordre. Raoul se tenait au coin, nous montrant ses fesses qui avaient encore, pour un bon moment, une couleur cramoisie. Elle avait relancé le travail de rangement des trois autres membres de la famille Moreau sous la supervision de Mamie et de Julie qui l’assistaient avec efficacité. Je me sentais un peu inutile, mais je me gardais bien de le signaler, incertain sur les conséquences que cela aurait pu avoir.

Il était presque midi quand Tatie Nathalie rapatria tout le monde dans le séjour. Elle s’était assise sur le canapé et elle ordonna à Jeanne, Anthony et Florence de se tenir debout devant elle. Mamie, Julie et moi restions un peu en retrait.
« Raoul, viens rejoindre tes camarades ! »
C’est en se dandinant que Raoul traversa la pièce, entravé par son pantalon autour de ses chevilles. Il rougit dès qu’il se retourna et qu’il sentit les yeux de l’assemblée se porter sur ses parties génitales qui se balançaient entre ses jambes. Il se plaça au bout de la file, sans avoir laissé retomber sa chemise maintenue retroussée par ses bras croisés dans son dos.
« Croisez tous vos bras dans votre dos comme le fait Raoul. C’est une bonne position pour écouter quand une grande personne veut que vous l’écoutiez. »
C’était une scène un peu étrange que ces quatre adultes alignés, se tenant comme des enfants, indifférents aux fesses nues de l’un d’entre eux. Ils montraient tous qu’ils étaient attentifs à ce que Tatie Nathalie leur voulait. Il avait suffi d’une matinée, mais l’autorité de Tatie Nathalie sur tout ce petit monde semblait bien établie.
« Raoul, si la fessée pour ta désobéissance est terminée, ta punition ne l’est pas tout à fait. Je te place en probation pendant un mois. Pendant ce temps, tu devras démontrer ton obéissance et que tu prends ta part de l’entretien de la maison. C’est donc un mois durant lequel tu es privé de sortie. Si tu dois aller autre part qu’à ton travail, tu viendras m’en demander l’autorisation. »
Raoul baissa la tête. Il avait esquissé une mimique de débit à l’écoute de la sanction qui le frappait, mais il s’était rapidement repris.
« Je vous place tous les trois sous l’autorité de Jeanne. Cela signifie qu’elle a la responsabilité de votre conduite, de votre comportement, de votre travail, de votre hygiène, … bref, de tout ce qui vous concerne. Ses consignes devront être exécutées sans délai. »
Aucun des trois n’eut de réaction. Les fessées que Jeanne avait administrées ce matin aux membres de sa famille, avaient préparé le terrain.
« Elle aura le droit et le devoir de vous donner la fessée à chaque fois que vous la mériterez. J’attends de vous que vous y soumettiez sans discuter. Il n’est pas question que l’un d’entre vous lui en conteste la légitimité. Si cela se produit, le garnement qui s’y sera essayé aura affaire à moi et à la ceinture que voilà. »
Elle brandissait celle qui lui avait servi à punir Raoul et Anthony.
« Dans cette maison, je vais établir de nouvelles règles auxquelles vous serez tous soumis. Tout manquement sera sanctionné par une bonne fessée. Je veux des enfants – Raoul, je te place dans cette catégorie au mois pendant le mois qui vient – sages, obéissants, travailleurs, toujours propres sur eux, des enfants bien élevés. Il arrive que des enfants fassent une bêtise, mais il faut alors que les adultes qui les entourent les punissent. Ce sera le rôle de Jeanne, en tant que maîtresse de maison. »
Il n’y eut pas un regard, pas un murmure pour contester cette décision.
« Je tiens aussi à ce que le adultes assument leur rôle. Ils doivent être garants du respect des règles édictées. Il leur revient de sanctionner les écarts. Désormais, ce sera avec une fessée dont la sévérité dépendra de l’importance de la bêtise commise. Jeanne, en tant que seule adulte de cette demeure, en sera seule juge. »
Jeanne ne semblait pas à l’aise avec ce nouveau rôle qui lui était attribué. La courte expérience de ce matin ne lui avait pas suffi pour accepter ce changement imprévu.
« Je contrôlerai le travail de Jeanne. Si elle faillit à sa mission, je la punirai. Toute fessée qu’elle épargnera à l’un d’entre vous, lui vaudra une correction. Non seulement le contrevenant sera corrigé comme il se doit, mais en plus je déculotterai Jeanne pour la fesser. Elle peut compter sur moi pour lui faire regretter sa négligence. »
Il n’y avait plus rien à ajouter quant au maintien de la discipline. Chacun savait quel sera son rôle et quelles seraient les conséquences de ses défaillances.
« Vous allez me remettre cette maison en état. Aujourd’hui, vous la rangerez du sol au plafond. Je passerai une inspection en fin d’après-midi. Je veux que tous les tiroirs, que le moindre placard soit impeccable. Jeanne, tu vérifieras que tout est en ordre avant que je passe. Si je trouve à y redire, celui qui en est responsable sera fessé par Jeanne, puis je te corrigerai. »
Jeanne avala difficilement sa salive. Elle appréhendait la difficulté de la tâche qui l’attendait.
« Demain, vous ferez le ménage Cette maison va retrouver un niveau de propreté acceptable et je vous promets qu’elle le gardera. Vous allez apprendre à nettoyer au fur et à mesure que vous salissez. Jeanne sera responsable de punir ceux qui ne font pas attention. Vous devrez changer nombre de nos habitudes, mais ce sera en bien. »
Tatie Nathalie fit le tour des quatre personnes qui se tenaient devant elle. L’une après l’autre, elles baissèrent les yeux. Il n’y avait pas le plus petit germe de protestation dans leur attitude.
« Florence, je n’ai pas oublié ton insolence de ce matin. Ce soir, dès la fin du dîner, tu viendras chez moi pour y recevoir une fessée. Je te la promets exemplaire ! »
Florence hocha la tête. Elle acceptait sa punition.
« Vous allez voir, tout sera beaucoup plus simple à partir de maintenant. Certes, il y aura la fessée de temps en temps, sans doute assez souvent au début, le temps que vous compreniez comment vous comporter, mais au moins ce sera clair : j’ai fait une bêtise, j’en suis puni, puis tout est pardonné. Tout le monde se met au travail. Julie, reculotte Raoul pour qu’il puisse faire sa part. Il a déjà pris beaucoup de retard. »
Ils se dispersèrent, chacun s’attelant au rangement de la partie de la maison dont il avait la responsabilité. Tatie Nathalie eut un hochement de tête approbateur.
« Tu as fait du bon travail, ma fille, commenta Mamie. Ils t’en seront reconnaissant, sans doute pas tout de suite, mais ils s’en rendront compte plus tard. »
Nous regagnâmes la demeure de Tatie Nathalie, laissant les Moreau à leurs tâches.

Dans l’après-midi, Tatie Nathalie et Mamie firent de fréquents allers-retours avec la maison d’en face. Mamie en revint, vers la fin de la journée, en commentant de façon laconique :
« J’ai trouvé Anthony vautré sur son lit absorbé dans son téléphone. Je le lui ai confisqué jusqu’à la fin de la semaine, comme Florence, et je lui ai mis une fessée. Il est au coin, dans sa chambre. Cela les a tous encouragé à fignoler leur travail.
– Jeanne n’avait rien fait ?
– Non effectivement, elle ne s’en était pas occupé.
– Elle n’a donc pas eu sa fessée ?
–Non, je n’y ai pas pensé. Veux-tu que j’y retourne ?
– Je vais régler cela ! »
Tatie Nathalie se dirigea vers la maison de nos voisins. Elle revint une bonne dizaine de minutes plus tard.
« Jeanne a maintenant les fesses aussi rouges que celles de son fils. Je les ai mis au piquet l’un à côté de l’autre pour pouvoir comparer plus aisément. On doit les voir depuis la fenêtre. »
Avec le jour qui tombait en ce début de soirée de décembre, la lumière avait été allumée dans le séjour chez les Moreau. Depuis la fenêtre de la cuisine, chez Tatie Nathalie, on apercevait distinctement Jeanne et Anthony qui se tenaient le nez contre le mur qui faisait face à la baie vitrée dont les rideaux étaient toujours grands ouverts.
N’importe quel passant un peu attentif pouvait apercevoir, aussi bien que nous, les deux adultes, culotte baissée, retroussant leurs vêtements dans leur dos, pour exposer leurs fesses dont on pouvait discerner les rougeurs persistantes. Se sachant sous surveillance depuis la maison d’en face, aucun d’eux n’oserait bouger. Ils n’étaient donc pas en mesure de savoir s’ils avaient été aperçus, dans cette posture humiliante, par un des voisins en passant sur le trottoir.
La justice de Tatie Nathalie était tout ce qu’il y a de plus sévère.

Nous mangions notre dessert quand la sonnette de la porte d’entrée retentit.
« Ce doit être Florence. Julie va lui ouvrir ! »
Elle revint, suivie par Florence qui n’en menait pas large.
« C’est bien, lui dit Tatie Nathalie. Je me demandais s’il allait falloir aller te chercher. Cette obéissance ne t’épargnera pas la fessée que tu as méritée ce matin. Nous n’avons pas fini notre dîner. Mets-toi au coin là en attendant que je sois prêt à te punir. »
Florence se mit au coin et le repas se poursuivit comme si elle n’était pas là. Ce n’est qu’après avoir fait disparaître tous les reliefs du dîner que Tatie Nathalie se retourna vers Florence.
« Passe dans le séjour, Florence. Va t’y mettre au coin ! »
L’obéissance de la jeune femme était totale. Elle y resta encore un bon moment pendant que chacun se livrait à ses occupations. Il y avait une certaine tension dans l’air. Seule Tatie Nathalie y semblait indifférente. Elle finit par prendre place sur le canapé.
« Florence, je t’attends ! »
Je vis la jeune femme prendre une grande inspiration. Elle était d’une pâleur extrême et on ne la sentait pas assurée sur ses jambes. Elle se rendit cependant à la convocation de Tatie Nathalie. Son menton tremblait légèrement.
Sans dire un mot de plus, Tatie Nathalie attrapa Florence par la main et l’approcha d’elle. Elle glissa ses mains sous la jupe de la jeune femme et elle baissa la culotte qui apparut en-dessous du bas de la jupe. Florence émit un petit cri, mais un regard de Tatie Nathalie la fit taire.
« Retourne dans la cuisine. Suspendue à un crochet, à droite de la porte, il y a une brosse. Tu la connais, c’est celle que j’ai utilisée hier sur tes fesses. Tu vas la chercher, puis tu me la ramènes ! »
Les yeux de Florence se mouillèrent de larmes, mais elle prit le chemin de la cuisine, s’efforçant de marcher tout en évitant de faire tomber sa culotte sur ses chaussures. Elle revint, adoptant toujours la même démarche hésitante. Elle tendit, à Tatie Nathalie, la brosse qu’elle avait dans la main.
« Allez, mets-toi en place ! »
Tatie Nathalie avait écarté les jambes et levé son bras gauche. Florence se mit à genoux et se courba sur la cuisse de sa voisine, tout en mettant ses bras en avant. Tatie Nathalie posa sa main sur le flanc de Florence et elle la serra contre son buste. Puis elle passa son bras droit entre les jambes de la jeune femme pour la remonter un peu sur son genou. Enfin, elle resserra ses jambes sur celles de la jeune femme qui ne disposait plus d’aucune liberté de mouvement.
« C’est la dernière fois, ma fille, que tu es insolente non seulement avec moi mais également avec toutes les grandes personnes que tu côtoieras. Je vais te donner une fessée dont tu te rappelleras la prochaine fois que tu seras tentée de le faire. Tu seras désormais une grande fille bien polie. Est-ce bien compris ?
– Oui, Tatie. »
Sa voix tremblait. L’angoisse de la fessée à venir était palpable, bien que ne fît rien pour éviter la correction que Tatie Nathalie lui préparait.
« Sois courageuse, ça va être difficile ! »
Tatie Nathalie brandit la brosse et elle lui donna de la vitesse et pour finir, un petit coup du poignet paracheva son geste. Florence hurla, puis son cri finit en sanglots qui ne cessèrent plus durant toute la durée de la fessée.


Florence reçoit la fessée déculottée avec la brosse


Tatie Nathalie appliquait la brosse au même endroit quatre ou cinq fois de suite, puis elle changeait de côté où elle recommençait à abattre sa brosse sur la peau nue. Alors elle retournait sur la première fesse et elle continuait la fessée, mais en la décalant légèrement. La correction se poursuivit à ce rythme jusqu’à ce que toute la surface des fesses de Florence ait été marquée par la brosse.
Tout le corps de Florence participait à la fessée. Elle gigotait des jambes, des bras, des fesses et de la tête, mais sans gêner l’application de la brosse. Elle ne pouvait maîtriser totalement ses mouvements instinctifs, mais cela n’allait pas jusqu’à tenter de se libérer.
Quand les traces rouge sombre laissées par la brosse couvrirent les fesses de Florence, Tatie Nathalie posa son instrument punitif à côté d’elle. Le simple fait de poser sa main sur les fesses de la jeune femme relança les pleurs. Tatie Nathalie insista. Elle massa tout doucement la peau enflammée, l’effleurant à peine au début, puis insistant progressivement un peu plus.
Les pleurs et les cris de Florence se transformèrent progressivement en gémissements qui petit à petit diminuèrent en intensité. Le léger bruit qu’elle faisait alors ressemblait presqu’à un ronronnement. Tatie Nathalie rompit alors le charme.
« Va te mettre au coin, petite fille insolente. »
Florence avait une moue boudeuse quand elle se releva, mais elle retourna dans le coin dans lequel elle avait déjà passé un long moment la veille au soir.

Mamie alluma la télévision, Tatie Nathalie nous ordonna d’aller chercher nos pyjamas, c’était donc une soirée normale que la présence de Florence dans son coin ne perturbait pas. C’est Mamie qui me déshabilla pour me mettre en pyjama. Je trouvais toujours aussi dérangeant de se retrouver entièrement nu, devant cette assemblée bien qu’elle ne fût constituée que de personnes qui avaient eu le loisir et à plusieurs reprises, de contempler tous les détails de mon anatomie intime.
Je ne savais pas ce qu’en pensait Julie que sa mère venait de dénuder à mes côtés. C’était fait avec un tel naturel qu’il n’y avait rien à redire. Mamie et Tatie Nathalie conversaient entre elles, assurant mécaniquement cette tâche domestique quotidienne, sans doute sans y penser.
Deux petits boutons sur mon pubis épilé attirèrent l’attention de Mamie.
« Regarde, Nathalie ! »
Elle passait sa main sur ma peau nue, effleurant au passage ma verge. Elle prit mes bourses dans sa main et les souleva pour examiner la zone qu’elles cachaient habituellement.
« Ecarte plus les jambes que je puisse voir s’il y en a d’autres ailleurs ! »
Elle plaça mes organes génitaux à gauche pour mieux voir à droite, puis inversement. Elle passait sa main sur toute la peau glabre, pour détecter d’éventuels boutons naissants. Cette manipulation intime provoqua un début d’érection que je ne pus retenir. Elle fut arrêtée sans ménagement par la main de Mamie qui claquait mes fesses.
« Sois sage que je puisse voir correctement ! Tu ne vas pas m’obliger à te donner une fessée ! »
Aux yeux de Mamie, ces quelques solides claques sur mes fesses nues ne constituaient pas une réelle fessée, tout au plus un avertissement. Elles eurent l’effet recherché et Mamie put reprendre son exploration.
« Va chercher la crème qu’on te met tous les matins ! »
Tatie Nathalie avait fini de mettre Julie en pyjama. J’étais donc le seul à être déshabillé, si je ne comptais pas Florence qui exposait ses fesses au coin. Sa présence, pourtant muette, en rajoutait à la honte de me trouver dans cette tenue aussi impudique. Elle ne pouvait pas me voir mais les sons qu’elle entendait étaient assez explicites pour qu’elle comprît la situation. J’avais l’impression d’être encore plus exposé qu’habituellement.
Je traversais la pièce pour me rendre dans la salle de bain et c’est muni du tube de pommade antiseptique que je revins me placer devant Mamie. Elle m’appliqua une dose généreuse de crème qu’elle étala avec sa main, insistant sur les petits boutons de mon pubis. Mon pénis et mes testicules en reçurent une bonne couche et il fallut les écarter pour enduire mon entrejambe.
Il me fallut patienter, nu au milieu de la pièce, le temps que maie aille se laver les mains. Puis elle m’enfila le haut de mon pyjama.
« Je vais laisser la crème sécher avant de te mettre le bas. Il ne faudrait pas que tu en mettes partout. Viens-ici ! »
Mamie me coucha à plat ventre sur sa cuisse gauche, dans la position dans laquelle je m’étais fréquemment trouvé pour recevoir la fessée. J’étais assez confiant, rien n’indiquait qu’une correction m’attendait.
« Comme cela tu ne risques pas de répandre de la crème à tort et à travers. J’aurais pu te mettre au coin, mais il n’y a pas de raison. On est mieux sur les genoux de Mamie, n’est-ce pas ?
– Oui Mamie ! »
Effectivement, tant qu’à montrer ses fesses, je préférais être dans cette position qui était un peu plus confortable, mais surtout qui ne laissait pas croire que j’étais puni.
– Ecarte bien les jambes, pour que tout cela sèche rapidement. »
J’accédais à sa demande.
« C’est bien, tu es un gentil garçon ! »
Mamie posa sa main sur mes fesses qu’elle caressait distraitement, puis elle se laissa absorber par la télévision. Au début, je me sentais un peu crispé. J’avais bien conscience que ma position laissait voir toutes mes parties intimes. J’étais habituellement mal à l’aise de m’exposer ainsi, et la présence de Florence, bien qu’elle ne pût pas me voir, augmentait ma gêne.
Je finis par me détendre et je tombais dans un état proche du sommeil. J’oubliais le spectacle que je donnais. Le sentiment de sécurité que je ressentais dans cette maison avait fini par l’emporter.

Ma sérénité fut troublée quand Tatie Nathalie fit sortir Florence du coin. Je ne m’en rendis pas compte tout de suite, mais je pris conscience, après qu’elle nous ait rejoint devant le canapé, qu’elle avait une vue imprenable sur mon intimité. Je resserrais les jambes et je commençais à remuer sur le genou de Mamie. Elle ne toléra pas longtemps cette indiscipline. Elle me rappela à l’ordre d’une sérieuse claque sur les fesses.
« Veux-tu te tenir tranquille et écarter les jambes ! La pommade n’est pas sèche ! »
Je m’empressais d’obéir, mais ma tranquillité était définitivement derrière moi. Je tournai la tête pour me faire une idée de ce que Florence pouvait penser de ma position. Il n’y avait aucun doute : j’étais le cadet de ses soucis. Je ne suis même par sûr qu’elle eût aperçu mes fesses nues et mes organes génitaux qui pendaient entre mes jambes. Elle était focalisée sut Tatie Nathalie, anxieuse de la suite qui serait donnée à ce moment passé au coin.
« Viens-ici, petite fille punie. Viens me demander pardon, voir si je te l’accorde sans te donner une autre fessée. »
Tatie Nathalie avait une main sur chaque fesse de Florence et elle l’attirait vers elle, guidant la jeune femme jusqu’à ce qu’elle fut assise à califourchon sur ses genoux. Florence y était installée de guingois.
« Ta culotte gêne. Attends, je vais te l’ôter. »
Tatie Nathalie passa son bras autour de la taille de Florence et elle la fit basculer à plat ventre. Puis, elle attrapa la culotte, la descendit sur les chevilles et elle lui fit passer les chaussures avant de la poser à côté d’elle sur le canapé.
Puis, elle réinstalla Florence sur ses genoux, la serrant contre sa poitrine. Les mains de la jeune femme, toujours croisées dans son dos, tenaient toujours l’arrière de la robe relevée. En cela, elle observait strictement les consignes qui lui avaient été données : personne ne l’avait autorisée à baisser sa jupe.
Tatie Nathalie prit ses mains et elle les ramena entre la poitrine de Florence et la sienne. Puis elle glissa sa main sous la jupe de la jeune femme et elle massa ses fesses endolories d’un doux mouvement circulaire.
Florence fondit en larmes qu’elle laissa couler sur l’épaule de Tatie Nathalie contre laquelle elle avait plaqué son visage. Sans interrompre son mouvement, Tatie Nathalie questionna :
« Est-ce que je te fais mal ? »
Florence secoua la tête. Ce n’était pas cela. Tatie Nathalie continua sa caresse sans dire un mot pendant un petit moment. Peu à peu les sanglots de Florence perdirent en intensité.
« Là, là, ma petite chérie, ce n’est pas si grave, là, là, ma grande fille, … chut, …, chut, … »
Elle berçait la jeune femme dans ses bras. Florence se laissait faire, mais elle semblait inconsolable.



Avec un dessin original de Peter Pan.

Grand merci pour cette illustration qui agrémente le récit.

Pour suivre le fil de cette histoire :

Comprendre le contexte : l'introduction

Le premier épisode : chapitre 1

L'épisode précédent : chapitre 72
Le prochain épisode c'est le chapitre 74.

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C'est par ici

De l'usage des commentaires

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12 commentaires:

  1. Bonsoir JLG,

    Au final, le découpage du texte en mini-BD passe bien.
    Quelques petits détails m'échappent parfois mais bon, l'essentiel est décrit. Les couleurs passent mieux au scanner qu'au début.
    Je lis deux ou trois fois le texte pour l'histoire et repérer les moments forts. Ensuite visualiser mentalement les dessins et le découpage adéquat. Un vrai travail d'auteur de BD.
    Bonne fin de soirée. Peter'.

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    1. Peter Pan,
      Vos dessins passent effectivement bien et correspondent avec l'esprit du texte.
      Une collaboration fructueuse, non ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Bonjour à tous.
    On commence à s'y faire, avec Tatie Nathalie ça déménage ! Bien secondée par Mamie et Julie promptes aux coups de main, elle continue à mener, à la baguette, sa petite entreprise de discipline domestique. Brillante séance de recadrage, plutôt radicale.
    Toute la famille Moreau en ligne le petit doigt sur l'élastique du slip, se fait faire la leçon du sol au plafond. Raoul déroule son pantalon sur ses chevilles et dérouille encore. Le derrière copieusement astiqué il doit se faire ceinture sur les sorties... et sur les fesses, pendant un mois. Privé de loisirs sans autorisation mais, bien entendu, pas de fessées, distribuées à volonté en cas de dérapages incontrôlés
    Tatie Nathalie, toujours elle, intransigeante sur l'hygiène des organes de reproduction, poursuit son oeuvre de salubrité familiale et anticipe sur le ménage de printemps en dépoussiérant les fessiers récalcitrants.

    Elle invente même la fessée solidaire ! Jeanne est désignée exécutrice des bonnes oeuvres disciplinaires sous la menace de se faire reluire aussi le derrière si elle ne s'occupe pas bien de celui des autres! Tout est dans tout et réciproquement. Bref, nettoyage à (claque) sec, tout azimut.
    Notre ami JlG nous gratifie d'un bon petit délire bien fessant. Tatie Nathalie, Mamie, Julie et compagnie sont à la hauteur du système "U"... "U" comme unies vers le rouge... aux fesses!
    On en reprendra volontiers une couche supplémentaire la semaine prochaine.
    Cordialement
    Ramina.

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  3. Chers amis, bonsoir.
    Je confirme. le découpage en plan séquences donne du mouvement à la lecture et focalise l'attention sur les extraits choisis.
    Par contre, à mon avis , revenir à un plan plus large de temps en temps permettrait de re-situer les scènes dans l'espace et éviterait au regard de rester confiner dans les détails. ( mais c'est vrai, l'imagination alimentée par le récit fait le reste. )

    Un peu comme les cadrages de prise de vue cinématographique. Partir d'un plan large pour focaliser progressivement l'attention sur un détail choisi par un ou plusieurs plan rapprochés. Ou l'inverse passer du détail au plan d'ensemble...
    En tout cas, jolie conjugaison Texte/Image. J'aime toujours le charme de cette atmosphère surannée, aux couleurs délicieusement pastel. Mais je trouve toujours les marques sur les fesses un peu dures! N'y a t il pas moyen d'estomper un peu pour harmoniser avec le reste ?
    J'enverrai un dessin en couleur... pour voir.
    Cordialement,
    Ramina

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    1. OUh là !
      Nous sommes entre spécialistes de l'art. Je passe mon tour !
      Au plaisir de vous lire.
      JLG.

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  4. Alors un tour... pas plus !
    Ramina.

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    1. Bonjour Ramina,

      Merci pour ces remarques instructives.
      Eh oui, le charme discret et suranné de la vie en province...
      En effet, j'ai pensé aux scènes uniques en plan général comme pour mes dessins des épisodes d'Axel à Ste-Marie.
      Mais je trouve que le découpage en vignettes permet d'imager le texte plus finement. Et la prose prolifique de notre ami JLG se prêterait à une mise en image par planche...
      Mais je dois choisir les moments forts du texte sur l'ensemble. Chose pas facile. Eternel problème du choix...
      Mais j'attends votre dessin... Histoire de comparer les points de vue. Rires.
      Vous l'avez remarqué: mes saynètes du Dimanche adoptent parfois le plan en plongée ou contre-plongée ou en travelling.
      Le monde de la BD est un peu celui du cinéma mais en modèle réduit. Tout le travail repose sur l'illustrateur qui joue le rôle d'un metteur en scène de long-métrage.
      "Lumière. Silence sur le plateau. Moteurs. Action !"...
      "Ramina Prod', Scénario : JLG , Photographie : Peter lePan..."
      Rions un peu...
      Bonne journée. Peter'.
      Bonne journée. Peter'.

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  5. Bonjour Peter,
    Je ne remettais pas en cause le choix du découpage en vignettes,mais suggérais simplement d'y ajouter de temps en temps une vue d'ensemble pour mieux situer l'action. Pour le reste, c'est un choix tout à fait justifié.
    Vous avez d'autant plus raison sur le rapport BD / Cinéma que la plupart des films sont tournés à partir de "Story board". Découpage en image où le scénario est présenté plan par plan, sous forme de bande dessinée!
    Drôle votre final. Ajoutons y les fauteuils pliants cinéma avec les noms sur les dossiers...JLG, PETER PAN, RAMINA
    On reprend la scène de la fessée déculottée qui manquait un peu de conviction !!! On tourne, cinquième!! Oula, ça commence à chauffer dur, on ne pourrait pas remettre ça à demain? ! (Rires)
    Bon film.
    Ramina.

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    Réponses
    1. Bonjour Ramina,

      Ne vous inquiétez pas. J'avais saisi le sens de vos propos. Rires. Une remarque est toujours constructive.
      J'essaierai pour les prochains récits de faire un plan général puis des plans rapprochés pour illustrer l'action.
      Voyez quand je disais que les récits de notre cher JLG méritaient une planche de vignettes pour chaque page...
      Dans ma formation de Documentaliste à l'IUT de Toulouse (en 1988), mon cursus comprenait des modules sur l'analyse filmique et les exercices consistaient à transcrire un texte sous forme de story-board avec plan général, plongée... et donner les raisons de cette démarche. Curieux retour. Rires.
      J'avais oublié les chaises pliantes des plateaux et le porte-voix...
      Bonne journée. Peter'.

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  6. Bonsoir Peter,

    Pour conclure avec nos extraits de "curiculum vitae" qui n'intéressent peut être pas tout le monde, j'ai été formateur en analyse d'image en CRDP. ( Centre Régional de Documentation Pédagogique ) Ceci explique cela... et notamment pourquoi je me permets quelques commentaires, sans pour autant prétendre donner des leçons.
    Maintenant profitons en pour en faire bénéficier les lecteurs du blog.

    Continuez à nous faire plaisir avec la fantaisie de vos si charmantes illustrations et à enluminer les derrières en pénitence des vilains garnements!
    Cordialement
    Ramina.

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  7. Bonjour Ramina,

    Comptez sur moi pour faire reluire les postérieurs des garnements immatures ! Rires.
    Ainsi nous sommes presque collègues. Décidément, le milieu scolaire nous poursuit... A t-il une influence sur notre sujet favori ? Je ne saurais le dire. Rires.
    Le pouvoir de l'image... Comme le disait un célèbre magazine hebdomadaire bien connu du grand public: "...le poids des mots, le choc des photos". A méditer.
    Bonne journée. Peter.


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  8. Bonjour Peter Pan,

    Et oui, cher ami ! Mais je ne pense pas que le milieu scolaire ai une quelconque influence sur le sujet qui nous intéresse. Et inversement d'aileurs. Le rapport à l'image n'est que purement technique. L'intérêt pour le phénomène de la fessée est hors contexte et reste de l'ordre de l'intime que ce blog nous offre l'opportunité de partager.
    Continuons à profiter du pouvoir de l'image et de l'écriture pour alimenter nos joyeux fantasmes!
    Cordialement
    Ramina

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