Ce sera une fessée pour toutes les deux

Il n'y a absolument aucune raison, Manon, que la présence de ta nouvelle amie, Géraldine, change quoique ce soit à nos habitudes. Au contraire, puisqu'elle doit habiter dans notre maison au moins pendant quelques semaines, autant qu'elle soit au courant au plus vite des règles qui ont cours ici.

Je suis ravie d'accueillir ta nouvelle collègue et de lui louer une chambre chez nous. Il y a de la place. Il est vrai qu'il n'est pas facile de trouver à se loger dans notre ville. Je suis ravie de lui rendre ce service Elle pourra rester aussi longtemps qu'elle le souhaite. Notre maison est grande. Tu as bien fait de le lui proposer. Durant tout ce temps, elle fera partie de la famille.

Cela me fera une deuxième grande fille à la maison. Cela ne n'effraie pas d'avoir deux jeunes femmes sous mon toit. Je me sens capable d'être sa mère adoptive, en quelque sorte. Mais ce n'est pas parce que vous avez toutes les deux un peu plus de trente ans que vous pouvez en prendre à votre aise avec l'obéissance que j'exige de tous mes enfants, biologiques ou adoptés, quel que soit leur âge.

Ne vous avais-je pas dit, ce matin, que je vous attendais de bonne heure et que vous deviez rentrer directement du travail ? Il était donc exclu que vous preniez le temps d'aller boire un pot avec les collègues à la sortie du bureau.

C'est une désobéissance caractérisée. Sous mon toit, les enfants qui n'obéissent pas sont punis. Je me débrouille pour que la prochaine fois, ils se sachent ce qu'ils risquent. Tu n'es pas prête d'oublier la correction que tu vas recevoir.

Je vais également m'occuper du mensonge que vous avez essayé de me servir pour dissimuler votre forfait. Comment avez-vous cru que j'allais en croire la moindre parole ? La prochaine fois, il faudra trouver quelque chose de plus crédible ! Mais je parie qu'il n'y aura pas de prochaine fois, au moins dans les semaines qui viennent.

Inutile de regarder du côté de Géraldine. Si tu avais compté sur sa présence pour échapper aux punitions que je t'administre à chaque désobéissance, c'est raté. Cela ne changera rien aux méthodes que j'utilise. La fessée déculottée te sera administrée comme d'habitude. Tu la recevra devant elle, comme elle la recevra devant toi.

Tu vas venir immédiatement faire un tour à plat-ventre sur mes genoux une fois que je t'aurai baissé le pantalon et la culotte. Je te promets que tu auras les fesses brûlantes avant que j'en ai fini avec toi.

Géraldine sera la suivante. Comme toi, elle va devoir s'habituer à recevoir la fessée déculottée. Je ne l'épargnerai pas plus que toi. Il ne serait pas juste, puisque vous avez commis la même désobéissance, que tu en sois puni et pas elle. Vous serez désormais logées à la même enseigne.

Je ne sais pas si dans sa famille elle recevait la fessée, mais ici, c'est la conséquence de toute désobéissance. Elle devra s'y habituer. Je lui donnerai la fessée à chaque fois que je le jugerai nécessaire. Elle va découvrir que je suis très exigeante avec mes enfants et qu'il est très courant de se retrouver en travers de mes genoux, la culotte baissée.

Suis-moi jusqu'au canapé. Qu'est-ce que c'est que cette hésitation ? Puisqu'il faut que je t-y conduise en te tenant par l'oreille, je vais le faire. Depuis quand n'exécute-t-on pas immédiatement mes ordres, surtout quand il s'agit de recevoir la fessée ?

Vous allez recevoir chacune une sévère correction, puis vous irez, toutes les deux, attendre l'heure du dîner au coin. Tu vas montrer à ta copine comment on s'y tient : les fesses nues, immobile et silencieuse, les bras croisés dans le dos.

Votre punition n'en sera pas terminée pour autant. Dès que, le dîner terminé, vous aurez remis la cuisine en état, vous recevrez une deuxième fessée, pour vous apprendre à me mentir. Ce sera avec le martinet. Géraldine va en découvrir l'efficacité pour apprendre aux grandes filles à obéir. Toi tu sais déjà comment quelques marques des lanières sur les fesses rendent les grandes filles sages pendant quelques temps. Géraldine va s'en rendre compte dès ce soir.

Vous passerez toute la soirée au coin. Je ne vous en sortirai que pour vous mettre au lit. Je compte bien sur ce long temps de pénitence pour que vous réfléchissiez aux inconvénients qu'il y a à n'en faire qu'à sa tête, sans prendre en compte ce que je dis.

De plus, vous êtes toutes les deux privées de sorties pendant un mois. Interdiction d'aller autre part qu'à votre travail et là où je vous dirai de vous rendre, sans une autorisation préalable de ma part. Vous allez apprendre à ne plus traîner dans les bars avec les copines, au lieu de rentrer à la maison.

La prochaine fois que cela se produira, j'irai vous chercher et ce sera la fessée déculottée devant tout le monde. Ne croyez pas un seul instant que j'hésiterai !

Je vais vous trouver du travail à faire à la maison pendant tous ces soirs et tous ces week-ends. Soyez certaines que la maison va être tenue impeccablement durant tout ce mois. Vous allez la récurer du sol au plafond.

Par ici que je te baisse la culotte ! Et toi Géraldine, prépare-toi, je m'occupe de tes fesses dans quelques minutes !

Grand merci au dessinateur !

Il s'agit, comme vous pouvez le lire, de LoulouVZ, dont la production se trouve ici. Je me suis permis d'effacer le texte placé dans des bulles qui ne correspondait pas à la nouvellette que je vous propose.
J'ai repéré quelques dessins qui cadrent avec la ligne éditoriale du blog (ce n'est pas le cas de tous !). J'aurai donc l'occasion de présenter quelques autres œuvres de son cru.

Recevoir la fessée déculottée devant les copines, cela arrive !

                                                   

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