Une fermeté bienvenue

Mais si, ma chérie, c'est précisément l'endroit où tu dois être pendant ces prochaines minutes. Je me doute que ce n'est pas exactement ce dont tu avais rêvé, mais, tu sais, il y a parfois des moments délicats dans la vie, où il faut passer par quelques situations désagréables, mais c'est pour ton bien.

J'aurais peut-être dû te prévenir, quand tu m'as demandé de venir loger chez moi, que je n'accepterai pas les colères, surtout quand c'est une grande fille de vingt-et-un ans qui les fait. Mais, d'un autre côté, puisque j'ai sous mon toit une jeune fille qui se comporte comme une petite peste, je sais comment il faut que je m'y prenne.

Tu sais que ta mère et moi, nous sommes des amies de longue date. Cela fait plusieurs années que je lui dis qu'elle n'est pas assez ferme avec toi. Une demoiselle qui répond aux personnes plus âgées qu'elle, qui n'obéit pas, qui n'en fait qu'à sa tête et qui fait une colère quand on lui en fait la remarque, c'est qu'elle a besoin d'être reprise en mains. Je vais m'en charger.

Mais non, ma chérie, il n'y a rien de surprenant à recevoir sa première fessée déculottée à l'âge de vingt-et-un ans. Je sais, c'est vexant et humiliant de se retrouver allongée à plat-ventre sur mes genoux; la culotte baissée, alors qu'on s'était cru, qu'en tant qu'adulte, à l'abri de ce genre de traitement.

Vois-tu l'âge n'y change rien. Certaines personnes ont besoin, bien après qu'elles aient eu dix-huit ans, d'être surveillées de près et d'être punies quand elles refusent de se comporter comme une grande personne. Je ne suis pas étonnée que tu en fasses partie.

Je sais que cela te fait très mal aux fesses. C'est exactement pour cela que je le fais. j'aurais pu, pour une première fois, n'utiliser que ma main nue. Je pense que tu n'aurais pas aussi bien compris le message. Celui que ma brosse te délivre, est d'une clarté limpide. Une désobéissance dans cette maison ou un comportement inconvenant, c'est finir, à coup sûr, avec des fesses cuisantes.

Quand on ne comprends pas les avertissements qui nous sont donnés, c'est qu'on a besoin d'une méthode plus persuasive et je n'en connais pas de meilleure qu'une bonne fessée. Tu as sans doute cru que tu pouvais les ignorer. Maintenant, tu sais que ce n'est pas le cas.

Cette fessée ne s'arrêtera pas avant que tu aies cessé de te débattre et que tu aies accepté que je te punisse quand je l'estimerai nécessaire. Je vais continuer jusqu'à ce que tu restes sagement allongée sur mes genoux pendant que je te punis. Cela peut prendre du temps, mais nous y arriverons.

Je suis d'accord pour que tu battes des pieds, que tu pleures et que tu cries autant que tu le voudras. Tout cela est normal quand on reçoit une fessée. Mais il est interdit d'essayer de se lever et de tenter de se soustraire à la punition que j'ai décidé de te donner. Tant que tes mouvements intempestifs me gêneront, je poursuivrai la fessée. Ne te fais pas d'illusion, je n'ai aucun mal à te maintenir en place. Tu te fatigueras avant moi. Tu resteras là tant que je le souhaiterai.

Tant que nous y sommes, c'est également la dernière fois que tu essayeras de m'empêcher de te déculotter. Cela fait désormais partie de mes prérogatives et je n'hésiterai pas à en user. Te baisser la culotte pour te fesser te fera bien mieux comprendre que tu viens de commettre un écart de conduite inadmissible.

Voilà comment va se passer la fin de la soirée. Quand tu auras compris que cette fessée est méritée et que tu me laisseras te punir sans t'y opposer, tu iras au coin. Ce sera la culotte baissée, bien entendue. Tu t'y feras oublier jusqu'à ce que je t'autorise à en sortir. Sois bien certaine que ce ne sera pas tout de suite. Il faut que tu aies le temps d'y réfléchir à ta nouvelle condition.

Pendant ce temps, je téléphonerai à ta patronne. Elle m'a informée que c'est c'est la deuxième fois, en quatre jours de travail, que tu lui réponds insolemment. Je lui proposerai de passer ce soir pour assister à la deuxième punition que tu vas avoir pour t'être débattue alors que j'avais entrepris de te punir.

Cette deuxième fessée te sera donnée avec une badine que tu iras couper dans la haie du jardin. Je veux pouvoir laisser quelques marques sur tes fesses pour un jour ou deux. Je te laisserai alors quelques minutes pour récupérer au coin, avant que ta patronne ne te punisse pour tes insolences au travail.

Je lui recommanderai de te fesser non seulement dès ce soir, mais ensuite à chaque fois qu'elle sera mécontente de ton travail. C'est moi qui t'ai recommandée auprès d'elle et je ne voudrais pas qu'elle regrette de t'avoir prise en apprentissage. Je l'autoriserai également à te fesser en présence des clients quand tu auras été désagréable avec eux.

Tu verras, ma chérie, tu vas devenir une grande fille sage et obéissante. Cela ne t’épargnera pas les fessées, il y a tant de choses à améliorer dans tes façons de faire. Mais ne t'inquiète pas, je vais également m'occuper de tes heures de coucher, de ton maquillage exubérant, de vérifier que tu travailles suffisamment pour tes études, que tu t'habilles décemment, que ton hygiène corporelle est suffisante... tout ce que tu as du mal à assumer tout seule.

Grand merci au dessinateur, mais qui est-il ou qui est-elle ?

Un dessinateur, pour l'instant anonyme, à qui j'ai emprunté ce dessin trouvé sur Internet. Si vous connaissez son identité...

Loger chez soi des jeunes gens donne des obligations

                                                   

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