« Nous
avons assez abusé du temps de ces dames. Il est temps de rentrer à la maison.
Du travail nous y attend. »
D’un
tour de main, Catherine se retrouva debout face à sa belle-mère. Elle n’eut pas
le temps d’esquisser un geste avant que Maman Martha se charge de remonter sa
culotte. Elle eut l’intelligence de se laisser faire. Elle fut rhabillée comme
cela ne lui était plus arrivé depuis qu’elle était une petite fille. Cela
augurait bien de la façon dont elle était considérée par Maman Martha.
Madame
Gorevski prit le temps de moucher sa petite fille, de lui remettre en place les
cheveux, puis, satisfaite de son examen, elle donna une petite claque sur les
fesses de sa bru.
« Va
dire bonsoir ! Un bisou à tout le monde ! »
Catherine
resta interdite. Un bisou… comme une petite fille ? Cela n’était pas dans
les pratiques entre les personnes de ce bureau. Elle ne savait visiblement pas
comment faire. Madame Raveneau prit l’initiative. Elle attrapa Catherine par la
main et elle l’entoura de ses bras. Une petite tape sur les fesses, un bisou
sur le front.
« Je
ne te souhaite pas une bonne soirée. La tienne risque d’être difficile. A
demain et avec de meilleures dispositions. »
Elle
conclut par une nouvelle tape, un peu plus appuyée sur les fesses et elle la
poussa vers Madame Colas qui la serra dans ses bras et déposa un bisou sur
chacune de ses joues.
« Daniel
aussi, ordonna Madame Gorevski. Tu as à te faire pardonner de lui ! »
Nous
étions tous les deux aussi mal à l’aise lorsque nous échangeâmes un bisou sur
nos deux joues. Madame Gorevski la prit alors par la main et après avoir
souhaité le bonsoir, elles nous quittèrent. Une Maman emmenant sa fille. On
aurait pu le croire si ce n’était le peu de différence de taille entre les deux
femmes qui dénotait dans le tableau.
Dès
le lendemain, l’atmosphère du bureau changea. Les fessées se généralisèrent. Il
y avait presque chaque jour l’un de nous quatre qui se trouvait en faute.
Maintenant que nous étions logés tous à la même enseigne, Madame Colas
n’hésitait plus à baisser la culotte au moindre prétexte.
Ce
furent les gestes d’humeur de Catherine qui déclenchèrent cette épidémie. Il avait
été décidé que chacun serait sanctionné par une fessée. C’est Madame Gorevski
qui l’avait demandé et Catherine avait de la peine à maîtriser son caractère.
Madame
Colas ne lui passait rien. Chaque remarque qu’elle devait lui faire était
suivie d’une fessée. Soucieuse de fermeté, mais également de justice, Madame
Colas n’administrait pas une fessée magistrale à chaque fois. Bien sûr elle
baissait la culotte. La fessée n’était pas concevable autrement. Mais la
plupart d’entre elles, données à main nue, se limitaient à obtenir une rougeur
modérée du postérieur et un court temps au coin ce qui n’en constituait pas
moins une punition qui marquait le coup.
Une
réponse trop vive de Magali à sa cheffe de bureau élargit le cercle des
bénéficiaires de ces sanctions limitées.
« Si
cela avait été Catherine qui m’avait répondu de cette façon, elle aurait été
fessée. Je ne vois pas pourquoi tu passerais à travers. Viens-ici !
–
Non pardon, je ne le ferai plus. Excusez-moi !
–
Trop tard, ma grande. C’est une question de justice. Si Catherine reçoit la
fessée pour avoir mal répondu, il est normal que toi aussi. »
Et
comme Magali faisait mine d’essayer, Madame Colas accentua la pression.
–Faut-il
que j’aille te chercher ? »
Magali
se rendit à la convocation de Madame Colas. Elle fut courbée sous le bras de sa
correctrice, sa jupe fut remontée dans son dos et sa culotte baissée. Elle
reçut une brève mais sèche fessée à main nue. Elle ne cria pas, mais les larmes
qui emplissaient ses yeux quand Madame Colas la laissa se relever, étaient
éloquentes.
Le
lendemain, ce fut Béatrice qui fut fessée pour n’avoir pas été assez
conciliante, au téléphone avec un client particulièrement acariâtre. Elle
n’avait pourtant pas été trop loin, tout juste avait-elle écourté la
conversation. Les jours précédents, ce genre de détails n’aurait même pas été
relevé.
Deux
jours plus tard j’y passais pour avoir esquissé un début de bouderie suite à
une remarque anodine de Madame Colas me promettant une fessée si je n’étais pas
plus attentif à mon travail. Mon visage se ferma et je baissais la tête sur mon
clavier, en reprenant mollement mon travail.
« Ce
n’est pas juste, pensais-je. Elle me gronde alors que j’ai bien travaillé toute
la matinée. Pour trente secondes de relâchement ! »
Je
n’étais pas satisfait d’avoir été repris et je voulais que Madame Colas s’en
aperçoive.
« Qu’est-ce
que c’est que ce garçon qui boude ? Viens-ici, je vais te faire passer
cette habitude ! »
Je
n’étais pas très démonstratif pour montrer que je n’étais pas content. Cela avait
conduit Magali qui s’y était essayée, tout droit à la fessée. Jusqu’à
maintenant, mes bouderies avaient été ignorées par Madame Colas. J’en usais et
j’en abusais sans qu’elle s’en offusquât. C’était ma façon de montrer, tout en
obéissant, que je n’en pensais pas moins : une petite tranche
d’indépendance à peu de frais.
J’avais
été surpris que mon attitude, mille fois adoptée sans conséquence, ait des
suites aussi désagréables. Il fallait faire marche arrière au plus tôt.
« Non,
non, je ne boude pas.
–
Faut-il que je m’occupe également de ce mensonge ? »
Aller
plus loin, c’était m’enfoncer inexorablement vers une mémorable correction. Il
était préférable d’en rester à la première punition annoncée sans insister. Je
me levais et je me rendais là où Madame Colas avait décidé de me fesser. Même
si elle ne l’avait pas énoncé explicitement, je ne me faisais pas d’illusion.
« Catherine
claque son tiroir quand elle n’est pas contente, Béatrice tape du pied par
terre, Magali passe ses nerfs sur les clients… et toi tu boudes. Tout cela,
c’est la même chose, me déclara Madame Colas tout en déboutonnant mon pantalon.
Quand je fais une remarque à l’un de vous, c’est qu’elle est méritée. Je
n’admets pas qu’un enfant puisse estimer qu’elle est injustifiée. »
Un
enfant… les enfants ! Madame Colas utilisait maintenant régulièrement ce
mot pour nous désigner. C’était nouveau. Elle ne le faisait que depuis le jour
où Catherine et Béatrice avaient rejoint le club des employés fessés quand elle
le jugeait nécessaire.
La
nature de son attention à notre égard avait changé. Bien sûr, il y avait
toujours le contrôle tatillon sur le travail que nous produisions. Celui de
Catherine et de Béatrice avait été inclus dans le périmètre d’une exigence
renforcée de notre cheffe de bureau. Après avoir effectué une tâche, nous
devions nous rendre au bureau de Madame Colas qui en vérifiait la qualité.
Elle
avait instauré un rituel qu’il ne s’agissait pas d’ignorer. Il nous en aurait
coûté. Le silence était maintenant exigé de nous.
« Comme
à l’école, avait-elle proclamé ! »
Il
était possible de parler, mais seulement après en avoir reçu l’autorisation.
Nous devions lever le doigt, tout en gardant le silence, pour la demander et
attendre qu’elle nous ait donné son aval. Il en était de même pour se déplacer
dans le bureau. Ce n’était possible qu’après en avoir obtenu la permission.
Celui
qui avait achevé un travail levait le doigt et attendait d’avoir attiré
l’attention de Madame Colas.
« Oui,
que veux-tu ?
–
J’ai fini, Madame.
–
Viens me montrer ce que tu as fait ! »
Debout
à côté de son bureau, nous attendions qu’elle ait pris connaissance de notre
production. Si elle était jugée insuffisante, c’était la fessée. Les motifs en
étaient divers : des erreurs, des oublis, une orthographe défaillante, une
mise en forme bâclée… tout cela amenait à être déculotté, puis corrigé. La
sévérité de la sanction dépendait du niveau d’approximation du travail fourni
et un moment au coin suivait immanquablement. Puis le travail était à refaire,
avec prière, la deuxième fois, d’arriver au nouveau temps de vérification qu’elle
exigeait, avec un document sans reproche.
Elle
avait également instauré les punitions à faire à la maison : lignes ou
règle de grammaire à copier, travail à finir ou exercice supplémentaire à
réaliser et souvent à faire signer par sa tutrice. Inutile de vous dire que
Madame Tolbois, comme ses consœurs, n’appréciaient pas et qu’elles nous le firent
savoir avec force de fessées.
Madame
Colas étendit rapidement son champ d’investigation. Tous les moments et les
aspects de notre vie au bureau firent devinrent l’objet de son attention
quotidienne. Malheur à celui qui n’observait pas les règles de politesse les
plus rigoureuses. Le bonjour, l’au-revoir, le s’il vous plait, le merci,
l’excusez-moi et autre je vous demande pardon… ne devaient être oubliés sous
aucun prétexte.
Elle
portait également une attention toute particulière à notre tenue. Il ne fallut
pas bien longtemps pour que les pantalons soient interdits à la gente féminine.
Les jupes devaient descendre en dessous des genoux et les chemisiers boutonnés
jusqu’au col. J’échappais aux plus rigoureuses consignes. Madame Tolbois avait
déjà « traditionnalisé » mon habillement et je correspondais déjà aux
normes exigées pour les sous-vêtements : le coton blanc et l’exclusion de
toute fantaisie. Le port de la cravate me fut imposé, ce qui constitua, pour
moi, le changement le plus notable.
Elle
se livrait fréquemment à des inspections de propreté. Etre pris avec les mains
sales, une tâche sur ses vêtements, amenait une sanction immédiate. Madame
Colas nous alignait devant son bureau à plusieurs moments de la journée, le
matin en arrivant, en début d’après-midi, … nous devions lui présenter nos
mains, de dos puis les paumes. Elle nous faisait alors pivoter devant elle, en
cherchant les éventuelles salissures sur les jupes, les pantalons ou les
chemises.
Bien
évidemment, les fessées étaient l’occasion de vérifier dans quel état se
trouvaient nos sous-vêtements et nos fesses. Quand leur état ne lui convenait
pas, une deuxième fessée se rajoutait à la première.
Nattes,
queue de cheval ou couettes étaient maintenant obligatoire pour les filles qui
avaient des cheveux longs, Nous ne pouvions pas nous présenter devant elle les
chevaux en désordre et, d’un revers de main, elle remettait, d’autorité, les
mèches rebelles en place. Un désordre capillaire persistent me valut une
sérieuse fessée, ce qui m’incita à être plus attentif à l’organisation de ma
chevelure.
Enfin,
le comble de notre traitement enfantin, c’est quand nous étions récompensés de
la qualité de notre travail ou de notre comportement. Madame Colas, depuis
qu’elle nous considérait comme des enfants, avait autant la fessée que la
caresse facile. Tapotement sur les fesses ou sur la joue, bisou récompensant un
comportement exemplaire, elle s’adressait alors à nous comme à des enfants.
Dans ces situations, je ne pouvais m’empêcher de rougir de fierté.
Sur
ce sujet, mes collègues n’étaient pas en reste. Nous cherchions tous
l’approbation de notre cheffe de service. Les fessées qu’elle nous donnait, étaient des moments humiliants, douloureux, vexant, mais c’était un mal que
nous acceptions. C’était l’expression légitime de son autorité. Il en était de
même avec les caresses qu’elle nous prodiguait. Les unes comme les autres
étaient distribuées à bon escient. Je ne crois pas que l’exigence de justice
que Madame Colas se donnait à elle-même, ait été pris en défaut.
Les
relations entre nous étaient apaisées. Magali mit un peu plus de temps de que à
abandonner sa rancœur envers Catherine. Cela donna lieu à deux mémorables
disputes entre elles-deux qui commencèrent en l’absence de Madame Colas, mais
qui finirent par un passage de l’une, puis de l’autre, à plat-ventre en travers
des genoux de notre cheffe. Je ne sais pas si c’est la règle utilisée la
deuxième fois qui eut un effet dissuasif ou bien la demi-heure passée le nez
contre le mur, côté à côte, mains croisées sut la tête ou encore l’échange de
bisous que Madame Colas imposa entre elles-deux. Peu importe, cette deuxième
fois fut la dernière.
On
ne peut pas parler de solidarité entre nous. Il n’y avait pas de coopération,
pas d’entre-aide, pas de soutien réciproque face à notre hiérarchie, mais nous
cohabitions paisiblement, sans le sentiment d’être mis en concurrence. Il y
avait de la place pour tout le monde aussi bien à plat-ventre sur les genoux de
Madame Colas que dans ses bras.
« …
et les enfants qui ont des propos déplacés, dans ce bureau, ils sont fessés. »
Madame
Colas baissa ma culotte. Elle regarda une à une les spectatrices, s’assurant
que le message était bien passé auprès d’elles également. Le silence était
total et Madame Colas avait la pleine attention de chacune.
J’étais
le point de mire de toutes mes collègues. J’aurais dû m’habituer à exposer mes
fesses nues et mon sexe en public, mais je n’y arrivais pas. Je m’en sentais
honteux à chaque fois. Si, au travail l’audience était toujours la même et
limitée à cinq personnes, elle était beaucoup moins contrôlée quand c’était
Madame Tolbois qui me punissait.
Sans
compter toutes les fois où j’avais été déculotté dans un cercle familial
élargi, devant Maria ou en présence de Madame Mercier et de ses enfants, Madame
Tolbois n’hésitait plus à baisser ma culotte et à me fesser dans des lieux
publics ou devant des inconnus. Pourtant je n’arrivais pas à banaliser ces
moments qui me nouaient le ventre à chaque fois.
« …
jusqu’à ce qu’ils comprennent qu’il ne leur est pas permis de contester les
décisions des grandes personnes. »
Madame
Colas m’avait entouré la taille de son bras et, presque sans peser sur mon dos,
elle m’avait courbé sous son bras. Mes fesses étaient maintenant parfaitement
disposées pour la correction qu’elle m’avait annoncée.
J’étais
un peu soulagé. Mon champ de vision restreint rendait la présence de mes
collègues moins prégnante. En fermant les yeux, je pouvais presque oublier leur
regard sur mon postérieur dénudé. Je pouvais me concentrer sur Madame Colas
dont le flanc épousait le mien et dont la main s’étalait sous mon ventre, le
bout de ses doigts à la limite de la zone épilée de mon pubis.
Je
trouvais la situation bien moins confortable dès que la fessée commença. Je
n’eus pas à attendre, cela ne souffrait pas de délai. Dès la première claque,
je serrais les dents, non sans avoir laissé s’échapper une courte plainte. Je
sentis la chaleur laissée par la main de Madame Colas se diffuser sur mes
fesses.
Une
brûlure de l’autre côté. Ce n’était pas une simple fessée d’avertissement qui
ne provoquait qu’un léger échauffement. Madame Colas y mettait assez d’énergie
pour que tous sache qu’elle ne traiterait plus nos marques d’exaspération avec
clémence.
« Aïe ! »
Je
laissais s’exprimer la douleur. Madame Colas aimait bien que nous montrions
ouvertement à quel point, quand elle nous donnait la fessée, elle faisait
impression. C’était de toute façon difficile d’y résister. Elle insistait, en
général, jusqu’à obtenir le niveau de contrition qu’elle souhaitait.
« Aïe ! »
Elle
voulait faire un exemple afin de mettre fin à toutes nos protestations, même
les plus minimes.
« Aie ! »
La
fessée qu’elle m’administrait m’était destinée, bien sûr, mais elle envoyait
aussi un message au prochain qui oserait montrer son mécontentement.
« Aie ! »
Elle
fit une pause, tout en me maintenant dans la position disciplinaire.
« Je
veux des enfants qui obéissent sans discuter ! Autrement, ce sera la
fessée ! »
Chacun
avait compris qu’il était préférable de mettre en fin aux petits signaux que
nous nous permettions pour protester contre les exigences de notre cheffe. Le
sens de l’équité de Madame Colas l’obligerait alors à fesser le prochain au
moins aussi sévèrement qu’elle le faisait pour moi. Il fallait donc que ma
fessée fut dissuasive non seulement pour moi qui la recevais, mais aussi pour
mes collègues qui y assistaient.
La
correction reprit. Ce n’était pas que les claques soient plus fortes, mais
elles tombaient en une averse continue qui devint vite insupportable.
J’entamais alors le ballet disgracieux en piétinant sur place, levant une
jambe, puis l’autre, aussi haut que me le permettait mon pantalon.
Quand
mes pleurs et de mes cris, ainsi que la rougeur de mes fesses atteignirent le
niveau souhaité par Madame Colas, elle stoppa ma punition. Un séjour au coin
s’imposait. Je ne sais même pas si j’en reçus l’ordre, mais j’allais m’y
positionner, songeant à la correction qui m’attendait désormais à la maison.
Je
n’en voulais pas à mes correctrices. Elles ne faisaient que tenir les
engagements qu’elles avaient pris vis-à-vis de moi. J’en voyais les effets. Je
m’améliorais sur tous les points : obéissance, concentration, qualité du
travail, politesse, respect montré aux grandes personnes, comportement à table,
et j’en oublie. En ce qui concerne mon hygiène corporelle, c’était difficile à
dire car Madame Tolbois la prenant en charge, elle était irréprochable depuis
qu’elle avait autorité sur moi.
Cela
n’en diminuait pas pour autant le rythme auquel je recevais la fessée.
L’exigence à laquelle j’étais soumis augmentait au fur et à mesure que je
faisais des progrès. J’étais cependant félicité de plus en plus souvent pour
mes réussites. Un long câlin sur les genoux de Madame Tolbois valait bien
toutes les fessées du monde. Ce n’est pas tout à fait ce que je me disais quand
il fallait se mette en position pour recevoir l’une d’elles.
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 49
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
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Bonjour, JLG.
RépondreSupprimerEt ça continue ... ces femmes sont décidément d'une bienfaisante sévèrité et toutes plus impitoyables les unes que les autres. Les fessées claquent (avec quelques câlins) au plus petit manque de discipline, de politesse, au moindre écart de comportement. Des dames déculottent et fessent avec un naturel impressionnant.
Et qu'en est il des retours de fessées chez madame Tolbois ?... ( mon héroïne préférée ( rires) ! Quand même personnage culte et à l'origine de ce long et réjouissant récit.
Cordialement
Ramina.