C’est Tatie Nathalie qui vint me
réveiller. Elle ouvrit les rideaux en grand.
« Debout, c’est l’heure de
déjeuner ! »
Je ne traînais pas au lit, j’en
connaissais les conséquences. Tatie Nathalie m’amena près de la fenêtre. Elle
me fit présenter mon dos à la lumière, elle me ploya sous son bras sans que je
tente un geste ni de résistance, ni de protestation. Tout simplement, elle
baissa ma culotte de pyjama. J’espérais que ce n’étais pas pour une fessée.
Elle passa sa main sur la peau
nue de mon postérieur, insistant là où elle lui semblait encore raide ou quand
je marquais un petit tressaillement.
« Cette pommade est vraiment
fantastique. Je m’attendais, ce matin, à voir des bleus sur tes fesses. Il n’y
en a pas et ce ne sont pas ces quelques zones sensibles résiduelles qui vont
résister à une nouvelle dose de crème. »
Tatie Nathalie remonta mon
pyjama.
« Tu passes au
toilettes !
J’eus un bref espoir qu’elle me
laisserait me débrouiller tout seul, mais il n’en fut rien. Elle me suivit et
c’est elle qui m’installa sur le siège des toilettes.
« Je vais lever Julie. Tu
m’attends ici. »
Peu de temps après, je vis Julie
se diriger vers la cuisine. Elle me jeta un œil distrait en passant devant les
toilettes. Tatie Nathalie la suivait de près.
« Fini d’installer le petit
déjeuner, Julie. J’essuie les fesses d’Axel et nous arrivons tous les
deux. »
Tatie Nathalie avait sous son
toit deux enfants obéissants. Elle n’éleva pas la voix pendant toute la durée
du petit-déjeuner. Julie et moi obéissions aussi vite que nous le pouvions, dès
qu’elle formulait une exigence.
« Une sérieuse toilette, un
peu de crème sur les fesses et nous partons en courses ! »
Nous fûmes envoyés tous les deux
conjointement dans la salle de bain. Je vis Julie jeter un regard de désarroi
autour d’elle, puis elle se résigna. Pendant que je me rasais, Tatie Nathalie
fit prendre sa douche à Julie. Il fallut quelques claques sur ses fesses pour
qu’elle laisse sa mère lui laver l’entre-jambe. Finalement, elle abandonna
toutes ses résistances.
Puis ce fut mon tour. Je n’avais
jamais été lavé par Tatie Nathalie, mais ce n’était pas très différent d’une
douche quand c’était Julie qui me la donnait. Je devançais ses ordres et elle
n’eut pas besoin de me rappeler à l’ordre. Je m’en sortais sans même une claque
sur les fesses.
Douchés, séchés, habillés, Tatie
Nathalie nous prépara pour sortir, comme elle nous l’avait annoncé. Elle avait
dû renoncer à mettre une culotte en coton à sa fille. Celles dont elle
disposait et qui dataient de dix ans, étaient bien trop petites. Elle partit
donc avec l’une de ses culottes habituelles.
Elle nous conduisit dans une
modeste boutique du centre-ville. On y vendait des chaussures. Tatie Nathalie
choisit une paire de mocassins vernis, noirs sans aucune fantaisie. Il était
visible que Julie n’était pas ravie de son choix.
« Quelque chose ne va pas,
Julie ?
– Non, Maman.
– Je préfère. Je ne crois pas que
je suis d’humeur à supporter une bouderie. »
Ce bref échange s’était déroulé
devant la jeune vendeuse qui n’avait pas encore atteint l’âge de Julie. Elle
écarquilla ses yeux et resta un moment bouche bée avant que les nécessités
professionnelles ne la rattrapent. Julie préféra s’en tenir à une prudente
circonspection. Elle avait tout d’une petite fille qui avait été grondée. Le
tableau était d’autant plus vraisemblable que Tatie Nathalie montrait tous les
signes d’une Maman exaspérée par les caprices de sa fille.
Tout se cristallisa dans le
magasin suivant. Il était de taille moyenne et sa vitrine montrait clairement
que ce n’était pas ici qu’on risquait de trouver les dernières nouveautés de la
mode parisienne, ni ce qui s’approchât, même de loin d’une tenue provocante.
« Bonjour Patricia, comment
allez-vous ?
– Très bien, Nathalie, je vous
remercie. Que puis-je faire pour vous ?
- Je voudrais renouveler la
garde-robe de ma fille. Je trouve qu’elle s’habille de façon trop aguichante.
Je souhaite que ses tenues soient désormais plus modestes.
– Voyons cela. »
Patricia, la vendeuse, toisa
Julie des yeux.
« Tournez-vous, jeune
fille ! »
La gêne de Julie, sous ce regard
inquisiteur, était visible. Elle pivota pour présenter son dos.
« Cela ne va pas être
compliqué de changer son apparence pour quelque chose de plus retenu. Dois-je
également revoir les sous-vêtements ? Ces collants en dentelle seront
décalés avec le reste de sa tenue. »
Tatie Nathalie souleva l’arrière
de la courte jupe de sa fille.
« Maman ! protesta
Julie. »
Elle avait mis ses mains en
protection pour éviter que sa mère n’expose entièrement sa culotte.
– Tiens-toi tranquille, ordonna
Tatie Nathalie en frappant sur les mains qui l’empêchaient d’aller au bout de
son geste. »
Julie renonça et Tatie Nathalie
souleva largement la jupe.
« Regardez, Patricia, avouez
que ces collants sont inappropriés pour une jeune fille bien élevée. Et en
dessous, c’est pire encore ! »
Tatie Nathalie baissa le collant à
mi-cuisses, mettant au jour la culotte échancrée de Julie.
« Je vois, répondit la vendeuse, j’ai ce
qu’il faut pour changer tout cela. »
Elle remit Julie face à elle et
comme cette dernière baissait la tête, elle la lui releva avec deux doigts sous
le menton.
« Relevez la tête, jeune
fille, que je vous voie correctement. »
Elle examina Julie sous toutes
les coutures.
« Et pour le dessus ?
Je suppose que vous trouvez cette jupe trop courte.
– Tout à fait. Il faudrait
quelque chose de bienséant.
– Je crois que j’ai ce qu’il vous
faut. »
Elle farfouilla dans ces étagères
et revint avec des vêtements encore dans leur emballage. En passant, elle
s’arrêta près de moi. Je m’étais accoté sur une étagère sur laquelle
s’entassaient des piles de chaussettes féminines.
« Faites attention, jeune
homme, à ne pas vous appuyer sur cette étagère, elle n’est pas faite pour
supporter votre poids. Vous pourriez tout faire tomber. »
Je me redressais, mais elle avait
déjà tourné le dos. Toutes ces questions de vêtements ne m’intéressaient guère
et je commençais à trouver le temps long. La vendeuse déballait ses
trouvailles.
« Voici ! Une jupe
plissée bleu marine, elle descend en peu en-dessous des genoux, et un corsage
blanc, sans fioriture. Vos noterez qu’il y a un petit nœud constitué d’un
ruban, juste au niveau du col. Cela oblige à boutonner le chemisier jusqu’en
haut.
Personne ne demandait son avis à
Julie. Elle avait un air de plus en plus sombre. Ce qu’on lui préparait ne
semblait pas à son goût.
« Essayons tout cela, décida
Tatie Nathalie. »
Sans plus de manière, elle
dégrafa la jupe de Julie qui se retrouva en culotte au milieu de l’allée. Il
fallut peu de temps pour que son sweat-shirt coloré et le bustier qui était en
dessous aillent rejoindre la jupe sur le dossier d’une chaise.
Julie voulut dissimuler ses
atours maintenant largement dévoilés. Ses mains n’y suffisaient pas.
« Maman, s’il te plait, on
peut aller dans une cabine d’essayage.
– Arrête de faire des manières !
Tu me fatigues ! Je vois bien que tu fais la tête depuis ce matin. Je
trouve que ça commence à suffire. Il n’est pas nécessaire de te cacher pour
changer de jupe et de corsage. Ça se fera ici ! »
Une claque sur la culotte
confirma cet avertissement. Tatie Nathalie s’empara du chemisier et l’enfila à
sa fille. Elle le boutonna jusqu’en haut, puis elle lui mit la jupe, qu’elle
ajusta sur la taille de la jeune femme.
« Patricia, avez-vous des chaussettes ?
Il faudrait quelque chose qui monte jusqu’aux genoux puisqu’elle les portera
sans collants.
– Ne bougez pas, je
reviens. »
Après un détour dans le rayon des
chaussettes, elle tendit une paire de chaussettes blanches à sa cliente. Tatie
Nathalie glissa ses mains sous la jupe de Julie. Elle la releva pour pouvoir
atteindre le haut du collant, ce qui laissa apercevoir un bout de culotte. Le
collant fut prestement baissé.
Julie était maintenant jambes et
pieds nus. Sa mère lui passa les chaussettes, puis elle recula pour admirer son
œuvre.
« Bon, dit-elle satisfaite
d’elle. Un changement heureux ! Je te préfère comme cela, et de
loin ! Qu’en pensez-vous Patricia ?
– C’est une vraie
renaissance ! Julie me rappelle, habillée comme cela, celle que j’habillais
quand elle avait dix ou douze ans. Sauf qu’à l’époque, elle souriait bien plus.
Voyons pour les culottes. Je vous propose également un soutien-gorge plus
adapté ?
– Je vous fais confiance. »
Julie regarda autour d’elle d’un
air désespéré.
« Maman, s’il te
plait !
– Bon, je t’avais prévenu. Je te
veux plus obéissante. Je n’accepterai pas que tu contestes mes décisions, et
encore plus quand devant d’autres personnes. Est-ce compris ? »
L’exaspération de Tatie Nathalie
était palpable. Julie baissa la tête.
« Oui, Maman. »
Quand la vendeuse revint, Tatie
Nathalie prit une culotte. Elle l’examina. Elle était en coton blanc, sans
aucune décoration ni aucune échancrure.
« Afin que tu comprennes
bien qui décide, puisque tu sembla avoir du mal à intégrer cette nouvelle
donne, je vais finir ta métamorphose en grande fille bien convenable, du moins
du point de vue de son habillement. »
Tatie Nathalie attrapa sa fille
et la rapprocha d’elle sans ménagement. Elle passa ses mains sous la jupe de
Julie. Celle-ci interposa ses mains pour la rabattre, faisant ainsi obstacle à
la volonté de sa mère.
« C’est une fois de
trop ! »
Tatie Nathalie ceintura sa fille
et la courba sous son bras. Julie comprit aussitôt ce qui se préparait.
« Non, Maman, je vais te
laisser faire, non, Maman ! »
Sa mère ne prit pas garde à la
supplique qui venait de lui être adressée. Elle plaça Julie résolument sous son
coude et la vigueur de son geste décolla brièvement du sol, les pieds de sa
fille. Elle releva la jupe qui, compte tenu de sa longueur, remonta jusqu’aux
épaules. La culotte de Julie fit le chemin inverse.
« Lève ton
pied ! »
Une claque sur la cuisse
encouragea Julie à l’obéissance. Tatie Nathalie ôta la culotte qui ne tenait
plus qu’autour d’un mollets de Julie.
« L’autre pied ! »
Une deuxième claque rougit
l’autre cuisse et la culotte était maintenant dans les mains de sa mère qui, d’un
geste du poignet, l’envoya rejoindre le reste des vêtements dont Julie était
maintenant privée. Tatie Nathalie avait maintenant une main libre et des fesses
nues à sa portée qui, de plus, appartenaient à une jeune femme qui venait de
lui désobéir. La suite ne me surprit pas.
« Aïe ! »
La première claque venait de
laisser une marque rouge et cuisante sur les fesses de Julie. L’autre côté eut
aussitôt sa part. Julie savait qu’elle ne devait, en aucun cas, protéger ses
fesses de sa main disponible. Elle la plaça dans sa bouche et y referma ses
dents, comme pour éviter que sa main ne prenne une initiative malheureuse. Elle
avait ainsi confectionné un bâillon improvisé qui l’aidait à contenir ses cris.
La fessée se poursuivait à un
rythme soutenu. Tatie Nathalie avait bien l’intention de monter à sa fille ce
que coutait une matinée de mauvaise humeur qui débouchait en une désobéissance
flagrante. Cela ne pouvait aller qu’avec les cris qui démontreraient que le
châtiment portait ses fruits. Tatie Nathalie accéléra encore le rythme de la
punition.
Julie n’avait plus le loisir de
planter ses dents dans la paume de sa main. Le bâillon avait été rejeté pour
permettre aux cris de douleur de s’échapper de sa bouche. Julie sanglotait
quand Tatie Nathalie jugea qu’elle avait produit l’effet qu’elle désirait bien
que la fessée n’ait pas été particulièrement longue. Les fesses de Julie
avaient eu le temps de prendre une belle couleur rouge uniforme. Quand Julie se
redressa, la jupe retomba à sa place.
« Je pense que maintenant tu
ne vas plus voir d’inconvénient à me laisser faire. »
Elle présenta la culotte ouverte
à Julie qui y passa une première jambe, puis la deuxième. Tatie Nathalie
remonta le sous-vêtement. Son mouvement souleva largement la jupe qui se
retrouva remontée jusqu’à la taille, exposant la peau nue qu’elle cachait
jusque-là, y compris une large partie de son triangle pubien et de ses fesses.
Julie ne réagit pas. Le peu de
précaution que sa mère prenait pour ménager sa pudeur en présence d’une
personne étrangère, la laissait passive. La fessée était passée par là,
incitant Julie à laisser la main à sa mère sur ce qui ne lui semblait plus
maintenant que des détails. Tant qu’à montrer ses fesses, autant que ce soit
pour les recouvrir d’une culotte même si celle-ci était quelque peu
infantilisante, plutôt que de les exposer pour recevoir une nouvelle fessée, ce
que sa mère envisagerait sans difficulté à la première hésitation de sa fille.
Nous étions tous persuadés que Tatie Nathalie ne laisserait pas passer la
moindre occasion.
Une discussion s’engagea sur le nombre
de culotte qu’il était nécessaire d’acheter et sur la taille des soutiens-gorge.
Ces sujets me laissaient indifférents. Par désœuvrement, de déambulais dans les
allées entre les étagères. Je profitais que Tatie Nathalie était occupée
ailleurs pour rendre quelques bouffées de liberté loin de sa stricte
surveillance. J’avais l’impression de vivre une grande aventure d’indépendance,
compte tenu du temps qui s’était écoulé depuis que je n’avais pas eu un moment
sans être sous la supervision d’une autre personne. J’étais étonné de ne pas
être rappelé à l’ordre.
En passant près du comptoir, je
touchais de l’épaule une étagère sur laquelle étaient entassés du matériel de
couture. Une paire de ciseaux glissa et tomba sur le globe en verre d’une lampe
posée à côté de la caisse enregistreuse. Une fêlure s’y forma aussitôt. Elle
zigzaguait, bien visible, d’un bout à l’autre de la lampe. Si Tatie Nathalie
s’en apercevait, j’étais bon pour une punition. Je remis la paire de ciseaux en
place et je m’éclipsais par l’autre côté de la boutique.
Les tractations commerciales
achevées, tout le monde se retrouva devant le comptoir pour régler les achats.
La lampe fut la première chose que remarqua la vendeuse.
« Ma lampe ! Qui a pu
… »
Le regard de Tatie Nathalie se
tourna tout de suite vers moi.
« Peux-tu nous expliquer ce
qui s’est passé, Axel ?
– Non, ma Tante, je ne sais
pas. »
Je me sentis rougir. C’est sans
doute ce qui confirma ma culpabilité.
« Je te donne une dernière
chance d’avouer ce que tu as fait. Tu seras puni pour ta bêtise, mais cela
s’arrêtera là. Dans le cas contraire … »
Le mot punition avait été lâché.
Bien que Tatie Nathalie n’ait pas évoqué la fessée, je savais comment cela se
terminerait. J’étais paniqué par l’idée que soit révélé à la vendeuse que
j’étais, moi aussi, soumis à un tel traitement.
« Non, je le jure, ce n’est
pas moi ! »
J’entendais l’aveu de ma
culpabilité dans le ton désespéré que j’employais.
« Je comprends ce qui s’est
passé, déclara la vendeuse. Cette paire de ciseaux n’est pas à sa
place ! »
Elle la repositionna dans le même
sens que toutes les autres. Dans ma précipitation je l’avais replacée à l’envers.
« C’est cette paire de
ciseaux qui est tombée sur le globe et qui l’a fendu ! »
Tatie Nathalie m’obligea à lui
faire face, la regardant les yeux dans les yeux.
« Nous savons, maintenant,
comment cet accident s’est passé. Je crois que je tiens le coupable.
– Non, ma Tante, je n’ai pas …
– Plus tu t’enferreras dans ton
mensonge, plus la punition sera sévère ! Comment oses-tu nous faire croire
que tu n’y es pour rien alors que tu étais le seul à proximité et que cette
paire de ciseaux n’est pas remontée toute seule à sa place ? Il suffit de
te regarder droit dans les yeux pour y lire ta culpabilité !
- Non, ma Tante, je vous jure que
…
– C’en est trop ! »
Tatie Nathalie déboucla la
ceinture de mon pantalon, puis elle s’arrêta.
« Patricia, Il serait plus
logique que ce soit vous qui punissiez Axel pour avoir cassé votre lampe. Je me
chargerai du mensonge dès notre retour à la maison. Voulez-vous lui donner
vous-même la fessée ?
– Vous croyez que je peux ?
– Sans aucun doute ! Si je
vous le demande, c’est qu’il n’y a pas de problème. Une bonne fessée
déculottée, administrée par la personne à qui il a causé un dommage, cela lui
sera très profitable. Je me permets d’insister.
– Bon, pourquoi pas. Vous croyez
que je saurai faire ?
– Ne vous inquiétez pas pour
cela. Cela vient naturellement à partir du moment où vous êtes décidée à lui
donner une sérieuse leçon. Je vais vous aider. Axel, va voir
Patricia ! »
Je m’étais résigné à recevoir une
fessée. C’était dans l’ordre des choses après que ma tentative maladroite de
dissimuler mon forfait, avait échoué aussi clairement. Je m’attendais à une
punition conséquente dès mon retour à la maison. La décision de Tatie Nathalie
de m’en administrer un échantillon séance tenante m’avait mortifié, mais cela
faisait partie de ses prérogatives à mon égard. Je n’arrivais pas, par contre,
à me faire à l’idée d’être fessé par une main étrangère, même si elle avait
reçu l’assentiment de Tatie Nathalie.
Je jetais un regard affolé tout
autour de moi. Il n’y avait pas d’échappatoire. Au lieu de m’avancer vers ma
future fesseuse, je reculais d’un pas. Une claque sur le fond du pantalon
arrêta mon mouvement.
« Axel, veux-tu obéir !
Encore un refus comme celui-là et, après ta fessée, je te laisse au coin, la
culotte baissée, dans ce magasin toute la matinée ! »
De là où nous étions, les
passants, depuis la rue, auraient alors une vue parfaite sur mes fesses nues et
colorées par la punition. Si c’était vrai également vrai pendant la fessée,
avec un peu de chance, nul n’y ferait attention dans le temps limité qui était
nécessaire pour me punir. Avec une longue exposition au coin, c’était une autre
affaire.
Tatie Nathalie me poussa dans le
dos et je me retrouvais dans la vendeuse.
« Finissez de lui baisser le
pantalon. Je tiens à ce qu’il reçoive une fessée déculottée. A défaut, la leçon
risque de ne pas être retenue. »
Patricia eut un court moment
d’hésitation, puis elle déboutonna mon pantalon et en fit glisser la fermeture
de la braguette. Mon pantalon s’affaissa sur mes hanches.
« Prenez-le sous votre
coude, comme je l’ai fait pour Julie ! »
Je ne pouvais plus empêcher la
vendeuse de me positionner comme Tatie Nathalie le lui avait conseillé, sauf à
désobéir ouvertement, ce que je n’étais pas en état de faire.
« Achevez son déculottage,
cela devrait se faire facilement maintenant ! »
A peine la vendeuse avait-elle
tiré un peu mon pantalon vers le bas, qu’il tomba sur mes genoux. Elle força un
peu pour qu’il passât sous mes genoux.
« La culotte, maintenant,
ordonna Tatie Nathalie.
– Vous croyez que je dois …
– Pas de discussion, s’il vous
plait. Je tiens à ce que cette punition soit exemplaire. Elle doit donc être
déculottée. »
Patricia eut encore un moment
d’hésitation. Elle glissa finalement son pouce sous l’élastique de mon
sous-vêtement. Son incertitude se ressentait. Ses gestes étaient
précautionneux, comme si elle temporisait encore avant de s’engager sur un
terrain aussi intime. Puis, elle me plaqua plus étroitement contre son flanc.
Je sentis sa volonté se raffermir. D’un geste sec, elle me baissa la culotte
qu’elle laissa à mi-cuisses.
« Aïe ! »
Je ne pus m’empêcher de montrer
que sa main laissait, dès la première claque, un souvenir douloureux sur ma
fesse gauche. Elle frappa du côté droit et je réagis de la même façon. Puis la
fessée prit un rythme constant. Chaque claque résonnait dans le magasin. Mes
fesses chauffèrent rapidement et je ne pouvais éviter de trépigner sur place.
Peu m’importait maintenant qu’on puisse me voir dans cette positon aussi
humiliante ou qu’une autre personne entre dans la boutique et tombe sur le
tableau dont mes fesses sans doute largement rougies, jouaient le premier rôle.
Puis la fessée cessa.
« Croyez-vous que cette
fessée est suffisante ?
– Pas du tout, répondit Tatie
Nathalie, vous pourrez estimer qu’il a compris la leçon quand c’est un garçon
sanglotant que vous tiendrez sous votre coude. Il faut que ses fesses lui
cuisent à la hauteur de la bêtise qu’il a faite. Si vous vous en tenez là, je
devrais compléter, dès maintenant, cette fessée par une de mon cru. Je ne tiens
pas à ce qu’il pense qu’il peut mal se comporter en présence de personnes
étrangères à notre famille et s’en sortir aussi facilement. Finissez-donc cette
punition ! »
Je ne sais pas si Patricia avait
réellement l’intention de mettre fin à la fessée, mais elle mit de l’entrain à
poursuivre le châtiment qu’elle avait interrompu quelques instants. Sans m’en
apercevoir, je passais des cris aux sanglots. Patricia avait obtenu ce que
Tatie Nathalie lui avait demandé.
Je fus mis au piquet le temps que
Tatie Nathalie effectue le paiement qu’elle devait pour ses achats. J’étais
soulagé d’en avoir fini avec cette première épreuve, tout en gardant, présent à
l’esprit, qu’une nouvelle fessée m’attendait à la maison. Cette punition à
venir constituait toutes mes préoccupations, laissant loin derrière la crainte d’être
aperçu dans la position que j’occupais.
« Demande pardon à
Patricia ! »
Tatie Nathalie alla jusqu’au bout de ses exigences.
Après avoir reçu une fessée déculottée de la part de cette dame que je ne
connaissais pas, lui présenter des excuses ne constituait plus qu’une humiliation
mineure. Je réussis à le faire de façon convaincante, ce qui m’épargna une
autre punition
Et avec les dessins originaux de Peter Pan.
Grand merci pour ce travail qui se poursuit.Pour suivre le fil de cette histoire :
Comprendre le contexte : l'introduction
Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 60
De l'usage des commentaires
N'hésitez pas à donner votre avis. Les retours des lecteurs sont un encouragement précieux pour les auteurs, si vous voulez que ça dure. Faites-en un usage immodéré.
Bonjour,
RépondreSupprimerAprès les sévères corrections de madame Tolbois, au super marché, sur un parking et surtout les mémorables séances de fessées chez la dentiste qui finit par flanquer des déculottées à ses patients récalcitrants, les fessées dans ce magasin de vêtements continuent la passionnante saga des punitions en public. Belle continuité. La fessée déculottée, immédiate là ou la faute est commise quel que soit l'endroit. Excellente méthode, radicale, efficace... plus humiliante et donc marquante, surtout quand la vendeuse elle même est sollicitée pour déculotter et fesser les désobéissants.
A suivre avec plaisir.
Cordialement
Ramina
Ramina,
SupprimerC'est, en effet, dans l'ordre des choses, puisque la fessée est une punition naturelle, qu'elle se déroule de plus en plus souvent là où elle est méritée quelles que soient les personnes présentes.
Au plaisir de vous lire,
JLG.