Vincent continue ses récits. Nous retrouvons les personnages découverts dans le premier épisode de la série (voir le lien en fin d'article).
Jeudi 22 octobre 20 h
« Mon petit Luca vient ici
en vitesse ! »
J’avance à petits pas assez
honteux d’avoir été pris sur le fait. Je sais ce que cela implique. Vu le
regard sévère de Cécile Leblanc qui me menace avec sa jolie main ornée d’un
superbe saphir, je ne vais pas échapper à une bonne correction de la grande
dame brune qui sait sévir quand il faut.
Cécile Leblanc est en petite nuisette
de soie bleu, elle ne porte rien en dessous, ni soutien gorge, ni culotte. Sa
tenue est si légère et moulante qu’elle souligne sa taille parfaite et sa jolie
poitrine imposante. Je suis en émoi, je sens une raideur dans mon pantalon. Elle
n’est pas seule dans la chambre, à sa gauche se trouve miss Chang, une petite
asiatique toute menue, portant un kimono japonais imprimé de soie. Cette belle
brune aux cheveux courts de 25 ans brandit une strappe de cuir noir sur lequel
on peut voir l’inscription « SPANK ME ». Elle me jette le même regard
sévère étonné de ma présence dans l’intimité de la chambre de sa patronne.
J’avance vers les deux femmes comme un pantin ne sachant trop quoi dire.
Jeudi 19h40
Vingt minutes plus tôt j’étais
caché dans l’armoire de la grande penderie à épier Madame Leblanc. Je voulais la
voir en petite tenue mais je n’avais pas prévu d’assister à la scène entre Miss
Chang et Cécile Leblanc. Madame Leblanc avait l’habitude de se rendre dans sa
chambre tous les jeudis à 19H30 pour un
cours de yoga et de massage prodigué par Miss Chang. Le cours commençait par des
étirements, des positions de yoga ou je pouvais admirer la souplesse des deux
femmes. Après quinze minutes d’exercice, miss Chang s’appliquait à masser
énergiquement les épaules et le cou de Cécile Leblanc. Elle se s’arrêtait pas
là et ce que j’observais caché dans la penderie ressemblait plus à un massage
sexuel car Miss Chang la caressait entre les cuisses et sous sa nuisette
provoquant de longs gémissements de plaisir de Madame Leblanc. J’étais aux
premières loges d’un spectacle très sensuel et je me demandais si Miss Chang
avait une liaison secrète avec la belle brune d’1m80, mon employeur à l’agence
et la personne qui corrigeait mes mauvaises manières (cf un stage amer).
Le cours pris une tournure assez
inattendue quand Miss Chang s’assis sur le lit et que Madame Leblanc bascula
son bassin en travers des cuisses de la belle japonaise. Sans dire le moindre
mot, Miss Chang releva délicatement la nuisette de Cécile laissant apparaitre
un joli fessier. Elle emprisonna le bras de Cécile dans son dos et levant sa
petite main, elle imprima un arc de cercle rapide de haut en bas claquant les
fesses de Cécile Leblanc. Je n’en croyais pas mes yeux, madame Leblanc qui
corrigeait régulièrement les jeunes adultes comme des enfants, moi compris,
recevait la fessée sur les genoux de son employée asiatique.
Je ne pouvais détourner les yeux
de la correction donnée par Miss Chang, une fessée retentissante, longue et
appuyée qui donnait une coloration rouge vive au joli fessier de Cécile. La fessée
avait durée dix minutes et elle se poursuivait avec la strappe que Miss Chang
manipulait avec une grande dextérité. J’étais à la fois ravi et gêné d’assister
en petit voyeur à la fessée de Madame Leblanc qui poussait des cris et des
gémissements mélange de douleur et de plaisir. Elle semblait apprécier sa
correction et Miss Chang aimait beaucoup fesser sa patronne. Plus tard,
j’apprendrais que Cécile se faisait corriger tous les jeudis en secret par Miss
Chang à sa demande sans doute pour éliminer le stress accumulé dans la semaine
à diriger ses équipes, son personnel et ses grands enfants. Ce qui devait
arriver arriva, à force de m’émoustiller devant le joli spectacle, la porte de
l’armoire s’ouvrit et je vis deux pairs yeux me fixer avec surprise. Cécile qui
était en pleine réception de fessée se releva en rajustant sa nuisette qui
couvrit ses jolies fesses couleur carmin pendant que Miss Chang se levait à son
tour la strappe bien en main.
Jeudi 20h
« Mon garçon, quel toupet
de venir m’épier dans ma chambre, tu es un sale petit vicieux. Tu vas prendre
une de ces fessées ! Déboucle ta ceinture et approche que je te corrige
proprement »
Je m’avance en exécutant la
demande. Quand j’arrive devant Madame Leblanc elle me décoche une magistrale
paire de claques qui rougit instantanément ma joue. Elle me tire vers elle en
me baissant à la volée le jean et le slip. Je suis propulsé en travers de ses
belles cuisses, cul nu. Mon ventre caresse la soie de la nuisette provoquant
une érection immédiate.
« Mon cher enfant, tu
n’étais pas censé assister à la séance de coaching privé. Je suis furieuse
contre toi, je pense que je vais devoir te renvoyer de l’agence. Mais dans
l’immédiat, je vais te corriger très sévèrement, tu vas prendre ta fessée
parentale comme celle que tu as reçue hier soir. Tu t’en souviendras longtemps.
Avant de te corriger, j’attend des excuses »
Difficile de ne pas obéir quand
on est slip baissé à la merci des mains si redoutables de Cécile Leblanc. Je
bafouille, je cherche mes mots.
« Je…heu…je vous demande pardon Madame, je suis si honteux
de mon comportement, je mérite une grosse fessée déculottée, je ne
recommencerai pas. S’il vous plait ne me renvoyez pas, je promets de n’en
parler à personne. »
« C’est mieux de reconnaître
ses fautes jeune homme et puisque vous méritez une grosse fessée, vous allez
être servi, c’est fou ce que mes mains me démangent !»
Cécile Leblanc commence par une petite fessée assez agréable et
peu cuisante. Je suis aux anges.
« Je vais t'apprendre à venir en cachette dans ma chambre, tu vas
recevoir une fessée des plus cuisantes »
Elle change de cadence et prend plus
d’élan pour me donner la fessée. Ses mains claquent mes fesses de plus en fort.
Je crie, me tortille, essaye de me dégager alors elle accélère les claques et
sa correction devient très cuisante. J'ai les fesses en feu, je suis puni comme
un sale garnement. Après une centaine de claques, elle me relève, je remonte mon
slip et elle me met au coin. J’y reste, culotte baissée, pendant cinq minutes.
Elle me gronde et me demande de réfléchir à ma punition en silence. J’ai les
fesses toutes rouges et j'ai honte d'être traité ainsi.
« A votre tour Miss Chang, et
rappelez vous qu’il nous a surpris en pleine séance de coaching privée et que
cela mérite une punition exemplaire »
Miss Chang me fait signe d’approcher,
dès que je suis à sa portée, elle me donne la fessée debout. Elle me claque en
vitesse les fesses sans prononcer le moindre mot. Je reçois deux bonnes
dizaines de claques qui ravivent la douleur de la précédente tannée. Elle me
fait un signe en baissant le pouce vers le bas, j’en déduis que je dois me
mettre à genoux à ses pieds. Je m’exécute et attend la suite du programme. Miss
Chang me couche sur sa cuisse gauche refermant sa jambe droite entre mes
cuisses. Je suis bien positionné, fesses à portée de sa main. Elle me donne une
fessée retentissante encore plus forte que celle de Madame Leblanc, je crie, je
pleure. Je comprends pourquoi Madame Leblanc fait appel à son service. Miss
Chang, toute menue du haut de son 1,62 m,
est une redoutable fesseuse qui a une grande endurance et une certaine
technique. Si j’avais su, je n’aurais pas osé les épier dans l’armoire. La
fessée dura vingt minutes, 300 claques, trois positions différentes. Je n’avais
jamais reçue une telle correction, je ne sentais plus mes fesses toutes rouges
et brulantes.
« Spanking, Spanking, I spank
you… » Premiers mots prononcés par Miss Chang pendant la correction. Elle
me relève et me conduit en travers des cuisses de Madame Leblanc. Madame
Leblanc me maintient bien le ventre contre sa nuisette, j’ai le bras droit
emprisonné par la forte poigne de Cécile. Je demande pardon, supplie d’arrêter.
Miss Chang me montre la strappe de cuir noir et désigne d’un doigt mes fesses
exposées et bien cambrées. J’ai compris la triste vérité, Miss Chang compte me
fesser avec le terrible instrument. Je tremble sur les genoux de Madame Leblanc
attendant la terrible tannée. Dans ma tête je suis un enfant et j’ai
reçu deux terribles corrections.
Miss Chang brandit la strappe et
me cingle les fesses, je crie de douleur, la bande cuir souple fouette mes
fesses nues. Une série de cinquante coups claque mes fesses. Je suis rouge de
honte et j'ai très mal aux fesses. Elle me reculotte et me dirige vers le coin.
Puis c’est au tour de Madame Leblanc de sévir. Entre temps, elle a enfilé un
jean moulant et un chemisier en coton rose. Je dois m’agenouiller sur la chaise
devant le miroir de sa coiffeuse. J’ai les bras tendus posé sur le meuble. Elle
me baisse énergiquement le slip et s’absente quelques minutes. J’attends
fébrilement ma correction. Pour le moment je peux décompresser mais je sais que
mes fesses sont déjà bien rougies, à la merci et à la portée des deux
pro-fesseuse Elle revient avec un martinet.
Quand le premier coup de martinet
claque mes fesses je sais que plus rien ne sera comme avant. Oublié les fessées
précédentes qui font mal mais rien en comparaison du martinet à large bout
carré qui cingle les fesses imprimant de terribles zébrures. La correction se
termine par une mise en garde.
« Tout compte fait je ne vais
pas te renvoyer car cela ne te rendrai pas service et tu as besoin d’une
sérieuse reprise en main. Pour ta grosse bêtise, tu seras fessé une fois par
semaine par Miss Chang.
Tu te présenteras chaque samedi
matin devant sa chambre à 10h pétantes et tu lui réclameras ta fessée
déculottée. Ne t’avise pas d’oublier ou elle sera doublée. Ce rendez-vous privé
s’appelle « red corner » car tu finiras au coin les fesses toutes
rouges ! Bien sur cette fessée se rajoutera à celle que je te donnerai si
tu n’es pas sage. Ici c’est la maison des fessées.ne n’oublie pas mon cher
Luca »
Ça je ne risque pas de l’oublier,
pas une soirée, ni week-end sans fessées et c’était valable pour les grands
enfants de Cécile, pour le personnel et pour moi bien sur.
Vendredi 23 octobre 9h30 (jour de
fessée ?)
Je suis dans mon bureau à l’agence de
communication. Six mois se sont écoulés depuis mon stage et la reprise en main
de Madame Leblanc. J’ai travaillé très sérieusement et obtenu de très bons
résultats et je suis sur le point d’être embauché comme chef de projet Junior à
un confortable salaire. Madame Leblanc a été promue Directrice générale et elle
supervise désormais quatre services dont le mien. Elle organise des réunions
hebdo et bi mensuelles avec ses équipes qui compte une centaine d’employés.
J’ai la chance d’être directement rattachée à elle alors que je devrais
dépendre d’un chef de groupe, lui-même rattaché à un directeur de clientèle. En
fait Cécile Leblanc est ma N+4 et je suis chanceux de pouvoir bénéficier de ses
bons conseils et de ses directives que j’applique à la lettre. Si je continue
comme ça, mon profil grande école et l’efficacité de mon job me promettent une
belle carrière dans l’agence car Madame Leblanc sait se montrer généreuse et
récompenser les bons éléments. Elle ne supporte pas les mauvais comportements,
surveille les missions qu’elle donne et n’hésite pas à sévir pour corriger les
maladresses et autres fautes professionnelles.
J’ai souvent pâti de mes erreurs,
oubli de rendez-vous, dossier mal ficelé le vendredi jour de convocation et de
mise au point dans le bureau de Madame Leblanc. Cela se passait toujours de la
même manière, je me présentais dans son
bureau vers 18h30 devant sa secrétaire sexy Josette (qui m’avait souvent couché
en travers de ses cuisses) pour une convocation officielle. Dans l’agenda de la
secrétaire, on faisait mention d’un rendez vous « Red corner » ce qui
équivalait à un rendez-vous « Fessée » car neuf fois sur dix, j’y
avais droit. Après m’avoir introduit dans l’immense bureau spacieux de Madame
Leblanc, je devais attendre debout main sur la tête que Madame Leblanc fasse le
bilan de la semaine. Elle passait en revue les rendez-vous clients, notait mes
rapports envoyés et questionnait les employés pour savoir si j’avais bien fait
mon travail. Rien ne lui échappait, elle savait tout, avait des oreilles
partout. Inutile de mentir, de chercher des excuses, il fallait se justifier.
Comme le vendredi précédent où elle m’avait longtemps sermonné pour avoir raté deux
rendez-vous et mal préparé le troisième.
« Je constate mon cher Luca que
cette semaine, tu n’as pas été très sérieux et que tu as manqué de concentration,
je ne peux tolérer que tes résultats soient insuffisants surtout que ton stage
n’est pas terminé et que je ne voudrais pas l’écourter. Tu connais ma
règle de discipline du vendredi, je veux l’entendre de ta bouche »
Alors que je m’apprêtais à réciter les
paroles apprises par cœur, je détaille Cécile Leblanc. Elle porte une jupe en
cuir beige cintré à la taille par une ceinture à large boucle. Elle est
vraiment très sexy avec son chemisier en soie beige à et son foulard bleu nuit. Elle est d’une
grande stature mais avec ses bottes montantes elle parait encore plus grande.
Elle me dépasse de dix centimètres. Quelle belle femme de quarante ans ;
elle n’a rien à envier aux femmes plus jeunes qu’elle.
« Vous m’avez grondé par ce que
j’ai mal fait mon travail cette semaine et ….. Et je mérite une bonne fessée
comme vous la donnez aux enfants désobéissants »
« Une fessée
comment ? »
« Vous me donner la fessée…heu….cul…..nu»
(en rougissant)
« Bien approche en vitesse mon
cher petit que je te déculotte, car la fessée, je ne la donne pas sur le
slip ! »
Je me tiens debout mains sur la tête,
Cécile Leblanc avec une grande dextérité a déjà débouclé ma ceinture et
déboutonné ma braguette. Elle me baisse
le pantalon à mi cuisse. Je suis en slip, mon sexe en érection qui fait une
bosse. Cette position est humiliante et très excitante à la fois car elle
annonce la correction. Je reçois quelques bonnes tapes sur mon slip servant
d’avertissement avant la mise à nu. Elle rajuste ma cravate, le nœud doit être
bien fait, il s’agit d’être présentable pour recevoir la punition des enfants.
« Tu connais la position
réglementaire, allonge-toi bien sur mes cuisses que je te déculotte
proprement »
Je m’exécute, mes mains touchent le plancher.
Je sens un mouvement, je sens qu’on me baisse le slip en le retournant à mi mollets.
A ce moment je réalise que j’ai perdu mes privilèges d’adulte. Cinq minutes
avant j’étais un jeune cadre prometteur dans mon beau costume trois pièces, et
maintenant je suis puni comme un sale
gamin de dix ans, cul nu en travers des jolies cuisses de Madame Leblanc qui a
légèrement relevé sa jupe pour me positionner le ventre contre ses beaux bas
nylons couleur chair. Cela serait presque érotique si le but n’était pas de me
corriger.
« Josette, la cinquième symphonie
de Mozart svp, j’aime bien corriger sur de la bonne musique »
Une douce musique s’échappe des
enceintes derniers cris qui remplissent le vaste bureau. Je vais être fessé en
mode « London Symphony Orchestra à quarante musiciens ». Les premières
claques tombent clac, clac, clac, pan,pan, clac. Le rythme est bien soutenu,
Cécile Leblanc bat la mesure. La fessée qui débute est terriblement douloureuse
dans les premières minutes puis une fois les endorphines sécrétées, on sent
moins la douleur, au bout de quelques temps, on est presque insensible aux
claques. C’est le moment ou Madame Leblanc frappe plus fort et plus vite pour
que la fessée fasse à nouveau mal. Une fessée cela doit cuire les fesses et
bien les rougir, il faut s’appliquer et vérifier à chaque instant leur belle
coloration. Une claque en haut, une en bas, deux à droite, quatre à gauche, il
faut beaucoup d’endurance pour fesser et Madame Leblanc à l’habitude. Elle
fesse fort, vite et en cadence. Au bout de quinze minutes, cela devient
insupportable et les premiers pleurs arrivent, la demande de pardon et les
gesticulations pour échapper à la raclée. Rien n’y fait, la fessée de Madame
Leblanc doit être exemplaire. Elle pourrait donner des cours de fessée.
D’ailleurs elle en donne à des mères qui ne savent pas bien corriger leurs
enfants.
La grande brune d’1,80 m termine
par vingt claques retentissantes que je dois compter à haute voix. C’est fini,
je me sens si honteux, au coin mains sur la tête pendant que Josette prend le relai
en me cinglant les fesses avec le martinet. Madame Leblanc s’est absentée pour
un rendez-vous, elle laisse le soin à sa belle secrétaire de terminer le
travail. Elle y met du zèle. Si la fessée fait mal, le martinet c’est encore
pire, la douleur se propage à chaque coup provoquant une onde de choc et
marquant d’une fine zébrure les fesses. Josette calme le jeu et me donne deux
derniers coups pas trop forts. Je suis en larmes, les fesses endolories. J’ai
tellement mal que je supplie Josette de me flanquer une bonne fessée. Elle me
couche sur le bureau et me fesse énergiquement. Pour moi c’est un soulagement,
la fessée après le martinet soulage la douleur c’est presque comme une caresse.
La correction est terminée, Josette me reculotte et me rajuste mon costume.
Elle me congédie avec une dernière claque sur la fesse droite
« Au boulot jeune
homme ! »
9h40
Je repense à cet épisode de
vendredi dernier. J’avais rendez-vous avec un client pour lui présenter le
travail des créatifs et lui dérouler la stratégie publicitaire. La réunion avait
lieu dans le grand bureau de La Directrice Générale. Sont présents, autour de
la table, Aurore une chef de produit âgée de 25 ans, Suzanne Lepic, la
directrice marketing, âgée d’une cinquantaine d’années, Cécile Leblanc et moi-même.
Nous parlons stratégie de marque, bénéfice produit, campagne de promotion. J’expose
la campagne publicitaire. Je me montre assez brillant et après quinze minutes
je conclue ma présentation. Madame Lepic me félicite mais Aurore n’est pas de
cet avis.
« C’est nul, je ne
m’attendais pas à ça, vous n’avez rien compris au brief envoyé. C’est du
travail bâclé »
Cécile Leblanc se lève et
invective Aurore
« Ca suffit Aurore, je ne
comprends pas votre réaction, c’est assez puéril votre commentaire, Luca a fait
avec les éléments reçus. Il a du mérite car il a dû vous réclamer trois fois le
brief que vous lui avait seulement envoyé la veille à 22h ! »
Je vois Madame Lepic qui se
tourne vers Aurore qui rougit de s’être fait gronder comme une enfant.
Madame Lepic se lève et s’adresse
à son chef de produit
« C’est inadmissible Aurore,
comment se fait t’il que vous ayez envoyé le brief si tard et en plus je le
découvre en pleine réunion. Madame Leblanc a raison vous vous comportez comme
une enfant et vos réflexions sont mal venues compte tenu de vos fautes. Madame
Leblanc, Luca, je suis désolé de cet incident déplacé. Je vais en dire deux
mots à Aurore qui va m’entendre »
Madame Leblanc se lève est
murmure à l’oreille de Madame Lepic
« Laissez moi m’en occuper
Suzanne, je sais ce qu’il faut faire pour qu’elle ne recommence plus »
« Veuillez nous laisser
seule toutes les deux, nous allons régler le problème avec méthode ».
Josette nous propose de sortir du
bureau pour prendre une collation dans le bureau d’à coté.
Madame Leblanc ferme la porte de son
bureau pour parler à Aurore.
« Votre comportement inapproprié
prouve que vous n’êtes qu’une sale gamine mal élevée ayant besoin d’un sacré
recadrage »
« Mais vous… »
« Taisez vous, je n’ai pas
fini. Je vais vous apprendre la politesse et le respect. Savez-vous comment je
puni ce genre de comportement dans mon agence ? »
« Heu non Madame,
vous… »
« Que faisiez votre mère
quand vous étiez une petite fille pas sage ? »
« Elle me grondait »
« Et puis, elle vous flanquait
surement une trempe »
« Oui surement » (voix
hésitante)
« Et bien considérez que je rends
service à votre chère maman. Voyez jeune fille, vous méritez une bonne
fessée parentale»
« Oh non Madame, je vous en
prie je ne suis plus une gamine »
« Pourtant votre
comportement prouve le contraire. Je vais vous corriger comme je corrige les
mauvais garnements, demandez à Luca, je lui flanque de sacrées fessées »
La pauvre Aurore a perdu son ton
hautain, elle craint désormais la sévérité de Madame Leblanc. Cécile Leblanc
agrippe fermement Aurore et d’un mouvement rapide la plie sous son bras qui
s’enroule autour de la taille pour la maintenir. Elle relève la belle robe en
velours bleu d’Aurore jusqu’aux épaules, laissant apparaître le dos du soutien
gorge blanc crème et une petite culotte en dentelle fuchsia. Elle baisse la
culotte révélant deux magnifiques globes fessiers blanc crème.
« Oh non Madame pas la
culotte, je vous en prie »
« Quand je donne la fessée
c’est toujours déculottée, c’est la punition idéale pour les enfants
malpolis ! »
La fessée n’a pas commencé que
déjà les premières larmes d’Aurore coulent. Elle n’en revient pas d’être dans
cette situation si embarrassante. Les fesses dénudées elle attend sa correction
serrant bien les cuisses et les fesses pour
donner moins de surface à atteindre. Madame Leblanc la cambre bien et
lui fait reculer les jambes pour que ses fesses soient à la bonne distance de
sa main. Elle prend tout son élan pour lui donner la fessée. Clac, clac, clac !
Ses mains claquent ses fesses de plus en plus fort, de plus en plus vite. Aurore
crie, se tortille, essaye de se dégager alors elle accélère les claques et sa fessée
devient très cuisante. Aurore a les fesses toutes rouges. Cécile
Leblanc est si appliquée qu’elle ne tient pas compte de ses pleurs, ni de ses gémissements.
La fessée dure longtemps, plus de vingt minutes. Dans le bureau d’à coté on
entend le bruit des claques. Madame Lepic a compris, elle ne dit rien persuadé
que la correction est amplement méritée. Quand Madame Leblanc ouvre son bureau,
la pauvre Aurore est assise sagement à sa place massant son fessier endolori.
Madame Leblanc nous invite à entrer pour poursuivre la réunion. Elle s’est
déroulée sans heurts, Aurore n’a pas dit un mot. A la fin elle a présenté ses
excuses en affirmant qu’elle avait appris la leçon. En partant, Cécile lui a
demandé de raconter à sa directrice marketing l’entrevue dans le bureau. Aurore
toute honteuse a du avouer à Suzanne Lepic qu’elle avait reçu une bonne fessée.
Madame Lepic a sourit et s’est adressé à
Aurore.
« Je vois que les méthodes
de Madame Leblanc sont rudement efficaces pour corriger les sales gamines. A
partir de ce jour, chaque faute commise sera punie d’une fessée donnée par
Madame Leblanc, doublée par moi au retour au bureau »
« Une petite précision Suzanne,
je fesse cul nu »
« Bien je le note Madame
Leblanc »
Puis s’adressant à Madame
Leblanc,
« Vous pouvez déjà prévoir
un rendez-vous pour la semaine prochaine, disons vendredi après-midi »
« Josette, veuillez noter
dans l’agenda un rendez vous « Red corner » pour Aurore,
vendredi à 15 h »
Cette fessée, par porte
interposée, je la garderai en mémoire pendant longtemps car c’est la première
fois que Madame Leblanc corrige une cliente au sein de son agence. Je revois le
visage peiné de la petite Aurore, arrivée chef de produit hautaine, repartie
petite fille boudeuse, en se frottant les
fesses rouges et brûlantes, la démangeant sous sa robe.
Vendredi 14h
Après un déjeuner rapide à la cafétéria,
je retourne bosser sur mes dossiers en cours.
18H25
Coup de fil de Josette pour me
rappeler le rdv Red corner hebdomadaire prévu. Comme chaque vendredi, je
redoute ce rendez-vous privé car il est synonyme de grosse correction mais en
même temps je trouve que Madame Leblanc a raison de corriger mon comportement.
Ces fessées sont autant une réprimande qu’un encouragement à toujours mieux
faire. Madame Leblanc est très stricte, sévère et intransigeante mais elle est
juste. Pas de punition sans réel motif. Elle me dit souvent « pas de
fessée gratuite, il faut payer pour la mériter ». Je suis devant son
bureau Madame Leblanc lit mes rapports. J’attends fébrile ses remarques.
« Mon cher Luca, je te
félicite pour ton travail de cette semaine, je n’ai rien à te reprocher, bien
au contraire. Si tu veux tu peux partir plus tôt pour rejoindre Jessica, elle
sera contente de te voir. »
Je suis soulagé, un rendez vous
« Red corner » sans fessée c’est si rare que je pourrais presque
l’embrasser. Au moment de partir Madame Leblanc me rappelle mon rendez-vous
prévu avec Miss Chang samedi 10H chez elle. Je soupire, j’avais presque oublié
ce fameux rituel hebdo cuisant pour mon postérieur. Je retourne vite à mon
bureau pour boucler un dossier et je quitte l’agence. Je démarre ma moto
japonaise et je file à toute allure retrouver ma copine Jessica qui m’attend
chez elle. Nous sommes de nouveau ensemble après une brève séparation due à
l’épisode cuisant chez Madame Leblanc (cf stage amer) j’aime beaucoup ma
Jessica et puis on ne se sépare pas du plus beau cul féminin de Lyon. Nos
retrouvailles sont très hot, Jessica m’accueille portant un simple leggings
noir ajusté et un soutien gorge rouge en dentelle qui comprime ses jolis petits
seins. C’est une belle invitation au plaisir. Nos ébats durent longtemps,
entrecoupés de pauses grignotage saucisson et plateau de fromages.
23H
Le téléphone sonne c’est Madame
Leblanc qui veut parler à Luca.
« Luca, j’ai eu Marc, le
graphiste de l’agence qui attend toujours le compte-rendu du rendez-vous client.
Tu lui as bien donné ? »
« Heu Madame oui je
pense »
« Tu mens Luca, tu réponds
mal à une question dont je connais déjà la réponse. Je devrais venir sur le
champ chez ta copine pour te déculotter mais j’ai des invités à la maison, nous
en reparlerons demain matin après ton rendez-vous avec Miss Chang, ne soit pas
en retard. Bonsoir Luca »
A la tête que je fais, Jessica a
compris que j’avais fait une bêtise. Elle a déjà assisté à ma fessée chez
Cécile Leblanc. Elle a, elle-même, été fessée à plusieurs reprises par Madame
pour conduite inappropriée. Elle sait ce qui m’attend et elle essaye de me
remonter le moral. J’avoue que je n’ai plus du tout envie de faire de câlins à
Jessica, je préfère aller dormir car demain m’attend une rude matinée.
Samedi 10H
Je sonne à la porte de Madame
Leblanc. Depuis quatre mois elle a emménagé dans une grande villa en banlieue
lyonnaise, avec terrain de tennis et
piscine de 12 mètres de long, le paradis ou presque.
« Entre Luca, Miss Chang
t’attend dans le salon »
« Dans le salon ? Je
croyais que c’était un rendez-vous privé »
« C’était sans compter les
bêtises de ma grande fille, Miss Chang s’occupe de ses fesses en ce moment
c’est pour cela qu’il vaut mieux aller la rejoindre dans le salon »
Je ne m’attendais pas à ça. Je
viens pour ma correction et à mon arrivée Miss Chang est en train de fesser.
Quand je pénètre dans le grand living room, Miss Chang donne les dernières
claques sur le postérieur de Marie qui a les fesses bien rougies. Elle l’envoie
en pénitence au coin. Miss Chang me fait signe d’approcher toujours sans
prononcer le moindre mot. J’avoue que c’est assez intimidant de retrouver cette
belle asiatique presque mutique. Avec elle, pas de négociation, pas de
supplications, de toute les façons elle ne répond pas, fonctionne par geste et
ne cède jamais. J’approche de Miss Chang j’ai mis mon survêtement gris car je
suis allé courir ce matin et surtout c’est une consigne de Cécile Leblanc. Elle
trouve que c’est beaucoup plus rapide et facile pour déculotter les jeunes malappris.
« Bonjour Miss Chang je mérite
une bonne correction pour mon comportement déplacé, pouvez-vous s’il vous plait
me donner une grosse fessée déculottée ? »
Je ne suis pas fier de demander à
ce qu’elle me punisse comme un sale gamin. Déjà savoir que je mérite la fessée
c’est dur à encaisser pour un jeune adulte mais en plus la réclamer c’est la
honte totale. Un signe de sa main m’indique le bras du canapé large en cuir
suède. Je me couche en travers de celui-ci, je pose mon visage dans les coussins
moelleux, le ventre bien collé au bras du sofa, mes jambes légèrement fléchi.
Miss Chang sexy dans son kimono rouge à motif de dragons s’avance vers moi et
baisse mon bas de survêt. Elle me claque les fesses avec sa redoutable strappe.
Sur le slip. Cela fait une drôle d’impression car si la position est
confortable, la réception des claques l’est moins. J’ai encore ma dignité mais
pour combien de temps.
« Bare bottom
spanking » est le seul mot que prononce Miss Chang. Je parle bien anglais,
je sais ce que cela signifie : « la fessée déculottée ». Je ne
m’attendais pas à autre chose. Je sens deux mains fines qui agrippent mon slip
le baissant tout doucement, je sens un léger courant d’air synonyme de fesses
mise à nue. Elle prend son temps, la
belle asiatique. L’attente pré fessée est un moment inoubliable surtout après
le déculottage, c’est à la fois paisible et annonciateur d’un orage sur mon
séant. Je ne sais plus si Madame Leblanc assiste à ma correction, si Marie est
toujours au coin, je me concentre sur ma situation de puni pour essayer de
tenir ; à ce moment je me remémore la terrible fessée donnée par Miss
Chang dans la chambre de Cécile Leblanc. Cela m’a averti sur la dextérité de la
belle nippone. Après une cinquantaine de coups de strappe sur les fesses qui me
font bondir comme un cabri sur le canapé, à chaque coup, et qui me chauffent
bien les fesses.
Miss Chang pose son instrument et
relève délicatement la manche de son bras droit signe que la correction à mains
nue est pour maintenant. Et la fessée commence, terrible fessée, cuisante
raclée, grosse dégelée sur mon postérieur.une fessée mitraillette tant le
rythme est soutenu. Miss Chang est petite mais elle prend beaucoup d’élan et
ses claques font très mal. J’ai compté au moins 80 claques et puis j’ai arrêté,
me concentrant sur ma douleur, des larmes coulant sur mes joues. Miss Chang est
une redoutable fesseuse, j’imagine Madame Leblanc dans la même position, cela
me ferait presque sourire. La correction a durée vingt bonnes minutes avec
quelques pauses pour reposer la main de Miss Chang. Quelle correction,
mémorable tant par son intensité que par sa durée.
Elle me relève et me conduit en
pénitence au coin du salon, près de Marie qui est toujours cul nu comme moi,
les fesses rouges. Je ne peux m’empêcher de comparer la rougeur de nos
postérieurs respectifs. La couleur rouge coquelicot du mien n’a rien à envier à
celui de la jeune femme. Madame Leblanc y va de ses commentaires félicitant son
employée pour le zèle qu’elle a mise.
« Bravo Miss Chang pour
votre bonne fessée, Luca va s’en souvenir longtemps ».
Je suis au coin depuis dix
minutes, la cuisson de mes fesses a un peu diminuée, Madame Leblanc a prévu de
sévir à son tour. Fessée promise, fessée due, me dit-elle souvent.
Après m’avoir reculotté elle me
dirige vers le large sofa et m’étend de tout mon long en travers de ses
cuisses. Elle me cale le visage avec un coussin bien moelleux, pas question
d’être mal installé pour la correction.
« Miss Chang, venez me
rejoindre, nous ne seront pas trop de deux pour corriger ce petit garçon »
Miss Chang s’assoie à coté de
Cécile Leblanc, elle relève mon ventre qui repose désormais sur les cuisses des
deux femmes. Je comprends à ce moment que je vais recevoir la fessée conjointe
des deux correctrices. Une innovation
mal venue pour mes deux globes fessiers. Inutile de raconter dans le détail ma
correction, une fessée c’est toujours long et douloureux. Elle a durée dix
minutes et elle a été terrible. Déculotté et sévèrement fessé par deux mains
expertes à la fois. Un festival de claques sur mon derrière. J’ai eu des
rougeurs pendant deux jours et j’ai dû supporter une cuisson dans mon slip qui
a perturbé la fin de mon week-end.
A propos de Miss Chang, j’ai
appris par la suite qu’elle avait été beaucoup fessée pendant son enfance (ah l’éducation
traditionnelle japonaise !) Elle avait par la suite sévi sur de nombreux
derrières et elle était devenue experte es fessée. On dit souvent que pour
savoir donner la fessée, il faut l’avoir reçue. Dans ce cas précis, Miss Chang
pourrait donner des cours de fessée.
Lundi 9H
J’ai encore bien mal au fesses,
je me souviendrai longtemps de cette double correction. Josette m’appelle au
téléphone, Je suis convoqué dans le bureau de Madame Leblanc. Qu’ai-je encore
fait comme faute ? On n’est pas vendredi, la semaine s’annonce difficile
et pleine de surprise. Je frappe à la porte de Cécile Leblanc et, oh surprise,
elle n’est pas seule, La chère Aurore est bien sagement assise devant elle.
Cécile Leblanc est debout, elle a posé sur le bureau la strappe que je connais
bien, celle avec la mention « SPANK ME ».
« Entre Luca, nous devons
éclaircir un point tous les trois, il me semble que tu ne m’as pas tout dit la
dernière fois. Nous allons avoir une longue conversation avec cette chère Aurore,
tu vas devoir t’expliquer jeune homme.
Les deux chapitres de "permis de fesser : le chapitre 1 et le chapitre 2
D'autres récits de Vincent :
Le premier épisode de ce récit : un stage amer mais profitableLes deux chapitres de "permis de fesser : le chapitre 1 et le chapitre 2
A vos commentaires !
Qu'en pensez-vous ? Cela vous évoque d'autres situations ? Faites-nous en part !
Bonjour, Vincent .
RépondreSupprimerJoli festival de fessées en tous genres ! Madame Leblanc, implacable, développe une magnifique puissance de feu, aussi redoutable que cuisante. Ses arguments frappant la place parmi les têtes de gondole des fortes femmes sévères qui peuplent les récits de ce blog.
ça claque dur et longtemps sur toutes les paires de fesses à portée de main. Miss Chang n'est pas en reste et les victimes de ses cuisantes fessées rient jaunes (je n'ai pas pu résister!) sous sa terrible Strappe et son efficace supplément de service à la main! Surprenante double déculottée en final.
On ne s'ennuie pas une seconde, les victimes non plus qui n'ont même pas le temps de se frotter les fesses avant de s'en reprendre une autre! On apprécie la descriptions des fesseuses et de leurs tenues vestimentaires provocantes qui pimentent les séances de fessées.
On attend la suite puisque notre ami Lucas semble avoir encore des comptes à rendre. Comme dirait Peter pan: " ça va chauffer!"
Cordialement
Ramina.