J'ai déjeuné avec ta mère mardi dernier. Je la trouve charmante. Nous avons beaucoup de points en commun. Tu as de la chance d'avoir une Maman aussi attentionnée, aussi préoccupée de ce que tu vas devenir.
Nous avons longuement échangé. Je crois qu'elle voulait savoir qui j'étais vraiment avant d'autoriser à ce que notre relation aille plus loin. J'ai eu le droit à un véritable interrogatoire, dans un premier temps. Je crois que je lui ai beaucoup plu. Elle m'a dit qu'elle t'autoriserai à sortir avec moi et elle m'a prodigué plein de bons conseils te concernant.
Elle m'a d'abord expliqué comment elle te punissait quand tu étais insolent ou que tu faisais un caprice. J'ai trouvé l'idée excellente. Elle m'a chaudement recommandé de ne pas passer à côté de la première fois où tu te permettrais un écart. Elle m'a dit qu'elle me passait le témoin en quelque sorte.
"Si vous le laissez faire, m'a-t-elle dit, il va devenir incontrôlable ! Quand j'ai arrêté de le corriger, physiquement s'entend, alors qu'il avait à peine quatorze ans, il m'a mené une vie d'enfer. A croire qu'il souhaitait que je recoure de nouveau à la fessée déculottée. Je n'ai pas tardé à m'y remettre. Depuis je n'ai pas arrêté, bien qu'il ait revendiqué que je cesse ce genre de punition quand il a eu ses dix-huit ans. Je n'ai pas cédé. Vous verrez qu'à vingt-trois ans, il en a encore besoin. Je me demande s'il sera suffisamment grand un jour pour pouvoir s'en passer."
Je suis tout à fait d'accord avec elle. Ce jour n'est pas encore arrivé. J'attendais ton premier caprice pour te donner ta première fessée déculottée de ma part. Voilà ! C'est arrivé !
"Si vous le laissez faire, m'a-t-elle dit, il va devenir incontrôlable ! Quand j'ai arrêté de le corriger, physiquement s'entend, alors qu'il avait à peine quatorze ans, il m'a mené une vie d'enfer. A croire qu'il souhaitait que je recoure de nouveau à la fessée déculottée. Je n'ai pas tardé à m'y remettre. Depuis je n'ai pas arrêté, bien qu'il ait revendiqué que je cesse ce genre de punition quand il a eu ses dix-huit ans. Je n'ai pas cédé. Vous verrez qu'à vingt-trois ans, il en a encore besoin. Je me demande s'il sera suffisamment grand un jour pour pouvoir s'en passer."
Je suis tout à fait d'accord avec elle. Ce jour n'est pas encore arrivé. J'attendais ton premier caprice pour te donner ta première fessée déculottée de ma part. Voilà ! C'est arrivé !
Je t'avais pourtant prévenu qu'avec moi tes attitudes enfantines ne dureraient pas : taper du pied par-terre à la moindre contrariété, bouder quand on n'a pas cédé à un de tes caprices, faire une colère quand le monde ne se plie pas à tes désirs. Tout cela va changer. Et pour que cela change plus vite tu feras autant de tours à plat-ventre sur mes genoux que nécessaire. Si cela doit durer, tant pis. Après tout ce sont tes fesses que tu mets en jeu. Moi je ne me lasserai pas, pas avant toi !
Tu feras plus ample connaissance avec ma brosse aussi souvent que tu en auras besoin. Je ne tolérerai plus de tentatives de désobéissance comme ce soir quand je t'ai annoncé la fessée. Si je n'attends pas que tu facilites ton déculottage, j'exige, par contre que tu me laisses faire. Si je te punis, c'est parce que tu en as besoin quand tu n'as pas su te comporter en adulte.
Quand une grande personne a estimé que fesser un enfant, va lui faire le plus grand bien, elle ne lui demande pas son avis, c'est ce qui t'arrivera désormais. C'est moi qui en déciderai et tu n'auras pas voix au chapitre.
Je comprends que tu n'en aies pas envie, mais là n'est pas la question. Si, la prochaine fois que je décide de te fesser, tu essaye encore de m'en empêcher, j'en informe ta mère. Tu seras puni pendant tout un mois, m'a-t-elle promis : fessée chaque jour et interdiction de sortie. La seule personne que tu verras, ce sera moi. Je viendrai pour te donner la fessée au moins une fois par semaine.
Quelle idée as-tu eu de me faire une colère quand je t'ai annoncé que Laure, ma meilleure amie passerait la soirée avec nous. Comme si c'était toi qui décidais ! Ce n'est pas parce que je vais vivre une histoire d'amour avec toi que je vais la laisser tomber. Il faudra que tu apprennes à me partager.
Je vais mettre les choses au point dès ce soir quant aux relations que tu auras avec elle. Elle ne va pas tarder. Quand elle arrivera, elle te trouvera au coin, le pantalon et la culotte sur les chevilles.
Je tiens à ce qu'elle sache de quelle façon je te punis. cela arrivera plus d'une fois en sa présence et je lui donnerai l'autorisation de te déculotter et de te fesser quand elle pensera que c'est nécessaire. Nous avons toujours tout partagé. Il n'y a pas de raison que le droit de te punir fasse exception.
Je crois que, comme moi, elle saura te faire regretter tes écarts de conduite.
Tu vas voir, quand tu auras compris qu(il est préférable de m'obéir, nous allons passer des années merveilleuses ensemble et ce ne sont pas les fessées déculottées que je te donnerai, moi et quelques autres personnes qui viendront les assombrir.
Tu feras plus ample connaissance avec ma brosse aussi souvent que tu en auras besoin. Je ne tolérerai plus de tentatives de désobéissance comme ce soir quand je t'ai annoncé la fessée. Si je n'attends pas que tu facilites ton déculottage, j'exige, par contre que tu me laisses faire. Si je te punis, c'est parce que tu en as besoin quand tu n'as pas su te comporter en adulte.
Quand une grande personne a estimé que fesser un enfant, va lui faire le plus grand bien, elle ne lui demande pas son avis, c'est ce qui t'arrivera désormais. C'est moi qui en déciderai et tu n'auras pas voix au chapitre.
Je comprends que tu n'en aies pas envie, mais là n'est pas la question. Si, la prochaine fois que je décide de te fesser, tu essaye encore de m'en empêcher, j'en informe ta mère. Tu seras puni pendant tout un mois, m'a-t-elle promis : fessée chaque jour et interdiction de sortie. La seule personne que tu verras, ce sera moi. Je viendrai pour te donner la fessée au moins une fois par semaine.
Quelle idée as-tu eu de me faire une colère quand je t'ai annoncé que Laure, ma meilleure amie passerait la soirée avec nous. Comme si c'était toi qui décidais ! Ce n'est pas parce que je vais vivre une histoire d'amour avec toi que je vais la laisser tomber. Il faudra que tu apprennes à me partager.
Je vais mettre les choses au point dès ce soir quant aux relations que tu auras avec elle. Elle ne va pas tarder. Quand elle arrivera, elle te trouvera au coin, le pantalon et la culotte sur les chevilles.
Je tiens à ce qu'elle sache de quelle façon je te punis. cela arrivera plus d'une fois en sa présence et je lui donnerai l'autorisation de te déculotter et de te fesser quand elle pensera que c'est nécessaire. Nous avons toujours tout partagé. Il n'y a pas de raison que le droit de te punir fasse exception.
Je crois que, comme moi, elle saura te faire regretter tes écarts de conduite.
Tu vas voir, quand tu auras compris qu(il est préférable de m'obéir, nous allons passer des années merveilleuses ensemble et ce ne sont pas les fessées déculottées que je te donnerai, moi et quelques autres personnes qui viendront les assombrir.
Il n'y a pas qu'à lui que les fessées de sa compagne font le plus grand bien
Merci au dessinateur anonyme pour le dessin que je lui ai emprunté
A moins que Peter Pan ou un autre érudit des dessins de fessées connaisse son nom ?
Bonjour JLG,
RépondreSupprimerAh ah ah ! La fessée de la fiancée !!!
Entre nous, quelle honte ! Se faire corriger comme un garnement ! Comment s'affirmer en homme adulte, après çà !! Ah les filles... Un grand poupon mal-élevé. Rires.
Quand au nom de l'auteur, je dirais "Lawrence" mais sans en être sûr. Cependant, ces personnages ne me semblent pas inconnus.
bonne journée. Peter'.
Peter Pan,
SupprimerEtre reconnu comme une adulte, homme ou femme, n'est pas seulement une conséquence directe de son âge. C'est aussi une question de comportement. Avouez, aux dires de la jeune fille, que cette fessée est tout à fait méritée et nécessaire !
Au plaisir de vous lire,
JLG.