mardi 23 octobre 2018

Conseils aux épouses pour une journée fesses rouges.

Un nouvel auteur ou plutôt une nouvelle auteure. Elle se définit elle-même comme "Sylvie, une épouse sévère, mais juste." Bienvenu donc Sylvie parmi les contributeurs de ce blog. Elle nous gratifie aujourd'hui d'un texte qui, j'en suis sûr sera bientôt suivi de quelques autres.
N'hésitez pas à lui donner votre avis sur cet écrit, c'est la meilleure manière de l'inciter à continuer à nous raconter comment elle met en place la discipline domestique dans son ménage. Elle vous répondra. Si vous souhaitez lui écrire plus discrètement, envoyez-moi un courriel, je le lui transmettrai.


Il peut arriver, en cas de faute grave, que je décrète une journée fesses rouges ce qui veut dire que monsieur aura le fessier écarlate toute la journée.
Depuis quelques temps j'ai d'ailleurs décidé qu'il y en aurait une par mois, une journée de maintenance en quelque sorte...
Les premières fois où je pratiquais ce genre de punition je vérifiais la couleur des fesses en déculottant mon puni assez régulièrement, c'était assez fastidieux aussi maintenant je suis mieux organisée
Dès le réveil j'administre deux bonnes fessées manuelles à cinq minutes d'intervalle, entrecoupées d'un passage au coin. Ces premières fessées permettent une montée en température de la peau des fesses. Ensuite je conseille de renouveler la fessée tous les quart d’heures pendant la première heure. Il faudra également utiliser un instrument type règle plate ou brosse à cheveux pour au moins l’une de ces fessées, ceci afin de tanner un peu ce fessier et lui faire prendre une bonne couleur bien uniforme et durable. Ensuite il faut maintenir cette température et cette couleur donc pour la deuxième heure une fessée toute les demi-heures.
Ensuite c'est parti pour la journée fessée,  on entretient le fessier avec une fessée tous les trois quarts d’heures. Je peux vous assurer que la fessée manuelle, sur un derrière déjà bien échauffé, ça calme les maris récalcitrants.
Évidemment selon le degré de sévérité que l'on veut appliquer on peut intercaler des fessées aux instruments et quelques séjours au coin.
En cas de nécessité de s'absenter tout le problème est dans la durée de l'absence. Certaines d'entre vous pourront peut-être compter sur une amie pour administrer la ou les fessées pendant leur absence. Je dois dire que j'y ai pensé mais jusqu'à présent j'ai évité cette humiliation supplémentaire à mon petit mari. Donc deux solutions si l'absence est courte j'applique une double fessée juste avant de partir, une manuelle bien soignée que je complète après 5 minutes par une bonne fessée à la brosse à cheveux. Pourquoi 5 minutes entre les fessées ? Parce que la cuisson est supérieure donc monsieur s'en souvient beaucoup mieux. Ensuite j'installe le puni au coin et je vous garantis qu'avec la cuisson de ses fesses il ne s'avise pas de bouger, surtout que je rentre toujours très discrètement.
Si l'absence excède 1h30, je fais suivre mon petit mari au fesses rouges, je place dans mon sac un petit martinet à manche et lanières courtes. Cet instrument discret ne fait pas beaucoup de bruit, il est très maniable et très efficace. Je trouve toujours un endroit pour déculotter monsieur. Si je peux m'asseoir c'est la fessée traditionnelle sans le bruit des claques, sinon c'est courbé sous mon bras fesses bien tendues que mon puni se fait rougir le derrière.

Quel endroit ? Je devine votre question. Bien sûr il y a la fessée publique mais celle-là aussi mon mari y a échappé. Donc par ordre d'apparition voilà les lieux qui ont vu monsieur cul nu.
Un banc bien reculé dans le parc du château. J'avais une vue panoramique sur la grande allée me permettant de voir si quelqu'un arrivait et une vue parfaite sur le fessier écarlate de monsieur couché sur mes genoux, la culotte abaissée au ras des fesses. Le martinet rapidement sorti du sac et une cinquantaine de bonnes claquées plus tard je reculottais mon puni avec une paire de fesses bien chaudes.
Un endroit très humiliant pour monsieur c'est les cabines d'essayage du rayon homme des nouvelles galeries. Le matin il n'y a quasiment personne elles sont grandes et le bruit d'ambiance masque complètement le bruit des lanières sur le cul nu. Courbé sous mon bras, pantalon aux chevilles et culotte descendue à mi cuisses, il n'en mène pas large, il serre les fesses sous les cinglades en espérant que personne ne soit dans la cabine voisine. On ressort discrètement et on peut continuer la promenade.
Un endroit classique c'est le parking d'autoroute on se gare à l'écart je passe à l'arrière de la voiture et monsieur vient s'allonger sur mes cuisses, déculottage express et fessée cuisante. Je baisse toujours la culotte au ras des fesses, ça suffit pour l'efficacité, ça permet de la remonter vite et l'humiliation de montrer ses fesses en plein air est suffisante.
Je connais aussi quelques halls d'immeubles calmes en journée avec des petits recoins où je peux courber mon petit mari sous mon bras, le déculotter rapidement et cingler une cinquantaine de fois son petit cul bien présenté.
Évidemment dans la campagne les petits chemins offrent de nombreuses opportunités ou dans la voiture ou assise sur un tronc d'arbre. La sensation de l'air frais sur les fesses bien chaudes rappelle sa condition à mon puni.

Donc malgré ces sorties monsieur reçoit son comptant de fessée. Si vous m'avez bien suivi, si la journée fesses rouges commence à 8 h, au moment d'aller se coucher vers 22 h, mon petit mari a reçu 23 fessées. C'est le moment de bien clôturer cette belle journée, monsieur va se mettre en pyjama et il m'attend dans la chambre.
Je lui administre 3 fessées successives. Je commence par une bonne fessée classique, je m'assois confortablement sur le bout du lit, je le couche en travers de mes genoux et je le déculotte largement et je vous garantis qu'après cette journée la peau des fesses est très sensible, Il ne faut pas y faire attention ça rougis très vite et la claquée fait pleurer mon petit mari.
Après ce premier échauffement je ne fais pas relever mon puni, je le garde en position et je prends un thermomètre rectal, il a eu le malheur de m'expliquer qu'il détestait cela quand il était petit. J'écarte les fesses écarlates et je lui introduis bien profondément. Je conçois que ça soit très humiliant pour lui de rester allongé sur mes genoux fesses bien présentées et un thermomètre planté au milieu. Je lui tapote les fesses et je le gronde comme un gamin, je lui réexplique pourquoi il a été puni.
Cette petite séance d'exposition dure environ 5 minutes puis vient la 2ème fessée de la série, une bonne déculottée à la brosse à cheveux et pas pour de rire, le large dos en bois fait son effet rapidement et j'ai droit aux supplications d'usage mais comme pour la première il reçoit ce qui est prévu. Son derrière est d'un rouge foncé uniforme, en général il finit en pleurs je sais que la cuisson est atteinte.
A nouveau une pause thermomètre, il est bien détendu et ses fesses s'écartent facilement. Je continue à le traiter comme un vilain garnement, il est prévenu que si je suis obligé de le punir d'une journée fesses rouges avant un mois ça ne sera pas une mais deux journées à présenter ses fesses. Je dois dire que la menace est suffisante, je n'ai jamais eu à lui appliquer cette sanction.
Après 5 minutes je retire à nouveau le thermomètre et je finis la journée par une fessée manuelle très rapide et très forte une sorte de bouquet final sur ce postérieur qui fume quasiment après ce traitement. Je le garde quelques instants en position pour qu'il se calme puis je le fais se relever et s'allonger sur le lit un coussin sous le ventre pour relever le derrière  et il a droit à nouveau au thermomètre planté au milieu de ses fesses. Je le laisse en exposition tout le temps que je me prépare pour me coucher. Ce n'est qu'après un bon quart d’h que je lui retire l'instrument médical devenu instrument punitif. Il peut se relever et je le reculotte avant de lui indiquer le lit.

Je peux vous assurer qu'il dort sur le ventre vu la cuisson de ses fesses.
Pourquoi une triple fessée pour finir, il faut que la rougeur des fesses persiste suffisamment longtemps et je vous assure qu'après ce traitement c'est le cas. Le lendemain au réveil monsieur doit me présenter ses fesses. Avant le petit déjeuner je l'allonge à nouveau sur mes genoux, je le déculotte, il en a l'habitude après ses 26 fessées de la veille, le fessier est encore rose foncé avec quelques traces plus foncées, liées à la brosse à cheveux.
Je le masse doucement lui écarte les deux hémisphères. Il se laisse faire, la position et la tenue ne lui laisse pas le choix. Il sait que la moindre résistance lui vaudrait une cuisante claquée, je lui demande si ça le cuit encore, si il a bien compris la leçon. Il est très docile après cette journée punitive. Il a donc droit à une application de crème calmante. La punition est terminée il ne faut pas que la peau des fesses soit abîmée mais c'est assez rare que je sois obligée de le déculotter pour une fessée après une journée fesses rouges.
Je l'autorise à se relever et je le reculotte moi-même. Je vérifie assez régulièrement la couleur des fesses pendant la journée et même les jours suivants. En général le postérieur ne reprend sa couleur d'origine que le surlendemain et il garde une sensibilité extrême ce qui rend les fessées très douloureuses donc plus efficace. D'ailleurs depuis quelques temps après ces journées je n'ai plus à sévir pendant au moins 3 jours.


Des conseils sur l'administration de la fessée ?

Mais vous pouvez également consulter...

la pages des "débats en cours"

Les commentaires...

C'est ci-dessous. N'hésitez pas ! Sylvie vous répondra.

11 commentaires:

  1. ouah ou!!!!votre mari a bien de la chance d'être surveille et tenu en mai nde cette façon...j'aurais aime que mon epouse agisse ainsi..mais helas!!!merci pour ce recit tres attractif

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  2. Bonjour à vous Sylvie,

    Bienvenu parmi notre cercle de passionné/e/s de la fessée.
    Vous formez un couple complémentaire. Votre mari est docile face à votre "programme d'éducation conjugale" si j'ose dire. Très coopératif, aussi.
    C'est reposant même si la douleur n'est pas absente, d'être ainsi pris en charge par son épouse, à la fois sévère et réconfortante quant il le faut.
    Il y a quelques années existait un magazine en anglais intitulé : WHAP ou Whapmag (Women who administer punishments) qui recueillait témoignages d'épouses avec dessins et photos qui dispensaient méthodes punitives et conseils pour éduquer leurs maris respectifs.
    Quoiqu'il en soit, votre mari peut compter sur vous en toutes circonstances. Et tout le monde semble satisfait.
    Merci pour votre récit. Peter Pan.

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    1. Bonjour,
      Désormais, je ne publierai plus les commentaires proposant aux auteures de donner la fessée aux commentateurs.
      Il est des relations punitives comme les autres, les personnes de genre féminin n'ont pas à subir les sollicitations qu'elles n'ont pas ni sollicitées, ni provoquées.
      Les propositions sont à déposer sur le site "rencontres fessées" que vous trouverez en cliquant sur un onglet en haut de cette page. Chacu est ensuite libre d'y répondre... ou pas.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  5. Bonjour Sylvie.
    De retour d'une semaine de vacances sans internet, quelle agréable surprise de lire votre texte exemplaire, détaillant avec une certaine satisfaction, à peine dissimulée, mais tout à fait légitime, une méthode de discipline conjugale aussi implacable que savoureuse.
    Vous offrez, sans détour, une magistrale variation sur le thème favori de notre petite communauté d'amateurs inconditionnels de la fessée, ( dont je suis ), visiblement ravis de la formidable démonstration d'autorité. Et quelles fessées!
    Un vrai feu d'artifice tiré à un rythme infernal sur le fessier docile ( sans aucun doute bien dressé ) de votre "petit mari" qui doit tout de même en avoir un sacrément bien fourni pour supporter un régime aussi rigoureux! Vous rétablissez avec brio, les cadences infernales au service de la fessée conjugale.
    La "journée fesses rouges ", 14 juillet de la fessée déculottée ou le triomphe de l'autorité féminine. De la fessée à haut débit, comme on n'ose l'imaginer, aussi systématique, méthodique, orchestrée de maîtresse main... Un petit chef d'oeuvre de sévérité organisée.

    A se demander comment le "petit mari" peut réussir à poser une fesse sur une chaise pendant cette magnifique journée, surtout avec un thermomètre dans le derrière (sourires). Madame " pousse " très loin le soucis du détail humiliant.
    Aller, ne manque plus que quelques bonnes séances de fessées déculottées en public pour asseoir définitivement une autorité sans faille, bien méritée, sur les fesses du mari récalcitrant.

    Bon, je n'en jette plus... Comme dit notre ami JLG : "la cour est pleine!" Surtout que votre méthode "Journée fesses rouges" semble ne pas manquer d'amateurs.
    "Cent fois sur les fessiers remettez votre ouvrage
    Polissez les sans cesse et les repolissez..."
    Cordialement
    Ramina

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  6. Bonjour,
    Dommage que Sylvie ne se manifeste pas, après un tel succès littéraire!
    Modeste ? Surtout qu'on en redemanderait volontiers.
    Ramina

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  7. Je m appel Nicolas et j ador recevoir la fessée cul nu a main nu

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  8. Bonjour,
    J'ai lui avec attention votre méthode d'éducation, je suppose que quand vous parlé de fessée c'est une séance de fessées que vous administrer. Quel est la quantité approximative que vous lui infligez par séance, ou c'est quand vous estimez que ces fesses sont à nouveau rouges.
    Véronique

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  9. Depuis plusieurs années je vis en couple avec une dame. Ma compagne est une personne qui a beaucoup de caractère, elle est en outre autoritaire et très sévère. De mon côté je suis resté un adulte très immature. Toujours à faire des bêtises. Un vrai gamin. Depuis notre rencontre elle a décidé de mettre en place ce qu’elle appelle « une discipline domestique ». Elle a accepté de prendre en charge mon éducation qui selon elle laisse à désirer. Cela suppose bien entendu qu’elle veille sur moi. De mon côté j’accepte d’être pris en charge et de me soumettre à son autorité dont j’ai vraiment besoin. Nous sommes d’accord pour reconnaître que c’est elle qui décide. En ce qui me concerne je dois lui obéir sans discuter. Tout écart doit être immédiatement sanctionné. Pour elle la punition qui convient le mieux, c’est la fessée déculottée. Je sais qu’elle a raison. Depuis je sais que tout écart ou désobéissance sera puni d’une bonne fessée. Chaque fois que j’ai fait une bêtise je m’y attend. En outre, à la maison, nous avons un martinet. Il est suspendu dans la cuisine et tout le monde peut le voir. Ma compagne sait très bien de discipliner avec toute la rigueur qui s’impose et ça convient parfaitement à mon tempérament. Je n’ai pas intérêt à discuter ses décisions sinon c’est la fessée en travers des genoux cul nu. Je reconnais que c’est mérité. Je dois aussi me tenir correctement en société sinon elle me fait des réflexions très claire et en rentrant à la maison la correction est immédiate. Je sais que certaines personnes savent comment je suis puni. Une seule à assisté la fessée c’est ma Tatie. Inutile de dire qu’elle approuve ces méthodes et ne manque pas une occasion de le dire à ma compagne.

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  10. Ma compagne exerce son autorité avec la plus grande fermeté. C’est elle qui décide de tout et surtout qui est juge de mon comportement. Je dois lui obéir sans discuter et ça, étant immature, je l’ai accepté dès le début dans mon intérêt. Au moindre écart je connais les conséquences. Elle me déculotte et me fesse en travers de ses genoux. J’ai beau pleurnicher, mes jérémiades ne servent à rien. Et si je récidive j’ai droit au martinet. Ma compagne trouve le martinet très efficace et elle s’en sert de plus en plus souvent. Elle cingle avec application mes fesses et les cuisses. Lorsque je suis en petit short, et c’est toujours ainsi dès qu’il fait beau, les traces du martinet apparaissent au-dessous de la lisière du petit short. De belles stries roses qui laissent peu de doute sur la punition reçue. Et lorsque je sors faire des courses, seul ou avec ma compagne, ça me fait bien honte, mais je sais que ça fait aussi partie de la punition. Il est arrivé que ma compagne invite à la maison une collègue de travail et me corrige devant elle. C’est arrivé encore la semaine dernière. Un soir, elle est rentrée du travail accompagnée de sa collègue Lydie, une grande perche très brune que je connais déjà un peu. J’ai fait quelques réflexions qui n’ont pas plu à ma compagne. Et en plus j’ai désobéi. Ni une ni deux, je me suis retrouvé déculotté en travers des genoux de ma compagne et copieusement fessé séance tenante. Lydie était stupéfaite de la sévérité de sa copine et paraissait très intéressée. Elle a posé plein de questions. Bien entendu il a été question du martinet. Elle a demandé si j’étais souvent puni. Ma compagne a dit qu’elle ne me passait rien et a cru bon de lui parler de la discipline domestique qu’elle avait mise en place en ce qui me concerne. Il fallait la respecter et c’était tout. Je voyais bien où Lydie voulait en venir. Elle a ensuite parlé de son mari qui était resté très gamin et elle pensait qu’il aurait bien besoin lui aussi d’être soumis à une telle discipline. L’immaturité de son mari l’agaçait depuis quelques temps et elle n’a pas tardé à admettre qu’elle avait de plus en plus en plus envie de le corriger. La manière dont ma compagne m’avait fessée lui avait donné des idées. Mais en fait elle a avoué qu’elle ne savait pas trop comment s’y prendre. Elle a demandé à ma compagne si elle pourrait l’inviter avec son mari. Avec un peu de chance je serais désagréable et j’aurais droit à la fessée. Ça permettrait à son grand dadais de mari de voir comment on punissait les grands garçons. Et si le mari se montrait désobéissant ou insolent il s’en prendrait une lui aussi. Ce que souhaitait Lydie c’était surtout que ce soit ma compagne qui fesse son mari pour la première fois. Ensuite elle pensait qu’elle pourrait prendre le relais… Une date d’invitation a été aussitôt fixée la semaine prochaine…

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