Un bruit courrait dans la ville sur le recours systématique
à la fessée pour maintenir les employés dans des normes d’efficacité et de
comportements exigées par la direction. Les personnes qui s’autorisaient ces
commentaires approuvaient ces mesures. Cela donna un élan à ceux qui hésitaient
encore à recourir à ce châtiment pour punir les adultes qu’ils avaient sous
leur responsabilité.
Avec une fessée reçue dans le fameux supermarché, une autre
dans le magasin de Madame Schneider et celle reçue dans la rue, je faisais figure
de pionnier en matière de châtiment administré en public et en nombre de
fesseuses. Je commençais à ne plus arriver à compter sur les doigts des deux
mains le nombre de personnes qui m’avaient fessé.
Je ne sais comment qualifier les punitions reçues au bureau
et à la maison. Je n’arrivais pas à m’y faire… tout en m’y faisant. Elles
étaient humiliantes et je les acceptais. J’en avais honte, mais je les trouvais
justifiées. Je ne voulais pas les recevoir en public, tout en me laissant
fesser quand d’autres personnes étaient présentes. L’autorité de mes deux
tutrices, l’une domestique l’autre professionnelle, suffisait à m’imposer les
châtiments qu’elles jugeaient appropriés.
J’avais un mal fou à admettre les fessées reçues dans un
lieu public. L’idée même d’en recevoir une autre me faisait frémir, alors que
je savais que j’en recevrai une autre prochainement à la maison ou au bureau.
J’avais l’impression d’être le seul à y être soumis, ce qui faisait de moi une
bête de foire. Je n’allais pas tarder à voir les choses autrement. Le premier
événement qui écorna mes certitudes se trouva sur mon chemin pour rentrer à la
maison.
Pour une fois je n’avais pas été puni et je rentrais à
l’heure. Depuis que j’avais reçu une fessée dans le magasin de Madame Schneider,
je n’aimais pas passer devant. J’y étais pourtant obligé. C’était le trajet que
m’avait imposé Madame Tolbois et je ne pouvais m’en écarter. Ce jour-là,
j’étais encore à cinquante bons mètres de la boutique quand j’aperçus Madame
Schneider en sortir, tirant Stéphane derrière elle.
J’étais trop loin pour entendre ce qui se disait, mais il
était évident que Madame Schneider passait un savon à son employé. Ses gestes
ne trompaient pas. Puis, elle le tira par le bras jusqu’à ce qu’il soit tout
près d’elle. Ses mains travaillaient au niveau de la ceinture de Stéphane.
J’eus peur de comprendre ce qu’elle faisait. Cela devint lumineux quand la
ceinture défaite, pendant de chaque côté, elle s’occupa du pantalon. Celui-ci,
ajusté sur les hanches de Stéphane au début sembla s’affaisser. Des plis
apparurent sur les cuisses. Le doute n’était plus permis, Madame Schneider
baissait le pantalon de Stéphane en pleine rue.
Elle le coinça alors sous son bras et elle n’eut aucun mal à
faire glisser le pantalon le long des cuisses. Je n’étais rapproché.
J’entendais maintenant Stéphane qui suppliait.
« Non, s'il vous plait, non, pas ici. J’obéirai, mais
pas ici, pas ici ! »
Madame Schneider ne lui fit même pas l’aumône d’une réponse.
Elle saisit l’élastique de la culotte en haut de la raie des fesses et, d’un
mouvement latéral dans un sens, puis dans l’autre, elle descendit la culotte,
découvrant peu à peu les fesses et l’accompagnant jusqu’au milieu des cuisses.
Là, elle la lâcha et le sous-vêtement tomba tout seul, arrêté par les genoux.
« Je parie qu’après cette fessée, tu n’auras plus
jamais envie de me répondre ! »
Stéphane cria quand la main de Madame Schneider claque ses
fesses pour la première fois. Il esquissait un mouvement de la hanche du côté
où la claque venait de tomber, à droite, à gauche puis de nouveau à droite et
encore à gauche. Madame Schneider prenait son temps. Elle s’appliquait à bien
faire tomber sa main en coupe, suivant ainsi la courbure des fesses là où elle
frappait. La main claquait comme un coup de fusil et l’énergie que Stéphane
devait alors absorber l’obligeait à des contorsions du bassin.
Un à un, des passants s’arrêtèrent. Certains traversèrent la
rue pour venir voir de plus près cette fessée déculottée administrée à un jeune
adulte en public. Il y avait peu de commentaires, mais les visages étaient
expressifs. Certains, des femmes surtout, montraient clairement qu’elles
soutenaient la fesseuse dans ses œuvres. Elles hochaient la tête et quelques
approbations fusaient.
Les fesses de Stéphane étaient maintenant bien rouges, mais
cela ne mit pas fin à sa fessée. Il dansait d’un pied sur l’autre mais son
pantalon entravait ses mouvements.
Je distinguais clairement ceux et celles qui craignaient de
se retrouver bientôt dans la même situation que Stéphane. Ils le regardaient se
trémousser au rythme que lui donnait la main de Madame Schneider. Leur mine
était sombre. De courts échanges confirmaient l’impression qu’ils
donnaient ;
« Tu vois ce qui va t’arriver à la prochaine remarque
que j’ai à te faire ? »
Ou bien encore :
« Maintenant j’ai compris comment il faut que je fasse
quand tu me fais un caprice ! »
Il y eut une protestation émise par une jeune femme.
« C’est scandaleux ! En pleine rue !
Déculotter un adulte ! Et personne ne fait rien ? »
Cette apostrophe envoyée à la cantonade ne reçut pas
l’accueil qu’elle en attendait. Une matrone qui était juste derrière elle
répliqua.
« C’est vrai ! Vous avez raison ! C’est
scandaleux d’entendre les propos irréfléchis de certaines jeunes femmes. Il y a
des fessées qui se perdent ! Je peux arranger cela si vous le
voulez ? »
La jeune femme ouvrit la bouche pour répliquer, mais le
regard de son interlocutrice l’en dissuada. Elle voulut partir, mais elle fut
retenue par le bras.
« Restez donc jusqu’au bout, cela vous sera très
instructif ! »
La claque qu’elle reçut sur le fond de son pantalon lui fit
comprendre que l’obéissance était la meilleure attitude à adopter. Elle se
retourna vers le centre de la scène et sembla se concentrer sur ce qui s’y
passait. La matrone ne lui épargna rien.
« Voilà qui est mieux. Je vous conseille d’être sage et
obéissante jusqu’à la fin ! »
Un Monsieur d’âge mûr, juste à côté de moi, tira sur le bras
de la Dame qui était à côté de lui.
« Viens, on s’en va !
– Je crois que nous allons rester jusqu’au bout. Tous les
deux.
– Mais pourquoi ? Le pauvre garçon ! C’est
humiliant, tout ce monde ! »
Il y avait maintenant une petite vingtaine de personnes de
tous âges et des deux sexes, installés en arc de cercle, laissant une large
place au centre à Madame Schneider et à Stéphane.
« Oui, continua la Dame, c’est humiliant ! Mais
quelle bonne leçon apprise ! Je crois qu’il n’est pas le seul qui a besoin
de comprendre que ses écarts ne seront plus tolérés. J’en connais un pas très
loin de moi.
– Roxane, non, pas ici !
– Je crois que si ! Ici ! Regarde bien, Thibaut,
c’est ce qui va t’arriver la prochaine fois que seras désagréable quand j’ai
une course à faire. Attendre que nous soyons à la maison n’est pas une bonne
solution. Une fessée immédiate, dès le premier grognement, c’est ce qu’il te
faut.
– Mais Roxane, tu ne peux pas…
– Veux-tu que j’essaye maintenant, pour voir si j’y
arrive ? »
Elle rendait bien une tête à son compagnon, mais l’autorité
et l’assurance qui émanait d’elle à ce moment-là, ne laissait pas de doute sur
l’issue d’une confrontation. Le Monsieur regarda autour de lui pour voir si
d’autres avaient entendu la promesse que venait de lui faire celle qui semblait
sa compagne. Il croisa mon regard, devint tout rouge, comprit que j’avais suivi
toute la conversation. Il baissa alors la tête. Il ne dit plus un mot jusqu’à
ce que Roxane donnât le signal de départ.
Madame Schneider se montra satisfaite du comportement de
Stéphane. Il pleurait ouvertement, articulant péniblement, entre un cri et un
sanglot, des demandes de pardon et des promesses quant à son comportement
futur. La fessée pouvait s’achever.
Madame Schneider ne laissa pas, à Stephane, le temps de se
reprendre. Elle le conduisit, en le tenant par l’oreille, jusqu’à un bout de
mur tout à côté de la porte du magasin. Elle colla son nez contre le mur.
« Les mains sur la tête et tu te fais
oublier ! »
Une claque sur les fesses pour lui rappeler ce qu’il
risquait en cas de désobéissance. Pouvait-il l’avoir oublié ?
« Sois certain que tu passeras désormais de longs
moments à cet endroit ! »
Stéphane n’avait sans doute pas encore totalement intégré ce
que Madame Schneider voulait dire. Il en était probablement encore à supporter
les vagues de douleur qui parcouraient ses fesses. Cela ne durerait pas. Il en
resterait une gêne pendant quelques dizaines de minutes, mais la douleur aiguë provoquée par une fessée manuelle ne durait pas. La prise de conscience de la
situation dans laquelle il était et serait désormais se ferait progressivement.
Le bruit de la rue dans laquelle il était et des passants sur le trottoir, ne
lui laisserait pas le choix.
Madame Schneider contemplait son œuvre, les deux poings sur
les hanches. L’expression de son visage disait son contentement.
« Stéphane finira bien par rentrer dans le rang,
pensait-elle. Quand il sera fatigué d’être fessé et mis au piquet dans la rue,
il changera de comportement. Inutile de m’inquiéter, les fessées précédemment
reçues lui ont fait du bien, il en sera de même pour celle-ci. Je compte bien
qu’il s’en souvienne longtemps. On se rappelle toujours les premières
fois. »
C’est en se retournant qu’elle m’aperçut.
« Tiens, Daniel ! N’aurais-tu pas oublié de dire
bonjour ?
– Euh, non Madame. J’allais le faire, mais vous étiez … euh
… occupée. Bonjour Madame !
– Ne serait-ce pas un mensonge ?
– Oh non, Madame.
– Tu sais que je n’aime pas les garçons impolis et encore
moins ceux qui disent des mensonges, surtout quand ils sont grands. »
Elle réfléchit un peu.
« D’ailleurs, c’est pareil pour les filles !
Mettons que je te crois pour cette fois, mais que je ne t’y reprenne plus ou tu
iras tenir compagnie à Stéphane, après une bonne fessée, bien entendu !
Rentre à la maison, Madame Tolbois t’attend certainement. »
Je ne demandais pas mon reste et je hâtais le pas vers la
demeure de Madame Tolbois, sans oublier de saluer Madame Schneider avant de la
quitter.
J’étais extrêmement prudent en passant chaque jour devant la
boutique de Madame Schneider. Je vérifiais bien qu’elle n’était pas visible, me
préparant à l’accueillir par un sonore « bonjour Madame » au cas où
je la croiserais.
Ma vigilance faillit être prise en défaut quelques jours
après l’incident avec Stéphane. Ce n’était pas devant sa boutique, mais juste
avant d’arriver au bureau. Je la reconnus au dernier moment et j’arrivais à
articuler un rapide bonjour pile au moment où elle se retournait vers moi, sans
doute pour prendre acte de mon impolitesse.
« J’ai cru que tu allais passer à côté de moi sans
d’acquitter de tes obligations. »
Le soir-même, en approchant de la boutique je vis, de loin,
que la place au piquet le long du mur près de la porte, était occupée. J’eus un
élan de sympathie pour Stéphane, mais la silhouette immobile ne correspondait
pas à celle du jeune homme. Je ne la reconnus qu’en approchant. C’était Enora.
Le bas de sa jupe était relevé, maintenu en place par la
ceinture sous laquelle il était passé. Sa culotte était tombée sur ses mollets.
Le nez contre le mur et les mains sur la tête, elle était secouée de sanglots
qui soulevaient sa poitrine.
Il y avait un passage incessant sur le trottoir. Ce n’était
pas étonnant à cette heure-là et à cet endroit, en plein centre-ville. Tous
regardaient cette jeune fille qui effectuait sa punition à l’extérieur de la
boutique dans laquelle elle travaillait. Cela n’étonnait plus personne. La
mésaventure de Stéphane, son collègue, avait fait le tour de la ville. Chacun
savait que Madame Schneider donnait la fessée à ses deux employés et que, quand
elle voulait marquer le coup, cela se passait sur le trottoir. Enora était donc
à sa place. Elle avait dû faire une bêtise, elle en payait le prix.
Ses fesses étaient barrées de longues marques rouges, toutes
droites et larges de quelques centimètres. C’était, à ‘en pas douter, les
traces laissées par l’application d’une règle plate habilement maniée. Question
habileté à donner une fessée, on pouvait faire confiance à Madame Schneider.
Je passais devant le magasin tout en vérifiant bien qu’elle
n’était pas dans les environs. Après avoir parcouru une dizaine de mètres, je
respirais plus tranquillement.
« Une seconde, Daniel, s'il te plait ! »
J’avais identifié la voix tout de suite. C’était Madame
Schneider. D’où sortait-elle ? Je ne l’avais pas vue et donc pas saluée.
En un flash, je me vis prendre place à côté d’Enora, après avoir reçu la fessée
qui s’imposait. Je me retournais. Madame Schneider me rattrapa.
« Bonjour Madame, je ne vous avais pas vue.
Excusez-moi ! »
Ma voix tremblait et je me sentais au bord du malaise.
« T’excuser ? Mais de quoi ? »
En regardant mon visage dont tout le sang s’était retiré,
Madame Schneider comprit ce qui se passait. Elle sourit.
« Tu as cru que je venais te gronder parce que tu ne
m’aurais pas salué ?
– Oui Madame.
– Mais tu ne pouvais pas me voir, j’étais à l’intérieur. En
fait, je te guettais. »
Mon soulagement avait été de courte durée. Que me
voulait-elle ?
« Je voudrais que tu donnes ce courrier à Madame
Raveneau demain matin. Rien d’urgent, mais puisque tu passes par là. »
Notre échange fut interrompu par un sifflement strident.
« Mazette ! Quel beau cul ! Et habilement mis
en valeur. »
Madame Schneider et moi, nous nous retournâmes pour voir qui
osait utiliser un tel langage. C’était un homme entre deux âges, qui s’était
planté à quelques mètres derrière Enora. Il avait ses deux mais sur ses hanches
et voulait prendre les passants à témoin.
« Dis-moi, ma jolie, si tes nichons sont aussi bien
foutus que ton popotin, tu devrais aussi les mettre à l’air. Pourquoi seulement
ton pétard et pas aussi tes nibards ? Ils ont le droit de respirer, eux
aussi. Veux-tu que je t’aide ? »
Il s’approcha de la pauvre jeune fille qui savait qu’elle ne
pouvait ni bouger ni répondre.
« On peut toucher ? »
Madame Schneider n’eut le temps de ne faire que deux pas.
Une petite dame, la soixantaine, prit l’importun par l’oreille et elle lui fit
faire demi-tour.
« Reynold, comme on se retrouve !
– Aïe, que … Oh ! Mademoiselle Roudault !
– Oui, Mademoiselle Roudault, ton ancienne institutrice !
Viens par ici ! »
Tout en le tenant par l’oreille, elle le ramena au milieu du
trottoir.
« Décidément, tu n’as pas beaucoup grandi depuis que je
t’ai eu en classe. Cela fait pourtant plus de trente ans. Apparemment, les
nombreuses fessées que je t’ai données ne t’ont pas rendu plus intelligent
qu’avant.
– Aïe, mais Mademoiselle…
– Je vois que tu es toujours aussi impertinent. Depuis quand
oses-tu parler sans que je t’y autorise ? Tu as dit assez de bêtises
depuis les quelques minutes pendant lesquelles je t’ai observé. Tu peux bien
garder le silence. Ça t’évitera de dire des grossièretés. »
Reynold ne disait plus rien. L’intervention de Mademoiselle
Roudault devait lui rappeler de mauvais souvenirs.
« C’est bizarre, mais la scène que je viens de voir
m’en a rappelé une autre. C’était dans la cour de récréation. J’avais donné une
fessée déculottée à une des filles de ta classe. Elle s’appelait Justine si je
ne me trompe pas. Je l’avais mise au piquet, le long du mur de l’école, la culotte
baissée. Je ne m’étais pas éloignée depuis plus d’une minute quand tu t’es
approché. Je n’ai pas entendu ce que tu disais, mais tes camarades m’ont dit,
par la suite, que tu te moquais d’elle et que tu utilisais un langage des plus
vulgaires. Tu lui as même touché les fesses. T’en souviens-tu ? »
Elle secoua l’oreille qu’elle tenait toujours entre ses
doigts.
« Aïe, aïe, oui Madame !
– Rappelle-moi alors ce qui tes arrivé alors !
– Aïe, j’ai eu une fessée et vous m’avez mis à côté de
Justine !
– J’ai le regret de constater que cette fessée n’a pas
suffi. J’avais pourtant pris soin de te déculotter et je crois que tu as fini
les fesses plus rouges que celles de Justine. J’y ai veillé ! N’est-ce
pas ?
– Aïe, aïe, oui Madame, oui !
– J’ai cru que cette fessée t’avait guéri de tes mauvaises
habitudes. Sans doute ai-je été trop clémente avec toi ? Je crois qu’une
nouvelle fessée déculottée sera la bienvenue. »
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 55
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 55
Il y a une suite ... le chapitre 57.
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Donnez votre avis, postez un commentaire, faites part de vos expériences, de vos protestations, racontez ce que vous avez vécu, laissez libre cours à votre imagination, dites-nous ce que vous avez ressenti, soyez créatif, n'hésitez pas.
Donnez votre avis, postez un commentaire, faites part de vos expériences, de vos protestations, racontez ce que vous avez vécu, laissez libre cours à votre imagination, dites-nous ce que vous avez ressenti, soyez créatif, n'hésitez pas.
Cher JLG.
RépondreSupprimerMais jusqu'où va-t'il s'arrêter!!!
Ces dames se surpassent et rivalisent d'imagination pour rendre les fessées toujours plus spectaculaires et dans des situations bien humiliantes.
Pas mal d'humour dans les dialogues du public et les tentative d'esquive de Daniel essayant d'éviter les rencontres fatales avec la main claqueuse de madame Schneider.
Quand au retour de l'institutrice... On espère bien que les petits cochons ne vous mangent pas...
Cordialement.
Ramina.
Merci Ramina,
SupprimerLa suite devrait être de la même veine. Faites confiance à l'institutrice ! Ne croyez-vous pas que si elle revenait elle aurait quelques reproches à vous faire qui pourraient s'achever par une fessée ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.
JLG,
RépondreSupprimerPLutôt deux fois qu'une! Mais à mon avis elle n'est plus de ce monde.
La fessée par un esprit revenant ne me tente pas beaucoup.
J'ai plutôt reçu quelques petites fessées ( de deux trois claques sans plus )à travers le pantalon par un instituteur bienveillant et persuadé que c'était une bonne méthode quand nous étions un peu trop agités en classe... pas méchant.
Cordialement
Ramina
Ramina,
SupprimerPas méchant, certainement, mais était-ce efficace pour que vous vous teniez tranquille ?
Nous devons être dans les mêmes âges et, à cette époque, donner une fessée en classe à un enfant n'était pas quelque chose d'exceptionnel. J'ai assisté à de telles scènes plusieurs fois et j'en ai été l'acteur involontaire deux fois. Je ne me rappelle pas de cuisson sur les fesses, mais de la honte que cela provoquait. Il est vrai, comme vous dites, que donnée sur le pantalon, ce n'était pas douloureux.
Au plaisir de vous ire,
JLG.
Bonjour,
RépondreSupprimerAllons nous bientôt recevoir les fesses de Catherine peut être dans la rue en public ?
Bonjour, commentateur anonyme.
SupprimerJe suppose que vous voulez les revoir ? Pour ce qui est de les recevoir, je ne peux rien pour vous.
Je ne suis pas sûr que nous reverrons les fesses de Catherine d'ici la fin du récit. Par contre, il y aura des croisements avec d'autres, mais je vous en laisse la surprise.
Les récits introduisent de nombreux personnages secondaires dont il n'est pas toujours possible de raconter l'histoire... sauf si nous nous y mettons à plusieurs. Avis aux bonnes volontés qui attendent la suite des aventures de Catherine et des autres.
Au plaisir de vous lire,
JLG.