jeudi 25 octobre 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 55


Au regard de ce que j’avais pu connaître auparavant, ma vie était devenue beaucoup plus facile. Bien des aspects de ce que j’avais en à décider par moi-même, étaient maintenant pris en charge que ce soit au travail ou à la maison. Je considérais, en effet, que chez Madame Tolbois, c’était aussi chez moi et je n’envisageais plus d’en partir.
Je me trouvais, pour toutes les choses de ma vie, face à une exigence permanente qui ne me permettait plus de faire des compromis, de me laisser aller à des facilités que je me serais facilement accordées dans mon ancienne vie. Le cadre était posé et dès que j’en sortais, la réaction de mes différentes tutrices était immédiate : une bonne fessée déculottée.


Madame Colas tenait maintenant une place importante dans ma vie. Elle m’apprit assez vite la fierté d’un travail bien fait et la honte d’un ouvrage bâclé. Ces deux notions m’étaient étrangères avant que je ne travaille dans la société de Madame Raveneau.
Lorsque je patientais, debout à ses côtés pendant qu’elle corrigeait un travail que je venais de faire, j’éprouvais une réelle angoisse. Ce n’était pas seulement la perspective d’une fessée que je craignais à ce moment-là, bien que j’en aie reçu de nombreuses suite à l’examen de mon labeur. Non, c’était l’attente des félicitations de ma cheffe de bureau et la crainte d’être déçu qui l’emportait à ces instants.
Mon attention et ma concentration étaient très fluctuantes. A chaque fois, en commençant une tâche, je me promettais de m’en acquitter si bien qu’elle me vaudrait des louanges unanimes. Hélas, ma volonté de me consacrer entièrement à ce que j’avais à faire était facilement détournée par le moindre incident. A force de punitions, je fis d’importants progrès, mais sans atteindre un niveau qui aurait rendu les punitions superflues ou tout du moins très rares.
Les fessées en étaient une conséquence naturelle que je ne contestais pas. Indépendamment de l’obligation qui m’était faite de m’y soumettre et de la douleur et de la honte qu’elles provoquaient, je savais que Madame Colas me les donnait afin que je me souvienne de ce qui les avait engendrées. Elle prenait la précaution, avant chaque correction, de vérifier que je savais parfaitement pourquoi elle devait me punir.
Bien sûr, la crainte de la fessée était pour beaucoup dans les progrès que je fis. Mais il n’y avait pas que cela. J’aspirais à ce que Madame Colas me complimente pour un travail bien fait. Je la voyais comme une maîtresse d’école qui m’enseignait, peu à peu, les règles de base d’un travail bien fait. Les règles qu’elle nous donnait à copier à la maison en guise de punition et la situation infantilisante dans laquelle elle nous maintenait m’avaient renforcé dans cette sensation.
Sa légitimité à me donner la fessée déculottée et à autoriser d’autres personnes à le faire ne faisait aucun doute. Les circonstances qui m’amenèrent à devoir subir une correction donnée par une main étrangère, se multiplièrent. Le plus souvent, c’était dans des situations professionnelles, Madame Colas en était donc à l’origine. Bien que cela fût douloureux et humiliant, j’en intégrais le principe comme un mal nécessaire. Les décisions de Madame Colas avaient force de loi.

Madame Tolbois restait la figure tutélaire dont l’autorité s’étendait à tout ce qui me touchait. Rien de ce qui me concernait ne devait lui échapper et elle exigeait que je lui fasse part des moindres faits. Toute dissimulation était sanctionnée. J’appris, à mes dépens, à être totalement transparent vis-à-vis d’elle. Comment cacher quoi que ce soit à une personne qui me mettait à nu, littéralement parlant, plusieurs fois par jour pour m’habiller ou me déshabiller, mais également pour me donner ma douche. Elle avait alors accès au moindre centimètre carré de ma peau, réduisant à néant mon espace d’intimité. Ces moments étaient le symbole de l’emprise qu’elle avait sur moi, sur mon corps, sur mon esprit et sur mes actes.
Malgré notre petite différence d’âges et sans l’avoir verbalisé à aucun moment, il n’y avait pas de doute, ni pour elle ni pour moi, que nous vivions une relation mère fils qui nous contentait tous les deux. J’étais son petit garçon, objet de son attention, mais qu’elle devait corriger quand il sortait des chemins qu’elle avait tracés.
Je craignais les fessées qu’elle me donnait, autant que je goûtais les câlins sur ses genoux. Elle était prodigue des unes et des autres. Elle était fière de mes réussites, mais elle se sentait personnellement affectée quand une autre personne avait dû me fesser. Je payais le prix de cette déception avec des fesses bien rouges.
Sa sévérité ne se démentait jamais, mais elle constituait les repères sur lesquels je m’appuyais. Je ne cessais de chercher à la satisfaire. J’accueillais les fessées qu’elle me donnait comme des moments d’expiation justifiés quand je l’avais déçue. Pourtant, pendant les quelques instants où elle me préparait pour la fessée, c’était toujours la peur qui était le sentiment dominant. Avec elle, aucune fessée n’était anodine.

Au printemps qui suivit, j’eus le sentiment que le recours à la fessée pour punir des adultes, devint, en quelques semaines, beaucoup plus fréquent. Cela se fit progressivement. Je ne le remarquais pas tout de suite, absorbé par la contribution involontaire que j’y apportais.
Je situerais le début, pour moi, à un jour où Madame Tolbois m’avait ordonné de l’accompagner. Il s’agissait de m’acheter ses sous-vêtements. Marchant à côté d’elle dans la rue, je donnais machinalement un coup de pied dans un caillou, l’envoyant quelques mètres devant nous.
« Cesse ce jeu, Daniel ! C’est la deuxième fois, cet après-midi, que tu frappes dans un caillou. Tu risques de l’envoyer sur une autre personne et tu abîmes tes chaussures. »
Heureusement, toute réprimande ne se traduisait pas par une fessée immédiate. J’arrêtais mon geste inconscient dont je ne m’étais même pas rendu compte. Nous étions dans la rue et je ne tenais pas à tester la résolution de Madame Tolbois à me fesser séance tenante.
C’était une bonne demi-heure plus tard. Le passage dans la boutique ne s’était pas bien passé. Madame Tolbois avais choisi des culottes blanches, plutôt enveloppantes alors que j’aurais préféré de la couleur et un modèle un peu plus échancré. J’avais fait une timide tentative.
« On ne pourrait pas prendre plutôt celles-là ? »
Je désignais un modèle assez sage, classique, mais à la coupe plus moderne que celui sur lequel Madame Tolbois avait porté son dévolu.
« Celui-là fera très bien l’affaire, décida Madame Tolbois en s’emparant du modèle qui avait sa préférence. Il t’ira très bien ! »
Avec ça, pensais-je sans l’exprimer, j’aurai l’air de venir tout droit des années cinquante. Cela n’aurait pas été très grave si, lorsque je recevais une fessée devant témoin, mes sous-vêtements n’étaient pas mis à la vue de tous.
Je fis une courte grimace, mais je savais qu’il ne fallait pas insister. La vendeuse qui nous assistait eut un petit moment d’hésitation, puis, devant mon absence de réaction, elle s’empara du paquet que lui tendait Madame Tolbois. Je les suivis, la mine sombre. C’est en arrivant à la caisse que les choses se gâtèrent.
« Daniel, tes bouderies commencent à m’insupporter ! J’ai décidé que nous prendrons ce modèle. C’est donc celui-là que tu mettras. Est-ce bien compris ?
– Oui Madame. »
Il était urgent de faire profil bas. La suite me le confirma.
« Faut-il que je te donne une fessée devant Mademoiselle pour que tu arrêtes de faire la tête ?
– Non Madame, je vous demande pardon. Je ne le ferai plus.
– Si seulement c’était vrai ! »
La vendeuse ouvrait de grands yeux. Elle n’en croyait pas ses oreilles. Elle eut la confirmation que la menace de Madame Tolbois n’était pas des paroles en l’air quand celle-ci, les achats réglés, m’administra une forte claque sur le fond du pantalon pour m’indiquer la sortie du magasin.
« En route ! Et si j’ai la moindre remarque à te faire, c’est la fessée ! »
Un petit cri de surprise et de douleur, puis mon silence confirmèrent la matérialité de la promesse. Je ne restais pas là pour décortiquer la réaction de la vendeuse.
Nous étions sur le chemin du retour. Je fulminais intérieurement mais je me gardais bien de le montrer. Je gardais une expression neutre sur mon visage qui ne permettait pas à Madame Tolbois de mettre ses menaces à exécution.
Un caillou eut le malheur de se trouver sur mon chemin. Pour mon malheur, évidemment. Sans réfléchir plus loin, je passais ma rage sur lui en l’envoyant rouler devant moi, d’un bon coup de pied.
« Aïe, mais vous ne pouvez pas faire attention ! »
C’était une jeune femme qui poussait un landau. Le caillou avait touché sa chaussure. Elle avait sans doute eut plus de peur que de mal, mais elle rouspétait pour le principe. Madame Tolbois ne le prit pas ainsi.
« Je t’avais prévenu ! »
Ses yeux étaient noirs de colère. J’avais provoqué la catastrophe que je voulais éviter. Elle m’attrapa par le bras et elle me lit face à elle. Je tournais le dos à la jeune femme avec son landau. Il y avait quelques personnes qui marchaient sur le trottoir u sur celui d’en face. Madame Tolbois s’attaqua tout de suite à ma ceinture. Je ne sais pas si pour les personnes à proximité ses intentions étaient claires, mais pour moi, elles l’étaient.
Je crois que tout le monde comprit quand Madame Tolbois baissa mon pantalon. Il y eut quelques exclamations de surprise, mais rien qui ressemblait à une protestation. C’était une routine bien établie entre nous. Qu’elle se déroule en pleine rue ne changeait rien pour Madame Tolbois. Cela n’en perturba pas le déroulement, mais je ne savais pas où me cacher, recherche bien inutile car Madame Tolbois n’avait pas l’intention de me laisser me dissimuler.
Elle me courba sous son coude, puis, une fois le pantalon baissé, ma culotte suivit le même chemin. Je ne faisais rien pour gêner ce déculottage. Qu’on soit dans la rue ou ailleurs, Madame Tolbois revendiquait ce droit et je ne le lui contestais pas.
Sur mes fesses bien dégagées, je sentais le petit vent qui tourbillonnait ente les arbres. Des passants s’arrêtèrent devant ce spectacle inhabituel. Je voyais les pieds d’un petit nombre de personnes qui faisait cercle autour de nous. Mon sexe pendait entre mes jambes et je me doutais qu’il était visible par toutes les personnes qui s’étaient positionnées sur les côtés. Je songeais à le dissimiler entre mes deux cuisses, mais la première claque mit fin à mes tentatives.
Ce fut ce que Madame Tolbois appelait parfois une fessée rapide. Il s’agissait, en quelques dizaines de secondes, de porter la température de mes fesses à un point que je n’aurais pas pu supporter si l’autorité de Madame Tolbois n’avait été aussi forte. Les claques s’enchaînaient sans interruption, parfois quatre, cinq, dix fois au même endroit, parfois en alternant les deux côtés de mon fessier.
La fessée se poursuivit jusqu’à ce que j’exprime ma douleur sans qu’il soit possible d’en douter. Je ne m’essayais plus à simuler des cris et des pleurs. Je ne l’avais fait qu’une fois et je me souvenais encore de la punition qui en avait découlé. Je laissais les événements aller à leurs cours et quand mes cris ne suffisaient plus à extérioriser ma souffrance, je laissais monter les larmes dans mes yeux qui s’accompagnaient de sanglots. C’était un point de passage obligé. Il fallait en arriver là.
Quand Madame Tolbois me relâcha, je n’avais qu’une vague idée de l’assistance à travers mes yeux brouillés de larmes. Je voulus me réfugier dans ses bras, comme j’avais tendance à le faire de plus en plus souvent avec mes correctrices quand elles étaient affectivement proches. Madame Tolbois m’en empêcha.
« Va d’abord demander pardon à la dame ! »
Il n’y avait pas long à parcourir. Mais ce fut un des trajets les plus difficiles de ma vie. Je regardais la dame, puis toutes les personnes qui l’entouraient.
« Plus vite que ça ! »
Une claque sur mes fesses me donna le signal du départ. Je m’avançais à pas précautionneux. Le pantalon autour de mes chevilles limitait l’ampleur de mes pas. J’aurais bien voulu aller plus vite pour en finir, mais ce n’était pas possible.
Je portais un polo qui ne descendait qu’à mi-fesses. Mon sexe apparaissait juste en-dessous et il sa balançait de droite à gauche au gré de mes pas. Je n’avais pas le droit de le couvrir de mes mains. Exposer le sexe d’un petit garçon à tous vents faisait partie de la punition, ou plutôt cela n’avait pas d’importance comme ça aurait pu être le cas avec un adulte. Il n’y avait là aucun exhibitionnisme. Je sentais pourtant que plus d’un regard était attiré vers cette zone de mon corps qui, pour d’autres personnes de mon âge, aurait été cachée par des vêtements.
« Je vous demande pardon Madame. »
Mon interlocutrice ne savait pas quoi dire. Elle était un peu embarrassée.
« Tu as de la chance que je n’insiste pas pour que Madame te donne une fessée à son tour ! »
Mon cœur s’emballa.
« Mais si vous pensez que c’est nécessaire, Madame, je vous en donne l’autorisation.
– Ce ne sera pas nécessaire. La faute n’était pas aussi grave. Je crois que ce grand garçon aura retenu la leçon, n’est-ce pas mon garçon ?
– Oui Madame.
– Remercie Madame de sa clémence. Je ne sais pas si c’est une bonne idée, mais nous en resterons là. »
Soulagement. Une petite partie des poids qui pesaient sur ma poitrine s’envolèrent.
« Merci Madame.
– Viens-ici que je te reculotte ! »
Le chemin du retour fut presque aussi difficile que l’aller, mais, au bout, c’était une tenue décente qui m’attendait. C’était une motivation suffisante pour me hâter. Pendant qu’elle me rhabillait, Madame Tolbois continuait ses échanges avec les spectateurs.
« Vous disiez, Madame, que la faute n’était pas si grave, c’est que vous n’en avez vu que l’aboutissement. Laissez-moi vous conter toute l’affaire. »
Au fur et à mesure que les faits s’accumulaient je sentais la réprobation monter chez les personnes qui nous entouraient. Les petites phrases que les personnes laissaient échapper montraient que mon attitude ne recueillait que peu de soutien.
« Quelle impudence… vous avez bien fait… C’est grandement mérité… A votre place, j’aurais fait pareil… »
Sans que cela paraisse étonnant, Madame Tolbois n’expliqua pas pourquoi elle possédait le droit de me déculotter et de me fesser. Il n’y eut pas une question sur le sujet. C’était admis comme un fait acquis.
« Voilà, Mesdames, pourquoi j’ai considéré qu’il lui fallait une fessée au plus vite. Je ne vois pas pourquoi le déculotter et le fesser dans la rue poserait problème. Ce n’est pas comme s’il s’agissait d’un véritable adulte. J’espère que vous n’en n’avez pas été outrées. »
Les réactions de ses interlocutrices rassurèrent Madame Tolbois. Elle en profita pour expliquer comment, à ses yeux, le recours à la fessée était une solution très adaptée pour beaucoup d’adultes. Elle raconta en quoi cela avait changé ma vie. Elle avait parfaitement raison. Je le savais même si je ne l’aurais pas avoué à d’autres personnes pour rien au monde.
« J’ai presque envie de revenir sur ma décision. »
C’était la dame au landau qui parlait.
« Je crois que j’ai décidé un peu vite de lui épargner la fessée. A la réflexion, je crois qu’il aurait largement mérité de faire la connaissance de ma main. »
Mon cœur s’arrêta de battre pendant une seconde.
« Ce n’est pas trop tard. Le déculotter et le fesser, c’est l’affaire de quelques minutes. Si vous le voulez, nous pouvons le faire maintenant. »
La dame réfléchit un instant. Elle consulta sa montre et soupira.
« Non, hélas, je n’ai plus vraiment le temps.
– Etes-vous sûre ? Je vous le déculotte, il y en a pour trente secondes. La fessée n’a pas besoin d’être bien longue pour délivrer son message surtout quand c’est une dame inconnue qui fesse.
– Mettons que je lui doive une fessée. La prochaine fois, nous réglerons nos comptes
– Comme vous voulez, mais vous avez mon autorisation pour le fesser quand vous le jugerez bon. »
Je laissais échapper un grand soupir. J’avais retenu ma respiration pendant tout l’échange.
« Il faut que j’y aille. Continuez, Madame, ce que vous faites est très utile. Nous devrions être bien plus nombreuses à prendre exemple sur vous ! »
Les autres personnes de l’assemblée hochèrent la tête. Cette proposition recueillait l’assentiment général.

L’attroupement se dispersa lentement. Certaines commentaient encore la proposition de la dame au landau. D’autres avaient déjà pris leur décision et il y avait quelques enfants, maris, neveux et nièces et locataires qui avaient du souci à se faire.
Madame Tolbois me prit par la main et elle ne la lâcha pas avant d’arriver à la maison. Je montrais une bonne volonté sans faille. Je savais qu’elle n’aurait pas hésité à me déculotter et à me fesser dans la rue une nouvelle fois.


Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?

Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :

  • Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
  • L'épisode précédent : chapitre 54

Il y a une suite ... le chapitre 56.


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6 commentaires:

  1. Bonjour JLG,
    Mon retour de vacances s'accompagne de celui, tonitruant, de l'inénarrable Madame Tolbois. La bonne surprise !
    Daniel en prend encore pour son grade et dans la rue s'il vous plaît! Il s'en faut de peu d'une deuxième fessée par la passante au landau. Ce n'est pas faute de l'insistance de Madame Tolbois qui propose même à la jeune femme : " je vous le déculotte"... comme s'il s'agissait d'un geste naturel pour faciliter une tâche banale à accomplir.
    Finalement assez drôle et bien vu.
    Cordialement.
    Ramina.

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    1. Ramina,
      Je me disais : deux semaines sans intervention de Ramina sur le blog, que se passe-t-il ? Serait-il fâché ? Non, il s'agit de vacances, un situation bien plus prosaïque.
      Vous serait-il agréable que la jeune femme au landau fesse Daniel ? Voyons le prochain épisode.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Cher JLG
    Fâché, bien sûr que non ! Et pourquoi diable l'aurais je été ? Mais oui , un interlude dans le sud ouest sans internet. Désolé d'avoir pris la poudre d'escampette sans préavis... Mais, honnêtement, pas mécontent de savoir que ce n'est pas passé inaperçu. "Vanitas et Vanitas " Il y en a qui se prennent des fessées pour moins que ça! Quelques coups de pieds dans un caillou par exemple.
    Voyons voir comment va s'y prendre la Dame au landau...
    Cordialement.
    Ramina

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    1. Ramina,
      Evidemment que l'absence de vos commentaires se remarque. Nous attendions votre retour.
      D'ailleurs, en parlant de retour, à quand le début de la saison 2 de ces dames aux mains fermes ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  3. JLG.
    Bonne question... J'ai eu d'autre impératifs ces temps ci. Je pense que nous pourrons commencer au plus tard fin novembre.
    Cordialement
    Ramina

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    Réponses
    1. Ramina,
      Vous dites fin novembre ? Je ne sais pas si vos lecteur vont tenir jusque-là. Ont-ils le choix ? Vous maniez la frustration avec délice.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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