mardi 19 juin 2018

Ce qu'il en coûte de ne pas s'appliquer ... une fessée

Au milieu des années 2000, j’ai fait la connaissance d’une complice pour jeux de fessées : Sandrine, la quarantaine, professeur de langues dans un lycée rennais, grande amatrice et je devais le découvrir plus tard, grande consommatrice de fessées ; après une longue correspondance via Internet, nous avons convenu, une rencontre pour mieux faire connaissance et discuter, avant de nous retrouver une soirée pour nous adonner à notre passion commune.
Le jour et l’heure convenus, lorsque j’ai sonné à la porte de son appartement, elle m’a ouvert la porte, vêtue d’un tailleur noir, les jambes gainées de lycra gris et chaussée d’escarpins, j’ai compris qu’elle avait mis tous les avantages de son côté pour me séduire ; si jusqu’à présent j’avais fessé des derrières féminins dont la taille flirtait avec les 40, 42 et en la regardant bien, je craignais qu’un petit derrière comme le sien (taille 36-38) puisse mal amortir une bonne fessée … je me trompais … Autour d’un rafraîchissement, avons convenu des règles du jeu avant de commencer : pas d’attouchements sexuels, définition d’un mot code pour cesser, … une fois tout ceci fixé et acté, Sandrine n’étant pas réticente à recevoir de suite une bonne fessée, m’a demandé de la suivre dans sa chambre, lieu tranquille qu’elle avait choisi et préparé pour sa discrétion, m’a fait asseoir sur le bord du lit et s’est allongée en travers de mes cuisses, la poitrine reposant sur le lit et les jambes pendant ans le vide ... J’ai retroussé la jupe cintrée du tailleur pour la lui rabattre sur la taille et découvrir qu’elle portait non pas un collant, mais des bas avec jarretières et une ravissante mini-culotte transparente que je fis glisser jusqu’aux plis des genoux, déculottant un ravissant petit derrière, hâlé, légèrement potelé … La maintenant fermement par la taille de mon bras gauche,  levant la main droite, je la vis croiser pudiquement les chevilles, faisant crisser ses bas lycra et sans lui demander si elle était prête, voyant ses fesses se contracter, je commençais à la fesser, d’une fesse à l’autre, ma main rebondissant allègrement sur la paire de globes fermes et musclés.

De temps à autre, je m’arrêtais pour vérifier de l’efficacité de la fessée et aussi pour entendre si Sandrine avait quelque chose à me dire ... M'arrêtant une nouvelle fois, elle me fit cette réflexion :
 « Si tu penses m’impressionner avec une toute petite fessée de rien du tout …»
Ebahi, je m’arrêtais et relâchais mon bras enserrant sa taille et Sandrine en profita pour se relever rapidement. Une fois redressée, elle enjamba sa minuscule culotte qui lui entravait les jambes et chevilles, s’en débarrassa, rebaissa sa jupe sur ses hanches, me prit la main pour me faire lever et s’assit à ma place. Assise sur le bord du lit, elle remonta sa jupe jà mi-cuisses usqu’à la lisière de ses bas, me fit signe de m’approcher , déboutonna mon pantalon, en abaissa le zip, fit glisser jean et slip jusqu’à mes genoux tout en regardant mon sexe érigé car il faudrait être de bois pour ne pas réagir lorsque l’on donne une fessée à une ravissante femme au fessier parfait et me fit ce commentaire :
 « On dirait que cela t’excite de donner la fessée aux grandes filles … mais il va falloir que je t’apprenne comment fesser une dame ! !!! »
Elle m'attira vers elle pour m’installer d’autorité sur ses cuisses, où je me retrouvais dans la même position qu’elle quelques minutes auparavant, buste sur le couvre lit, ventre dénudé contre ses bas, tandis Sandrine me maintenait non pas à la taille, mais  la main gauche de la sienne, plaquée sur ma taille, tête en bas, les fesses à l’air qu’elle entreprit immédiatement de fesser avec des claques énergiques et fermes, attaquant mes fesses tantôt par le haut, tantôt par le bas, tantôt de biais, par rafales de quatre à cinq claques par fesse, avant de s’occuper de la fesse voisine, s’arrêtant de temps à autre comme pour contempler son ouvrage … le commentant, comme une mère fessant son fils, une tante son neveux, une professeur un collégien … Surpris par cette fessée, je tentais de lui manifester à la fois mon refus, mais aussi ma douleur car elle savait bien claquer un derrière, mais rien n’y faisait, elle reprenait la fessée … au bout de longues minutes et de plusieurs dizaines de claques, je me surpris à la supplier d’arrêter, ne sentant plus mon derrière ou plutôt le sentant trop, ce derrière me chauffant, me brûlant, battant des jambes empêtrées dans mon pantalon baissé comme un gamin, , mais rien n’y faisait …

Enfin elle s’arrêta, massa mes fesses douloureuses, puis m’invita à me relever, à remettre de l’ordre dans ma tenue, ce que je fis en grimaçant, car le contact de mon slip et de mon pantalon sur mes fesses me brûlait … Se relevant, avec un sourire malicieux, elle m'ordonna :
 "A mon tour et applique-toi ou je recommence !!!"

Alain le retour


Alain a déjà sévi sur ce blog, C'est lui qui est, entre autres, l'auteur de la série "les entretiens privés avec Geneviève. Le premier chapitre

Ce qu'il en coûte de...


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3 commentaires:

  1. Bonjour,
    Bel exemple d'autorité et d'exigence féminine. Les textes d'Alain sont bien écrits avec des descriptions précises sans expressions inutiles. Mots choisis, suggestifs. L'apparition des détails de lingerie, bas nylons , jarretelles, pimentent les récits de fessées en alimentant un autre fantasme complémentaire.
    Bien agréable à lire.
    Cordialement
    Ramina.

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  2. On rêverait que cette histoire soit vraie...

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    1. vous en doutez ??? je peux vous faire rencontrer l'héroïne à l'occasion !!!

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