mercredi 31 octobre 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 56


Un bruit courrait dans la ville sur le recours systématique à la fessée pour maintenir les employés dans des normes d’efficacité et de comportements exigées par la direction. Les personnes qui s’autorisaient ces commentaires approuvaient ces mesures. Cela donna un élan à ceux qui hésitaient encore à recourir à ce châtiment pour punir les adultes qu’ils avaient sous leur responsabilité.
Avec une fessée reçue dans le fameux supermarché, une autre dans le magasin de Madame Schneider et celle reçue dans la rue, je faisais figure de pionnier en matière de châtiment administré en public et en nombre de fesseuses. Je commençais à ne plus arriver à compter sur les doigts des deux mains le nombre de personnes qui m’avaient fessé.
Je ne sais comment qualifier les punitions reçues au bureau et à la maison. Je n’arrivais pas à m’y faire… tout en m’y faisant. Elles étaient humiliantes et je les acceptais. J’en avais honte, mais je les trouvais justifiées. Je ne voulais pas les recevoir en public, tout en me laissant fesser quand d’autres personnes étaient présentes. L’autorité de mes deux tutrices, l’une domestique l’autre professionnelle, suffisait à m’imposer les châtiments qu’elles jugeaient appropriés.
J’avais un mal fou à admettre les fessées reçues dans un lieu public. L’idée même d’en recevoir une autre me faisait frémir, alors que je savais que j’en recevrai une autre prochainement à la maison ou au bureau. J’avais l’impression d’être le seul à y être soumis, ce qui faisait de moi une bête de foire. Je n’allais pas tarder à voir les choses autrement. Le premier événement qui écorna mes certitudes se trouva sur mon chemin pour rentrer à la maison.

Pour une fois je n’avais pas été puni et je rentrais à l’heure. Depuis que j’avais reçu une fessée dans le magasin de Madame Schneider, je n’aimais pas passer devant. J’y étais pourtant obligé. C’était le trajet que m’avait imposé Madame Tolbois et je ne pouvais m’en écarter. Ce jour-là, j’étais encore à cinquante bons mètres de la boutique quand j’aperçus Madame Schneider en sortir, tirant Stéphane derrière elle.
J’étais trop loin pour entendre ce qui se disait, mais il était évident que Madame Schneider passait un savon à son employé. Ses gestes ne trompaient pas. Puis, elle le tira par le bras jusqu’à ce qu’il soit tout près d’elle. Ses mains travaillaient au niveau de la ceinture de Stéphane. J’eus peur de comprendre ce qu’elle faisait. Cela devint lumineux quand la ceinture défaite, pendant de chaque côté, elle s’occupa du pantalon. Celui-ci, ajusté sur les hanches de Stéphane au début sembla s’affaisser. Des plis apparurent sur les cuisses. Le doute n’était plus permis, Madame Schneider baissait le pantalon de Stéphane en pleine rue.
Elle le coinça alors sous son bras et elle n’eut aucun mal à faire glisser le pantalon le long des cuisses. Je n’étais rapproché. J’entendais maintenant Stéphane qui suppliait.
« Non, s'il vous plait, non, pas ici. J’obéirai, mais pas ici, pas ici ! »
Madame Schneider ne lui fit même pas l’aumône d’une réponse. Elle saisit l’élastique de la culotte en haut de la raie des fesses et, d’un mouvement latéral dans un sens, puis dans l’autre, elle descendit la culotte, découvrant peu à peu les fesses et l’accompagnant jusqu’au milieu des cuisses. Là, elle la lâcha et le sous-vêtement tomba tout seul, arrêté par les genoux.
« Je parie qu’après cette fessée, tu n’auras plus jamais envie de me répondre ! »
Stéphane cria quand la main de Madame Schneider claque ses fesses pour la première fois. Il esquissait un mouvement de la hanche du côté où la claque venait de tomber, à droite, à gauche puis de nouveau à droite et encore à gauche. Madame Schneider prenait son temps. Elle s’appliquait à bien faire tomber sa main en coupe, suivant ainsi la courbure des fesses là où elle frappait. La main claquait comme un coup de fusil et l’énergie que Stéphane devait alors absorber l’obligeait à des contorsions du bassin.
Un à un, des passants s’arrêtèrent. Certains traversèrent la rue pour venir voir de plus près cette fessée déculottée administrée à un jeune adulte en public. Il y avait peu de commentaires, mais les visages étaient expressifs. Certains, des femmes surtout, montraient clairement qu’elles soutenaient la fesseuse dans ses œuvres. Elles hochaient la tête et quelques approbations fusaient.
Les fesses de Stéphane étaient maintenant bien rouges, mais cela ne mit pas fin à sa fessée. Il dansait d’un pied sur l’autre mais son pantalon entravait ses mouvements.
Je distinguais clairement ceux et celles qui craignaient de se retrouver bientôt dans la même situation que Stéphane. Ils le regardaient se trémousser au rythme que lui donnait la main de Madame Schneider. Leur mine était sombre. De courts échanges confirmaient l’impression qu’ils donnaient ;
« Tu vois ce qui va t’arriver à la prochaine remarque que j’ai à te faire ? »
Ou bien encore :
« Maintenant j’ai compris comment il faut que je fasse quand tu me fais un caprice ! »
Il y eut une protestation émise par une jeune femme.
« C’est scandaleux ! En pleine rue ! Déculotter un adulte ! Et personne ne fait rien ? »
Cette apostrophe envoyée à la cantonade ne reçut pas l’accueil qu’elle en attendait. Une matrone qui était juste derrière elle répliqua.
« C’est vrai ! Vous avez raison ! C’est scandaleux d’entendre les propos irréfléchis de certaines jeunes femmes. Il y a des fessées qui se perdent ! Je peux arranger cela si vous le voulez ? »
La jeune femme ouvrit la bouche pour répliquer, mais le regard de son interlocutrice l’en dissuada. Elle voulut partir, mais elle fut retenue par le bras.
« Restez donc jusqu’au bout, cela vous sera très instructif ! »
La claque qu’elle reçut sur le fond de son pantalon lui fit comprendre que l’obéissance était la meilleure attitude à adopter. Elle se retourna vers le centre de la scène et sembla se concentrer sur ce qui s’y passait. La matrone ne lui épargna rien.
« Voilà qui est mieux. Je vous conseille d’être sage et obéissante jusqu’à la fin ! »
Un Monsieur d’âge mûr, juste à côté de moi, tira sur le bras de la Dame qui était à côté de lui.
« Viens, on s’en va !
– Je crois que nous allons rester jusqu’au bout. Tous les deux.
– Mais pourquoi ? Le pauvre garçon ! C’est humiliant, tout ce monde ! »
Il y avait maintenant une petite vingtaine de personnes de tous âges et des deux sexes, installés en arc de cercle, laissant une large place au centre à Madame Schneider et à Stéphane.
« Oui, continua la Dame, c’est humiliant ! Mais quelle bonne leçon apprise ! Je crois qu’il n’est pas le seul qui a besoin de comprendre que ses écarts ne seront plus tolérés. J’en connais un pas très loin de moi.
– Roxane, non, pas ici !
– Je crois que si ! Ici ! Regarde bien, Thibaut, c’est ce qui va t’arriver la prochaine fois que seras désagréable quand j’ai une course à faire. Attendre que nous soyons à la maison n’est pas une bonne solution. Une fessée immédiate, dès le premier grognement, c’est ce qu’il te faut.
– Mais Roxane, tu ne peux pas…
– Veux-tu que j’essaye maintenant, pour voir si j’y arrive ? »
Elle rendait bien une tête à son compagnon, mais l’autorité et l’assurance qui émanait d’elle à ce moment-là, ne laissait pas de doute sur l’issue d’une confrontation. Le Monsieur regarda autour de lui pour voir si d’autres avaient entendu la promesse que venait de lui faire celle qui semblait sa compagne. Il croisa mon regard, devint tout rouge, comprit que j’avais suivi toute la conversation. Il baissa alors la tête. Il ne dit plus un mot jusqu’à ce que Roxane donnât le signal de départ.
Madame Schneider se montra satisfaite du comportement de Stéphane. Il pleurait ouvertement, articulant péniblement, entre un cri et un sanglot, des demandes de pardon et des promesses quant à son comportement futur. La fessée pouvait s’achever.
Madame Schneider ne laissa pas, à Stephane, le temps de se reprendre. Elle le conduisit, en le tenant par l’oreille, jusqu’à un bout de mur tout à côté de la porte du magasin. Elle colla son nez contre le mur.
« Les mains sur la tête et tu te fais oublier ! »
Une claque sur les fesses pour lui rappeler ce qu’il risquait en cas de désobéissance. Pouvait-il l’avoir oublié ?
« Sois certain que tu passeras désormais de longs moments à cet endroit ! »
Stéphane n’avait sans doute pas encore totalement intégré ce que Madame Schneider voulait dire. Il en était probablement encore à supporter les vagues de douleur qui parcouraient ses fesses. Cela ne durerait pas. Il en resterait une gêne pendant quelques dizaines de minutes, mais la douleur aiguë provoquée par une fessée manuelle ne durait pas. La prise de conscience de la situation dans laquelle il était et serait désormais se ferait progressivement. Le bruit de la rue dans laquelle il était et des passants sur le trottoir, ne lui laisserait pas le choix.
Madame Schneider contemplait son œuvre, les deux poings sur les hanches. L’expression de son visage disait son contentement.
« Stéphane finira bien par rentrer dans le rang, pensait-elle. Quand il sera fatigué d’être fessé et mis au piquet dans la rue, il changera de comportement. Inutile de m’inquiéter, les fessées précédemment reçues lui ont fait du bien, il en sera de même pour celle-ci. Je compte bien qu’il s’en souvienne longtemps. On se rappelle toujours les premières fois. »
C’est en se retournant qu’elle m’aperçut.
« Tiens, Daniel ! N’aurais-tu pas oublié de dire bonjour ?
– Euh, non Madame. J’allais le faire, mais vous étiez … euh … occupée. Bonjour Madame !
– Ne serait-ce pas un mensonge ?
– Oh non, Madame.
– Tu sais que je n’aime pas les garçons impolis et encore moins ceux qui disent des mensonges, surtout quand ils sont grands. »
Elle réfléchit un peu.
« D’ailleurs, c’est pareil pour les filles ! Mettons que je te crois pour cette fois, mais que je ne t’y reprenne plus ou tu iras tenir compagnie à Stéphane, après une bonne fessée, bien entendu ! Rentre à la maison, Madame Tolbois t’attend certainement. »
Je ne demandais pas mon reste et je hâtais le pas vers la demeure de Madame Tolbois, sans oublier de saluer Madame Schneider avant de la quitter.

J’étais extrêmement prudent en passant chaque jour devant la boutique de Madame Schneider. Je vérifiais bien qu’elle n’était pas visible, me préparant à l’accueillir par un sonore « bonjour Madame » au cas où je la croiserais.
Ma vigilance faillit être prise en défaut quelques jours après l’incident avec Stéphane. Ce n’était pas devant sa boutique, mais juste avant d’arriver au bureau. Je la reconnus au dernier moment et j’arrivais à articuler un rapide bonjour pile au moment où elle se retournait vers moi, sans doute pour prendre acte de mon impolitesse.
« J’ai cru que tu allais passer à côté de moi sans d’acquitter de tes obligations. »
Le soir-même, en approchant de la boutique je vis, de loin, que la place au piquet le long du mur près de la porte, était occupée. J’eus un élan de sympathie pour Stéphane, mais la silhouette immobile ne correspondait pas à celle du jeune homme. Je ne la reconnus qu’en approchant. C’était Enora.
Le bas de sa jupe était relevé, maintenu en place par la ceinture sous laquelle il était passé. Sa culotte était tombée sur ses mollets. Le nez contre le mur et les mains sur la tête, elle était secouée de sanglots qui soulevaient sa poitrine.
Il y avait un passage incessant sur le trottoir. Ce n’était pas étonnant à cette heure-là et à cet endroit, en plein centre-ville. Tous regardaient cette jeune fille qui effectuait sa punition à l’extérieur de la boutique dans laquelle elle travaillait. Cela n’étonnait plus personne. La mésaventure de Stéphane, son collègue, avait fait le tour de la ville. Chacun savait que Madame Schneider donnait la fessée à ses deux employés et que, quand elle voulait marquer le coup, cela se passait sur le trottoir. Enora était donc à sa place. Elle avait dû faire une bêtise, elle en payait le prix.
Ses fesses étaient barrées de longues marques rouges, toutes droites et larges de quelques centimètres. C’était, à ‘en pas douter, les traces laissées par l’application d’une règle plate habilement maniée. Question habileté à donner une fessée, on pouvait faire confiance à Madame Schneider.
Je passais devant le magasin tout en vérifiant bien qu’elle n’était pas dans les environs. Après avoir parcouru une dizaine de mètres, je respirais plus tranquillement.
« Une seconde, Daniel, s'il te plait ! »
J’avais identifié la voix tout de suite. C’était Madame Schneider. D’où sortait-elle ? Je ne l’avais pas vue et donc pas saluée. En un flash, je me vis prendre place à côté d’Enora, après avoir reçu la fessée qui s’imposait. Je me retournais. Madame Schneider me rattrapa.
« Bonjour Madame, je ne vous avais pas vue. Excusez-moi ! »
Ma voix tremblait et je me sentais au bord du malaise.
« T’excuser ? Mais de quoi ? »
En regardant mon visage dont tout le sang s’était retiré, Madame Schneider comprit ce qui se passait. Elle sourit.
« Tu as cru que je venais te gronder parce que tu ne m’aurais pas salué ?
– Oui Madame.
– Mais tu ne pouvais pas me voir, j’étais à l’intérieur. En fait, je te guettais. »
Mon soulagement avait été de courte durée. Que me voulait-elle ?
« Je voudrais que tu donnes ce courrier à Madame Raveneau demain matin. Rien d’urgent, mais puisque tu passes par là. »
Notre échange fut interrompu par un sifflement strident.
« Mazette ! Quel beau cul ! Et habilement mis en valeur. »
Madame Schneider et moi, nous nous retournâmes pour voir qui osait utiliser un tel langage. C’était un homme entre deux âges, qui s’était planté à quelques mètres derrière Enora. Il avait ses deux mais sur ses hanches et voulait prendre les passants à témoin.
« Dis-moi, ma jolie, si tes nichons sont aussi bien foutus que ton popotin, tu devrais aussi les mettre à l’air. Pourquoi seulement ton pétard et pas aussi tes nibards ? Ils ont le droit de respirer, eux aussi. Veux-tu que je t’aide ? »
Il s’approcha de la pauvre jeune fille qui savait qu’elle ne pouvait ni bouger ni répondre.
« On peut toucher ? »
Madame Schneider n’eut le temps de ne faire que deux pas. Une petite dame, la soixantaine, prit l’importun par l’oreille et elle lui fit faire demi-tour.
« Reynold, comme on se retrouve !
– Aïe, que … Oh ! Mademoiselle Roudault !
– Oui, Mademoiselle Roudault, ton ancienne institutrice ! Viens par ici ! »
Tout en le tenant par l’oreille, elle le ramena au milieu du trottoir.
« Décidément, tu n’as pas beaucoup grandi depuis que je t’ai eu en classe. Cela fait pourtant plus de trente ans. Apparemment, les nombreuses fessées que je t’ai données ne t’ont pas rendu plus intelligent qu’avant.
– Aïe, mais Mademoiselle…
– Je vois que tu es toujours aussi impertinent. Depuis quand oses-tu parler sans que je t’y autorise ? Tu as dit assez de bêtises depuis les quelques minutes pendant lesquelles je t’ai observé. Tu peux bien garder le silence. Ça t’évitera de dire des grossièretés. »
Reynold ne disait plus rien. L’intervention de Mademoiselle Roudault devait lui rappeler de mauvais souvenirs.
« C’est bizarre, mais la scène que je viens de voir m’en a rappelé une autre. C’était dans la cour de récréation. J’avais donné une fessée déculottée à une des filles de ta classe. Elle s’appelait Justine si je ne me trompe pas. Je l’avais mise au piquet, le long du mur de l’école, la culotte baissée. Je ne m’étais pas éloignée depuis plus d’une minute quand tu t’es approché. Je n’ai pas entendu ce que tu disais, mais tes camarades m’ont dit, par la suite, que tu te moquais d’elle et que tu utilisais un langage des plus vulgaires. Tu lui as même touché les fesses. T’en souviens-tu ? »
Elle secoua l’oreille qu’elle tenait toujours entre ses doigts.
« Aïe, aïe, oui Madame !
– Rappelle-moi alors ce qui tes arrivé alors !
– Aïe, j’ai eu une fessée et vous m’avez mis à côté de Justine !
– J’ai le regret de constater que cette fessée n’a pas suffi. J’avais pourtant pris soin de te déculotter et je crois que tu as fini les fesses plus rouges que celles de Justine. J’y ai veillé ! N’est-ce pas ?
– Aïe, aïe, oui Madame, oui !
– J’ai cru que cette fessée t’avait guéri de tes mauvaises habitudes. Sans doute ai-je été trop clémente avec toi ? Je crois qu’une nouvelle fessée déculottée sera la bienvenue. »

Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?

Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :

  • Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
  • L'épisode précédent : chapitre 55

Il y a une suite ... le chapitre 57.


Les commentaires, les avis sont les bienvenus

Donnez votre avis, postez un commentaire, faites part de vos expériences, de vos protestations, racontez ce que vous avez vécu, laissez libre cours à votre imagination, dites-nous ce que vous avez ressenti, soyez créatif, n'hésitez pas.



6 commentaires:

  1. Cher JLG.
    Mais jusqu'où va-t'il s'arrêter!!!
    Ces dames se surpassent et rivalisent d'imagination pour rendre les fessées toujours plus spectaculaires et dans des situations bien humiliantes.
    Pas mal d'humour dans les dialogues du public et les tentative d'esquive de Daniel essayant d'éviter les rencontres fatales avec la main claqueuse de madame Schneider.
    Quand au retour de l'institutrice... On espère bien que les petits cochons ne vous mangent pas...
    Cordialement.
    Ramina.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci Ramina,
      La suite devrait être de la même veine. Faites confiance à l'institutrice ! Ne croyez-vous pas que si elle revenait elle aurait quelques reproches à vous faire qui pourraient s'achever par une fessée ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

      Supprimer
  2. JLG,

    PLutôt deux fois qu'une! Mais à mon avis elle n'est plus de ce monde.
    La fessée par un esprit revenant ne me tente pas beaucoup.
    J'ai plutôt reçu quelques petites fessées ( de deux trois claques sans plus )à travers le pantalon par un instituteur bienveillant et persuadé que c'était une bonne méthode quand nous étions un peu trop agités en classe... pas méchant.
    Cordialement
    Ramina

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ramina,
      Pas méchant, certainement, mais était-ce efficace pour que vous vous teniez tranquille ?
      Nous devons être dans les mêmes âges et, à cette époque, donner une fessée en classe à un enfant n'était pas quelque chose d'exceptionnel. J'ai assisté à de telles scènes plusieurs fois et j'en ai été l'acteur involontaire deux fois. Je ne me rappelle pas de cuisson sur les fesses, mais de la honte que cela provoquait. Il est vrai, comme vous dites, que donnée sur le pantalon, ce n'était pas douloureux.
      Au plaisir de vous ire,
      JLG.

      Supprimer
  3. Bonjour,
    Allons nous bientôt recevoir les fesses de Catherine peut être dans la rue en public ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour, commentateur anonyme.
      Je suppose que vous voulez les revoir ? Pour ce qui est de les recevoir, je ne peux rien pour vous.
      Je ne suis pas sûr que nous reverrons les fesses de Catherine d'ici la fin du récit. Par contre, il y aura des croisements avec d'autres, mais je vous en laisse la surprise.
      Les récits introduisent de nombreux personnages secondaires dont il n'est pas toujours possible de raconter l'histoire... sauf si nous nous y mettons à plusieurs. Avis aux bonnes volontés qui attendent la suite des aventures de Catherine et des autres.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

      Supprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.