mardi 4 septembre 2018

Un stage amer mais profitable


Un stage au gout un peu amer (récit  de Vincent)

Quand je m’interroge sur d’où me vient cette passion pour la fessée je me remémore un épisode marquant de ma jeune vie d’adulte qui a sans doute confirmé mon besoin d’être corrigé régulièrement. Cela se passai dans les années 80 à l’époque j’étais étudiant en troisième année à science Po Paris et je rentrai le week-end chez mes parents en banlieue lyonnaise. J’avais 21 ans j’étais sûr de moi, travailleur, je réussissais tout ce que j’entreprenais, et j’avais décroché un stage de fin d’étude dans une des plus réputée agence de communication. Nous étions samedi midi, je débutais mon stage lundi matin et mes parents m’avaient proposé de les rejoindre pour la soirée chez des amis dans le centre de Lyon.

Je débarquais du train l’air serein, j’avais eu ma copine Angélique au téléphone, on avait prévu de se voir dimanche sur Lyon pour se balader comme deux amoureux. Je débarquais chez Monsieur et Madame Leblanc les amis des parents, un couple d’une quarantaine d’années aisé et bourgeois que je n’avais vu qu’une seule fois, il y a bien longtemps. Je fus accueilli par Madame, une grande brune d’1m 80, habillé d’un tailleur rouge chic et strict, un chignon, des bottes en cuir vert. Elle était vraiment très belle et je ne pouvais détacher mes yeux de son opulente poitrine à peine dissimulée sous son chemisier blanc crème.
« Bonjour jeune homme, entre je te prie, viens nous rejoindre dans le salon »
La soirée fut sympa mais un peu longue. Après avoir diné copieusement tous les invités se retrouvèrent dans le salon pour converser. J’en avais marre d’être là, je manifestais un certain agacement et je me montrais fort peu aimable, je décidais même de fausser compagnie aux invités pour aller boire un verre de vin dans la cuisine.
En sortant de la cuisine je croisais la route de Madame Leblanc qui me jeta un regard très sévère, fronçant les sourcils. D’une poigne énergique elle me prit le bras et se dirigea vers la chambre de sa fille de 10 ans.
« Mon cher Luca, je n’apprécie pas du tout ton attitude hautaine et tes propos déplacés. Si tu t’ennuies, il ne fallait pas venir, tu as fait honte à tes parents et provoqué une gêne que je ne peux tolérer. Au lieu de te comporter comme un adulte responsable  tu te comportes comme un ado de 12 ans. J’ai 4 enfants dont certains sont de grands ados et si l’un d’eux s’était comporté comme toi je lui aurais flanqué une bonne fessée ! J’en ai parlé à tes parents et ils me donnent carte blanche pour te punir. »

« Non madame vous ne pouvez pas me fesser, je ne suis plus un gamin »
Je fus interrompu par une bonne paire de claque qui eut le mérite de calmer mes plaintes.

« Oui mon garçon tu  mérites une  fessée longue et cuisante »
Et joignant le geste à la parole me voila debout tiré par l’oreille, penché sous son bras.
« Non pas question »
Je suis interrompu par une cinglante série de claques sur mon pantalon. Cela a le mérite de me recadrer vite fait, je n'en mène pas large. Puis elle poursuit avec un ton autoritaire
«  Déboucle ta ceinture que je te baisse le pantalon"
Je déboucle ma ceinture trop lentement à son goût, Elle se rue sur moi et me claque les fesses et avec une certaine dextérité elle me baisse à la volée le pantalon et le slip.
A ce moment je ressens une certain gêne, mon sexe en érection, je bafouille, je rougi, j’ai tellement honte.
« Non Madame je vous en prie pas comme çà ! ».

 Elle me dirige vers le lit de sa fille  et d'un mouvement énergique me bascule en travers de ses cuisses. Je suis surpris par sa poigne je pose mes mains tendues sur le lit. A ce moment je réalise le ridicule de la situation. A 21 ans je suis allongé, cul nu en travers des cuisses de Madame Leblanc, le slip baissé aux chevilles, mon pantalon qui boudine à mes pieds. Et je vais recevoir une fessée déculottée comme si j’avais 12 ans.
« Je vais t'apprendre à m’obéir mon cher enfant, tu vas recevoir la  fessée déculottée comme je la donne souvent à mes enfants pas sages »
Elle prend tout son élan pour me donner la fessée. Clac, clac, clac, Ses mains claquent mes fesses de plus en plus fort, de plus en plus vite. Je crie, me tortille, essaye de me dégager alors elle accélère les claques et sa correction devient très cuisante. J'ai les fesses rouges. Madame Leblanc est une experte en fessée, elle doit en donner souvent, sa raclée fut mémorable. Après une cinquantaine de claques, elle me relève, je remonte mon slip et elle me met au coin. Je reste au coin méditant sur mon comportement pendant cinq minutes. Elle me gronde et me demande de réfléchir à ma punition en silence. J’ai les fesses toutes rouges et j'ai honte d'être traité ainsi.

Madame Leblanc s’est absentée pendant de longues minutes sans doute pour s’occuper de ses invités dans le salon.
Elle revient dans la chambre brandissant un martinet, je blêmis à la vue de l’instrument
Elle prend un certain élan et  me cingle les fesses, je crie de douleur, les lanières fouettent mes fesses nues. Une série de 30 coups claque mes fesses, chaque coup annonce le suivant et cela me semble interminable. J’ai si mal aux fesses. Elle me reculotte et fais une pause.

« La première fessée c’était pour t’enlever ta fierté et mâter ton insolence, la seconde sera préventive pour que tu n’as pas envie de recommencer tes pitreries. Approche que je te m’occupe de tes petites fesses…
- Mais Madame… »
Joignant le geste à la parole, elle me tire vers elle, s'assied sur le lit et m’allonge à nouveau en travers du lit.
Elle me gronde et me donne une fessée méthodique, de plus en plus fort, sa main a une endurance que je ne soupçonnais pas. C’est la fessée parentale, c’est comme si maman me corrigeait quand j’étais plus jeune. Une fessée retentissante, interminable et cuisante. Je crie, je demande pardon
Je suis en sanglots, mes fesses me brûlent.
Madame Leblanc fait une pause, je sens la chaleur qui irradie de mon postérieur.
Elle me gronde pendant de longue minutes, je ne fais pas attention à son sermon concentré sur la douleur de mes fesses.
« Qu’est-ce que j’ai dit Jeune Homme ?
Je suis incapable de répondre.
-On dirait que ma fessée n’a pas suffi à changer ton comportement tant pis pour toi, je recommence la fessée. Tu sais j’ai l’habitude de corriger mes enfants, j’ai une grande endurance »

Et c’est une nouvelle fessée, une raclée mémorable, la FESSEE qui punit, celle qui châtie, la fessée parentale longue et sévère. Une main très énergique claque mes fesses rendant la cuisson tout de suite difficilement supportable. J’ai arrêté de compter les claques après 200. Jamais je n’avais reçu une telle correction. Je me relève et je suis conduit au coin où je dois me tenir debout culotte baissée. Quelle honte d'être ainsi posté les fesses rougies.

Après de longues minutes elle me reconduit au salon ou tous les invités se demandent où j’étais passé pendant tout ce temps. Je n’ose pas croiser leur regard, je baisse les yeux, honteux, assis sur mes fesses qui me font très mal. Je n’ose bouger.
La soirée se termine et vient l’heure de partir. Madame Leblanc propose de me raccompagner à mon hôtel, mes parents devant partir sur le champ pour un mariage en province. Je n’ai pas du tout envie de me faire raccompagner par une dame dont je crains désormais les cuisantes fessées. Je n’ai pas trop le choix et je monte dans son break Volvo en silence. Je n’ose entamer la conversation. Elle se montre pourtant fort agréable, me questionnant sur mon stage, s’intéressant à mes études. Pendant le trajet je me montre docile mais vient la phrase de trop celle que ma conductrice ne peux admettre.
Mettant son clignotant, elle s’engage sur la prochaine sortie et se gare sur une aire de stationnement.
Elle coupe son moteur, sort de la voiture, ouvre ma portière, et avec une certaine poigne me tire hors du véhicule. Je bafouille, j’ai vite compris ce qui allait se passer.
« Non Madame pas la fessée, je vous en prie… »
Me tirant par l'oreille, elle se dirige vers un banc. Sans dire un mot elle me couche sur ses genoux.
Elle me baisse dans la foulée pantalon et slip et commence sa fessée. J’entends le bruit de sa main qui claque mes fesses. Je trépigne et j’encaisse les claques les unes après les autres ne sachant pas quand la fessée s’arrête, si elle va être plus rapide, plus forte, plus appuyée. Elle me fesse pendant de longues minutes, une raclée mémorable. Ah que Madame Leblanc sait bien fesser.

 « Au fait Luca je m’appelle  Cécile et ce soir changement de programme tu vas dormir chez moi. Vu ton comportement tu vas recevoir plusieurs fessées. Une avant d’aller te coucher en pyjama. C’est la fameuse « over the knew bare bottom spanking overbed time » comme l’appellent les anglais.
Tu dormiras probablement sur le ventre vu la rougeur de tes fesses. Et tu recevras une autre fessée au petit déjeuner devant mes enfants sachant qu’il est probable que je sois aussi obligé de fesser l’un de mes chers chérubins.
Arrivé chez elle, elle m’accompagne dans la chambre de son fils Antoine et me tend un pyjama petit bateau. Je me déshabille et l’enfile, je ressemble à un petit enfant dans mon pyjama bleu et blanc. Je ne sais pas si je devais conserver mon slip ou pas, par crainte de commettre un faux pas je l’ai enfilé sous mon pyjama. Dans ma tête raisonne encore les mots terribles de Cécile Leblanc « met toi en pyjama en vitesse, je reviens dans un instant pour te donner la fessée que tu mérites »
J’entends ses talons qui claquent dans le couloir, la porte s’ouvre. Madame Leblanc s’assoie sur le lit et me fait signe d’approcher. Je me lève tout timide, à porté de sa main me voilà énergiquement basculé sur les genoux et en 2 secondes, elle me baisse pyjama et slip aux chevilles.
Elle prend son élan et me claque vigoureusement les fesses. Je reçois une centaine de claques très, très fortes,  J’ai beau supplier  et  demander pardon. Rien n'y fait quand elle a décidé de fesser, elle fesse et ne s'arrête que quand elle le juge nécessaire.
Elle termine sa formidable fessée déculottée en travers de sa cuisse, une fessée magistrale, méthodique, presque académique.

La correction se termine, elle me remonte slip et pyjama et me borde dans le lit, je pleure comme un enfant. Elle me dépose un baiser sur le front et me souhaite bonne nuit. Je passe une mauvaise nuit à cause de la cuisson sur mes fesses. Moi qui était venu pour passer une bonne soirée, je me couche ayant reçu plus de 4 fessées magistrales dans des positions si honteuses que je n’oserais pas en parler à ma copine.

Je suis réveillé par une Madame Leblanc très sexy avec son jean taille basse moulant et son tee-shirt rose qui a du mal à contenir sa généreuse poitrine.
Je me lève tout penaud tachant de dissimuler la tâche grandissante sur mon bas de pyjama.
« Bonjour Luca, je vois que tu as passé une nuit agitée, tu n’as pas honte de toi, un grand garçon qui mouille son pyjama ! »
– Madame je suis désolé, je ne comprends pas, j’ai fait pipi au lit »
– Bon de toutes les façons je t’avais promis une fessée au réveil, j’ai une raison supplémentaire de sévir »
Joignant le geste à la parole elle me baisse pantalon et slip mouillé et après avoir étendu une serviette sur ses genoux m’allonge sur ses belles cuisses.  
«  Quand on fait pipi au lit, c’est la fessée immédiate mon garçon ! »
Elle prend son élan et.je reçois une bonne cinquantaine de claques très fortes. C’est à nouveau  la fessée parentale que je redoutais tant, une fessée méthodique et magistrale.
Le reste de la journée s’est déroulé sans heurt, je n’ai pas reçu d’autres raclées et Madame Leblanc m’a déposé à mon train pour Paris. Arrivé à la gare j’ai filé prendre le métro pour ne pas être en retard le premier jour de mon stage. J’arrive à l’agence, je suis accueilli par une assistante qui me conduit au 4ème étage.et qui me dit d’attendre quelques minutes la directrice qui va me recevoir. Elle supervisera mon stage. Je suis ravi d’avoir enfin le statut d’adulte responsable investi et motivé pour réussir mon stage.
J’entends des talons qui claquent dans le couloir les bruits se rapprochent la porte s’ouvre et se tiens devant moi une vielle connaissance que je ne pensais pas croiser à l’agence.
« Bonjour Luca, je suis Cécile Leblanc, je suis la directrice de l’agence, chargée de superviser ton stage, la bonne nouvelle c’est que je te connais, la mauvaise c’est que tu connais ma sévérité. Ton stage va durer 6 mois, c’est long. Tiens-toi à carreau, fait bien ton job et tu apprendras beaucoup de choses et tu  passeras un bon moment chez nous. Chaque semaine nous feront le point sur tes dossiers et si tu as commis des fautes, ou si tu procrastines, tu viendras faire des aller retour en travers de mes cuisses. Je te baisserai le pantalon et le slip et tu recevras la fessée déculottée dans mon bureau devant ma secrétaire Josette. Donc tiens-toi à carreau sinon gare à tes fesses ! »

La semaine s’est déroulée sans heurts. J’apprenais chaque jour le métier de chef de pub. J’y mettais un certain enthousiasme et je me sentais maintenant en pleine confiance, un jeune adulte responsable travailleur, poli et rigoureux.
Le vendredi arriva et je fus convoqué dans le bureau de Madame Leblanc pour faire le point sur la semaine.
« Bonjour Luca, je tiens tout d’abord à te féliciter pour ton travail de cette semaine. Je ne sais pas si c’est la crainte de te retrouver en travers de mes genoux qui t’a motivé mais le résultat est là et je dois dire que je suis agréablement surpris. Pour te récompenser je t’invite à venir diner chez moi ce soir comme ça tu rencontreras mes enfants qui ont le même âge que toi ».
– Merci Madame pour votre invitation mais j’avais prévu de voir ma copine Angélique »
– Pas de problèmes tu n’as qu’à l’inviter. J’ai aussi une fille elle devrait bien s’entendre. Ah au fait mon garçon tu n’aurais pas oublié un rendez-vous cette semaine ?
– Non je ne vois pas Madame »
– Tu devais passer la visite médicale chez le docteur Lambert, c’est fâcheux car elle a appelé pour prévenir que tu n’étais pas venu ! »
– Euh, madame c'est-à-dire que je ne me souvenais plus de ce rendez-vous.
– Pourtant j’ai vérifié, n’est pas Josette, il avait bien rendez-vous à 15h mardi ?
– Oui Madame la directrice »
– Donc finalement si je fais le bilan de la semaine, tu as commis une grosse bêtise »
– Oui Madame mais je suis désolé, je ne recommencerais plus
– Tu mérites une bonne fessée comme promis, mais je dois m’absenter pour un rendez-vous donc c’est Josette qui va s’en charger. Elle a l’habitude corriger les mauvais comportements »
– Euh non Madame… »
Je suis interrompu par une formidable paire de claque de Josette qui stoppe toute protestation.

Madame Leblanc sort de la pièce et Josette me fait signe d’approcher, sa main est très menaçante, son regard sévère. Je me lève intimidé et honteux de la correction qui m’est promise. Je suis à coté d’elle et je détaille Josette, 1m70, d’allure sportive, habillée d’un tailleur chic avec un chemisier blanc dissimulant à peine une poitrine bien imposante. Elle porte des bas nylons noirs et des bottes en cuir. C’est une très belle femme et quand elle me baisse le pantalon j’ai du mal à cacher une érection. Elle me donne 4 claques sur le slip pour me recadrer.
Avec une grande maitrise elle me bascule  énergiquement en travers de sa cuisse gauche et referme sa cuisse droite emprisonnant mes cuisses, mon postérieur est maintenant à la portée de ses belles mains et pas moyen d’échapper à son emprise.
– Vilain garçon quelle honte de planter un rendez-vous médical, tu vas recevoir une fessée mémorable »
Elle me baisse le slip en le retournant s’arrêtant en dessous des fesses, cette position est la plus humiliante qui soit, elle va me fesser comme un petit garçon.
Elle lève la main très haute et me claque vigoureusement les fesses. Je n’ai pas compté les claques mais la correction a durée au moins cinq minutes et chaque claque me semblait plus forte que la précédente. J’ai essayé de supplier et de demander pardon. Rien n'y fait Josette est une correctrice méthodique qui sait donner la fessée et ne s'arrête que quand elle le juge nécessaire.
Elle termine sa formidable fessée déculottée par 10 claques très fortes en me demandant de les compter.je me relève et suis conduit au coin, fesses nues rougies et bien chaudes, des larmes ont coulé sur ma joue. J’ai si honte de moi et en même temps je ne peux qu’avouer que je l’ai bien méritée cette raclée.Josette me demande de téléphoner au docteur pour m’excuser de mon oubli et de prendre rendez-vous. Puis elle me demande de raconter dans le détail au médecin la correction que j’ai reçue.
Madame Lambert écoute avec attention et ne fais qu’un seul commentaire
– C’est bien fait pour vous jeune homme. Attendez de me voir la semaine prochaine et j’aurai bien envie de vous allonger sur mes cuisses et de vous baisser la culotte »
Décidemment ma semaine vire à la catastrophe, et dire que j’ai donné rendez-vous à ma copine chez Madame Leblanc, je présage du pire. Je ne me vois pas avouer à ma chère Angélique que j’ai reçu la fessée dans le bureau de Madame Leblanc.


Le fameux diner arrive, Madame Leblanc nous reçoit dans sa charmante maison. Elle nous présente ses enfants Antoine, un garçon tout maigre d’à peine 20 ans et Clotilde une petite rousse ravissante âgée de 18 ans. Nous sympathisons assez facilement et la soirée se déroule sans heurts. Après avoir bien diné, le dessert arrive et Madame Leblanc me demande de me lever et de raconter devant tout le monde ce qui s’est passé à l’agence.
Tout tremblant je raconte en détail ma correction administrée par Josette. Je vois le regard d’Angélique qui se trouble. Elle ne comprend pas, elle n’ose pas comprendre que son petit ami a reçu la fessée cul nu à 21 ans. Quelle honte !
– Alors Luca,  tu as  bien digéré la fessée de Josette ?
– Oh oui Madame
– Tant mieux par ce que c’est à moi de te corriger maintenant
–Oh non Madame pas ici, pas devant tout le monde.
– Comme si c’était la première fois, tu n’as pas tout dit à ce propos…
– Non Madame s'il vous plait, ne racontez pas.
– Tais-toi et viens ici tu es décidemment un vilain garçon et sachez chers enfants que j’ai déjà donné 4 fessées à ce jeune homme et que la cinquième c’est maintenant ! Déboucle ta ceinture que je te baisse le  pantalon"
Je déboucle ma ceinture résigné et c’est le signal qu’elle attendait pour me baisser le pantalon à mi cuisses. Me voilà ridicule en slip devant tout le monde, les commentaires fusent et je n’ose y prêter attention tellement j’ai honte. Je baisse les yeux vers le sol. Cécile Leblanc me demande de m’allonger sur le dos en travers du canapé. Je ne comprends pas pourquoi. Elle me lève les jambes et relève mon slip. Je comprends ce qui m’attend la fessée en position diaper; c’est la position la plus humiliante, celle qu’on prend pour changer la couche d’un bébé sauf que je ne suis pas un bébé et que je ne porte pas de couches. Elle me claque les fesses et je constate que les claques font beaucoup plus mal car les fesses sont tendues et la fessée est plus cuisante.
« Non Madame je vous en prie pas comme çà !
– Je vais t'apprendre à m’obéir mon cher enfant, tu vas recevoir la  fessée déculottée comme je la donne souvent à mes enfants pas sages »

Elle prend tout son élan pour me donner la fessée. Clac, clac, clac, Ses mains claquent mes fesses de plus en fort, de plus en plus vite. Je crie, me tortille, essaye de me dégager alors elle accélère les claques et sa correction devient très cuisante. J'ai les fesses rouges. Madame Leblanc est si appliquée qu’elle ne tient pas compte de mes pleurs, ni de mes supplications.
C’est cette fessée que je garderais en mémoire pendant longtemps car elle a été mémorable tant par sa sévérité que par la honte provoquée. Des années plus tard je me souviens qu’un soir chez ma responsable de stage j’ai reçu la fessée déculottée en public et que mon amoureuse a mit fin à notre relation tellement elle avait honte de moi.

3 commentaires:

  1. Merci pour ce très beau récit pleins de rebondissements, que de fessées reçues par ce jeune adulte! vous décrivez aussi bien le ressenti de Luca puni comme un ado, la honte d'être déculotté et fessé à 21 ans par des femmes sexy et autoritaires. J'espère qu'il y aura une suite des aventures car c'est sympa à suivre.

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour,
    Que demander de plus ? Récit enlevé. Belle femmes, fortes, sévères, cuisantes séances de fessées déculottées, tout y est pour satisfaire le lecteur!
    Ramina

    RépondreSupprimer
  3. Bonsoir,
    Oh oui très très beau récit ! J'avais le coeur qui battait assez fort tellement j étais exité !
    Cela serait un grand rêve pour moi de vivre cette situation. Merci beaucoup .
    ERIK12

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.