Je ne sais pas ce que vous croyez, vous autres les jeunes gens. A peine avez-vous passé vos dix-huit ans, vous pensez que tout vous est permis ! Tout ce que vos parents vous ont appris, est oublié instantanément.
Je te connais depuis que tu es tout petit. Je t'ai vu, si j'ose dire, dans le ventre de ta mère et depuis à chaque fois que tu es venu chez le docteur. C'est l'avantage d'être secrétaire médicale depuis si longtemps, je te connais bien. Tu as toujours, enfin presque, été un amour de petit garçon, sauf depuis ces deux dernières années.
Je sais parfaitement comment il faut s'y prendre avec toi. Te rappelles-tu ce jour où, venant avec ta Maman au cabinet, tu avais été si insupportable qu'elle t'avait fessé, la culotte baissées devant tous le monde ? Je ne sais pas si tu te souviens, mais elle m'avait alors autorisé en en faire autant dès que ce serait nécessaire. Tu avais environ dix ans, le temps a passé depuis, mais je n'ai pas oublié.
Tu as grandi, mais te comportes maintenant comme un petit garçon mal élevé, toi qui étais si poli ! Quand je vais en parler avec ta mère, je doute que cela lui fasse plaisir. Si ce qu'elle m'a dit le mois dernier est vrai, je pense que tu va passer cette soirée au coin, les fesses brûlantes. Est-ce vrai qu'elle utilise toujours le martinet ?
Quand je t'ai fait venir à mon bureau pour te menacer de te donner la fessée parce que tu dérangeais toutes les personnes qui attendaient avec toi, cela t'a fait ricaner. Ne m'en croyais-tu pas capable ?
Tu as insisté jusqu'à ce que je tienne ma promesse. Voilà qui est fait. Dommage qu'il y ait si peu de monde dans la salle d'attente. J'en connais plus d'une qui aurait été très satisfaite de te voir dans cette position.
Ta piètre tentative pour m'empêcher de te déculotter a été risible. Comme si c'était la première fois que je baissais la culotte à un grand garçon. Quand l'un d'entre eux, et c'est pareil pour les filles, fait des difficultés pour se déshabiller quand la doctoresse le lui demande, elle m'appelle. Avec moi, pas d'hésitation !
Ce sont des choses qui s'apprennent. Quand on sait faire, pas de problème ! J'ai toujours réussi à déculotter les patients récalcitrants, à les déshabiller quand c'était nécessaire, quel que soit leur âge. En général, je commence alors par une fessée déculottée. Ensuite, ils sont beaucoup plus obéissants.
Tu ne peux pas savoir le nombre de grands garçons et de grandes filles qui se sont retrouvés à plat-ventre en travers de mes genoux, les fesses rouges, pendant que je prenais leur température. Généralement ils ont compris. Ils me laissent faire.
Revenons à ce qui t'attend. Ton téléphone est confisqué. Je le rendrai à ta mère. Tu apprendras à l'utiliser avec plus de discernement. Tu aurais dû m'écouter quand je t'ai dit de le mettre en silencieux et de ne pas tenir tes conversations à voix haute sans tenir compte de la présence des autres. C'était gênant pour tout le monde, surtout quand ton langage est devenu vulgaire.
C'est ce qui m'a décidé. Je ne tolère pas de gros-mots dans ma salle d'attente. Tu n'es pas le premier à l'apprendre, couché en travers de mes genoux. Tu as ignoré mon premier avertissement, il te reste à en subir les conséquences.
Quand j'estimerai que ma main t'auras appris ta leçon sur mes genoux, tu iras au coin. Inutile de préciser que ce sera la culotte baissée. Je vais informer la doctoresse que tu passeras en dernier ce soir. tu auras donc une bonne heure et demi pour réfléchir au comportement adéquat que doit adopter un grand garçon de vingt ans.
Ce sera dans cette salle d'attente. Tous les patients pourront voir que tu as été puni. cela servira de leçon à toi et à plusieurs d'entre eux. Ils sauront ce qui les attend s'ils ne sont pas sages. Fais bien attention, j'ai une règle plate en bois sur mon bureau. Tes fesses pourraient faire sa connaissance sous peu si je ne suis pas satisfaite de la façon dont tu te tiens au coin.
Ce sont des choses qui s'apprennent. Quand on sait faire, pas de problème ! J'ai toujours réussi à déculotter les patients récalcitrants, à les déshabiller quand c'était nécessaire, quel que soit leur âge. En général, je commence alors par une fessée déculottée. Ensuite, ils sont beaucoup plus obéissants.
Tu ne peux pas savoir le nombre de grands garçons et de grandes filles qui se sont retrouvés à plat-ventre en travers de mes genoux, les fesses rouges, pendant que je prenais leur température. Généralement ils ont compris. Ils me laissent faire.
Revenons à ce qui t'attend. Ton téléphone est confisqué. Je le rendrai à ta mère. Tu apprendras à l'utiliser avec plus de discernement. Tu aurais dû m'écouter quand je t'ai dit de le mettre en silencieux et de ne pas tenir tes conversations à voix haute sans tenir compte de la présence des autres. C'était gênant pour tout le monde, surtout quand ton langage est devenu vulgaire.
C'est ce qui m'a décidé. Je ne tolère pas de gros-mots dans ma salle d'attente. Tu n'es pas le premier à l'apprendre, couché en travers de mes genoux. Tu as ignoré mon premier avertissement, il te reste à en subir les conséquences.
Quand j'estimerai que ma main t'auras appris ta leçon sur mes genoux, tu iras au coin. Inutile de préciser que ce sera la culotte baissée. Je vais informer la doctoresse que tu passeras en dernier ce soir. tu auras donc une bonne heure et demi pour réfléchir au comportement adéquat que doit adopter un grand garçon de vingt ans.
Ce sera dans cette salle d'attente. Tous les patients pourront voir que tu as été puni. cela servira de leçon à toi et à plusieurs d'entre eux. Ils sauront ce qui les attend s'ils ne sont pas sages. Fais bien attention, j'ai une règle plate en bois sur mon bureau. Tes fesses pourraient faire sa connaissance sous peu si je ne suis pas satisfaite de la façon dont tu te tiens au coin.
Plaisantes et variées , ces petites séquences écrites autour de la fessée avec des lieux et des personnages à chaque fois différents.. Avertissement, menace, mise en condition du futur puni, sermonné avant de se faire déculotter. La fessée proprement dite n'est jamais décrite... le lecteur l'imagine.
RépondreSupprimerRamina.
Merci Ramina,
SupprimerC'est le dessin qui est censé décrire la fessée. Le texte se centre sur le contexte.
Je ne sais pas jusqu'à quand j'arriverai à varier les situations. Nous verrons !
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonsoir JLG,
SupprimerJe vous comprend tout à fait.
C'est difficile de tenir la distance. Même moi, qui est une certaine réserve de dessins du dimanche, j'hésite entre plusieurs pour vous fixer mon choix. L'abondance immobilise parfois.
Chacun de mes dessins est encré et ne manque que en dernière touche que les couleurs et le texte réécrit à l'écran. Certains d'entre eux remontent à près de quinze ans. D'où ma difficulté aussi à modifier le dessin en entier. ce serait un peu comme au jeu de dominos: une pièce déplacée et crac ! tout est à refaire.
Mais faut essayer de garder le cap !
Peter'.
Bonjour à vous...
RépondreSupprimerVoilà une auxiliaire médicale très efficace ! Toujours prête à épauler sa patronne. Une thérapie très au point.
J'imagine la plaque professionnelle sur la façade du cabinet :
"Madame/ Mademoiselle Fessard Edwige.
Psychiâtre- Spécialiste en comportements juvéniles
Séance individuelle ou groupée.
Horaires:
lundi au vendredi - 8h 30 / 12h 00 - 14h 30 / 19h 00.
Le Samedi sur RDV. "
Ah, Barbara O'Toole, Magnifique, ces dessins. Ca ressemble un peu à la technique de "l'après-photo". Excellent. J'apprécie.
Peter'.
Peter Pan,
SupprimerA un détail près : le jour où, pour un examen chez un psychiatre, on vous demandera de vous déshabiller ou de baisser votre culotte, même pour prendre votre température, méfiez-vous. Il y a un piège !
Merci pour le compliment. Je me joins à vous sur votre appréciation sur les dessins de Barbara O'Toole. Dommage qu'ils ne soient pas tous compatibles avec la ligne éditoriale du blog.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonsoir JLG,
RépondreSupprimerBarbara O'Toole fait partie de ces rares femmes dessinatrices , comme Paula Meadows, qui ont axé leurs œuvres autour du monde de la fessée.
J'apprécie ce réalisme des personnages. Chaque saynète est un tableau à lui tout seul.
Voilà qui serait intéressant à connaître: à thème égal, la mise en image par un côté masculin et féminin. Psychologie côté féminin et action côté masculin ? Ou bien un mélange des deux pour chacun et chacune ?
Les paris sont ouverts...
Bonne soirée. Peter'
Peter Pan,
SupprimerJe serais preneur d'une explicitation de votre dernier paragraphe. Je ne comprends pas bien ce que vous voulez dire.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Re-bonsoir JLG,
SupprimerL'explication en est simple :
Dans une fessée administrée, selon que la personne qui punit est une femme ou un homme, l'impact de cette action sera t-elle assortie de plus de dialogue et de persuasion dans le premier cas et plus de douleur dans le second ?
Peter'.
Bonjour JLG et Peter Pan,
RépondreSupprimerEt voilà que je m'immisce dans votre dialogue qui n'a rien à voir avec celui des Carmélites! ( référence au roman austère de George Bernanos.) Nous voici Pieds Nickelés, Mousquetaires ou Triologues (je viens d'inventer le mot! )de la fessée! Au choix.
Votre analyse, Peter, laisserait entendre qu'une fessée administrée par une femme, le serait accompagnée de commentaires verbeux alors qu'un homme se concentrerait par nature sur la douleur physique à infliger.
Je ne comprends pas bien cette curieuse distinction qui ramènerait la femme à son statut de sexe, soit disant faible, enclin au bavardage inutile, alors que nous passons notre temps à fantasmer sur des femmes fortes, et autoritaires aux fessées ravageuses!
A propos de Barbara O'Toole, je n'aime pas trop cette vision clinique et médicale de la fessée souvent représentée dans un contexte de lavement, prise de température rectale ou couche culotte qui à mon sens dénature quelque peu, le charme cuisant de la bonne fessée déculottée, simple, sévère, et si efficace... Mince alors, serais je puriste de la claque aux fesses ?
Mais bon, à chacun ses petites et pittoresques lubies fantasmatiques.
Cordialement
Ramina
Bonjour,
SupprimerNe croyez pas, lecteur du blog, que cette conversation est réservé. Elle est ouvert et s'il est bien connu que les trois mousquetaires étaient quatre, je ne verrai pas d'inconvénient à ce que nous soyons quatre, cinq ou six, ou plus,contributeurs.
Je laisse Peter répondre sur les remarques que lui fait Ramina.
Revenons sur Barbara O'Toole. Effectivement, toute une partie de son oeuvre est hors sujet par rapport à la ligne éditoriale de ce blog. Je ne la publierai pas. Par contre, ce qui est compatible, j'aime!
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonsoir Ramina,
SupprimerEn fait, je pense que les femmes essaient souvent dans les conflits de les dénouer par le dialogue pour persuader la personne en face d'elle.
Voyez :le fait de la réduire à une personne de son sexe ne m'est même pas venu à l'esprit. Les femmes sont aussi fortes que nous, voire même plus dans certains cas.
Les hommes sont moins enclin à la discussion et plus à l'action. Mais tout dépend du caractère de la personne évidemment. Nous sommes tous différents avec notre propre vécu et notre façon d'appréhender les situations.
Je fais un simple constat. Discutable par ailleurs...
Quant à Barbara O'toole, j'apprécie ces tableaux dans les situations de "fessées pures" (rires). Les punitions de type médical ne m'intéressent pas. C'est une punition "par délégation" : le lavement remplace la claque fessière. Nettement moins intéressant.
Mais tous les goûts étant dans la Nature, je respecte.
Bonne fin de soirée. Peter'.
Oui, bien évidemment... C'était une boutade. Le champs de commentaires est ouvert à tous et je souhaite, tout comme vous, que chacun puisse y creuser son sillon pour semer le... euuuh... faire pousser la... C'est bon, je m'égare. On aura compris l'allégorie champêtre. (sourires)
RépondreSupprimerCordialement
Ramina.
Ramina.