Première fessée à l'extérieur

Mais non, ma chérie, je ne vois pas pourquoi ce parc serait un endroit inapproprié. Vois-tu ce banc était placé juste là où il le fallait, comme s'il nous attendait. Plus vite nous réglerons ce différent, plus vite nous pourrons passer à autre chose.

Vois-tu, il me semblait pourtant avoir été très claire. Mais j'ai l'impression que tu as beaucoup de mal à comprendre quand on fait appel au raisonnable et à ta responsabilité d'adulte.

Ce n'est pas parce que tu as deux ans de plus que moi que tu peux te permettre des caprices, pas plus quand nous sommes dans l'appartement que nous partageons que quand nous sommes à l'extérieur.

Je sais que je ne suis pas ta mère. Crois-tu que cela va m'empêcher de te fesser quand tu en as besoin ? J'ai pris cette résolution il y a un peu plus d'un mois et je dois avouer que les nombreuses fessées que je t'ai données depuis, ont grandement amélioré la situation.

Je t'avais promis que tu aurais la fessée là où tu la mériterais. C'est donc toi qui a choisi cet endroit.

Encore as-tu de la chance que nBien que nous ne soyons qu'au tout début du printemps et que nous soyons encore tôt dans la matinée. A un autre moment, nous aurions eu une foule de spectateurs. Ce sera sans doute pour la prochaine fois.
Je sais que tu n'aimes pas recevoir la fessée. Je le comprends et je n'aimerais pas être à ta place, mais cela te fais savoir quand tu as été insupportable et ça me soulage de punir toutes tes turpitudes. J'ai l'impression, après t'avoir corrigée, d'avoir fait ce qu'il fallait. Je sens que j'ai accompli mon devoir. J'imagine que d'être fessée là où tu peux être vue par n'importe quel passant, dans ce square, n'arrange pas les choses. A toi de savoir éviter les prochaines !

Quand tu te comportes comme une petite fille capricieuse, je te traite comme tu l'as méritée. Une bonne fessée te fais alors beaucoup de bien. Je t'ai avertie deux fois : qu'il y ait des témoins, ce n'est pas ce qui m'empêchera de te punir.

Cela fait, en effet, deux fois cette semaine que tu me fais une colère en public. Hier encore, quand nous faisions la queue au supermarché. Il  avait une autre petite fille qui en faisait une à la caisse à côté. Pour avoir des bonbons. Sa mère l'a grondé et une claque sur les fesses, assortie d'une promesse de fessée, l'a calmée.

Toi, c'était parce que je n'ai pas voulu t'acheter ton dessert préféré. Je t'ai déjà dit que tu manges beaucoup trop de sucreries et que je j'allais surveiller cela. Mais tu as continué tes récriminations, exactement comme l'avait fait la petite fille d'à côté. J'ai dû te prendre par la main pour t'emmener de force. Tout le monde te regardait. J'ai bien vu, dans le regard de plusieurs d'entre eux, qu'il m'auraient approuvée si je t'avais corrigée sur place. J'avais honte pour toi.

Tu ne peux pas savoir comme j'ai eu envie de te déculotter et de te fesser sur place. J'aurai dû le faire ! 

Il semble que la fessée que je t'ai donnée en rentrant n'ait pas suffit. Je t'avais promis que la prochaine fois, je ne tolérerais pas que tu fasses un caprice et que ce serait la fessée sur place.
Tu as voulu aller au bout, tu vois ce que cela donne ! J'espère que tu as compris que ce sera la traitement que je te réserverai désormais, quel que soit le lieu où nous nous trouverons.

De plus, je n'ai pas apprécié que tu te permettes de résister à ton déculottage. Je t'ai dis, il y a plus d'un mois maintenant, que je ne t'autorisais pas à t'opposer à moi quand j'avais décidé de te punir. Je croyais que tu avais compris cela depuis les premières fessées que je t'ai données. J'avais dû insister, mais tu avais cédé.
Que nous soyons en extérieur n'y change rien. Quand je te baisse la culotte, c'est que j'ai une bonne raison. Je n'accepterai pas que tu en discutes la légitimité et encore que tu essayes de m'en empêcher.

Te permettre, en plus, de te débattre au point qu'il ait fallu que je t'immobilise les jambes dépasse toutes les bornes. Tu vois bien que c'est inutile, la fessée suit son cours, comme habituellement, quoi que tu fasses.

Heureusement que j'avais ma brosse à cheveux, celle que j'utilise maintenant pour te fesser quand tu as été particulièrement désobéissante. Je la transporte toujours dans mon sac. Elle est très utile quand ma main ne suffit pas pour que tu comprennes ta leçon.

Tu as de la chance que nous n'ayons pas le temps. Autrement, je t'aurais mis en pénitence au pied de cet arbre. Tu ne perds rien pour attendre. Dès notre retour à la maison ...

Elle n'est pas la seule à avoir été fessée à l'extérieur

                  Promenade au parc                                                               Une conduite à revoir

                                                    

Merci à Patty pour le dessin que je lui ai emprunté

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