vendredi 5 octobre 2018

Ce qu'il en coûte... de ne pas respecter les horaires

En fin de classe de terminale durant les grandes vacances d'été, avant de rentrer en faculté,  j'avais pris, ainsi que mes fesses éloignées de Geneviève et ses collègues, quelques vacances en famille, dont plusieurs semaines chez ma tante, à qui j'allais tenir compagnie, mon oncle étant souvent en déplacement la semaine.

Durant mon séjour en août, eut lieu la fête au village et le dernier soir de cette fête, ma tante m'autorisa à sortir avec quelques copines et copains, sous réserve que je rentre à l'heure prescrite, soit 23h00 ; entre les tours d'auto-tamponneuse, le tout suivi du bal avec quelques slows pour flirter, je ne vis pas l'heure passer, si bien que lorsque je m'en rendis compte, j'avais plus d'une heure de retard par rapport à l'heure fixée ; je me dépêchais donc de rejoindre rapidement la maison ; y arrivant, n'observant aucune lumière derrière les volets, j'en conclus que ma tante était déjà couchée et dormait ;  j'entrais donc, refermant et verrouillant sans bruit la porte d'entrée derrière moi, puis me déchaussant je montais les escaliers vers ma chambre et arrivant sur le pallier, j'eus la surprise d'apercevoir une raie de lumière dessous la porte et avant de pouvoir penser comment elle pouvait être allumée, la porte s'ouvrit et ma tante apparut, bras croisé, l'air sévère, avant de me saisir par la main et de m’entraîner dans sa chambre

Elle s'assit alors sur lune chaise placée au milieu de la pièce et  m'annonça qu'elle allait me fesser pour mon retard et ma désobéissance, chose qu'elle n'avait pas faite depuis quelques années, pour m'apprendre à respecter les horaires  ; osant contester la sanction, ma tante affirma que j'avais le choix soit d'être fessé et de pouvoir jusqu'à la fin de mes vacances chez elle de continuer à retrouver mes camarades, soit de ne pas être fessé et de rester confiner chez elle jusqu'à mon retour chez Geneviève ... ma tante étant elle aussi professeur, tout comme Geneviève, toute discussion et résistance étaient donc inutiles et en m'approchant d'elle, elle en conclut que j'avais choisi la fessée ; sans mot dire, elle entreprit mon déculottage, baissant jusqu'à mes genoux mon jean jusqu'aux genoux et je me retrouvais rapidement à plat ventre sur ses cuisses, en travers de sa jupe d'été, jean baissé aux genoux, mais ma vertu protégée encore par le tissu de mon slip ; sans trop m'inquiéter, je m'attendais plutôt à une fessée symbolique de la main de ma tante ; rapidement le bas de mon polo fut repoussé au-dessus de mes reins, un bras ceinturant fermement ma taille, tandis que de l'autre main, ma tante saisit le haut de mon slip et le baissa rapidement, me claquant les fesses pour m'obliger à soulever le ventre de ses cuisses et poursuivre ainsi un déculottage dans les règles, baisant jean et slip jusqu'à mes mollets ... 

Cambré en avant, me retenant aux pieds de la chaise pour ne pas basculer plus bas, fesses en l'air et bien exposées, me plaquant fermement du bras gauche contre ses cuisses, ma tante me précisa mes fesses allaient se souvenir de chaque minute de retard par rapport à l'horaire qui avait été prescrit, à raison de deux claques par minute de retard et que je m'estime heureux qu'elle ne me les fasse pas compter ... une première claque tomba sèchement sur ma fesse droite, suivie d'une deuxième sur la fesse gauche ... au bout de quelques minutes de ce traitement, au fur et à mesure que les claques tombaient en alternance sur chacune de mes fesses, si la douleur était surmontable, ces dernières se mettaient à chauffer de plus en plus ... et mes jambes à battre dans le vide après chaque doublé de claques ... sachant d'expérience qu'avec une fesseuse déterminée il était inutile de chercher à se protéger des deux mains les fesses, je me mis à les serrer entre chaque claquée, ainsi que les dents, même si je savais qu'une fessée sur des fesses serrées était beaucoup plus douloureuse qu'une fessée sur des fesses "décontractées", la peur n'évitant jamais le danger ... sous le rythme ferme et soutenu de ma tante continuant à me fesser, je me surpris à la supplier, à lui promettre de ne plus recommencer, de ne plus jamais être en retard ... ma tante à ces mots, redoubla la cadence et la fermeté de ses claques, enflammant encore plus mon fessier ...

Enfin les claques cessèrent ... l'étreinte de son bras autour de ma taille se relâcha, signe que la fessée était enfin terminée et que je pouvais me relever ... aussitôt debout, mes mains frottèrent énergiquement mes fesses enflammées, espérant en atténuer la cuisson, puis me reculottant en partie jusqu'en haut des cuisses, je me dirigeai vers ma chambre ... Cette nuit là, vêtu seulement d'un tee-shirt, je m'endormis les fesses à l'air et à plat-ventre jusqu'au lendemain matin, respectant quotidiennement les horaires prescrits par ma tante.


Alain le retour


Alain a déjà sévi sur ce blog, C'est lui qui est, entre autres, l'auteur de la série "les entretiens privés avec Geneviève. Relisez le premier chapitre

Ce qu'il en coûte de...


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3 commentaires:

  1. Bonjour,
    Décidément les tantes sont aussi sévères que les mères ou les épouses! Il est des retards dont les fesses se souviennent. Si tenté que les fesses ont de la mémoire.
    Joli récit bien imagé, description détaillée d'un déculottage dans les règles de l'art ou la fessée commence avant même que le slip soit entièrement baissé sur les cuisses.
    Belle fessée, bien cuisante, merci Alain pour ce petit moment d'émotion.
    Cordialement
    Ramina

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    1. Bonjour Ramina, bonjour Alain

      Dans les familles "à l'ancienne" (de nos jours, les familles recomposées compliquent les relations), les tantes, sœurs ou belle-soeurs de nos mamans, se sentent aussi responsables de l'éducation de leurs neveux et nièces, qui parfois ont l'âge d'être leurs propres enfants.
      Seul l'absence de lien maternel direct leur permet une autorité plus distante du style : je ne suis pas ta mère chérie. Alors pas de caprices avec moi !
      Au delà de cette rigueur, elles restent avant tout un soutien sans faille et des confidentes sûres. Une certaine complicité peut apparaître à cette occasion.
      Ah les tantines de notre jeunesse...
      Bon Dimanche. Peter.

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    2. Moi aussi j’étais sévèrement puni jusqu’à l’âge de 20 ans. C’est vrai que j’étais un ado tout à fait immature et insolent. Les fesses a l’air sur les genoux, la fessée magistrale, le martinet aussi, çà tombait souvent sans prévenir. La culotte ou le petit short étaient baissés et le slip aussi. C’était vite fait. La fessée terminée je partais dans ma chambre, je le déculottais et passais la nuit sur mon lit les fesses a l’air. J’avais été puni, je savais que c’était mérité. Étant adulte j’ai eu aussi besoin d’être puni et la fessée je la reçois encore. J’ai besoin qu’on prenne en charge mon éducation avec sévérité parce que je fais beaucoup de bêtises, je suis aussi paresseux et nonchalant et bien sûr cela mes fesses le payent.

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