samedi 22 septembre 2018

Axel en famille - chapitre 62


Le visage fermé de Tatie Nathalie pendant tout le trajet de retour ne laissait aucun doute : je n’en avais pas encore fini avec la punition pour mon comportement dans le magasin. Je tentais de me faire oublier en restant le plus discret possible, mais c’était sans grande illusion. J’avais à peine mis le pied dans la maison que cela me fut confirmé.
« Axel, au coin en attendant ta fessée ! »

La seule façon de ne pas aggraver mon cas, c’était de montrer une obéissance sans faille. Je me plaçais dans mon lieu de pénitence habituel. Il ne me restait plus qu’à patienter en espérant que Tatie Nathalie tiendrait compte de mon repentir que ma stricte obéissance voulait mettre en évidence.
« Julie, appela Tatie Nathalie, j’aimerais que tu t’occupes d’Axel. Je dois faire à manger et je pense que je n’aurai pas le temps avant le déjeuner. »
La conversation avait lieu dans la cuisine, mais elle était tenue à voix haute, j’en distinguais le contenu clairement.
« Oui, Maman, mais est-ce que je dois …
– Que veux-tu dire ?
  … lui donner … une fessée ?
– Quelle question ! Bien entendu. Tu dois le fesser et sérieusement. Je pense que ta main n’y suffira pas.
– Ah ! Je ne savais pas si j’avais encore le droit de …
– Tu me semblais bien plus déterminée hier encore. Certes, j’ai recommencé à te donner la fessée, mais cela ne t’exonère pas de tes responsabilités vis-à-vis d’Axel. Tu as accepté de le prendre en charge, je compte bien que tu l’assumes. Si je me rends compte que tu faillis à tes obligations tu peux compter sur une des plus belles fessées de ta vie.
– Oui, Maman.
– La plupart du temps, c’est moi qui me chargerai de le fesser. C’est normal, c’est moi qui assume l’autorité dans cette maison. C’est à moi de prendre l’initiative des punitions. Il arrivera que je te demande de me suppléer. Je compterai alors sur toi pour t’en acquitter consciencieusement : assez sévèrement pour qu’il n’y ait aucun doute pour Axel sur le fait qu’il soit puni, mais sans que tu passes tes nerfs ou ta frustration sur lui. Est-ce bien compris ?
– Oui, Maman.
– Quelle punition comptes-tu lui donner ?
– Une longue fessée avec la brosse ?
– Ce sera parfait !
– Est-ce que je peux lui savonner la bouche ? J’ai entendu dire que c’était très efficace pour guérir de l’habitude de dire des mensonges.
– Fais-tu cela, habituellement ?
– Je ne l’ai pas encore fait, mais c’est la première fois qu’il ment comme cela.
– Tu as raison. Dorénavant, mensonges, gros-mots, … tout ce qui sortira de la bouche d’Axel et qui sera répréhensible se traduira par un savonnage de bouche. A toi de faire, Julie ! »
Je connaissais mon sort. Cela n’allégeait pas ma frayeur, mais j’avais l’impression d’avoir un peu plus de prise sur la réalité.
« Ah, encore une chose, Julie. Tu es consciente que le même traitement te sera appliqué dans les mêmes circonstances. Si cela fonctionne pour Axel, il n’y a pas de raison que ça ne marche pas avec toi.
– Oui, Maman ! »

J’entendis Julie se rapprocher de moi. Elle me prit par l’oreille et courbé en deux, je dus la suivre dans la salle de bain.
Je ne comprenais pas pourquoi elle éprouvait le besoin de m’y conduire en me tenant par l’oreille. Il aurait suffi qu’elle m’ordonnât de me rendre là où elle l’avait décidé. Je me serais conformé à son instruction. Je n’avais aucune intention de contester son autorité et Julie le savait. Elle éprouvait cependant le besoin de me faire sentir, dès qu’elle m’eût pris en main, que ma punition entrait dans une phase active.
Le temps de nous rendre dans la salle de bain et je fus assis sur un tabouret. Julie me laissa le temps d’humidifier un savon sous l’eau du robinet. Elle immobilisa ma tête, renversée en arrière, contre sa poitrine et elle me pinça le nez.
« Ouvre grand la bouche ! »
Je n’osais pas me lancer dans un cycle de résistance dont je connaissais l’aboutissement. J’obtempérais à regret, mais docilement à son ordre. Julie frotta le savon contre toutes les parties de ma bouche qu’elle pouvait atteindre : les dents, les gencives, le palais, la langue, tout y passa. Je sentais le goût acide, astringent, mélangé avec un parfum de lavande entêtant. Je commençais à saliver, pour rejeter cette agression. Instinctivement, ma langue repoussait le savon, mais l’insistance de Julie qui le forçait dans ma bouche, contribuait à l’étaler.
« Je t’interdis de cracher ! Tu avales la salive ! »


Un savonnage de bouche pour punir un menteur


Je régurgitais le liquide qui emplissait ma bouche et je l’avalais pour éviter de laisser couler la salive par la commissure de mes lèvres. Julie me ferma la bouche, mais elle laissa ma tête dans la même position, le temps que j’avale tout le liquide que j’avais retenu dans ma bouche.
« Tu continues comme cela ! Je ne veux pas voir une seule goutte sortir de ta bouche. Passons maintenant à la fessée. »
Notre attelage repartit vers le séjour. Julie me tenant toujours par l’oreille et moi, la tête à hauteur de son épaule, tentant de soulager la tension qu’elle exerçait pour me faire avancer à son rythme. Malgré l’inconfort de la position que j’étais contraint de prendre, je trouvais le trajet beaucoup trop court bien que Julie soit passée par la cuisine pour se munir de la brosse.
La suite relevait d’un processus bien huilé. Julie me plaça debout devant elle pendant qu’elle s’asseyait sur le canapé. La brosse posée à côté d’elle sur le canapé contenait toute la menace des instants à venir. Ils seraient difficiles, mais il fallait en passer par là.
Les gestes de Julie n’avaient rien de brutal pendant qu’elle me déculottait. Elle était décidée, sans aucune hésitation, mais tout se passait sans précipitation. Je facilitais grandement le déroulement de la préparation de la fessée en ne marquant aucune opposition, en me laissant faire. Non seulement Julie, approuvée par sa mère, avait toute légitimité pour me déculotter, mais en plus, je reconnaissais que j’avais mérité cette punition. Elle était nécessaire pour solder les comptes de ce qui s’était passé dans le magasin.
Alors que la punition avait tout juste commencé, je me promettais de ne plus dire de mensonges, qu’elles que soient les circonstances. J’avais pris conscience qu’il était préférable de subir une correction pour avoir commis une bêtise, plutôt que d’en risquer une autre après que mon mensonge ait été découvert. J’étais certain que la fessée complétant le savonnage de ma bouche, me permettrait de m’en souvenir pendant longtemps. En cela, le châtiment qui m’était promis, serait fort utile, il était donc nécessaire. J’en avais pris mon parti, comme faisant parti de l’arsenal éducatif du garçon que j’étais redevenu sous la coupe de Julie. Rien que de très normal.
Le sentiment d’étrangeté que j’éprouvais, venait de la tenue de Julie. Avec sa jupe plissée bleu marine et ses chaussettes montantes blanches, elle avait l’allure d’une adolescente. Ses nouveaux vêtements l’avaient considérablement rajeunie. Elle était, d’avance, plus jeune que moi, mais la différence d’âges semblait avoir beaucoup augmenté. J’étais partagé entre deux sensations : être préparé pour la fessée par ma tutrice ce qui faisait partie des habitudes, ou par une toute jeune fille ce qui donnait à la situation une touche d’irréel.
Bien sûr la fessée qui m’attendait serait un mauvais moment à passer. Sur ce point, je pouvais faire confiance à Julie. Le poids de l’habitude me plaçait sur un chemin que je connaissais parfaitement, ce qui me semblait facilitant. La présence de Tatie Nathalie dans la pièce à côté n’en faisait pas une spectatrice très présente et, représentant l’autorité suprême dans la maison, je n’étais pas outre mesure gêné qu’elle assistât à ma punition. Le cadre domestique, les genoux de Julie sur lesquels je devrai bientôt m’étendre, la rigueur de la brosse, tout cela m’était maintenant familier. J’étais en terrain connu, ce qui me permettait d’anticiper ce qui allait m’arriver.
Je fermais les yeux, piètre tentative pour fuir la réalité. Mon pantalon glissa de lui-même le long de mes cuisses dès que Julie eût défait les attaches qui le retenaient sur mes hanches. Elle dut juste lui faire passer mes genoux pour qu’il trouve sa place habituelle, autour de mes mollets. Je sentis les mains de Julie effleurer mes cuisses de haut en bas, de chaque côté pendant qu’elle baissait ma culotte.
Avec la mise à l’air de mon sexe épilé, l’écart d’âges apparent entre nous deux s’était certainement largement réduit. De toute façon, ces considérations n’étaient plus de mise. Elles ne changeraient rien à mon sort durant les prochaines minutes et j’étais probablement le seul qu’elles préoccupaient.
Julie prit ma main et elle me coucha sur son genou, puis elle referma ses cuisses enserrant les miennes entre ses jambes. J’étais prêt. Je contractais mes fesses. Je ne sentis pas quand elle prit la brosse, mais j’en éprouvais douloureusement le contact. La fessée venait de commencer.
Dès les premiers coups sur mes fesses, je laissais échapper les cris qui accompagnaient toujours une fessée avec la brosse, du moins quand c’était moi qui la recevais. Il n’était pas question de me retenir, je n’en avais ni la volonté, ni la possibilité. Mes mouvements, par contre étaient limités par la prise de Julie sur mon buste et sur mes jambes. Je battais des pieds dans la limite de ce que Julie m’avait autorisé. Aller au-delà aurait été considéré comme une désobéissance. Je gardais suffisamment de lucidité pour me contenir. Le poids de l’habitude.
Julie stoppa la punition alors que la brûlure sur mes fesses devenait insupportable.
« Voilà ce qui arrive, dans cette maison, aux garçons qui disent des mensonges. »
La fessée reprit de plus belle. Pour s’arrêter après une vingtaine de coups sur chaque fesse.
« Je vais te faire passer l’envie de mentir ! »
Je n’eus pas le temps de lui promettre que je ne m’y risquerai plus jamais avant que la fessée ne reprenne. Cela n’aurait très probablement pas suffit à retenir le bras de Julie. Julie adopta ce rythme pendant toute la fessée. Elle suspendait régulièrement l’action de la brosse, une fois qu’elle m’avait amené au summum de ce que je pouvais encaisser, pour me gronder pendant quelques instants, puis la fessée recommençait.
Je tentais de mettre à profit l’une de ces interruptions pour tenter d’obtenir mon pardon.
« Aie, Julie, je promets de … »
La fessée reprit aussitôt pour s’interrompre rapidement.
« Je ne veux pas entendre maintenant tes promesses. C’est trop tard. Pour l’instant, je veux que tu écoutes et que tu retiennes ce que je te dis. »
Elle m’administra de nouveau une dizaine de coups de brosses sur les fesses.
« Tu viendras me demander pardon à la fin de ta punition. Là, j’écouterai tes promesses et j’espère pour toi qu’à l’avenir, tu les tiendras. »
La fessée fut interrompue sans que cela se traduise par la suite du sermon que Julie avait entrepris.
« Continue, dit Tatie Nathalie, tu fais du bon travail. Axel va bien profiter de cette fessée pour améliorer son comportement. J’ai comme l’impression qu’il va y regarder deux fois avant d’inventer de nouveaux mensonges. »
Je n’avais pas entendu Tatie Nathalie entrer dans la pièce où Julie et moi nous nous tenions. J’avais d’autres préoccupations et sa présence ne changeait pas grand-chose pour moi.
« La prochaine fois que tu essayeras de dissimuler une bêtise que tu as faite, je te donnerai la plus grosse fessées de toutes celles que tu as reçues et tu seras puni pendant toute une semaine. Je veux que désormais, quand tu auras commis une faute, tu viennes me l’avouer.»
Il y eut un petit temps d’hésitation.
« Me l’avouer à moi ou à Tatie Nathalie. Tu en seras puni, mais cela s’arrêtera là. Si tu ne le fais pas, tu auras une double fessée et je saurai te faire regretter de n’être pas venu confesser ta faute ! »
La fessée continua jusqu’à ce que l’application de la brosse sur mes fesses ne provoque plus que des réactions atténuées et des ruades molles.
« Bon, je pense que tu as compris la leçon et que tu la retiendras. »
Je pleurais doucement sur les genoux de Julie, soulagé que cette partie de ma punition ait pris fin.
« Retourne au coin, tu y seras très bien pour songer à la fessée que je te donnerai si tu mens encore une fois et pour y préparer ta demande de pardon. »
Julie me garda très peu de temps sur ses genoux avant de m’envoyer au coin.

Le nez collé dans l’angle du mur, toute mon attention fut, dans un premier temps centrée sur la cuisson qui, émanant de mes fesses, semblait se propager aux alentours par des élancements qui faisaient naître des vagues de douleur qui se dispersaient dans des directions aléatoires. Même après ne sérieuse correction comme celle que je venais de recevoir, la douleur aigüe s’émousse assez vite. Il reste alors une douleur sourde, mais continue qui, bien qu’étant toujours présente, progressivement, laisse place à penser à d’autres sujets.
J’avais bien conscience que Julie avait franchi un nouveau pas dans le contrôle qu’elle voulait exercer sur moi. Je serai désormais contraint de venir lui avouer tout écart, sans savoir s’il aurait été découvert par la suite ou non. Elle avait été très explicite : cela signifierait une fessée, mais une seule. J’avais senti sa résolution à me châtier sévèrement si je ne devançais pas le moment où l’une de mes bêtises serait découverte, en la reconnaissant préalablement auprès d’elle. En quelque sorte, c’était comme si je devais aller quémander une fessée, de peur d’en recevoir une plus sérieuse plus tard. L’horizon de mes fessées était décidemment bien rempli.
Il y avait une autre nouveauté : la demande de pardon à venir. Je m’interrogeais vainement pour savoir comment elle se passerait. Peu m’importe ! Je me sentais prêt à présenter mes excuses le plus humblement possible. Je n’avais aucun reste de fierté qui pouvait me retenir. Au contraire ! Etre de nouveau certain d’avoir l’assentiment de Julie et de Tatie Nathalie me semblait primordial. L’absolution que je pouvais obtenir m’assurerait que mes errements de la matinée seraient derrière moi. C’en était un soulagement par avance. Pour en arriver là, j’étais prêt à satisfaire toutes leurs demandes.
En attendant, la station au coin s’éternisait. Le temps m’y paraissait toujours interminablement long et je perdais la notion du temps, faute de repères fiables. Je savais que c’était ce que cherchaient mes punisseuses. Il fallait attendre que l’ennui s’empare de moi et que, physiquement, j’ai du mal à tenir la position immobile, avant qu’elles me délivrent. Cela intervenait assez vite : dix minutes, un quart d’heure, vingt minutes tout au plus et je sentais des élancements qui auraient nécessité que je change de position si j’en avais eu l’autorisation.
Si je mettais de côté les moments où j’ai dû m’y tenir à genoux, la plupart du temps, je n’étais pas laissé au coin plus d’une demi-heure. Parfois, assez peu souvent, il m’est arrivé d’y rester plus longtemps, une heure, voire un peu plus. J’en ressortais alors aussi courbaturé et mes muscles aussi douloureux qu’après une fessée.
Julie devait déduire de mes petits relâchements de mes bras et de mes légers changements de position, quand la position en pénitence commençait à devenir pénible. Elle m’en délivrait après m’y avoir laissé encore quelques minutes. Quand elle avait décidé que je devais y rester encore un bon moment, j’avais le droit à un avertissement sans frais, je veux dire une réprimande qui ne s’achevait pas par une fessée. Ainsi « encouragé, » je trouvais les ressources pour aller au bout de l’exigence de Julie.
Cela faisait deux fois que je m’exerçais à raccourcir le temps que je passais au coin. Je prenais soin de rester un petit moment dans la plus stricte immobilité pour donner des gages d’obéissance. Puis, progressivement, je commençais des petits mouvements qui devaient passer pour mes premiers relâchements involontaires. Je les amplifiais tout doucement jusqu’à ce que Julie les remarque.
Les deux fois, cela avait fonctionné. Julie ne m’avait laissé au coin que quelques minutes après que j’ai rendu visibles mes signaux de fatigue volontairement provoqués. Je me gardais de tout triomphalisme. Une attitude contrite en sortant du coin était bien plus adaptée.
Il n’y avait aucune raison de ne pas continuer sur cette voie qui, au-delà de m’épargner du temps en pénitence, me faisait gagner un peu de liberté. Dès que la rigueur de la fessée et mes réflexions sur les changements à venir, m’en laissèrent le loisir, je commençais mes petits mouvements imitant les symptômes de fatigue.
Dans un premier temps, Julie n’y prêta pas attention. J’accentuais alors mes mouvements pour les rendre plus perceptibles. J’entendis des pas se rapprocher de moi et … une claque monumentale atterrit sue mes fesses.


Julie donne la fessée déculottée


« Si tu crois que je n’ai pas remarqué ton petit manège pour me faire croire que tu n’en peux plus d’être au coin … »
Julie m’asséna alors une véritable fessée. Heureusement, c’était à main nue, mais cela suffit à raviver la cuisson de mes fesses.
« Comment pourrais-je croire que tu ne peux plus tenir la position après seulement dix minutes au coin ? »
Dix minutes, cela ne faisait que dix minutes ! Moi qui avais eu l’impression que j’étais au coin depuis plus d’un quart d’heure.
« Essaye encore une fois de me prendre pour une imbécile, je t’apprendrai à tenter de te moquer de moi ! »
La fessée reprit.
« Pour ta peine, je vais t’y laisser encore une demi-heure. Et il vaut mieux pour toi que ce soit sans bouger ! La palette à fesser de Tatie Nathalie est toujours prête à servir ! »
Il n’était pas question que je recommence. La menace était réelle et Julie n’hésiterait pas à se servir du terrible instrument punitif dont j’avais fait connaissance la veille. Même quand je sentis mes bras s’alourdir dans mon dos et les premières crampes s’emparer des muscles de mes cuisses, je ne bougeais pas d‘un centimètre.

« Viens me voir, Axel ! »
Je reconnus au ton de la voix de Julie que ma punition touchait à sa fin. Il y restait de la fermeté, mais plus de la sécheresse qu’elle adoptait pendant une punition. Je me présentais devant elle, gardant bien haut ma chemise.
« Mets-toi ici ! »
Elle me désignait le sol devant elle. Je m’y mis à genoux, face à elle.
« Bien, qu’as-tu à me dire ? »
Je restais muet. Ce n’était pas une question que Julie me posait habituellement après une punition. Je m’attendais, comme les autres fois, à un sermon. Là je ne savais pas quoi dire. Julie me donna une claque appuyée, mais sans excès, sur le haut de ma cuisse.
« Que doit faire un garçon après avoir été puni pour s’être mal comporté ? »
Sa main était prête pour venir claquer une nouvelle fois ma cuisse nue. Je me rappelais juste à temps ce que Julie m’avait dit pendant qu’elle me fessait.
« Pardon, Julie, je demande pardon. 
– A quel sujet demandes-tu pardon ?
– Pour avoir fait une bêtise dans le magasin et pour avoir menti.
– Pour ce qui est des bêtises, je suis bien tranquille, il y a aura d’autres. Ce que je veux, c’est que tu viennes me les avouer sans attendre que quelqu’un d’autre ne les découvre ? As-tu bien compris ?
– Oui, Julie.
– Cela te vaudra une fessée, ce qui est tout à fait normal. Je tiens à ce que tu te rendes bien compte quand tu fais quelque chose d’interdit. La fessée, c’est ce qu’il y a de mieux pour cela, n’est-ce pas ?
– Oui, Julie. »
Je n’osais pas grimacer devant elle, mais j’avais tout de suite compris que plus rien n’échapperait désormais à ma tutrice ou à sa mère. C’est moi qui serais mon plus gros pourvoyeur de fessée.
« As-tu encore envie de mentir ?
– Oh, non, Julie, je ne le ferai plus !
– Peux-tu me le promettre ?
– Oui, Julie, je le promets !
– C’est bon, je te crois. Tu sais ce qui t’arrivera si tu manques à ta promesse.
– Oui, Julie.
– Dis-moi ce que je serai contrainte de faire.
– Une fessée ?
– Bien sûr une fessée, mais quelle fessée ?
– La culotte baissée ?
– Evidemment, je te baisserai la culotte, comme à chaque fois. Mais encore ?
– Avec la palette ?
– C’est cela ! Tu auras la palette à fesser et tu seras puni au moins pendant une semaine. »
Julie m’attira à elle et elle posa mon visage entre ses deux seins.
« Tu es pardonné pour ce que tu as fait dans le magasin ce matin, mais attention à ne pas recommencer ! »
La main de Julie me caressait doucement le dos, puis elle descendit sur mes fesses.
 « Dis donc, elles sont encore chaudes. J’espère que la punition te sera profitable ! Qu’en dis-tu ? »
Le nez enfoui dans le sein de Julie, je ne répondis pas. Elle me claqua les fesses, assez sérieusement pour que j’en ressente les effets, sans pour autant réellement raviver la douleur.
« Je t’ai posé une question Axel !
– Oui Julie.
– Oui, j’ai appris ma leçon.
– C’est bien ! Tu es un grand garçon. »
Elle reposa ma tête sur sa poitrine. Et sa caresse sur mes fesses continuait.
« Tu t’y prends très bien, commenta Tatie Nathalie. Tu as un véritable don pour te faire obéir et pour aider Axel à apprendre à bien se comporter. Il a de la chance que tu ais accepté d’être sa tutrice. Je t’en félicite »
Mon premier réflexe fut de contester, intérieurement, ce jugement. Puis, comme la main de Julie, passait sur mes fesses nues, là où la brosse avait laissé une marque particulièrement sensible, je ressentis comme une décharge électrique et un long frisson remonta le long de mon dos. Je m’abandonnais plus complètement dans le bras de Julie.
Tatie Nathalie avait raison. J’avais de la chance que Julie ait accepté d’être ma tutrice.

Et avec les dessins originaux de Peter Pan.

Grand merci pour ce travail qui se poursuit.


Pour suivre le fil de cette histoire :

Comprendre le contexte : l'introduction


Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 61
Le prochain épisode ... c'est le chapitre 63.

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2 commentaires:

  1. Bonjour,
    Tatie Nathalie délègue,Julie prend le relai.
    Axel doit anticiper ses punitions et avouer ses fautes en réclamant la fessée qui doit les sanctionner. Difficile de faire mieux comme exercice de soumission.
    Ces dames sont décidément impitoyables, que vont elles bien pouvoir trouver par la suite pour renforcer encore leur emprise pour obtenir obéissance absolue ?... à suivre.
    Ramina.

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    Réponses
    1. Bonsoir Ramira,
      Ça vient, ça vient. Bientôt de nouvelles possibilités qui se mettront en place avec l'arrivée de nouveaux personnages.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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