mardi 5 juin 2018

Ce qu'il en coûte de regarder sous les jupes des dames, une déculottée

Geneviève avait pris l'habitude me faire porter à l'une de ses collègues, Madame B... des copies qu'elle venait de corriger, chaque fois que j'avais du temps libre. La première fois que cela s'était produit, j'étais arrivé en avance et avais dû attendre cette collègue dans la cage de l'escalier conduisant à son appartement. A son arrivée, l'escaliers étant trop étroit, je l'y avais donc suivie et en levant les yeux, tout en étant surpris, avais pu bénéficier d'une vue plongeante sous les jupes de la dame âgée d'une trentaine d'années.

Les fois suivantes, j'en avais fait un jeu, pouvant constater que suivant la météo, la dame portait tantôt des collants, tantôt des bas retenus par des jarretelles blanches, le tout gainant de magnifiques jambes. Chaque fois que je pouvais donc me trouver avec elle dans les escaliers , je la laissais prendre un peu d’avance pour pouvoir jeter un coup d’œil sous ses jupes ou robes courte. Une fois chez elle, elle récupérait ses copies et je repartais chez Geneviève.

En cette nouvelle fin de journée,  je me retrouvais une fois encore derrière Madame B…  dans les escaliers et placé trois ou quatre marches plus bas, j’avais une superbe vue sur ses jambes gainées de bas nylon gris dont j’apercevais les lisières et les jarretelles les retenant. Ne voulant rien perdre du spectacle, je la suivais prenant de plus en plus de retard pour la rejoindre jusqu'à la porte de son appartement, les yeux rivés sur le mouvement des ses jambes et cuisses magnifiques. Arrivant sur le palier, elle m'y attendait, porte de l'appartement grande ouverte,  sans sourire, bras croisés sur sa poitrine, me dominat juchée sur ses escarpins et m’interpella :
« Crois-tu que je n’ai pas remarqué ton manège depuis le temps que tu montes les escaliers derrière moi ? Suis moi, j’ai deux mots à te dire ! »
Rougissant jusqu'aux oreilles, je gravis la dernière marche, parvenant à son niveau, elle me saisit alors par un poignet et m'entraina à l'intérieur de son appartement, refermant et verrouillant derrière elle la porte d'entrée, me tirant et me poussant vers son intérieur jusqu'à la pièce principale. Là, sans lâcher prise, elle prit une chaise, s'y assit et tout en croisant et décroisant ses jambes faisant crisser ses bas nylon et je me mis à rougir  davantage car ca jupe retroussée très haut découvrait largement les lisières de ses bas. Me scrutant d’un regard sévère, elle m'annonça :
« Tu n’as jamais autant vu mes cuisses qu’aujourd’hui et tu en as largement profité, maintenant que diras-tu si je téléphonais à qui tu sais et chez qui tu loges pour lui parler de ta conduite ? Je pense qu'elle serait très fière de savoir que son protégé reluque sous les jupes de ses collègues ? A ton avis que dirait-elle ? Quelle serait sa réaction en apprenant ta conduite ? Ou alors préfères-tu que nous réglions cela de suite, sans son intervention, entre grandes personnes responsbles car après tout n'es-tu pas majeur? Que décides-tu ou alors préfères-tu que je lui téléphone de suite et lui demande conseil, voir de venir ???"
Je réfléchis à toute vitesse, imaginant fort bien la colère de Geneviève et la fessée qui m'attendrait à mon retour, aussi murmurais-je que je préférais que nous réglions mon attitude entre "grandes personnes", m'attendant sans aucun doute à une belle paire de gifles. Cette sage décision fit sourire la jeune femme qui m'annonça : « Tu n’en as peut-être plus l’âge, mais tu vas recevoir une bonne fessée qui va te faire passer l’envie de regarder sous mes jupes ! Approche rapidement sans perdre de temps »
Une fois à la portée de ses mains, tout en me tenant par les hanches, la jeune femme se mit à déboutonner mon pantalon qu’elle baissa aussitôt à mi-cuisses, puis mon slip avant de me faire basculer à plat ventre, en travers de ses cuisses,  me retrouvant, tout comme avec Geneviève, ventre nu plaqué contre le nylon de ses bas,  mains à plat sur le parquet. Je dois reconnaître que fesses nues sous son regard, je sentis à la fois un "mélange" de gêne et de honte, mais aussi d'excitation de sentir à la fois mon ventre nu, mais aussi mon "intimité" contre le nylon rêche de ses bas nylon gainant ses cuisses chaudes. Madame B... me ramena brusquement à la réalité en saisissant l’élastique de mon slip. En un clin d’œil,  elle m’avait complètement déculotté, short et slip baissés jusqu’aux chevilles, mettant mes fesses nues malgré mes protestations. Dès lors, je n’eus aucun doute sur les intentions de la jeune femme.  Malgré mes 18 ans, j’allais recevoir une fessée tout comme Geneviève en avait l'habitude lors de mauvais résultats scolaires, me confirmant ainsi que les fessées de Geneviève n'étaient  pas uniques !!!
Elle posa un court instant sa main droite fraîche sur ma fesse droite, comme pour en mesurer la surface ; par réflexe, je serrais mes fesses ... sa main se détacha de ma fesse et elle commença alors à me fesser sur un rythme si soutenu,  si ferme et intense, que je sentais mes fesses tressauter sous la paume de sa main claquant une fesse après l’autre, sans la moindre pause. Un déluge de claques enflamma rapidement mes fesses je serrais dents et fesses pour mieux résister à la cuisson et ne rien laisser paraître de la douleur et brûlure ressenties. Après une première rapide série de claques, Madame B... s’arrêta. Pensant qu’elle avait assouvi sa vengeance, je voulus me masser les fesses les deux mains, mais elle m’en empêcha, saisissant mes deux poignets, qu'elle rabattit et maintint au creux de mes reins tout en continuant à me sermonner :
« Dis donc jeune homme, je n’ai pas encore terminé ! Maintenant que je t’ai bien échauffé et testé tes fesses, que je sais comment elles se comportent, je vais vraiment te fesser comme tu le mérites vu ta conduite et crois-moi, tu ne vas pas l’oublier cette fessée ! »
Les claques  se mirent à retomber rapidement et à grands bruits, tantôt d’une fesse à l’autre, tantôt plusieurs fois sur la même avant de repasser sur sa  jumelle, fesses de plus en plus douloureuses et d'une cuisson insupportable me faisant  pousser des cris en permanence. Parfois elle  s’arrêtait comme pour contempler son ouvrage, me laissant espérer la fin de cette fessée correction, mais  elle recommençait ensuite à me fesser transformant mes fesses en un véritable brasier. J’avais beau remuer des jambes, tenter de décoller mon ventre de ses cuisses, je ne pouvais plus  contrôler les contractions de mes fesses sous l’impact de chaque nouvelle claque. Des larmes embuaient mes yeux, avant qu’entre mes « aïe » ou« ouille » et « pardon  Madame et autres suppliques, je me mis à sangloter tant je me sentais humilié à mon âge de recevoir une telle fessée, ce qui ne mettait pas arrivé depuis fort longtemps de la main de Geneviève ... tout comme elle, Madame B... se révélait être une fesseuse hors pair !  Mes fesses embrasées étaient en train  d’en témoigner !
Au bout de longues minutes (7 à 10 mn je dirais et ce fut très long, aussi long qu’avec Geneviève) et nombreuses douzaines de paires de claques , Madame B ... décida de mettre fin à la fessée, laissant reposer sa main aussi bouillante qu’elles sur l’une de mes fesses. Affalé sur ses cuisses je continuais à sangloter laissant couler des larmes de douleur et de honte. Puis elle me fit relever et, prostré à genoux contre ses cuisses, je pus enfin frictionner à deux mains mes fesses endolories. Saisissant mon menton, elle m’obligea à la regarder  et m’ordonna : « File au coin, mains sur la tête ! Et ne remonte  ni short, ni slip !!! »

Je restais ainsi de longues minutes au coin, pleurnichant et penaud. Le téléphone sonna même et je l'entendis discuter longuement avec Geneviève, justifiant mon retard par le fait qu'elle me donnait des explications supplémentaires, à ma demande, sur un sujet littéraire que je n'avais pas compris et que j'allais bientôt rentrer. La conversation téléphonique terminée et le combiné raccroché, elle m'annonça : «  Maintenant, tu peux te reculotter, mais que je ne t’y reprenne plus car la prochaine fois, ce sera pire ! » Je m’empressai de me rhabiller et Madame B...m’accompagna jusqu’à la porte, rajoutant même une petite tape sur mes fesses par dessus mon pantalon pour que je sorte plus vite.
Une fois de retour chez Geneviève, soit un petit quart d'heure de marche, le derrière douloureux et en feu, comme je bénéficiais d'un autre quart d'heure avant de passer à table, je me précipitais dans ma chambre où, après avoir rafraîchi mon visage à l’eau froide, je baissais pantalon et slip, me jetais à plat ventre sur mon lit, attendant que la douleur de mes fesses écarlates et brûlantes s’apaise sous la serviette mouillée dont je les avais enveloppées. Bien entendu, chaque fois que Geneviève me renvoya chez Madame B..., je fis tout pour écarter la tentation de regarder sous ses jupes, la précédant jusqu'à la porte de son appartement !

Alain le retour


Alain a déjà sévi sur ce blog, C'est lui qui est, entre autres, l'auteur de la série "les entretiens privés avec Geneviève". Il revient avec une série qui relate des événements qu'il a réellement vécu.

Nous avons déjà fait connaissance avec Geneviève

Le premier chapitre

N'hésitez pas à commenter

Laissez un commentaire, une appréciation ci-dessous

Vous pouvez le joindre à l'adresse suivante : Juves Fandor

2 commentaires:

  1. Bonjour Mr Alain,

    Ah quelle déveine, pour le héros-malgré-lui.
    Victime de sa curiosité trop osée. Ou piège malicieux de ces Dames ? L'ultimatum est astucieux. Le choix est plus que restreint : le ravin ou le précipice ? De Charybde en Scylla . Hum.... A méditer.
    Excellent récit. On en transpire presque pour lui. Buona fortuna !
    Bonne journée. Peter'

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour,
    Excellent récit très bien écrit, qui associe deux fantasmes, celui de la fessée déculottée et celui des bas nylon. La fessée sur des cuisses gainées de bas nylon à plat ventre sur les jarretelles de la Dame. Double sensation. Entre la féminité de la lingerie et la sévérité de la fessée, que l'on retrouve dans "Ces Dames aux mains fermes" sur les cuisses de Gladys et Patricia.
    Tout un programme! Très plaisant.
    Ramina

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.