dimanche 30 septembre 2018

Mémoires d'un garnement de jadis - 39ème tableau

Mon bulletin mensuel désastreux signait ma prochaine rentrée directe chez les Soeurs de Synthol. Je devais à tout prix exceller en tout au pensionnat pour éviter cette échéance qui se profilait à l'horizon.

samedi 29 septembre 2018

Axel en famille - chapitre 63


Le reste de la journée fut calme. Pas l’ombre d’une fessée. Tout juste en fus-je menacé par Tatie Nathalie au cours du déjeuner pour avoir montré de la mauvaise volonté à manger les champignons qu’elle avait mis dans mon assiette. La première semonce suffit, j’avalais le tout en un rien de temps. Elle ne jugea pas donc nécessaire d’aller au-delà. Dans l’après-midi, je repris ma fiche de lecture et le travail que je produisis, convint à Tatie Nathalie.
Je jouissais de l’atmosphère qui s’installait dans la maison. J’avais l’impression que nous formions une vraie famille. Je voyais un séjour reposant et sécurisant se dessiner durant ces vacances. Bien sûr, cela n’irait pas sans quelques fessées. Je n’avais pas la prétention de les éviter toutes. J’avais, par contre, bon espoir qu’elles me seraient données à main nue et dans l’intimité relative du cadre domestique.
Mes espoirs furent douchés en milieu d’après-midi.

jeudi 27 septembre 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 51


Avec le temps, les fessées nous furent administrées de plus en plus souvent en présence d’inconnus.
Une première marche fut montée quelques semaines après ce jour où Béatrice et Catherine avaient reçu leur première fessée. Ce mode de punition était alors bien en place et aucun d’entre nous quatre n’aurait osé contester le droit de Madame Colas de corriger l’un de nous. Il n’y avait pas de jour où elle n’exerçait pas cette prérogative.
Je ne m’en rappelle plus le motif, mais Catherine était courbée sous le bras de notre cheffe de bureau. Sa jupe était relevée sur ses reins et sa culotte descendue à mi-cuisses. La fessée était déjà bien entamée et Catherine exprimait sa douleur sans retenue, arrivant à intercaler de temps en temps une demande de pardon entre deux sanglots.

lundi 24 septembre 2018

Ce sera une fessée pour toutes les deux

Il n'y a absolument aucune raison, Manon, que la présence de ta nouvelle amie, Géraldine, change quoique ce soit à nos habitudes. Au contraire, puisqu'elle doit habiter dans notre maison au moins pendant quelques semaines, autant qu'elle soit au courant au plus vite des règles qui ont cours ici.
Je suis ravie d'accueillir ta nouvelle collègue et de lui louer une chambre chez nous. Il y a de la place. Il est vrai qu'il n'est pas facile de trouver à se loger dans notre ville. Je suis ravie de lui rendre ce service Elle pourra rester aussi longtemps qu'elle le souhaite. Notre maison est grande. Tu as bien fait de le lui proposer. Durant tout ce temps, elle fera partie de la famille.
Cela me fera une deuxième grande fille à la maison. Cela ne n'effraie pas d'avoir deux jeunes femmes sous mon toit. Je me sens capable d'être sa mère adoptive, en quelque sorte. Mais ce n'est pas parce que vous avez toutes les deux un peu plus de trente ans que vous pouvez en prendre à votre aise avec l'obéissance que j'exige de tous mes enfants, biologiques ou adoptés, quel que soit leur âge.

dimanche 23 septembre 2018

Mémoires d'un garnement de jadis - 38ème tableau

Les professeures de chez les Soeurs Claquemiche procédaient elle-mêmes à la synthèse du mois et leur verdict ne supportaient aucune contradiction. Mazette !

samedi 22 septembre 2018

Axel en famille - chapitre 62


Le visage fermé de Tatie Nathalie pendant tout le trajet de retour ne laissait aucun doute : je n’en avais pas encore fini avec la punition pour mon comportement dans le magasin. Je tentais de me faire oublier en restant le plus discret possible, mais c’était sans grande illusion. J’avais à peine mis le pied dans la maison que cela me fut confirmé.
« Axel, au coin en attendant ta fessée ! »

mercredi 19 septembre 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 50


« Nous avons assez abusé du temps de ces dames. Il est temps de rentrer à la maison. Du travail nous y attend. »
D’un tour de main, Catherine se retrouva debout face à sa belle-mère. Elle n’eut pas le temps d’esquisser un geste avant que Maman Martha se charge de remonter sa culotte. Elle eut l’intelligence de se laisser faire. Elle fut rhabillée comme cela ne lui était plus arrivé depuis qu’elle était une petite fille. Cela augurait bien de la façon dont elle était considérée par Maman Martha.

lundi 17 septembre 2018

Impolitesse, épisode 2

Avoue que cela t'aurait manqué si je n'avais pas pris ma part dans cette séquence. Maintenant, pour toi comme pour moi, cela en fait un moment inoubliable qui va nous permettre de reconstruire notre relation sur de nouvelles bases.
Je remercie Caroline, ta compagne et ma meilleure amie, de m'a voir fait cette proposition. Il n'y rien de tel que de régler les problèmes en direct. C'est ce que je ferai dorénavant. Ce sera bien plus efficace.

dimanche 16 septembre 2018

Mémoires d'un garnement de jadis - 37ème tableau

 La rentrée débutait mal pour moi. Devant les remarques négatives de mes pro-fesseuses, Maman et Tantine se concertèrent sur mon avenir scolaire. Finalement, Mamie proposa un compromis: étudier sous la direction d'une professeure de sa connaissance, une vieille amie du Collège où elle enseigna jadis. La solution semblait convenir à l'ensemble de la famille.

samedi 15 septembre 2018

Axel en famille - chapitre 61

C’est Tatie Nathalie qui vint me réveiller. Elle ouvrit les rideaux en grand.
« Debout, c’est l’heure de déjeuner ! »
Je ne traînais pas au lit, j’en connaissais les conséquences. Tatie Nathalie m’amena près de la fenêtre. Elle me fit présenter mon dos à la lumière, elle me ploya sous son bras sans que je tente un geste ni de résistance, ni de protestation. Tout simplement, elle baissa ma culotte de pyjama. J’espérais que ce n’étais pas pour une fessée.

mercredi 12 septembre 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 49


Catherine n’avait plus connu une sensation d’apaisement aussi absolue depuis son enfance, avant qu’à l’adolescence, les relations avec sa mère ne deviennent conflictuelles lorsqu’elle s’était rendu compte des faiblesses de sa génitrice. Celle-ci n’avait jamais su imposer une autorité à la jeune fille rebelle qu’elle était peu à peu devenue, gâchant un fort potentiel comme ne cessaient de le répéter ses professeurs.

lundi 10 septembre 2018

Les conséquences d'une impolitesse répétée

Ne t'avais-je pas prévenu, la dernière fois que Madeleine est venue manger à la maison ? Peut-être n'as-tu pas cru que j'étais sérieuse et que je ferai ce que j'ai dit ? Tu as tellement l'habitude de faire des promesses en l'air que tu ne penses pas un seul instant que les autres tiendront ce qu'ils ont dit.
Je ne vois pas ce qui t'indispose. Je ne fais que faire ce que je t'avais promis, non ? Tu savais quels risques que tu prenais. Que Madeleine soit présente ne change rien à l'affaire. Je crois plutôt que cela te sera profitable.

dimanche 9 septembre 2018

Mémoire d'un garnement de jadis - 36ème tableau

Lundi 3 Septembre. L'école rouvre ses portes après un sommeil estival. Première journée. Cours de Géographie dispensé par Mademoiselle Mascaret. Première leçon, premier faux-pas ! Et... première fessée ! Ma nouvelle année débutait sur des charbons ardents . Mon pauvre derrière en fit des étincelles !

samedi 8 septembre 2018

Axel en famille - chapitre 60


La soirée fut agitée.
Dès le repas terminé, Tatie Nathalie nous distribua les tâches que nous devions effectuer : à l’un le remplissage du lave-vaisselle, à l’autre le débarrassage de la table, à l’un les poubelles ; à l’autre le nettoyage de l’évier. Elle nous envoya ensuite nous laver les dents tout en nous donnant rendez-vous dans le séjour dès que nous aurions fini.
« Ne traînez pas. Si je dois venir vous chercher, vos fesses en subiront les conséquences ! »
Je me présentais le premier devant Tatie Nathalie.
« Allons, Axel, c’est le moment de la fessée. Viens ici que je te prépare ! »

jeudi 6 septembre 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 48


Catherine regagnait lentement le coin. Il y avait, certes, son pantalon, descendu autour de ses mollets qui ne facilitait pas la marche, mais il me semblait que, malgré la courte distance, elle avait ralenti le pas à l’approche de son lieu de pénitence.
Elle s’arrêta tout à fait à cinquante centimètres de l’angle du mur où elle devait aller positionner son nez. Catherine se retourna, fit une grimace, mais elle fit le pas qui lui manquait pour se replacer au coin. Quand Madame Gorevski voulut s’en offusquer, il était trop tard. La position de Catherine dans le coin était conforme à ce qu’on exigeait d’elle.
« Quelle chipie, pensèrent les trois femmes en même temps ! »

mardi 4 septembre 2018

Un stage amer mais profitable


Un stage au gout un peu amer (récit  de Vincent)

Quand je m’interroge sur d’où me vient cette passion pour la fessée je me remémore un épisode marquant de ma jeune vie d’adulte qui a sans doute confirmé mon besoin d’être corrigé régulièrement. Cela se passai dans les années 80 à l’époque j’étais étudiant en troisième année à science Po Paris et je rentrai le week-end chez mes parents en banlieue lyonnaise. J’avais 21 ans j’étais sûr de moi, travailleur, je réussissais tout ce que j’entreprenais, et j’avais décroché un stage de fin d’étude dans une des plus réputée agence de communication. Nous étions samedi midi, je débutais mon stage lundi matin et mes parents m’avaient proposé de les rejoindre pour la soirée chez des amis dans le centre de Lyon.

lundi 3 septembre 2018

Une fermeté bienvenue

Mais si, ma chérie, c'est précisément l'endroit où tu dois être pendant ces prochaines minutes. Je me doute que ce n'est pas exactement ce dont tu avais rêvé, mais, tu sais, il y a parfois des moments délicats dans la vie, où il faut passer par quelques situations désagréables, mais c'est pour ton bien.
J'aurais peut-être dû te prévenir, quand tu m'as demandé de venir loger chez moi, que je n'accepterai pas les colères, surtout quand c'est une grande fille de vingt-et-un ans qui les fait. Mais, d'un autre côté, puisque j'ai sous mon toit une jeune fille qui se comporte comme une petite peste, je sais comment il faut que je m'y prenne.

dimanche 2 septembre 2018

Mémoires d'un garnement de jadis - 35ème tableau

Eh oui, les vacances allaient s'achever pour moi sur une fausse note. Mon caractère frondeur prenait souvent le pas sur mes bonnes intentions. Mais je ne pouvais m'imaginer vivre sans les fessées certes cuisantes mais salutaires de Maman et tante Madeleine, sa soeur aînée et celles de mes sœurs et cousines . Evidemment,  mon orgueil de jeune mâle ne l'entendait pas de cette oreille...

samedi 1 septembre 2018

Axel en famille - chapitre 59


« Viens-ici Julie ! »
Cette interpellation me sortit de ma concentration sur mon travail et me fit revenir à la réalité qui m’entourait. Je jetais un œil sur l’horloge qui trônait dans la pièce. Cela faisait une bonne demi-heure que Julie se tenait au coin.
Elle se tenait un peu moins immobile qu’au début de sa pénitence et elle devait, de temps en temps, remonter ses bras dans son dos, afin que ses fesses restent bien découvertes. C’étaient des signes de la fatigue que provoque une longue station en pénitence. Tatie Nathalie s’en était-elle aperçu ? Etait-ce un motif suffisant pour une nouvelle fessée ? La voix de Tatie Nathalie ne semblait pas courroucée.