La fessée en présence de clients devint chose courante lors
de nos punitions. Je ne m’y habituais pas plus que mes collègues, mais en
arrivant chaque matin, je savais que je pouvais être corrigé devant une
personne que je ne connaissais pas et que je ne verrai qu’une seule fois.
C’était un moindre mal. Ce que je craignais par-dessus tout,
c’était de croiser dans la rue ou dans un magasin une personne devant laquelle
j’avais été déculotté et fessé et qui me reconnaissant aborderait publiquement
le sujet. C’était bien assez de savoir que tous les voisins ou presque de
Madame Tolbois étaient au courant de la manière dont j’étais puni. Maintenant,
mes collègues et leurs familles le savaient également. J’avais perdu le compte
de ceux en présence de qui j’avais été corrigé, sans imaginer retenir leur nom
ou leurs traits. Je ne pouvais plus marcher dans la rue ou entrer dans un
magasin sans avoir à me questionner, à chaque pas, si la personne que je
croisais m’avais vu en fâcheuse posture.
Devant l’inéluctabilité de la situation, je faisais preuve
d’un certain fatalisme. Il me semblait que mes compagnes en fessées avaient
adopté la même attitude. Cette punition faisait partie de notre vie et nous
n’avions pas de prise sur le moment, le lieu et les spectateurs qui y
assistaient. J’évitais de m’en faire par avance.
Toute l’angoisse revenait au moment où la correction m’était
annoncée. Elle était mêlée de crainte de la douleur de la correction elle-même,
de ma pudeur bafouée et parfois quand la situation l’imposait, de la honte
d’être fessé en public.
Il nous fallut pourtant encore monter une marche.
Nous n’avions pas été surpris par l’arrivée d’une cliente du
voisinage. Aucune fessée n’était en préparation, nous avions tous les quatre
l’esprit assez tranquille. C’était une femme d’âge mur qui arrivait avec
assurance.
« Auprès de qui pourrais-je porter une
réclamation ? »
Ce début augurait mal de la suite. Béatrice qui l’avait
accueillie l’adressa à Madame Colas. Nous étions tout ouïe, cherchant à
comprendre ce qui se passait afin de savoir si nous pouvions être mis en cause.
« Je ne comprends pas comment s’explique la différence
entre ces deux produits, dit-elle en posant une feuille sur le bureau de Madame
Colas. Logiquement, puisqu’il s’agit d’un lot composé de dix unités, on
pourrait s’attendre à ce qu’il soit moins cher. Or, il est affiché presque
vingt pourcent au-dessus. Trouvez-vous cela normal ? »
Madame Colas se pencha sur le papier qui avait été déposé
sur son bureau. Elle le lut attentivement, en prenant son temps.
« Je vous présente mes excuses, il y a effectivement
une erreur. Ce n’est pas le prix du lot qui est erroné, c’est celui de
l’article à l’unité. Il est affiché sur le site internet en-dessous de son
prix. »
Nos regards convergèrent vers Magali. Cette erreur entrait
dans son périmètre de responsabilité. La fessée était inévitable, d’autant plus
que nous savions qu’il lui avait été demandé, quelques jours auparavant, de
faire une vérification générale des prix affichés sur le site.
« J’ai essayé d’avoir cette information au téléphone,
mais la personne que j’ai eue n’a rien voulu savoir. A peine si elle m’a
écoutée.
– Je ne sais pas son nom. Je ne crois pas qu’il se soit
présenté.
– Vous avez dit « il » ? C’était donc une
voix masculine ?
– Oui, ça j’en suis sûre. »
Etant la seule personne possédant une voix masculine, il ne
pouvait y avoir de doute.
« Compte tenu du désagrément que cela vous a provoqué,
je vais vous faire une réduction sur le prix affiché pour le lot, mais
auparavant … »
Elle se tourna vers Magali qui était devenue toute blanche.
« Venez-ici ! »
Magali se leva. Elle marchait comme si elle se rendait vers
le lieu de son exécution. A la réflexion, c’était un peu le cas.
« Est-ce cette jeune fille qui est responsable de cette
erreur ?
– Effectivement ! C’est elle !
– J’espère que mon intervention ne provoquera pas son
renvoi. C’est très ennuyeux, mais cela ne mérite pas un licenciement.
– De ce côté-là, soyez tranquille. Pas de risque de
licenciement ! Nous avons d’autres méthodes pour sanctionner les employés
négligents. Magali, expliquez à Madame comment vous allez expier votre
irresponsabilité ! »
Magali se tourna vers sa cheffe de bureau. Ses yeux
imploraient qu’on ne l’oblige pas à prononcer la sentence elle-même.
« Allons, Magali, Madame et moi attendons ! Nous
n’avons pas toute notre journée pour vous attendre ! »
Je vis les larmes monter dans ses yeux et c’est une petite
voix tremblante qu’elle répondit.
« Une fessée, Madame.
– Exactement ! Une bonne fessée déculottée que je vais
vous administrer séance tenante. »
Je vis l’incrédulité se peindre sur le visage de la cliente.
« Une fessée, répéta-t-elle ?
– C’est cela, confirma Madame Colas. C’est de cette façon
que nous sanctionnons les employés qui pensent qu’ils peuvent être inattentifs
dans leur travail. »
Madame Colas avait attrapé Magali par le coude et elle
l’avait amenée à ses pieds. Elle positionna Magali sous son coude avant de
relever la jupe. La cliente qui était à moins d’un mètre n’en perdait pas une
miette.
« Comme vous le disiez, cette sanction est préférable à
un renvoi.
– Elle… elle vous laisse faire !
– Elle n’a pas vraiment le choix ! Vous savez, trouver
du travail dans une petite ville comme la nôtre, ce n’est pas si facile. Après
avoir été renvoyée, c’est quasiment impossible ! »
Madame Colas baissa la culotte. La cliente n’en revenait
pas.
« Oh, fit-elle ! Vous n’avez jamais de
protestation, je ne sais moi… de leur entourage ?
– Aucun risque de ce côté-là non plus. Nous nous sommes mis
d’accord avec leur famille sur l’emploi de la fessée. Nous avons reçu leur
pleine approbation. Ils en reçoivent autant à la maison. Vous voyez, cette
jeune fille, je vais adresser un courrier à sa mère pour l’informer de la
fessée que j’ai dû lui mettre. Ce soir, à la maison, elle en recevra une autre.
– Ah, oui, je vois !
– Vous permettez ? »
La fessée commença par une longue série de claques très
rapprochées les unes des autres. Madame Colas voulait atteindre rapidement un
niveau de cuisson qu’elle n’aurait plus qu’à entretenir par la suite. Magali
réagit comme nous nous y attendions tous, sauf peut-être la cliente. Elle
poussa un long cri continu qui s’acheva dans des sanglots qui ne s’arrêtèrent
plus. Madame Colas couvrit l’ensemble du postérieur d’un rouge soutenu avant de
s’arrêter.
« Mais j’y pense, la leçon serait encore plus profitable
si c’est vous qui la donniez, dit-elle en regardant la cliente.
– Que je la donne ? Que voulez-vous dire ?
– Je veux dire que si vous vouliez fesser vous-même cette
donzelle, elle s’en souviendrait bien plus longtemps. Avec moi, elle a
l’habitude et si nécessaire je pourrais toujours compléter la fessée par une
des miennes après la vôtre.
– Euh, vous croyez ? Je ne sais pas si… »
Elle laissa sa phrase en suspens.
« Qu’est-ce qui vous arrête ? Si vous avez le
droit de la fesser ? Je vous le donne ! Si vous saurez faire ?
Rien de plus facile et puis, je vous conseillerai. Tenez ! Prenez ma
place ! »
Madame Colas conduisit Magali jusqu’à la cliente. Ce ne
furent pas les « non » proférés par Magali qui la firent hésiter. Elle
la courba contre le flanc de la cliente qui écarta le bras. Madame Colas plaça
Magali dans la niche ainsi ménagée.
« Serrez-la bien contre vous ! Là, comme
cela ! »
Elle plaça le bras de la cliente autour de la taille de
Magali et elle resserra son étreinte.
« Ce n’est pas qu’elle va se débattre, mais sous la
fessée, elle peut avoir des mouvements incontrôlés. Il faut la maintenir en
place. Tenez, c’est là qu’il faut appliquer votre main ! »
Elle avait pris la main de la cliente et elle l’avait posée
sur les fesses de Magali.
« N’hésitez pas à y aller de toutes vos forces. Il faut
que la punition porte ! »
La cliente regarda Madame Colas, comme pour été sûre qu’elle
pouvait y aller. Puis elle leva le bras qui retomba mollement.
« N’avez-vous jamais donné de fessée ? Soyez plus
énergique ! »
Quatre ou cinq claques plus tard, la cliente administrait
une fessée dont la sévérité était honorable. Magali y réagissait convenablement
par les habituels cris et pleurs. La cliente s’arrêta assez vite.
« Est-ce suffisant ?
– Pensez-vous ! Si vous vous arrêtez là, je devrai lui
en administrer une autre pour faire le compte. Continuez, les fesses ne sont
pas assez rouges ! »
La deuxième partie de la fessée n’eut rien à envier à celles
que savait donner Madame Colas. La cliente repositionna d’elle-même Magali sous
son bras. Les mouvements instinctifs que faisait notre collègue sous l’averse
de claques brûlantes, l’avait mise dans une position assez malcommode pour
donner la fessée.
« Cesse de remuer aussi fort ou je prolonge la
fessée ! »
La cliente avait pris de l’assurance et elle s’émancipait de
la tutelle de sa formatrice.
« Parfait ! Je pense qu’elle y réfléchira à deux
fois avant de recommencer la même erreur ! »
Elle redressa Magali qui se tenait piteusement au milieu du
bureau, s’efforçant de relever au plus vite sa jupe qui avait recouvert ses
fesses.
« Que fait-elle, interrogea la cliente ?
– Elle se prépare pour aller au coin. Vous devriez lui
ordonner de s’y rendre. »
Madame Colas désignait l’un des deux endroits qui nous
servaient de lieu de pénitence.
« Y va-t-elle toute seule ou faut-il que je
l’accompagne ?
– Ordonnez-le-lui, cela suffira !
– Va te mettre au coin, en vitesse ! »
Magali n’hésita pas. Ce n’était pas dans nos habitudes de
discuter les ordres de la personne qui venait de nous fesser. Les deux femmes
regardèrent la jeune femme se mettre en place.
« Bravo ! Vous avez rapidement compris comment il
fallait faire. Je vous en remercie, au nom de Magali. Vous avez grandement
contribué à ce qu’elle prenne conscience de la bêtise qu’elle avait commise et
je pense que la pensée de se retrouver une nouvelle fois sous votre bras
l’aidera, la prochaine fois, à être plus attentive.
– Vous aviez raison, ce n’est pas difficile. Il suffit de
comprendre qu’il faut y aller franchement. »
Je voyais la satisfaction dans les yeux de la cliente qui
venait de découvrir le pouvoir qu’elle détenait en administrant la fessée.
« Si vous avez encore un peu de temps, nous n’en
n’avons pas fini.
– Que voulez-vous dire ?
– Vous avez bien parlé d’un accueil peu aimable au
téléphone, ce qui vous a obligé à vous déplacer ?
– Oui, effectivement. Un Monsieur, plutôt d’âge mûr. Je lui
aurais donné quelques années de plus que moi. Impossible de se faire entendre
et quand je le lui ai fait remarquer, il m’a presque raccroché au nez. »
J’avais espéré que Madame Colas avait oublié cet incident
pendant qu’elle fessait Magali. Comment avais-je pu être aussi naïf ?
« Il se trouve qu’il n’y a ici qu’une seule personne de
sexe masculin, n’est-ce pas Daniel ? »
Ma bouche était tellement sèche que mes deux tentatives pour
parler se soldèrent par un coassement indistinct. J’étais bon pour une fessée.
Si c’était la cliente qui s’en était chargée pour Magali, je ne me faisais pas
d’illusion. J’aurai le droit au même traitement. Son hésitation du début
n’était plus d’actualité, au contraire, elle semblait y avoir trouvé une
satisfaction que j’avais lu dans beaucoup des yeux des fesseuses, celle du
devoir accompli.
« Viens-nous voir, mon garçon ! »
Je crus que je ne réussirais pas à me lever, mais malgré mes
jambes flageolantes je réussis à contourner mon bureau.
« S’il vous plait, Madame Colas…
– S’il vous plait quoi ? Une fessée ? Mais bien
sûr mon grand tu vas l’avoir ! »
Elle m’approcha d’elle et s’empara de la boucle de ma ceinture.
« Mais j’y pense, dit-elle en arrêtant son geste, vous
voudriez peut-être le déculotter vous-même ?
– Pourquoi pas ? »
Sous la férule de Madame Colas, je fis un demi-tour express
que me plaça face à la cliente. Une claque sur le pantalon.
« Avance ! »
La cliente avait pris un air des plus sérieux.
« C‘est donc toi qui te permets d’accueillir aussi mal
les clients ? »
Je ne pouvais toujours pas parler. Je n’avais plus de salive
et j’avais l’impression que ma langue était collée à mon palais.
« Faut-il donc que je te donne aussi une fessée pour
t’apprendre à répondre poliment quand on te pose une question ? »
J’ai toujours été stupéfait de constater comment une
motivation suffisamment forte réglait en un clin d’œil des problèmes qu’on
avait supposé insolvables.
« Non Madame, pardon Madame. »
Ma voix était rauque, mais elle était revenue.
« Alors, était-ce toi ?
– Oui Madame, avouais-je.
– C’est parfait ! Je n’aurais pas voulu te fesser avant
d’être sûre de tenir le coupable sous mon coude. Voyons voir ! »
Elle posa ses mains sur la ceinture de mon pantalon.
« Voilà, dit-elle en débouclant la ceinture. »
Tout s’enchaîna sans hésitation : le bouton de ma
ceinture, puis la glissière de ma braguette. Elle accompagna le pantalon
en-dessous de mes genoux. Un frisson parcourut mon dos de bas en haut quand
elle glissa ses deux pouces sous l’élastique de ma culotte. Elle la baissa. Mon
sexe épilé se balança quelques secondes. Il semblait vouloir se mettre en
évidence. La cliente prit mes bourses dans une main en les soulevant légèrement
« Qui a pris l’initiative de cette épilation ?
Est-ce toi ?
– Non, c’est Madame Tolbois.
– Qui est Madame Tolbois ?
– Ma logeuse, Madame.
– Est-ce elle qui te donne la fessée à la maison ?
– Oui Madame.
– Il faut absolument que je fasse sa
connaissance ! »
Tout en échangeant des propos anodins avec moi, elle m’avait
fait passer sous son bras et elle me tenait contre son flanc. Je sentis qu’elle
remontait ma chemise. J’aurais juré qu’elle avait une longue expérience en
matière de fessée si elle n’avait déclaré ne pas savoir comment s’y prendre, il
y à peine quinze minutes. Elle apprenait vite.
J’en eus la confirmation dès que sa main s’abattit en un
rythme régulier sur mes fesses. Elle y mettait une ardeur qui était comparable
à celle de Madame Colas, si ce n’était la main qui n’épousait pas toujours le
contour de mes fesses, la fessée aurait été aussi rigoureuse que l’une de
celles que me donnait Madame Colas.
C’était toujours la même chose à chaque fois que je tombais
sur une nouvelle fesseuse. Un reste de fierté m’obligeait à retenir les
manifestations bruyantes de douleur. Je m’y employais avec cette cliente, mais
cela ne dura pas très longtemps. Sa main claquait suffisamment fort à un rythme
si soutenu que la cuisson devint rapidement intolérable. Je fondis en larmes et
mes cris ponctuaient chaque claque sur mes fesses.
J’avais perdu tout repère quand elle me remit debout.
« Va au coin ! »
Elle n’avait plus besoin des recommandations de Madame
Colas.
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 51
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
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Donnez votre avis, postez un commentaire, faites part de vos expériences, de vos protestations, racontez ce que vous avez vécu, laissez libre cours à votre imagination, dites-nous ce que vous avez ressenti, soyez créatif, n'hésitez pas..
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Bonjour,
RépondreSupprimerPiquante situation! La bonne idée de faire fesser les personnels fautifs par les victimes leurs erreurs. La cliente ne se fait pas prier pour prendre les choses (fesses !)en main. Une bonne fessée coupe court aux réclamations.
Entre la mise à pieds et la fessée le choix est vite fait. Où comment responsabiliser et rendre compétitifs les salariés d'une entreprise sans la menace du licenciement! La fessée moteur de la qualité de production! IL fallait y penser! .... C'est fait.
Qu'est ce qu'on dit, merci Madame Colas!
Ramina
Cher Ramina,
SupprimerTout est affaire de motivation. Quand l'intérêt du travail, la satisfaction d'un travail bien fait... ne suffisent pas, il faut essayer d'autres méthodes.
Si la fessée, traditionnellement utilisée avec des enfant dans de telles circonstances, fonctionne, il n'y a pas de raison que des adultes n'en profitent pas.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Cher JLG,
RépondreSupprimerCertes, c'est frappé au coin du bon sens, tout autant que sur les fesses! La honte davantage ressentie chez l'adulte en plus.
Ramina.
Ramina,
SupprimerJe crois que la honte sera ressentie par toute personne qui reçoit une fessée si tant est qu'il s'agisse d'une punition, quels que soient son âge ou son sexe.
Faut-il la considérer comme un dommage collatéral ou comme un élément faisant intrinsèquement partie de la fessée ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.
A mon avis la honte et le sentiment d'humiliation sont parties intégrantes de la fessée. Plus ou moins important selon le lieu, la position choisie, la manière de déculotter, administrée en public ou non.
RépondreSupprimerLe choix des fessées en public (selon l'inénarrable madame Tolbois !) les rend plus efficaces. Il implique une humiliation plus conséquente et plus marquante, propice à une meilleure mémorisation de la faute à l'origine de la punition.
Ramina
Ramina,
RépondreSupprimerJe suis assez d'accord. C'est l'intérêt de déculotter les contrevenants. Il faut leur faire ressentir les affres d'une punition : la cuisson de la fessée et l'infantilisation dont ils sont les principaux auteurs, compte tenu de leur comportement.
La honte est donc une partie intrinsèque de la punition.
Au plaisir de vous lire,
JLG.