lundi 10 décembre 2018

Un stage au goût amer - Red corner


Vincent continue ses récits. Nous retrouvons les personnages découverts dans le premier épisode de la série (voir le lien en fin d'article).


Jeudi 22 octobre 20 h
« Mon petit Luca vient ici en vitesse ! »
J’avance à petits pas assez honteux d’avoir été pris sur le fait. Je sais ce que cela implique. Vu le regard sévère de Cécile Leblanc qui me menace avec sa jolie main ornée d’un superbe saphir, je ne vais pas échapper à une bonne correction de la grande dame brune qui sait sévir quand il faut.
Cécile Leblanc est en petite nuisette de soie bleu, elle ne porte rien en dessous, ni soutien gorge, ni culotte. Sa tenue est si légère et moulante qu’elle souligne sa taille parfaite et sa jolie poitrine imposante. Je suis en émoi, je sens une raideur dans mon pantalon. Elle n’est pas seule dans la chambre, à sa gauche se trouve miss Chang, une petite asiatique toute menue, portant un kimono japonais imprimé de soie. Cette belle brune aux cheveux courts de 25 ans brandit une strappe de cuir noir sur lequel on peut voir l’inscription « SPANK ME ». Elle me jette le même regard sévère étonné de ma présence dans l’intimité de la chambre de sa patronne. J’avance vers les deux femmes comme un pantin ne sachant trop quoi dire.
Jeudi 19h40
Vingt minutes plus tôt j’étais caché dans l’armoire de la grande penderie à épier Madame Leblanc. Je voulais la voir en petite tenue mais je n’avais pas prévu d’assister à la scène entre Miss Chang et Cécile Leblanc. Madame Leblanc avait l’habitude de se rendre dans sa chambre tous les jeudis  à 19H30 pour un cours de yoga et de massage prodigué par Miss Chang. Le cours commençait par des étirements, des positions de yoga ou je pouvais admirer la souplesse des deux femmes. Après quinze minutes d’exercice, miss Chang s’appliquait à masser énergiquement les épaules et le cou de Cécile Leblanc. Elle se s’arrêtait pas là et ce que j’observais caché dans la penderie ressemblait plus à un massage sexuel car Miss Chang la caressait entre les cuisses et sous sa nuisette provoquant de longs gémissements de plaisir de Madame Leblanc. J’étais aux premières loges d’un spectacle très sensuel et je me demandais si Miss Chang avait une liaison secrète avec la belle brune d’1m80, mon employeur à l’agence et la personne qui corrigeait mes mauvaises manières (cf un stage amer).
Le cours pris une tournure assez inattendue quand Miss Chang s’assis sur le lit et que Madame Leblanc bascula son bassin en travers des cuisses de la belle japonaise. Sans dire le moindre mot, Miss Chang releva délicatement la nuisette de Cécile laissant apparaitre un joli fessier. Elle emprisonna le bras de Cécile dans son dos et levant sa petite main, elle imprima un arc de cercle rapide de haut en bas claquant les fesses de Cécile Leblanc. Je n’en croyais pas mes yeux, madame Leblanc qui corrigeait régulièrement les jeunes adultes comme des enfants, moi compris, recevait la fessée sur les genoux de son employée asiatique.
Je ne pouvais détourner les yeux de la correction donnée par Miss Chang, une fessée retentissante, longue et appuyée qui donnait une coloration rouge vive au joli fessier de Cécile. La fessée avait durée dix minutes et elle se poursuivait avec la strappe que Miss Chang manipulait avec une grande dextérité. J’étais à la fois ravi et gêné d’assister en petit voyeur à la fessée de Madame Leblanc qui poussait des cris et des gémissements mélange de douleur et de plaisir. Elle semblait apprécier sa correction et Miss Chang aimait beaucoup fesser sa patronne. Plus tard, j’apprendrais que Cécile se faisait corriger tous les jeudis en secret par Miss Chang à sa demande sans doute pour éliminer le stress accumulé dans la semaine à diriger ses équipes, son personnel et ses grands enfants. Ce qui devait arriver arriva, à force de m’émoustiller devant le joli spectacle, la porte de l’armoire s’ouvrit et je vis deux pairs yeux me fixer avec surprise. Cécile qui était en pleine réception de fessée se releva en rajustant sa nuisette qui couvrit ses jolies fesses couleur carmin pendant que Miss Chang se levait à son tour la strappe bien en main.
Jeudi 20h
«  Mon garçon, quel toupet de venir m’épier dans ma chambre, tu es un sale petit vicieux. Tu vas prendre une de ces fessées ! Déboucle ta ceinture et approche que je te corrige proprement »
Je m’avance en exécutant la demande. Quand j’arrive devant Madame Leblanc elle me décoche une magistrale paire de claques qui rougit instantanément ma joue. Elle me tire vers elle en me baissant à la volée le jean et le slip. Je suis propulsé en travers de ses belles cuisses, cul nu. Mon ventre caresse la soie de la nuisette provoquant une érection immédiate.
« Mon cher enfant, tu n’étais pas censé assister à la séance de coaching privé. Je suis furieuse contre toi, je pense que je vais devoir te renvoyer de l’agence. Mais dans l’immédiat, je vais te corriger très sévèrement, tu vas prendre ta fessée parentale comme celle que tu as reçue hier soir. Tu t’en souviendras longtemps. Avant de te corriger, j’attend des excuses »
Difficile de ne pas obéir quand on est slip baissé à la merci des mains si redoutables de Cécile Leblanc. Je bafouille, je cherche mes mots.
« Je…heu…je  vous demande pardon Madame, je suis si honteux de mon comportement, je mérite une grosse fessée déculottée, je ne recommencerai pas. S’il vous plait ne me renvoyez pas, je promets de n’en parler à personne. »
« C’est mieux de reconnaître ses fautes jeune homme et puisque vous méritez une grosse fessée, vous allez être servi, c’est fou ce que mes mains me démangent !»
Cécile Leblanc commence par une petite fessée assez agréable et peu cuisante. Je suis aux anges.

« Je vais t'apprendre à venir en cachette dans ma chambre, tu vas recevoir une fessée des plus cuisantes »
Elle change de cadence et prend plus d’élan pour me donner la fessée. Ses mains claquent mes fesses de plus en fort. Je crie, me tortille, essaye de me dégager alors elle accélère les claques et sa correction devient très cuisante. J'ai les fesses en feu, je suis puni comme un sale garnement. Après une centaine de claques, elle me relève, je remonte mon slip et elle me met au coin. J’y reste, culotte baissée, pendant cinq minutes. Elle me gronde et me demande de réfléchir à ma punition en silence. J’ai les fesses toutes rouges et j'ai honte d'être traité ainsi.
« A votre tour Miss Chang, et rappelez vous qu’il nous a surpris en pleine séance de coaching privée et que cela mérite une punition exemplaire »
Miss Chang me fait signe d’approcher, dès que je suis à sa portée, elle me donne la fessée debout. Elle me claque en vitesse les fesses sans prononcer le moindre mot. Je reçois deux bonnes dizaines de claques qui ravivent la douleur de la précédente tannée. Elle me fait un signe en baissant le pouce vers le bas, j’en déduis que je dois me mettre à genoux à ses pieds. Je m’exécute et attend la suite du programme. Miss Chang me couche sur sa cuisse gauche refermant sa jambe droite entre mes cuisses. Je suis bien positionné, fesses à portée de sa main. Elle me donne une fessée retentissante encore plus forte que celle de Madame Leblanc, je crie, je pleure. Je comprends pourquoi Madame Leblanc fait appel à son service. Miss Chang,  toute menue du haut de son 1,62 m, est une redoutable fesseuse qui a une grande endurance et une certaine technique. Si j’avais su, je n’aurais pas osé les épier dans l’armoire. La fessée dura vingt minutes, 300 claques, trois positions différentes. Je n’avais jamais reçue une telle correction, je ne sentais plus mes fesses toutes rouges et brulantes.
« Spanking, Spanking, I spank you… » Premiers mots prononcés par Miss Chang pendant la correction. Elle me relève et me conduit en travers des cuisses de Madame Leblanc. Madame Leblanc me maintient bien le ventre contre sa nuisette, j’ai le bras droit emprisonné par la forte poigne de Cécile. Je demande pardon, supplie d’arrêter. Miss Chang me montre la strappe de cuir noir et désigne d’un doigt mes fesses exposées et bien cambrées. J’ai compris la triste vérité, Miss Chang compte me fesser avec le terrible instrument. Je tremble sur les genoux de Madame Leblanc attendant la terrible tannée. Dans ma tête je suis un enfant et j’ai reçu deux terribles  corrections.
Miss Chang brandit la strappe et me cingle les fesses, je crie de douleur, la bande cuir souple fouette mes fesses nues. Une série de cinquante coups claque mes fesses. Je suis rouge de honte et j'ai très mal aux fesses. Elle me reculotte et me dirige vers le coin. Puis c’est au tour de Madame Leblanc de sévir. Entre temps, elle a enfilé un jean moulant et un chemisier en coton rose. Je dois m’agenouiller sur la chaise devant le miroir de sa coiffeuse. J’ai les bras tendus posé sur le meuble. Elle me baisse énergiquement le slip et s’absente quelques minutes. J’attends fébrilement ma correction. Pour le moment je peux décompresser mais je sais que mes fesses sont déjà bien rougies, à la merci et à la portée des deux pro-fesseuse Elle revient avec un martinet.
Quand le premier coup de martinet claque mes fesses je sais que plus rien ne sera comme avant. Oublié les fessées précédentes qui font mal mais rien en comparaison du martinet à large bout carré qui cingle les fesses imprimant de terribles zébrures. La correction se termine par une mise en garde.

« Tout compte fait je ne vais pas te renvoyer car cela ne te rendrai pas service et tu as besoin d’une sérieuse reprise en main. Pour ta grosse bêtise, tu seras fessé une fois par semaine par Miss Chang.
Tu te présenteras chaque samedi matin devant sa chambre à 10h pétantes et tu lui réclameras ta fessée déculottée. Ne t’avise pas d’oublier ou elle sera doublée. Ce rendez-vous privé s’appelle « red corner » car tu finiras au coin les fesses toutes rouges ! Bien sur cette fessée se rajoutera à celle que je te donnerai si tu n’es pas sage. Ici c’est la maison des fessées.ne n’oublie pas mon cher Luca »

Ça je ne risque pas de l’oublier, pas une soirée, ni week-end sans fessées et c’était valable pour les grands enfants de Cécile, pour le personnel et pour moi bien sur.


Vendredi 23 octobre 9h30 (jour de fessée ?)
Je suis dans mon bureau à l’agence de communication. Six mois se sont écoulés depuis mon stage et la reprise en main de Madame Leblanc. J’ai travaillé très sérieusement et obtenu de très bons résultats et je suis sur le point d’être embauché comme chef de projet Junior à un confortable salaire. Madame Leblanc a été promue Directrice générale et elle supervise désormais quatre services dont le mien. Elle organise des réunions hebdo et bi mensuelles avec ses équipes qui compte une centaine d’employés. J’ai la chance d’être directement rattachée à elle alors que je devrais dépendre d’un chef de groupe, lui-même rattaché à un directeur de clientèle. En fait Cécile Leblanc est ma N+4 et je suis chanceux de pouvoir bénéficier de ses bons conseils et de ses directives que j’applique à la lettre. Si je continue comme ça, mon profil grande école et l’efficacité de mon job me promettent une belle carrière dans l’agence car Madame Leblanc sait se montrer généreuse et récompenser les bons éléments. Elle ne supporte pas les mauvais comportements, surveille les missions qu’elle donne et n’hésite pas à sévir pour corriger les maladresses et autres fautes professionnelles.
J’ai souvent pâti de mes erreurs, oubli de rendez-vous, dossier mal ficelé le vendredi jour de convocation et de mise au point dans le bureau de Madame Leblanc. Cela se passait toujours de la même manière, je me présentais  dans son bureau vers 18h30 devant sa secrétaire sexy Josette (qui m’avait souvent couché en travers de ses cuisses) pour une convocation officielle. Dans l’agenda de la secrétaire, on faisait mention d’un rendez vous « Red corner » ce qui équivalait à un rendez-vous « Fessée » car neuf fois sur dix, j’y avais droit. Après m’avoir introduit dans l’immense bureau spacieux de Madame Leblanc, je devais attendre debout main sur la tête que Madame Leblanc fasse le bilan de la semaine. Elle passait en revue les rendez-vous clients, notait mes rapports envoyés et questionnait les employés pour savoir si j’avais bien fait mon travail. Rien ne lui échappait, elle savait tout, avait des oreilles partout. Inutile de mentir, de chercher des excuses, il fallait se justifier. Comme le vendredi précédent où elle m’avait longtemps sermonné pour avoir raté deux rendez-vous et mal préparé le troisième.
« Je constate mon cher Luca que cette semaine, tu n’as pas été très sérieux et que tu as manqué de concentration, je ne peux tolérer que tes résultats soient insuffisants surtout que ton stage n’est pas terminé et que je ne voudrais pas l’écourter.  Tu connais ma règle de discipline du vendredi, je veux l’entendre de ta bouche »
Alors que je m’apprêtais à réciter les paroles apprises par cœur, je détaille Cécile Leblanc. Elle porte une jupe en cuir beige cintré à la taille par une ceinture à large boucle. Elle est vraiment très sexy avec son chemisier en soie beige à  et son foulard bleu nuit. Elle est d’une grande stature mais avec ses bottes montantes elle parait encore plus grande. Elle me dépasse de dix centimètres. Quelle belle femme de quarante ans ; elle n’a rien à envier aux femmes plus jeunes qu’elle.
« Vous m’avez grondé par ce que j’ai mal fait mon travail cette semaine et ….. Et je mérite une bonne fessée comme vous la donnez aux enfants désobéissants »
« Une fessée comment ? »
« Vous me donner la fessée…heu….cul…..nu» (en rougissant)
« Bien approche en vitesse mon cher petit que je te déculotte, car la fessée, je ne la donne pas sur le slip ! »
Je me tiens debout mains sur la tête, Cécile Leblanc avec une grande dextérité a déjà débouclé ma ceinture et déboutonné  ma braguette. Elle me baisse le pantalon à mi cuisse. Je suis en slip, mon sexe en érection qui fait une bosse. Cette position est humiliante et très excitante à la fois car elle annonce la correction. Je reçois quelques bonnes tapes sur mon slip servant d’avertissement avant la mise à nu. Elle rajuste ma cravate, le nœud doit être bien fait, il s’agit d’être présentable pour recevoir la punition des enfants.
« Tu connais la position réglementaire, allonge-toi bien sur mes cuisses que je te déculotte proprement »
Je m’exécute, mes mains touchent le plancher. Je sens un mouvement, je sens qu’on me baisse le slip en le retournant à mi mollets. A ce moment je réalise que j’ai perdu mes privilèges d’adulte. Cinq minutes avant j’étais un jeune cadre prometteur dans mon beau costume trois pièces, et maintenant  je suis puni comme un sale gamin de dix ans, cul nu en travers des jolies cuisses de Madame Leblanc qui a légèrement relevé sa jupe pour me positionner le ventre contre ses beaux bas nylons couleur chair. Cela serait presque érotique si le but n’était pas de me corriger.
« Josette, la cinquième symphonie de Mozart svp, j’aime bien corriger sur de la bonne musique »
Une douce musique s’échappe des enceintes derniers cris qui remplissent le vaste bureau. Je vais être fessé en mode « London Symphony Orchestra à quarante musiciens ». Les premières claques tombent clac, clac, clac, pan,pan, clac. Le rythme est bien soutenu, Cécile Leblanc bat la mesure. La fessée qui débute est terriblement douloureuse dans les premières minutes puis une fois les endorphines sécrétées, on sent moins la douleur, au bout de quelques temps, on est presque insensible aux claques. C’est le moment ou Madame Leblanc frappe plus fort et plus vite pour que la fessée fasse à nouveau mal. Une fessée cela doit cuire les fesses et bien les rougir, il faut s’appliquer et vérifier à chaque instant leur belle coloration. Une claque en haut, une en bas, deux à droite, quatre à gauche, il faut beaucoup d’endurance pour fesser et Madame Leblanc à l’habitude. Elle fesse fort, vite et en cadence. Au bout de quinze minutes, cela devient insupportable et les premiers pleurs arrivent, la demande de pardon et les gesticulations pour échapper à la raclée. Rien n’y fait, la fessée de Madame Leblanc doit être exemplaire. Elle pourrait donner des cours de fessée. D’ailleurs elle en donne à des mères qui ne savent pas bien corriger leurs enfants.
La grande brune d’1,80 m termine par vingt claques retentissantes que je dois compter à haute voix. C’est fini, je me sens si honteux, au coin mains sur la tête pendant que Josette prend le relai en me cinglant les fesses avec le martinet. Madame Leblanc s’est absentée pour un rendez-vous, elle laisse le soin à sa belle secrétaire de terminer le travail. Elle y met du zèle. Si la fessée fait mal, le martinet c’est encore pire, la douleur se propage à chaque coup provoquant une onde de choc et marquant d’une fine zébrure les fesses. Josette calme le jeu et me donne deux derniers coups pas trop forts. Je suis en larmes, les fesses endolories. J’ai tellement mal que je supplie Josette de me flanquer une bonne fessée. Elle me couche sur le bureau et me fesse énergiquement. Pour moi c’est un soulagement, la fessée après le martinet soulage la douleur c’est presque comme une caresse. La correction est terminée, Josette me reculotte et me rajuste mon costume. Elle me congédie avec une dernière claque sur la fesse droite
« Au boulot jeune homme ! »

9h40
Je repense à cet épisode de vendredi dernier. J’avais rendez-vous avec un client pour lui présenter le travail des créatifs et lui dérouler la stratégie publicitaire. La réunion avait lieu dans le grand bureau de La Directrice Générale. Sont présents, autour de la table, Aurore une chef de produit âgée de 25 ans, Suzanne Lepic, la directrice marketing, âgée d’une cinquantaine d’années, Cécile Leblanc et moi-même. Nous parlons stratégie de marque, bénéfice produit, campagne de promotion. J’expose la campagne publicitaire. Je me montre assez brillant et après quinze minutes je conclue ma présentation. Madame Lepic me félicite mais Aurore n’est pas de cet avis.
« C’est nul, je ne m’attendais pas à ça, vous n’avez rien compris au brief envoyé. C’est du travail bâclé »
Cécile Leblanc se lève et invective Aurore
« Ca suffit Aurore, je ne comprends pas votre réaction, c’est assez puéril votre commentaire, Luca a fait avec les éléments reçus. Il a du mérite car il a dû vous réclamer trois fois le brief que vous lui avait seulement envoyé la veille à 22h ! »
Je vois Madame Lepic qui se tourne vers Aurore qui rougit de s’être fait gronder comme une enfant.
Madame Lepic se lève et s’adresse à son chef de produit
« C’est inadmissible Aurore, comment se fait t’il que vous ayez envoyé le brief si tard et en plus je le découvre en pleine réunion. Madame Leblanc a raison vous vous comportez comme une enfant et vos réflexions sont mal venues compte tenu de vos fautes. Madame Leblanc, Luca, je suis désolé de cet incident déplacé. Je vais en dire deux mots à Aurore qui va m’entendre »
Madame Leblanc se lève est murmure à l’oreille de Madame Lepic 
« Laissez moi m’en occuper Suzanne, je sais ce qu’il faut faire pour qu’elle ne recommence plus »
« Veuillez nous laisser seule toutes les deux, nous allons régler le problème avec méthode ».
Josette nous propose de sortir du bureau pour prendre une collation dans le bureau d’à coté.
Madame Leblanc ferme la porte de son bureau pour parler à Aurore.
« Votre comportement inapproprié prouve que vous n’êtes qu’une sale gamine mal élevée ayant besoin d’un sacré recadrage »
« Mais vous… »
« Taisez vous, je n’ai pas fini. Je vais vous apprendre la politesse et le respect. Savez-vous comment je puni ce genre de comportement dans mon agence ? »
« Heu non Madame, vous… »
« Que faisiez votre mère quand vous étiez une petite fille pas sage ? »
« Elle me grondait »
« Et puis, elle vous flanquait surement une trempe »
« Oui surement » (voix hésitante)
« Et bien considérez que je rends service à votre chère maman. Voyez jeune fille, vous méritez une bonne fessée parentale»
« Oh non Madame, je vous en prie je ne suis plus une gamine »
« Pourtant votre comportement prouve le contraire. Je vais vous corriger comme je corrige les mauvais garnements, demandez à Luca, je lui flanque de sacrées fessées »
La pauvre Aurore a perdu son ton hautain, elle craint désormais la sévérité de Madame Leblanc. Cécile Leblanc agrippe fermement Aurore et d’un mouvement rapide la plie sous son bras qui s’enroule autour de la taille pour la maintenir. Elle relève la belle robe en velours bleu d’Aurore jusqu’aux épaules, laissant apparaître le dos du soutien gorge blanc crème et une petite culotte en dentelle fuchsia. Elle baisse la culotte révélant deux magnifiques globes fessiers blanc crème.
« Oh non Madame pas la culotte, je vous en prie »
« Quand je donne la fessée c’est toujours déculottée, c’est la punition idéale pour les enfants malpolis ! »
La fessée n’a pas commencé que déjà les premières larmes d’Aurore coulent. Elle n’en revient pas d’être dans cette situation si embarrassante. Les fesses dénudées elle attend sa correction serrant bien les cuisses et les fesses pour  donner moins de surface à atteindre. Madame Leblanc la cambre bien et lui fait reculer les jambes pour que ses fesses soient à la bonne distance de sa main. Elle prend tout son élan pour lui donner la fessée. Clac, clac, clac ! Ses mains claquent ses fesses de plus en plus fort, de plus en plus vite. Aurore crie, se tortille, essaye de se dégager alors elle accélère les claques et sa fessée devient très cuisante. Aurore a les  fesses toutes rouges.  Cécile Leblanc est si appliquée qu’elle ne tient pas compte de ses pleurs, ni de ses gémissements. La fessée dure longtemps, plus de vingt minutes. Dans le bureau d’à coté on entend le bruit des claques. Madame Lepic a compris, elle ne dit rien persuadé que la correction est amplement méritée. Quand Madame Leblanc ouvre son bureau, la pauvre Aurore est assise sagement à sa place massant son fessier endolori. Madame Leblanc nous invite à entrer pour poursuivre la réunion. Elle s’est déroulée sans heurts, Aurore n’a pas dit un mot. A la fin elle a présenté ses excuses en affirmant qu’elle avait appris la leçon. En partant, Cécile lui a demandé de raconter à sa directrice marketing l’entrevue dans le bureau. Aurore toute honteuse a du avouer à Suzanne Lepic qu’elle avait reçu une bonne fessée. Madame Lepic  a sourit et s’est adressé à Aurore.
« Je vois que les méthodes de Madame Leblanc sont rudement efficaces pour corriger les sales gamines. A partir de ce jour, chaque faute commise sera punie d’une fessée donnée par Madame Leblanc, doublée par moi au retour au bureau » 
« Une petite précision Suzanne, je fesse cul nu »
« Bien je le note Madame Leblanc »
Puis s’adressant à Madame Leblanc,
« Vous pouvez déjà prévoir un rendez-vous pour la semaine prochaine, disons vendredi après-midi »
«  Josette, veuillez noter dans l’agenda un rendez vous « Red corner » pour Aurore, vendredi  à 15 h »
Cette fessée, par porte interposée, je la garderai en mémoire pendant longtemps car c’est la première fois que Madame Leblanc corrige une cliente au sein de son agence. Je revois le visage peiné de la petite Aurore, arrivée chef de produit hautaine, repartie petite fille boudeuse, en se frottant les  fesses rouges et brûlantes, la démangeant sous sa robe.

Vendredi 14h
Après un déjeuner rapide à la cafétéria, je retourne bosser sur mes dossiers en cours.
18H25
Coup de fil de Josette pour me rappeler le rdv Red corner hebdomadaire prévu. Comme chaque vendredi, je redoute ce rendez-vous privé car il est synonyme de grosse correction mais en même temps je trouve que Madame Leblanc a raison de corriger mon comportement. Ces fessées sont autant une réprimande qu’un encouragement à toujours mieux faire. Madame Leblanc est très stricte, sévère et intransigeante mais elle est juste. Pas de punition sans réel motif. Elle me dit souvent « pas de fessée gratuite, il faut payer pour la mériter ». Je suis devant son bureau Madame Leblanc lit mes rapports. J’attends fébrile ses remarques.
« Mon cher Luca, je te félicite pour ton travail de cette semaine, je n’ai rien à te reprocher, bien au contraire. Si tu veux tu peux partir plus tôt pour rejoindre Jessica, elle sera contente de te voir. »
Je suis soulagé, un rendez vous « Red corner » sans fessée c’est si rare que je pourrais presque l’embrasser. Au moment de partir Madame Leblanc me rappelle mon rendez-vous prévu avec Miss Chang samedi 10H chez elle. Je soupire, j’avais presque oublié ce fameux rituel hebdo cuisant pour mon postérieur. Je retourne vite à mon bureau pour boucler un dossier et je quitte l’agence. Je démarre ma moto japonaise et je file à toute allure retrouver ma copine Jessica qui m’attend chez elle. Nous sommes de nouveau ensemble après une brève séparation due à l’épisode cuisant chez Madame Leblanc (cf stage amer)  j’aime beaucoup ma Jessica et puis on ne se sépare pas du plus beau cul féminin de Lyon. Nos retrouvailles sont très hot, Jessica m’accueille portant un simple leggings noir ajusté et un soutien gorge rouge en dentelle qui comprime ses jolis petits seins. C’est une belle invitation au plaisir. Nos ébats durent longtemps, entrecoupés de pauses grignotage saucisson et plateau de fromages.
23H
Le téléphone sonne c’est Madame Leblanc qui veut parler à Luca.
« Luca, j’ai eu Marc, le graphiste de l’agence qui attend toujours le compte-rendu du rendez-vous client. Tu lui as bien donné ? »
« Heu Madame oui je pense »
« Tu mens Luca, tu réponds mal à une question dont je connais déjà la réponse. Je devrais venir sur le champ chez ta copine pour te déculotter mais j’ai des invités à la maison, nous en reparlerons demain matin après ton rendez-vous avec Miss Chang, ne soit pas en retard. Bonsoir Luca »
A la tête que je fais, Jessica a compris que j’avais fait une bêtise. Elle a déjà assisté à ma fessée chez Cécile Leblanc. Elle a, elle-même, été fessée à plusieurs reprises par Madame pour conduite inappropriée. Elle sait ce qui m’attend et elle essaye de me remonter le moral. J’avoue que je n’ai plus du tout envie de faire de câlins à Jessica, je préfère aller dormir car demain m’attend une rude matinée.

Samedi 10H
Je sonne à la porte de Madame Leblanc. Depuis quatre mois elle a emménagé dans une grande villa en banlieue lyonnaise,  avec terrain de tennis et piscine de 12 mètres de long, le paradis ou presque.
« Entre Luca, Miss Chang t’attend dans le salon »
« Dans le salon ? Je croyais que c’était un rendez-vous privé  »
« C’était sans compter les bêtises de ma grande fille, Miss Chang s’occupe de ses fesses en ce moment c’est pour cela qu’il vaut mieux aller la rejoindre dans le salon »
Je ne m’attendais pas à ça. Je viens pour ma correction et à mon arrivée Miss Chang est en train de fesser. Quand je pénètre dans le grand living room, Miss Chang donne les dernières claques sur le postérieur de Marie qui a les fesses bien rougies. Elle l’envoie en pénitence au coin. Miss Chang me fait signe d’approcher toujours sans prononcer le moindre mot. J’avoue que c’est assez intimidant de retrouver cette belle asiatique presque mutique. Avec elle, pas de négociation, pas de supplications, de toute les façons elle ne répond pas, fonctionne par geste et ne cède jamais. J’approche de Miss Chang j’ai mis mon survêtement gris car je suis allé courir ce matin et surtout c’est une consigne de Cécile Leblanc. Elle trouve que c’est beaucoup plus rapide et facile pour déculotter les jeunes malappris.
« Bonjour Miss Chang je mérite une bonne correction pour mon comportement déplacé, pouvez-vous s’il vous plait me donner une grosse fessée  déculottée ? »
Je ne suis pas fier de demander à ce qu’elle me punisse comme un sale gamin. Déjà savoir que je mérite la fessée c’est dur à encaisser pour un jeune adulte mais en plus la réclamer c’est la honte totale. Un signe de sa main m’indique le bras du canapé large en cuir suède. Je me couche en travers de celui-ci, je pose mon visage dans les coussins moelleux, le ventre bien collé au bras du sofa, mes jambes légèrement fléchi. Miss Chang sexy dans son kimono rouge à motif de dragons s’avance vers moi et baisse mon bas de survêt. Elle me claque les fesses avec sa redoutable strappe. Sur le slip. Cela fait une drôle d’impression car si la position est confortable, la réception des claques l’est moins. J’ai encore ma dignité mais pour combien de temps.
« Bare bottom spanking » est le seul mot que prononce Miss Chang. Je parle bien anglais, je sais ce que cela signifie : « la fessée déculottée ». Je ne m’attendais pas à autre chose. Je sens deux mains fines qui agrippent mon slip le baissant tout doucement, je sens un léger courant d’air synonyme de fesses mise à nue.  Elle prend son temps, la belle asiatique. L’attente pré fessée est un moment inoubliable surtout après le déculottage, c’est à la fois paisible et annonciateur d’un orage sur mon séant. Je ne sais plus si Madame Leblanc assiste à ma correction, si Marie est toujours au coin, je me concentre sur ma situation de puni pour essayer de tenir ; à ce moment je me remémore la terrible fessée donnée par Miss Chang dans la chambre de Cécile Leblanc. Cela m’a averti sur la dextérité de la belle nippone. Après une cinquantaine de coups de strappe sur les fesses qui me font bondir comme un cabri sur le canapé, à chaque coup, et qui me chauffent bien les fesses.
Miss Chang pose son instrument et relève délicatement la manche de son bras droit signe que la correction à mains nue est pour maintenant. Et la fessée commence, terrible fessée, cuisante raclée, grosse dégelée sur mon postérieur.une fessée mitraillette tant le rythme est soutenu. Miss Chang est petite mais elle prend beaucoup d’élan et ses claques font très mal. J’ai compté au moins 80 claques et puis j’ai arrêté, me concentrant sur ma douleur, des larmes coulant sur mes joues. Miss Chang est une redoutable fesseuse, j’imagine Madame Leblanc dans la même position, cela me ferait presque sourire. La correction a durée vingt bonnes minutes avec quelques pauses pour reposer la main de Miss Chang. Quelle correction, mémorable tant par son intensité que par sa durée.
Elle me relève et me conduit en pénitence au coin du salon, près de Marie qui est toujours cul nu comme moi, les fesses rouges. Je ne peux m’empêcher de comparer la rougeur de nos postérieurs respectifs. La couleur rouge coquelicot du mien n’a rien à envier à celui de la jeune femme. Madame Leblanc y va de ses commentaires félicitant son employée pour le zèle qu’elle a mise.
« Bravo Miss Chang pour votre bonne fessée, Luca va s’en souvenir longtemps ».
Je suis au coin depuis dix minutes, la cuisson de mes fesses a un peu diminuée, Madame Leblanc a prévu de sévir à son tour. Fessée promise, fessée due, me dit-elle souvent.
Après m’avoir reculotté elle me dirige vers le large sofa et m’étend de tout mon long en travers de ses cuisses. Elle me cale le visage avec un coussin bien moelleux, pas question d’être mal installé pour la correction.
« Miss Chang, venez me rejoindre, nous ne seront pas trop de deux pour corriger ce petit garçon »
Miss Chang s’assoie à coté de Cécile Leblanc, elle relève mon ventre qui repose désormais sur les cuisses des deux femmes. Je comprends à ce moment que je vais recevoir la fessée conjointe des deux  correctrices. Une innovation mal venue pour mes deux globes fessiers. Inutile de raconter dans le détail ma correction, une fessée c’est toujours long et douloureux. Elle a durée dix minutes et elle a été terrible. Déculotté et sévèrement fessé par deux mains expertes à la fois. Un festival de claques sur mon derrière. J’ai eu des rougeurs pendant deux jours et j’ai dû supporter une cuisson dans mon slip qui a perturbé la fin de mon week-end.
A propos de Miss Chang, j’ai appris par la suite qu’elle avait été beaucoup fessée pendant son enfance (ah l’éducation traditionnelle japonaise !) Elle avait par la suite sévi sur de nombreux derrières et elle était devenue experte es fessée. On dit souvent que pour savoir donner la fessée, il faut l’avoir reçue. Dans ce cas précis, Miss Chang pourrait donner des cours de fessée.

Lundi 9H
J’ai encore bien mal au fesses, je me souviendrai longtemps de cette double correction. Josette m’appelle au téléphone, Je suis convoqué dans le bureau de Madame Leblanc. Qu’ai-je encore fait comme faute ? On n’est pas vendredi, la semaine s’annonce difficile et pleine de surprise. Je frappe à la porte de Cécile Leblanc et, oh surprise, elle n’est pas seule, La chère Aurore est bien sagement assise devant elle. Cécile Leblanc est debout, elle a posé sur le bureau la strappe que je connais bien, celle avec la mention « SPANK ME ».
« Entre Luca, nous devons éclaircir un point tous les trois, il me semble que tu ne m’as pas tout dit la dernière fois. Nous allons avoir une longue conversation avec cette chère Aurore, tu vas devoir t’expliquer jeune homme.



D'autres récits de Vincent :

Le premier épisode de ce récit : un stage amer mais profitable
Les deux chapitres de "permis de fesser : le chapitre 1 et le chapitre 2

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1 commentaire:

  1. Bonjour, Vincent .
    Joli festival de fessées en tous genres ! Madame Leblanc, implacable, développe une magnifique puissance de feu, aussi redoutable que cuisante. Ses arguments frappant la place parmi les têtes de gondole des fortes femmes sévères qui peuplent les récits de ce blog.
    ça claque dur et longtemps sur toutes les paires de fesses à portée de main. Miss Chang n'est pas en reste et les victimes de ses cuisantes fessées rient jaunes (je n'ai pas pu résister!) sous sa terrible Strappe et son efficace supplément de service à la main! Surprenante double déculottée en final.
    On ne s'ennuie pas une seconde, les victimes non plus qui n'ont même pas le temps de se frotter les fesses avant de s'en reprendre une autre! On apprécie la descriptions des fesseuses et de leurs tenues vestimentaires provocantes qui pimentent les séances de fessées.

    On attend la suite puisque notre ami Lucas semble avoir encore des comptes à rendre. Comme dirait Peter pan: " ça va chauffer!"
    Cordialement
    Ramina.

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