Avec
le temps, les fessées nous furent administrées de plus en plus souvent en
présence d’inconnus.
Une
première marche fut montée quelques semaines après ce jour où Béatrice et
Catherine avaient reçu leur première fessée. Ce mode de punition était alors
bien en place et aucun d’entre nous quatre n’aurait osé contester le droit de
Madame Colas de corriger l’un de nous. Il n’y avait pas de jour où elle
n’exerçait pas cette prérogative.
Je
ne m’en rappelle plus le motif, mais Catherine était courbée sous le bras de
notre cheffe de bureau. Sa jupe était relevée sur ses reins et sa culotte
descendue à mi-cuisses. La fessée était déjà bien entamée et Catherine
exprimait sa douleur sans retenue, arrivant à intercaler de temps en temps une
demande de pardon entre deux sanglots.
Madame
Colas était concentrée sur sa tâche et Catherine tournait le dos de sorte
qu’elles ne remarquèrent la personne qui ouvrit la porte et se pétrifia sur le
seuil en apercevant la scène qui se déroulait sous ses yeux.
Le
hasard de la punition avait conduit Madame Colas à corriger Catherine en
positionnant ses fesses nues face à la porte d’entrée de notre bureau. J’avais
plus d’une fois frémi à la pensée qu’une tierce personne puis pénétrer dans le
bureau alors que ma cheffe de bureau me fessait. La disposition des lieux ne
laissait aucune intimité.
Pour
recevoir la fessée en privé, il aurait fallu se rendre dans la cuisine, mais
c’était une hypothèse qui n’était pas venue à l’idée de Madame Colas et aucun
d’entre nous n’osait lui en faire la proposition. Nous étions tous persuadés
qu’elle l’aurait rejetée, la classant dans les idées incongrues. La fessée des
enfants qu’elle avait sous sa responsabilité, comme elle nous appelait
maintenant, c’était là où elle était méritée, au moment où elle était
nécessaire. Pas besoin d’intimité. La fessée reçue par l’un en présence des
autres, profitait à tout le monde.
Nos
trois regards, à Magali, Béatrice et moi, convergèrent vers la nouvelle
arrivante. Notre attitude inhabituelle finit par alerter Madame Colas qui leva
les yeux de son ouvrage. En découvrant la nouvelle spectatrice, elle stoppa la
fessée et je la vis esquisser le geste de libérer Catherine de son étreinte.
Son hésitation ne dura pas. Elle resserra son bras autour de la taille de
Catherine.
« Bonjour
Madame Schneider ! Comment allez-vous ? »
Madame
Schneider possédait un magasin sur la place de la mairie. Son importance,
autant comme notable de la ville, que comme cliente importante de notre
société, lui donnait des habitudes dans nos bureaux. Elle entrait sans se faire
annoncer. Elle était un peu chez elle.
« Je
vous en prie, entrez ! »
Madame
Schneider n’hésita pratiquement pas. Elle fit deux pas à l’intérieur de la
pièce, ce qui la conduisit tout près de Catherine et de Madame Colas. Cette
dernière lui tendit la main que Madame Schneider serra.
« Si
vous le permettez, je finis de corriger cette petite peste et je suis à
vous. »
Catherine
remuait ses fesses de droite à gauche, mais elle n’osait pas signaler son
indignation. A part les fessées reçues en famille et celles devant nous au
bureau, c’était sans doute la première fois qu’elle était corrigée en public,
en présence d’une inconnue. Elle tournait la tête pour tenter d’apercevoir la
visiteuse, mais l’angle n’était pas favorable, elle n’en voyait presque rien.
« Mais
je vous en prie, faites donc ! »
La
fessée reprit de plus belle. J’eus l’impression que Madame Colas y mettait un
soin particulier. La présence Madame Schneider l’incitait à être démonstrative
des bienfaits que pouvait apporter une fessée. Toutes les claques résonnèrent
fortement sur le derrière de Catherine et celle-ci oublia bien vite
l’assistance étrangère pour se centrer sur la cuisson de ses fesses. Ses cris
et ses pleurs reprirent après une grosse dizaine de secondes pendant lesquelles
elle essaya, en vain, de retenir se bruyantes manifestations.
Encore
quelques minutes et que l’auditoire ait grossit ne la préoccupait plus. Je fus
persuadé que ce détail lui était sorti de la tête quand elle commença à se
dandiner sur place, sans arriver à suivre le rythme de la main qui embrasait
ses fesses.
Elle
en reprit conscience quand Madame Colas la laissa se relever. Comme nous en
avions l’habitude après une fessée, Catherine retenait sa jupe au-dessus de ses
reins. C’était maintenant un geste machinal que nous faisions sans y penser.
Rien ne devait occulter la peau nue entre notre taille et la culotte qui pendait
entre les genoux.
« Au
coin, lui ordonna Madame Colas ! »
Catherine
fit demi-tour pour se diriger vers le lieu habituel de nos pénitences. Madame
Schneider était sur sa route. Elle arborait un petit sourire mi ironique, mi
étonné. Elle s’attendait sans doute à se trouver en présence d’une toute jeune
fille, à peine sortie de l’adolescence. L’âge de la personne qui lui faisait
face était inattendu. Elle était visiblement un peu plus âgée qu’elle.
La
bouche de Catherine s’arrondit, ses yeux s’écarquillèrent, puis descendirent
vers son pubis nu qu’elle exhibait. L’impudeur de la scène lui vint à l’esprit,
comme une évidence à laquelle on ‘avait pas encore songé. Elle laissa tomber sa
jupe qui recouvrit ses fesses.
« Qu’est-ce
que c’est que ces manières, rugit Madame Colas derrière elle ! Remets ta
jupe à sa place ! »
L’habitude
d’obéir était plus forte que toute pudeur. Précipitamment, Catherine relava sa
jupe, la remettant à sa place initiale. Elle s’était rendu compte de son
erreur, mais il était trop tard. Madame Colas n’eut qu’un pas à faire.
« Depuis…
quand… oses-tu… baisser… ta jupe… sans que… je t’en aie… donné…
l’autorisation ? »
Sa
diction était hachée car elle ponctuait chacun de ses mots par une claque sur
les fesses de Catherine.
« Je
vais… t’apprendre… à désobéir… aussi… effrontément… au coin ! »
Catherine
n’hésita plus. La spectatrice étrangère ne comptait plus. Elle la contourna et
malgré sa culotte qui la gênait, elle courut se réfugier au coin.
« Je
comprends que ce soit une société qui tourne bien. Vos méthodes sont efficaces.
Je vais réfléchir à les mettre en place dans mon magasin. J’avais entendu dire
que Madame André, au supermarché, avait obtenu d’excellents résultats depuis
qu’elle fessait ses salariés négligents. J’ignorais qu’ici aussi vous aviez
adopté cette méthode.
–
Vous avez pu constater de visu combien elle est efficace. Pour rien au monde je
ne reviendrais aux méthodes traditionnelles. Si vous saviez combien les
tensions ont diminuées depuis que ces garnements savent qu’à la moindre
incartade, ils vont être fessés.
–
Ils vous laissent faire ?
–
Evidemment, il leur en cuirait encore plus s’ils se rebellaient. Ça n’a pas été
tout seul au début, surtout avec cette donzelle. »
Madame
Colas désignait Catherine.
« Elle
a bien tenté de passer au travers, mais l’intervention de sa belle-mère a remis
les choses dans l’ordre.
–
Sa belle-mère ? Comment ça ? Racontez-moi ! »
Madame
Colas expliqua les arrangements qui avaient été prévus avec les tutrices de ses
employés et les conséquences d’une fessée reçue au travail. Elle détailla la
façon dont Madame Gorevski s’y était prise pour obtenir la soumission de
Catherine. Cela laissa Madame Schneider songeuse.
« Oui,
je vois. Quel système habilement monté ! Il faut que je voie du côté de
leur famille. »
Nous
sentions tous que le mécanisme était en route. J’eus une pensée pour les
employés du magasin qui venaient sans doute, d’entrer dans une nouvelle ère de
leur relation au travail. Madame Colas retrouva ses réflexes de relations commerciales.
« J’espère
que je ne vous ai pas embarrassée avec cette fessée que Catherine a reçue en
votre présence.
–
Pas du tout. Au contraire ! Je m’en serais voulu si vous aviez dû
interrompre la correction de cette chipie à cause de moi. Je vois que vous les
tenez bien en main. Je suis assez admirative de ce que vous avez fait. »
Madame
Colas rougit de plaisir, ce qui était assez inhabituelle pour elle. Puis, on
passa à ce qui avait amené Madame Schneider dans nos locaux.
La
fessée se généralisant, ce qui avait été une coïncidence malheureuse la
première fois devint une banalité… sauf pour nous qui recevions ces fessées
données devant des inconnus. C’était d’autant plus gênant que notre société
développa une clientèle locale attirée par l’excellente réputation de la
société. Ces clients qui se trouvaient à notre porte prirent l’habitude de
venir sur place à la moindre question.
Ce
n’était pas un défilé continuel, mais voir quatre ou cinq personnes dans la
journée n’était pas rare, alors qu’auparavant l’essentiel des ventes se faisait
sur internet. Madame Raveneau était ravie de ce complément de chiffre
d’affaires qui lui tombait du ciel sans qu’elle ait eu à effectuer une campagne
de marketing. Nous dûmes nous réorganiser pour les accueillir. Cette tâche
revint à Béatrice qui, depuis que Madame Colas contrôlait systématiquement son
travail, avait du temps disponible pour absorber une nouvelle tâche.
La
présence régulière de clients dans nos bureaux, corrélée avec la multiplication
des fessées… cela se télescopait régulièrement. La punition de Catherine devant
Madame Schneider avait marqué nos esprits. Le lendemain, Catherine était
revenue la mine sombre. Cela n’avait pas duré longtemps. Madame Colas ne la
laissa pas faire plus d’un quart d’heure.
« Catherine,
je ne vais pas supporter cette tête d’enterrement toute la journée. Soit vous
cessez tout de suite, soit je vous donne un motif valable pour
continuer. »
Tout
le monde avait compris.il s’agissait d’une fessée.
« Non,
s'il vous plait Madame. Je vais arrêter mais ce n’est pas facile.
–
Qu’est-ce qui n’est pas facile ?
–
La fessée devant le dame. J’ai honte !
–
Ce n’est pas d’avoir reçu cette fessée devant Madame Schneider dont vous
devriez avoir honte, mais de l’étourderie qui l’a rendue nécessaire. De toute
façon, que vous ayez honte de vous ne justifie pas que nous ayons à supporter
cette mine sombre toute la journée. Je vous aurai prévenue. Si vous continuez,
c’est la fessée.
–
Oui Madame.
–
Si je dois différer l’administration des punitions sous prétextes qu’une
personne vient d’entrer dans la pièce, nous ne nous en sortirons pas. Si
recevoir la fessée en public peut vous mettre un peu de plomb dans la tête,
c’est une bonne nouvelle. Tu as été la première, Catherine, tu ne seras pas la
dernière ! »
Le
jour même, Madame Colas eut l’occasion de tenir sa parole.
Une
dame d’une trentaine d’années était entrée dans notre bureau. Béatrice l’avait
accueillie et elles discutaient d’un produit de notre gamme que la dame voulait
acheter. C’est à ce moment-là que Madame Colas montra son mécontentement.
« Ah,
encore ! Ce n’est pas possible ! »
C’était
le genre de phrase qui attirait immédiatement notre attention. Elles étaient
très souvent le prélude à une fessée.
« Pourvu
que ce ne soit pas moi ! »
Les
prières silencieuses que nous faisions ne changeaient rien à la situation. Les
dés étaient déjà jetés.
« Daniel,
viens-ici ! »
Je
me levais sans attendre, déjà tout pale à la pensée de ce qui m’attendait. Dès
que je fus à côté d’elle, Madame Colas tourna l’écran de son ordinateur vers
moi.
« Combien
de fois devrai-je te dire que dans ce tableau de bord, ce chiffre-là ne peut
pas être inférieur à celui-là ? »
Je
constatais, mortifié, que j’avais encore répété une de mes erreurs récurrentes,
l’une de celles qui m’avait déjà valu une bonne fessée. Comment avais-je pu la
laisser passer ? C’était pourtant facile à éviter.
« Puisque
tu insistes aussi obstinément, je serai aussi tenace que toi. Je parie que je
tiendrai plus longtemps ! »
Elle
avait commencé à déboucler ma ceinture en prononçant ces mots.
« Ce
que tu refuses d’intégrer raisonnablement va entrer bien mieux dans ta tête
avec une fessée. »
Le
mot était lâché suffisamment fort pour que nul dans cette pièce n’ignore ce qui
allait se passer. Malgré sa banalité dans cet endroit, je sentis un
frémissement dans la pièce. Madame Colas déboutonna mon pantalon qui tomba de
lui-même à mi-cuisses. Ce n’est qu’à cet instant où je pris conscience de la
présence de la cliente. Elle n’était pas dans mon champ de vision et mon
attention avait été accaparée par Madame Colas.
« Non,
pardon Madame, pas ici, s’il vous plait !
–
Et pourquoi donc, pas ici ? C’est la présence de cette dame qui te
gêne ? Tu as peur qu’elle soit outrée d’assister à la fessée déculottée
donnée à un grand garçon qui n’est pas assez attentif à son travail ? »
Pendant
ce bref échange, Madame Colas avait continué à me déculotter. Mon pantalon
avait été descendu en dessous des genoux et d’un geste naturel, elle baissa ma
culotte. Elle me fit pivoter, me plaçant de profil par rapport à la cliente. Je
savais qu’elle avait vue non seulement sur mes fesses, mais également sur mon
sexe sur lequel se porta son regard
« Je
suis certaine que Madame a déjà vu les fesses nues d’un grand garçon et qu’elle
ne trouve rien de spécial dans les tiennes. Peut-être n’en a-t-elle pas encore
vu recevoir ne bonne fessée, mais ça ne saurait tarder ! »
Une
claque sur le haut de ma cuisse illustra ce que Madame Colas avait en projet.
« Voyez-vous
un inconvénient, Madame, à ce que je donne une fessée à ce grand garçon en
votre présence ?
–
Bien sûr que non ! Je vous en prie, faites ! »
Je
ne sais pas ce que j’avais espéré, mais c’était une folle aspiration
déraisonnable. Madame Colas me ramena vers elle et elle me coucha sur ses
genoux. La cliente devait avoir vue sur mes fesses sans qu’aucun obstacle ne
puisse la gêner. J’entendis Madame Colas s’emparer d’un objet sur son
bureau ? Cela ne pouvait être que la règle. Je serrais les dents.
Peine
perdue. Je hurlais mes regrets de cette négligence dès que la règle eût frappé
mes fesses une petite dizaine de fois. Je perdis le contrôle de mes gestes sans
que Madame Colas n’eût quelque chose à me reprocher. J’avais dû rester dans les
normes exigées par ma cheffe de bureau quand elle nous fessait. Je bénissais le
poids de l’habitude qui me permettait de rester dans ce qui était permis.
J’avais
complètement oublié la personne étrangère à notre petite communauté. Peu
m’importait qui assistait à ma fessée pourvu que celle-ci cesse. C’était une
histoire dont toutes les choses importantes se tenaient entre Madame Colas et
moi. Les autres n’étaient plus vraiment là.
Je
fus immensément reconnaissant à Madame Colas quand elle estima que la fessée
avait produit ses effets. La cuisson sur mes fesses était telle que je ne me
rendis pas tout de suite compte que la fessée avait cessé. Je me laissais aller
sur les genoux de ma correctrice. Après la tension que nécessitait l’absorption
de la fessée, je pouvais me détendre, malgré la brûlure que je ressentais. Je
savais que le plus difficile, du point de vue de la douleur physique, était
derrière moi.
Madame
Colas ne nous laissait pas beaucoup de temps pour récupérer sur ses genoux.
Elle me releva assez vite et la danse que j’effectuais sur place, montrait que
je ne pouvais que difficilement supporter les effets de ma récente punition.
Elle me ramena rapidement à la réalité.
« Va
donc réfléchir au coin aux avantages de bien faire son travail dès la première
fois ! »
En
faisant demi-tour pour obéir à ma cheffe de bureau, je croisais le regard de la
cliente. Elle semblait plus étonnée que moqueuse. Ses yeux se portèrent de
nouveau sur mon sexe épilé et elle ne le quitta pas le temps que je contourne
le bureau. Le coin me sembla, dans l’instant, l’endroit le plus désirable de la
terre.
« J’espère
que je ne vous ai pas choquée. Vous n’avez peut-être pas l’habitude d’assister
à la fessée d’un aussi grand garçon.
–
N’ayez crainte ! Il est clair que cette punition était la bienvenue. J’ai
bien vu que ce « grand garçon », comme vous dites, savait qu’il avait
mérité cette fessée. Je pense qu’elle lui a fait du bien.
–
C’est vrai ! Je ne rencontre pas beaucoup de difficulté de ce côté-là. Que
ce soit Daniel ou l’une de ses collègues, ils admettent assez facilement quand
ils ont mérité une fessée.
–
Par contre, je n’avais encore jamais vu un aussi grand garçon recevoir une
fessée. J’en avais entendu parler. Il semble que cela se répande assez vite et
toutes les personnes qui en parlent, semblent louer l’efficacité de la mesure.
–
Nous en sommes assez satisfaits dans cette société et j’intègre ceux qui y sont
soumis. Je crois que personne ne regrette cette évolution. »
Cela
me donna à réfléchir. Madame Tolbois avait développé cette théorie et j’avais
admis que je préférais rester chez elle, bien que j’y reçoive régulièrement la
fessée. Au travail, je n’avais plus le sentiment que mon renvoi était au
programme. J’avais gagné en sécurité.
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 50
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 50
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Bonjour,
RépondreSupprimerde plus en plus de fessées au boulot , peut être des commerciales aussi fessées ,les dernières employées a être fessées , ou Catherine honteuse fessée devant une personne dont elle ne se doutait pas ?
La suite devrait être inintéressante
JJP
JJP,
SupprimerJ'ai bien peur que vous ne deviez attendre la suite de la publication pour savoir quels seront les prochains développements.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour,
RépondreSupprimerUne fessée de Catherine devant un ou une de ses neveux ou nièces est elle prévue , Catherine a t elle des enfants ?
JJP
JJP,
SupprimerLe problème, dans un feuilleton, c'est qu'on ne peut pas aller plus vite que le feuilleton. Impossible d'aller lire le dernier chapitre pour savoir comment cela finit.
Vous voilà donc condamné à attendre chaque semaine la publication de l'épisode suivant, en espérant y trouver la réponse à vos questions.
A la semaine prochaine !
Au plaisir de vous lire,
JLG.