Un stage au gout un peu amer (récit
de Vincent)
Quand je m’interroge sur d’où me vient cette passion pour la fessée je me
remémore un épisode marquant de ma jeune vie d’adulte qui a sans doute confirmé
mon besoin d’être corrigé régulièrement. Cela se passai dans les années 80 à l’époque
j’étais étudiant en troisième année à science Po Paris et je rentrai le
week-end chez mes parents en banlieue lyonnaise. J’avais 21 ans j’étais sûr de
moi, travailleur, je réussissais tout ce que j’entreprenais, et j’avais
décroché un stage de fin d’étude dans une des plus réputée agence de
communication. Nous étions samedi midi, je débutais mon stage lundi matin et
mes parents m’avaient proposé de les rejoindre pour la soirée chez des amis
dans le centre de Lyon.
Je débarquais du train l’air serein, j’avais eu ma copine Angélique au
téléphone, on avait prévu de se voir dimanche sur Lyon pour se balader comme
deux amoureux. Je débarquais chez Monsieur et Madame Leblanc les amis des
parents, un couple d’une quarantaine d’années aisé et bourgeois que je n’avais
vu qu’une seule fois, il y a bien longtemps. Je fus accueilli par Madame, une
grande brune d’1m 80, habillé d’un tailleur rouge chic et strict, un chignon,
des bottes en cuir vert. Elle était vraiment très belle et je ne pouvais
détacher mes yeux de son opulente poitrine à peine dissimulée sous son
chemisier blanc crème.
« Bonjour jeune homme, entre je te prie, viens nous rejoindre dans le
salon »
La soirée fut sympa mais un peu longue. Après avoir diné copieusement tous
les invités se retrouvèrent dans le salon pour converser. J’en avais marre
d’être là, je manifestais un certain agacement et je me montrais fort peu
aimable, je décidais même de fausser compagnie aux invités pour aller boire un
verre de vin dans la cuisine.
En sortant de la cuisine je croisais la route de Madame Leblanc qui me jeta
un regard très sévère, fronçant les sourcils. D’une poigne énergique elle me
prit le bras et se dirigea vers la chambre de sa fille de 10 ans.
« Mon cher Luca, je n’apprécie pas du tout ton attitude hautaine et
tes propos déplacés. Si tu t’ennuies, il ne fallait pas venir, tu as fait honte
à tes parents et provoqué une gêne que je ne peux tolérer. Au lieu de te
comporter comme un adulte responsable tu
te comportes comme un ado de 12 ans. J’ai 4 enfants dont certains sont de
grands ados et si l’un d’eux s’était comporté comme toi je lui aurais flanqué
une bonne fessée ! J’en ai parlé à tes parents et ils me donnent carte
blanche pour te punir. »
« Non madame vous ne pouvez pas me fesser, je ne suis plus un
gamin »
Je fus interrompu par une bonne paire de claque qui eut le mérite de calmer
mes plaintes.
« Oui mon garçon tu mérites une
fessée longue et cuisante »
Et joignant le geste à la parole me voila debout tiré par l’oreille, penché
sous son bras.
« Non pas question »
Je suis interrompu par une cinglante série de claques sur mon pantalon.
Cela a le mérite de me recadrer vite fait, je n'en mène pas large. Puis elle
poursuit avec un ton autoritaire
« Déboucle ta ceinture que je te baisse le pantalon"
Je déboucle ma ceinture trop lentement à son goût, Elle se rue sur moi et
me claque les fesses et avec une certaine dextérité elle me baisse à la volée
le pantalon et le slip.
A ce moment je ressens une certain gêne, mon sexe en érection, je
bafouille, je rougi, j’ai tellement honte.
« Non Madame je vous en prie pas comme çà ! ».
Elle me dirige vers le lit de sa
fille et d'un mouvement énergique me
bascule en travers de ses cuisses. Je suis surpris par sa poigne je pose mes
mains tendues sur le lit. A ce moment je réalise le ridicule de la situation. A
21 ans je suis allongé, cul nu en travers des cuisses de Madame Leblanc, le
slip baissé aux chevilles, mon pantalon qui boudine à mes pieds. Et je vais
recevoir une fessée déculottée comme si j’avais 12 ans.
« Je vais t'apprendre à m’obéir mon cher enfant, tu vas recevoir la fessée déculottée comme je la donne souvent à
mes enfants pas sages »
Elle prend tout son élan pour me donner la fessée. Clac, clac, clac, Ses
mains claquent mes fesses de plus en plus fort, de plus en plus vite. Je crie,
me tortille, essaye de me dégager alors elle accélère les claques et sa
correction devient très cuisante. J'ai les fesses rouges. Madame Leblanc est
une experte en fessée, elle doit en donner souvent, sa raclée fut mémorable. Après
une cinquantaine de claques, elle me relève, je remonte mon slip et elle me met
au coin. Je reste au coin méditant sur mon comportement pendant cinq minutes. Elle
me gronde et me demande de réfléchir à ma punition en silence. J’ai les fesses
toutes rouges et j'ai honte d'être traité ainsi.
Madame Leblanc s’est absentée pendant de longues minutes sans doute pour
s’occuper de ses invités dans le salon.
Elle revient dans la chambre brandissant un martinet, je blêmis à la vue de
l’instrument
Elle prend un certain élan et me
cingle les fesses, je crie de douleur, les lanières fouettent mes fesses nues.
Une série de 30 coups claque mes fesses, chaque coup annonce le suivant et cela
me semble interminable. J’ai si mal aux fesses. Elle me reculotte et fais une
pause.
« La première fessée c’était pour t’enlever ta fierté et mâter ton
insolence, la seconde sera préventive pour que tu n’as pas envie de recommencer
tes pitreries. Approche que je te m’occupe de tes petites fesses…
- Mais Madame… »
Joignant le geste à la parole, elle me tire vers elle, s'assied sur le lit
et m’allonge à nouveau en travers du lit.
Elle me gronde et me donne une fessée méthodique, de plus en plus fort, sa
main a une endurance que je ne soupçonnais pas. C’est la fessée parentale,
c’est comme si maman me corrigeait quand j’étais plus jeune. Une fessée
retentissante, interminable et cuisante. Je crie, je demande pardon
Je suis en sanglots, mes fesses me brûlent.
Madame Leblanc fait une pause, je sens la chaleur qui irradie de mon
postérieur.
Elle me gronde pendant de longue minutes, je ne fais pas attention à son
sermon concentré sur la douleur de mes fesses.
« Qu’est-ce que j’ai dit Jeune Homme ?
Je suis incapable de répondre.
-On dirait que ma fessée n’a pas suffi à changer ton comportement tant pis
pour toi, je recommence la fessée. Tu sais j’ai l’habitude de corriger mes
enfants, j’ai une grande endurance »
Et c’est une nouvelle fessée, une raclée mémorable, la FESSEE qui punit,
celle qui châtie, la fessée parentale longue et sévère. Une main très énergique
claque mes fesses rendant la cuisson tout de suite difficilement supportable. J’ai
arrêté de compter les claques après 200. Jamais je n’avais reçu une telle
correction. Je me relève et je suis conduit au coin où je dois me tenir debout
culotte baissée. Quelle honte d'être ainsi posté les fesses rougies.
Après de longues minutes elle me reconduit au salon ou tous les invités se
demandent où j’étais passé pendant tout ce temps. Je n’ose pas croiser leur
regard, je baisse les yeux, honteux, assis sur mes fesses qui me font très mal.
Je n’ose bouger.
La soirée se termine et vient l’heure de partir. Madame Leblanc propose de
me raccompagner à mon hôtel, mes parents devant partir sur le champ pour un
mariage en province. Je n’ai pas du tout envie de me faire raccompagner par une
dame dont je crains désormais les cuisantes fessées. Je n’ai pas trop le choix
et je monte dans son break Volvo en silence. Je n’ose entamer la conversation. Elle
se montre pourtant fort agréable, me questionnant sur mon stage, s’intéressant
à mes études. Pendant le trajet je me montre docile mais vient la phrase de
trop celle que ma conductrice ne peux admettre.
Mettant son clignotant, elle s’engage sur la prochaine sortie et se gare
sur une aire de stationnement.
Elle coupe son moteur, sort de la voiture, ouvre ma portière, et avec une certaine
poigne me tire hors du véhicule. Je bafouille, j’ai vite compris ce qui allait
se passer.
« Non Madame pas la fessée, je vous en prie… »
Me tirant par l'oreille, elle se dirige vers un banc. Sans dire un mot elle
me couche sur ses genoux.
Elle me baisse dans la foulée pantalon et slip et commence sa fessée. J’entends
le bruit de sa main qui claque mes fesses. Je trépigne et j’encaisse les
claques les unes après les autres ne sachant pas quand la fessée s’arrête, si
elle va être plus rapide, plus forte, plus appuyée. Elle me fesse pendant de
longues minutes, une raclée mémorable. Ah que Madame Leblanc sait bien fesser.
« Au fait Luca je m’appelle Cécile et ce soir changement de programme tu
vas dormir chez moi. Vu ton comportement tu vas recevoir plusieurs fessées. Une
avant d’aller te coucher en pyjama. C’est la fameuse « over the knew bare
bottom spanking overbed time » comme l’appellent les anglais.
Tu dormiras probablement sur le ventre vu la rougeur de tes fesses. Et tu
recevras une autre fessée au petit déjeuner devant mes enfants sachant qu’il
est probable que je sois aussi obligé de fesser l’un de mes chers chérubins.
Arrivé chez elle, elle m’accompagne dans la chambre de son fils Antoine et
me tend un pyjama petit bateau. Je me déshabille et l’enfile, je ressemble à un
petit enfant dans mon pyjama bleu et blanc. Je ne sais pas si je devais
conserver mon slip ou pas, par crainte de commettre un faux pas je l’ai enfilé
sous mon pyjama. Dans ma tête raisonne encore les mots terribles de Cécile
Leblanc « met toi en pyjama en vitesse, je reviens dans un instant pour te
donner la fessée que tu mérites »
J’entends ses talons qui claquent dans le couloir, la porte s’ouvre. Madame
Leblanc s’assoie sur le lit et me fait signe d’approcher. Je me lève tout
timide, à porté de sa main me voilà énergiquement basculé sur les genoux et en
2 secondes, elle me baisse pyjama et slip aux chevilles.
Elle prend son élan et me claque vigoureusement les fesses. Je reçois une
centaine de claques très, très fortes, J’ai
beau supplier et demander pardon. Rien n'y fait quand elle a
décidé de fesser, elle fesse et ne s'arrête que quand elle le juge nécessaire.
Elle termine sa formidable fessée déculottée en travers de sa cuisse, une
fessée magistrale, méthodique, presque académique.
La correction se termine, elle me remonte slip et pyjama et me borde dans
le lit, je pleure comme un enfant. Elle me dépose un baiser sur le front et me
souhaite bonne nuit. Je passe une mauvaise nuit à cause de la cuisson sur mes
fesses. Moi qui était venu pour passer une bonne soirée, je me couche ayant
reçu plus de 4 fessées magistrales dans des positions si honteuses que je
n’oserais pas en parler à ma copine.
Je suis réveillé par une Madame Leblanc très sexy avec son jean taille
basse moulant et son tee-shirt rose qui a du mal à contenir sa généreuse
poitrine.
Je me lève tout penaud tachant de dissimuler la tâche grandissante sur mon
bas de pyjama.
« Bonjour Luca, je vois que tu as passé une nuit agitée, tu n’as pas
honte de toi, un grand garçon qui mouille son pyjama ! »
– Madame je suis désolé, je ne comprends pas, j’ai fait pipi au lit »
– Bon de toutes les façons je t’avais promis une fessée au réveil, j’ai une
raison supplémentaire de sévir »
Joignant le geste à la parole elle me baisse pantalon et slip mouillé et
après avoir étendu une serviette sur ses genoux m’allonge sur ses belles
cuisses.
« Quand on fait pipi au lit, c’est la fessée immédiate mon garçon ! »
Elle prend son élan et.je reçois une bonne cinquantaine de claques très
fortes. C’est à nouveau la fessée parentale
que je redoutais tant, une fessée méthodique et magistrale.
Le reste de la journée s’est déroulé sans heurt, je n’ai pas reçu d’autres
raclées et Madame Leblanc m’a déposé à mon train pour Paris. Arrivé à la gare
j’ai filé prendre le métro pour ne pas être en retard le premier jour de mon
stage. J’arrive à l’agence, je suis accueilli par une assistante qui me conduit
au 4ème étage.et qui me dit d’attendre quelques minutes la directrice
qui va me recevoir. Elle supervisera mon stage. Je suis ravi d’avoir enfin le
statut d’adulte responsable investi et motivé pour réussir mon stage.
J’entends des talons qui claquent dans le couloir les bruits se rapprochent
la porte s’ouvre et se tiens devant moi une vielle connaissance que je ne
pensais pas croiser à l’agence.
« Bonjour Luca, je suis Cécile Leblanc, je suis la directrice de
l’agence, chargée de superviser ton stage, la bonne nouvelle c’est que je te
connais, la mauvaise c’est que tu connais ma sévérité. Ton stage va durer 6
mois, c’est long. Tiens-toi à carreau, fait bien ton job et tu apprendras
beaucoup de choses et tu passeras un bon
moment chez nous. Chaque semaine nous feront le point sur tes dossiers et si tu
as commis des fautes, ou si tu procrastines, tu viendras faire des aller retour
en travers de mes cuisses. Je te baisserai le pantalon et le slip et tu recevras
la fessée déculottée dans mon bureau devant ma secrétaire Josette. Donc
tiens-toi à carreau sinon gare à tes fesses ! »
La semaine s’est déroulée sans heurts. J’apprenais chaque jour le métier de
chef de pub. J’y mettais un certain enthousiasme et je me sentais maintenant en
pleine confiance, un jeune adulte responsable travailleur, poli et rigoureux.
Le vendredi arriva et je fus convoqué dans le bureau de Madame Leblanc pour
faire le point sur la semaine.
« Bonjour Luca, je tiens tout d’abord à te féliciter pour ton travail
de cette semaine. Je ne sais pas si c’est la crainte de te retrouver en travers
de mes genoux qui t’a motivé mais le résultat est là et je dois dire que je
suis agréablement surpris. Pour te récompenser je t’invite à venir diner chez
moi ce soir comme ça tu rencontreras mes enfants qui ont le même âge que
toi ».
–
Merci Madame pour votre invitation mais j’avais prévu de voir ma copine
Angélique »
–
Pas de problèmes tu n’as qu’à l’inviter. J’ai aussi une fille elle devrait bien
s’entendre. Ah au fait mon garçon tu n’aurais pas oublié un rendez-vous cette
semaine ?
–
Non je ne vois pas Madame »
–
Tu devais passer la visite médicale chez le docteur Lambert, c’est fâcheux car
elle a appelé pour prévenir que tu n’étais pas venu ! »
–
Euh, madame c'est-à-dire que je ne me souvenais plus de ce rendez-vous.
–
Pourtant j’ai vérifié, n’est pas Josette, il avait bien rendez-vous à 15h mardi ?
–
Oui Madame la directrice »
–
Donc finalement si je fais le bilan de la semaine, tu as commis une grosse
bêtise »
–
Oui Madame mais je suis désolé, je ne recommencerais plus
–
Tu mérites une bonne fessée comme promis, mais je dois m’absenter pour un
rendez-vous donc c’est Josette qui va s’en charger. Elle a l’habitude corriger
les mauvais comportements »
–
Euh non Madame… »
Je
suis interrompu par une formidable paire de claque de Josette qui stoppe toute
protestation.
Madame Leblanc sort de la pièce et Josette me fait signe d’approcher, sa
main est très menaçante, son regard sévère. Je me lève intimidé et honteux de
la correction qui m’est promise. Je suis à coté d’elle et je détaille Josette,
1m70, d’allure sportive, habillée d’un tailleur chic avec un chemisier blanc
dissimulant à peine une poitrine bien imposante. Elle porte des bas nylons
noirs et des bottes en cuir. C’est une très belle femme et quand elle me baisse
le pantalon j’ai du mal à cacher une érection. Elle me donne 4 claques sur le
slip pour me recadrer.
Avec une grande maitrise elle me bascule énergiquement en travers de sa cuisse gauche
et referme sa cuisse droite emprisonnant mes cuisses, mon postérieur est
maintenant à la portée de ses belles mains et pas moyen d’échapper à son
emprise.
– Vilain garçon quelle honte de planter un rendez-vous médical, tu vas
recevoir une fessée mémorable »
Elle me baisse le slip en le retournant s’arrêtant en dessous des fesses,
cette position est la plus humiliante qui soit, elle va me fesser comme un
petit garçon.
Elle lève la main très haute et me claque vigoureusement les fesses. Je n’ai
pas compté les claques mais la correction a durée au moins cinq minutes et
chaque claque me semblait plus forte que la précédente. J’ai essayé de supplier
et de demander pardon. Rien n'y fait Josette est une correctrice méthodique qui
sait donner la fessée et ne s'arrête que quand elle le juge nécessaire.
Elle termine sa formidable fessée déculottée par 10 claques très fortes en
me demandant de les compter.je me relève et suis conduit au coin, fesses nues
rougies et bien chaudes, des larmes ont coulé sur ma joue. J’ai si honte de moi
et en même temps je ne peux qu’avouer que je l’ai bien méritée cette raclée.Josette me demande de téléphoner au docteur
pour m’excuser de mon oubli et de prendre rendez-vous. Puis elle me demande de
raconter dans le détail au médecin la correction que j’ai reçue.
Madame
Lambert écoute avec attention et ne fais qu’un seul commentaire
–
C’est bien fait pour vous jeune homme. Attendez de me voir la semaine prochaine
et j’aurai bien envie de vous allonger sur mes cuisses et de vous baisser la
culotte »
Décidemment
ma semaine vire à la catastrophe, et dire que j’ai donné rendez-vous à ma copine
chez Madame Leblanc, je présage du pire. Je ne me vois pas avouer à ma chère
Angélique que j’ai reçu la fessée dans le bureau de Madame Leblanc.
Le
fameux diner arrive, Madame Leblanc nous reçoit dans sa charmante maison. Elle nous
présente ses enfants Antoine, un garçon tout maigre d’à peine 20 ans et
Clotilde une petite rousse ravissante âgée de 18 ans. Nous sympathisons assez
facilement et la soirée se déroule sans heurts. Après avoir bien diné, le
dessert arrive et Madame Leblanc me demande de me lever et de raconter devant
tout le monde ce qui s’est passé à l’agence.
Tout
tremblant je raconte en détail ma correction administrée par Josette. Je vois
le regard d’Angélique qui se trouble. Elle ne comprend pas, elle n’ose pas
comprendre que son petit ami a reçu la fessée cul nu à 21 ans. Quelle
honte !
–
Alors Luca, tu as bien digéré la fessée de Josette ?
–
Oh oui Madame
–
Tant mieux par ce que c’est à moi de te corriger maintenant
–Oh
non Madame pas ici, pas devant tout le monde.
–
Comme si c’était la première fois, tu n’as pas tout dit à ce propos…
–
Non Madame s'il vous plait, ne racontez pas.
–
Tais-toi et viens ici tu es décidemment un vilain garçon et sachez chers
enfants que j’ai déjà donné 4 fessées à ce jeune homme et que la cinquième
c’est maintenant ! Déboucle ta ceinture que je te baisse le
pantalon"
Je déboucle ma ceinture résigné et c’est le signal qu’elle attendait pour
me baisser le pantalon à mi cuisses. Me voilà ridicule en slip devant tout le
monde, les commentaires fusent et je n’ose y prêter attention tellement j’ai
honte. Je baisse les yeux vers le sol. Cécile Leblanc me demande de m’allonger
sur le dos en travers du canapé. Je ne comprends pas pourquoi. Elle me lève les
jambes et relève mon slip. Je comprends ce qui m’attend la fessée en position diaper; c’est la position la plus
humiliante, celle qu’on prend pour changer la couche d’un bébé sauf que je ne
suis pas un bébé et que je ne porte pas de couches. Elle me claque les fesses et
je constate que les claques font beaucoup plus mal car les fesses sont tendues
et la fessée est plus cuisante.
« Non Madame je vous en prie pas comme çà !
– Je vais t'apprendre à m’obéir mon cher enfant, tu vas recevoir la fessée déculottée comme je la donne souvent à
mes enfants pas sages »
Elle prend tout son élan pour me donner la fessée. Clac, clac, clac, Ses
mains claquent mes fesses de plus en fort, de plus en plus vite. Je crie, me
tortille, essaye de me dégager alors elle accélère les claques et sa correction
devient très cuisante. J'ai les fesses rouges. Madame Leblanc est si appliquée
qu’elle ne tient pas compte de mes pleurs, ni de mes supplications.
C’est cette fessée que je garderais en mémoire pendant longtemps car elle a
été mémorable tant par sa sévérité que par la honte provoquée. Des années plus
tard je me souviens qu’un soir chez ma responsable de stage j’ai reçu la fessée
déculottée en public et que mon amoureuse a mit fin à notre relation tellement
elle avait honte de moi.
Merci pour ce très beau récit pleins de rebondissements, que de fessées reçues par ce jeune adulte! vous décrivez aussi bien le ressenti de Luca puni comme un ado, la honte d'être déculotté et fessé à 21 ans par des femmes sexy et autoritaires. J'espère qu'il y aura une suite des aventures car c'est sympa à suivre.
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerQue demander de plus ? Récit enlevé. Belle femmes, fortes, sévères, cuisantes séances de fessées déculottées, tout y est pour satisfaire le lecteur!
Ramina
Bonsoir,
RépondreSupprimerOh oui très très beau récit ! J'avais le coeur qui battait assez fort tellement j étais exité !
Cela serait un grand rêve pour moi de vivre cette situation. Merci beaucoup .
ERIK12