jeudi 10 mai 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 31


"Vous croyez, dit ma directrice, qu'il serait … je ne sais pas comment dire … convenable que je le fesse ?
– J'en suis certaine. Ce ne serait pas juste que vous ne le punissiez pas.
– Comment cela "juste" ?
– Je vous explique. Si Daniel ne s'améliore pas d'ici la fin de la période d'essai, allez-vous le garder ?
– En effet, ce n'est pas certain.
– Vous trouveriez normal de le renvoyer alors que vous ne lui avez pas donné toutes ses chances ?
– Non, c'est vrai. Si je me rends compte que je n'ai pas fait tout ce qu'il fallait, je m'en voudrai.
– Le meilleur moyen de l'aider, c'est de le punir sévèrement à chaque fois qu'il rend un travail bâclé, qu'il ne se comporte pas comme un employé modèle. Je vous assure qu'il n'y a que la fessée déculottée qui peut lui permettre de s'améliorer notablement.

– Ah oui, c'est une idée.
– Vous n'aurez peut-être pas un employé parfait dans un mois, mais je peux vous promettre qu'il sera beaucoup plus attentif et concentré sur son travail.
– Oui, oui, je vois ce que vous voulez dire.
– Bon, commençons tout de suite !
– Euh, vous croyez, maintenant ? Mais, va-t-il me laisser faire ?
– Si je le décide, il n'aura pas le choix. Il sait ce que lui coûterait de résister à l'administration d'une fessée. Soyez ferme, il va vite comprendre qu'il est préférable pour lui de vous obéir."
Voilà, c'était fait. Madame Raveneau s'était rendu aux arguments de ma logeuse.

"Ordonnez-lui de venir vous voir, puis installez-le de façon à ce que vous soyez à l'aise, puis fessez-le jusqu'à ce que vous sentiez qu'il a appris sa leçon. Je vais vous guider si nécessaire."
Madame Raveneau s'éclaircit la gorge, puis :
"Daniel, viens ici !"
Je n'avais pas d'autre choix que de me rendre à une telle convocation, surtout qu'elle était parrainée par Madame Tolbois.
Je me retournais et je luttais contre l'envie de couvrir mon sexe qui était bien visible par Madame Raveneau, puisque je me dirigeais vers elle. Je marchais à petits pas, jetant un regard suppliant à Madame Tolbois, espérant qu'elle reviendrait sur sa décision. Cet espoir fut vain.
"Faut-il que je t'aide à aller un peu plus vite avec quelques claques bien senties sur tes fesses ?" me demanda Madame Tolbois.
J'accélérais pour faire les quatre ou cinq pas qui me séparaient encore de ma directrice. J'y arrivais bien trop tôt.
"Approche !" m'ordonna Madame Raveneau.
Elle était passée au tutoiement. C'était beaucoup plus adapté à la situation. Il aurait paru bizarre à tout le monde de donner du "vous" à une personne déculottée sur le point de recevoir une fessée. Encore un pas et je touchais presque son fauteuil. Elle hésitait, examinant ses genoux qui dépassaient à peine de l'assise de la chaise de bureau.
"Vous avez raison, dit-elle à Madame Tolbois, il faut une chaise sans accoudoirs.
Elle se leva, me prit par le bras et m'entraîna avec elle vers la chaise qui était idéalement disposée pour remplir son office. Elle s'y assit et je dus suivre le mouvement en me couchant en travers de ses genoux.
"Je peux vous le dire maintenant que nous y sommes. Depuis les premiers jours que Daniel travaille ici, j'ai l'impression d'avoir affaire à un adolescent rebelle qui cherche les limites que les adultes doivent lui imposer. Toujours à chercher comment être à la lisière des règles, comment les contourner, en ayant toujours un mépris affiché pour ceux qui restent dans le cadre. Cela demandait une attention de tous les instants pour obtenir un minimum de cet enfant attardé. C'est épuisant !
– Vous devriez plutôt dire "c'était épuisant," s'immisça Madame Tolbois, car cet épisode est derrière vous, maintenant que vous avez un moyen efficace de le punir.
– A l'évidence, les retenues du soir ne suffisaient pas. Il m'est venu à l'idée une ou deux fois que ces comportements d'enfants auraient mérité une punition d'enfant. Je n'aurai jamais franchi le pas si vous n'aviez pas donné le coup de pouce, ce dont je vous remercie."
Sur ces paroles, je reçus la première claque sur mes fesses. Chaque main laisse en quelque sorte sa signature sur les fesses des punis. Chacun a sa façon de claquer les fesses et je sentais bien que ce n'était pas Madame Tolbois, ni Madame Mercier qui ne punissaient. C'était une sensation nouvelle qui rajoutait à la honte d'avoir dû me déplacer nu pour la première fois sous le regard d'une nouvelle personne.
Madame Raveneau était hésitante, elle donnait la fessée avec énergie, mais sans efficacité. Il y avait certes, un claquement sur la peau de mon postérieur qui provoquait une petite sensation de brûlure, mais l'onde de douleur que déclenchait chaque fessée était limitée. Je ne réagissais que mollement à cette punition.
Madame Tolbois ne tarda pas à rectifier la situation.
"Si vous me permettez, Martha, je pense que Daniel ne va profiter que moyennement de votre fessée. Elle va avoir un effet dissuasif limité. J'ai peur qu'il ne les craigne pas assez pour s'obliger à faire les efforts nécessaires pour améliorer son comportement."
Madame Raveneau stoppa la fessée, mais sans me donner l'autorisation de me relever. Sa main posée sur le milieu de mon dos me faisait comprendre, sans aucune hésitation, que la fessée n'était pas terminée.
"Votre main doit épouser la forme de ses fesses. Essayez, vous allez voir comment il va accuser chaque fessée par un cri de douleur. C'est ce qu'il lui faut ! Vous saurez que vous avez atteint votre but quand il finira en larmes. A ce moment-là, je peux vous promettre qu'il n'aura aucune envie de revenir faire un tour sur vos genoux."
Madame Raveneau dut m'administrer encore quelques claques hésitantes avant d'intégrer la technique proposée par Madame Tolbois. Puis, progressivement, sa main commença à claquer sur mes fesses en provoquant un bruit de plus en plus sonore. Je commençais à ressentir l'échauffement gagner mes fesses, puis progressivement se transformer en brûlure qui s'intensifiait.
La prévision de Madame Tolbois se révéla exacte. Etouffés au début, mes cris devinrent vite désespérés. Mêlés à des râles et à des promesses éternelles de comportement irréprochable, elles ressemblaient à celles que je proférais lors des corrections que me donnait Madame Tolbois.

"Vous aviez raison, commenta Madame Raveneau, la différence est criante. J'ai maintenant vraiment le sentiment de le punir sévèrement."
"Essayez avec cela !"
La fessée s'arrêta.
"Tenez, dit Madame Tolbois, servez-vous-en régulièrement."
Concentré sur la formidable fessée que je venais de recevoir, je n'avais pas fait attention à ce qui venait de se passer. Je m'en rendis compte lorsque la fessée recommença. Ce n'était plus la paume de sa main qu'utilisait ma directrice, mais un objet qui claquait mes fesses tout aussi douloureusement.
"N'hésitez pas, recommanda Madame Tolbois, vous n'utilisez pas toute la puissance de la règle ! Soyez plus vigoureuse ! N'oubliez pas que vous le punissez pour l'ensemble de son œuvre depuis plusieurs semaines, cela mérite une correction mémorable."
Madame Raveneau suivit le conseil. Elle appuya ses coups et je perdis rapidement tout lien avec ce qui m'environnait. Je criais aussi fort que je le pouvais, maintenant indifférent à ce que mes collègues pouvaient entendre malgré la porte fermée. Lorsque je me mis à battre des pieds de façon incontrôlée, elle dut me tenir en place sur ces genoux pus fermement afin que je ne glissasse pas à terre à ses pieds.
"Retourne au coin !"
Malgré mon pantalon et ma culotte qui, tombés sur mes chevilles, limitaient ma vitesse de déplacement, je m'empressais de retourner dans l'angle de la pièce où je m'étais déjà tenu avant cette fessée magistrale. Là, je savais, à condition d'y être sage, que le risque d'une fessée s'était un peu éloigné, au moins pour les minutes à venir. C'était bien préférable de m'y tenir en pénitence malgré la honte que cela supposât, plutôt que de laisser mes fesses à portée de la main de Madame Raveneau ou de la règle qu'elle avait posée juste à côté d'elle. A ce moment-là, la possibilité d'être vu par l'une de mes collègues, les fesses nues portant encore les marques de la punition, m'importait peu. Tout était préférable à une nouvelle confrontation avec la règle de Madame Raveneau.
"C'est parfait, approuva Madame Tolbois, je pense qu'il sera désormais attentif à éviter de venir faire un tour à plat ventre sur vos genoux.
– Il y aura pourtant d'autres occasions, répliqua ma directrice. J'entrevois maintenant assez précisément comment obtenir un travail de meilleure qualité de la part de Daniel.
– N'hésitez surtout pas ! En particulier dans ces prochains jours. S'il se rend compte que le moindre relâchement dans la qualité de son travail le conduit immanquablement vers une retentissante fessée, je vous promets des progrès rapides."
Il était étrange d'être le sujet principal de la conversation sans pouvoir me mêler des avis donnés sur les traitements qui me seraient réservés. Les deux femmes parlaient de moi en ma présence, comme si je n'étais pas là, ou plutôt en négligeant ma présence pourtant évidente dans cette appareil dans lequel je ne pouvais passer inaperçu.
"Je tiens à ce que Daniel comprenne que je réprouve son comportement dilettante au travail. Il faut que je lui montre que je suis totalement solidaire de vos décisions. Je vais donc appliquer le principe : une fessée au bureau, une fessée à la maison."
Je ne pus retenir un gloussement d'effroi à cette perspective, ce qui me valut une menace qu'il n'était pas raisonnable de négliger.
"Signale-toi encore une fois d'une quelconque façon pendant que tu es au coin et je vais te montrer comment je m'occupe des garçons qui interrompent les conversations des grandes personnes !"
Je me recroquevillais dans le coin, enfonçant encore plus mon nez dans l'angle, comme si je pouvais y disparaître en m'incorporant dans le mur.
"Une fessée au bureau, une fessée à la maison, voilà un principe qui me semble tout à fait adapté à la situation, acquiesça Madame Raveneau. Toutefois, comme je serai amenée à le fesser assez souvent, je serai obligée de le garder en retenue le soir pour finir le travail qu'il ne pourra faire pendant qu'il recevra la fessée ou qu'il sera mis au coin.
– C'est normal, convint Madame Tolbois. Je saurai maintenant pourquoi il revient à la maison en retard. Ses fesses en subiront les conséquences.
– Je vous propose de mettre en place un carnet de correspondance. J'y consignerai toutes les punitions qu'il recevra ici et il devra me le rapporter signé de votre main le lendemain. Ainsi, aucune des punitions que je lui donnerai ne vous échappera."
Je sentais se rétrécir l'espace autour de moi. La fessée était maintenant de rigueur dans le seul endroit qu'elle n'avait pas encore gagné jusqu'ici. Je me représentais bien quel usage Madame Tolbois ferait de ce carnet de correspondance dans lequel mes négligences professionnelles seraient reportées. Cependant, je me gardais bien d'exprimer le plus petit signe de désaccord.
"Il serait bon, poursuivit Madame Tolbois, que durant quelques temps, vous le fessiez chaque jour en punition des étourderies et désobéissances commises depuis qu'il travaille ici. Je les doublerai d'une punition à la maison. Il faut qu'il comprenne sans équivoque que l'époque de ses légèretés au travail est terminée.
– Nous sommes mardi, sans doute jusqu'à la fin de la semaine, cela devrait suffire pour qu'il comprenne que la fessée est dorénavant la règle."
Elles continuèrent encore quelques minutes à se féliciter du régime qui me serait maintenant appliqué. Ce fut Madame Tolbois qui porta le coup de grâce.
"Je pense que vous n'êtes pas toujours présente, vos fonctions vous conduisent à être souvent à l'extérieur.
– Oui, en effet.
– Il serait bon que Daniel n'en profite pas pour retomber dans ses errements. Avez-vous quelqu'un d'autre qui pourrait prendre le relais quand vous êtes absente ?
– Je pense que Madame Colas saurait y faire.
– Expliquez-lui la situation et donnez-lui le droit de punir mon garnement quand il en a besoin.
– Encore une précision, croyez-vous que nous devrons ne sévir qu'en privé ? Cela obligerait soit à mobiliser mon bureau ce qui ne serait pas pratique, soit à différer la punition.
– Surtout pas ! répondit Madame Tolbois. Imaginez-vous que vos employés ne vont pas rapidement se douter que Daniel est puni et quelle est la nature de la punition ?
– Evidemment, non. Il leur sera facile de comprendre ce qui se passe derrière la porte, bien qu'elle soit fermée, ne serait-ce qu'en entendant les échos de la punition. Daniel ne semble pas très discret quand la punition produit ses effets.
– La fessée doit lui être donné aussitôt que possible après avoir constaté qu'elle est mérité. Peu importe si cela doit se passer devant des collègues. Il n'y a aucune raison de dissimuler l'administration d'une punition quand elle est légitime. Cela sera profitable pour tout le monde : pour Daniel afin de renforcer l'impact des punitions et pour les spectateurs à qui cela donnera à réfléchir à ce qui pourrait leur arriver à eux également.
– Vous avez raison, je vais adopter votre façon de voir."
Ce détail réglé, elles passèrent à des sujets plus habituels.
"Je vous laisse, proclama Madame Tolbois en sortant. Et toi soit sage, je compte sur toi pour obéir comme un grand garçon !"

Madame Raveneau me laissa au coin encore un bon moment dont je ne sus pas estimer la durée.
"Viens ici !" me dit-elle enfin.
Je me retournai, incertain sur la conduite à tenir. J'avais gardé les bras croisés dans le dos, sans doute conditionné par les exigences de Madame Tolbois dans de pareils cas. Je ressentais fortement la honte de m'exposer ainsi dénudé.
Quand je me tenais ainsi devant Madame Tolbois, la gêne que j'éprouvais était présente à mon esprit, mais en arrière-plan. C'était la crainte de la fessée à venir ou le soulagement de la fin de la punition qui l'emportaient. L'habitude de me tenir nu ou à demi-nu devant elle avait banalisé la situation. Sans que je sois à l'aise de devoir lui montrer mon intimité, je l'acceptais comme un embarras inévitable avec lequel il fallait composer. Dès qu'une autre personne assistait à ces moments où je devais me montrer la culotte baissée, c'était une réelle angoisse que je ressentais, y compris quand ce n'était que Maria qui en était la spectatrice.
En présence de Madame Raveneau, je me sentais tiraillé par la nécessité de la honte qui m'envahissait et l'obligation d'obéissance. Avec Madame Tolbois, la question ne se posait pas. Là, me présenter dans cette apparence face à ma directrice m'obligeait à un réel effort de volonté pour me soumettre à son regard.
La raison l'emporta. Ma brève hésitation n'eut pas de conséquence. Je me rendis au pied de son fauteuil, là où, du doigt, elle m'indiquait que je devais me tenir. A cet endroit, non seulement j'étais sous son regard sans pouvoir rien dissimuler de mes fesses et de mes organes génitaux, mais de plus j'étais à bonne distance pour que sa main puisse me claquer les fesses si elle l'aurait jugé nécessaire. J'étais totalement dépendant de son bon vouloir, ce qui était certainement l'effet recherché.
"J'espère qu'il est clair pour toi que, dorénavant, je n'hésiterai pas à te fesser aussi souvent que nécessaire."
Elle eut une mimique montrant qu'elle attendait une réponse. Je m'empressais de la satisfaire.
"Oui, Madame.
– Je vais donner à Madame Colas l'autorisation de te punir. Je pense que ce sera probablement elle qui sera amenée à sévir le plus souvent, à moins que tu t'améliores rapidement, ce dont je doute fortement. Compte tenu de la disposition de nos locaux, tu devras t'habituer à être déculotté et fessé en présence de tes camarades. Est-ce bien compris ?
– Oui Madame.
– Pour ce soir, tu resteras en retenue une demi-heure. C'est le temps de travail que tu as manqué alors que tu recevais ta punition. Tu me rapporteras le carnet de correspondance signé demain matin. Et n'oublies pas, la matinée commencera par une fessée. Rhabille-toi et retourne travailler et que je n'aie plus rien à te reprocher d'ici ce soir."

A mon entrée dans le bureau commun où nous travaillions tous, il y avait une tension palpable dans l'air. Tous les regards se tournèrent vers moi. Je me sentis devenir écarlate. J'étais au centre de l'attention bien après que j'eusse dû prendre place sur ma chaise de bureau. Malgré son rembourrage, je ne pus retenir un grognement et une grimace.
Madame Raveneau fit son apparition dans la pièce une dizaine de minutes après moi.
"Madame Colas, s'il vous plait, pouvez-vous me consacrer quelques minutes ?"
Les deux femmes disparurent dans le bureau directorial. Lorsque ma chef de bureau en ressortit, elle m'examina attentivement. Je levais les yeux et je la fixais, hypnotisé par son regard. J'y lisais une nouvelle résolution. Il n'y eut pas besoin qu'elle me le confirme par des mots. Je savais qu'elle avait été mise au courant de ma nouvelle condition et de la nature des sanctions qu'elle aurait à employer.
"Daniel, n'as-tu rien à faire que tu bayes aux corneilles au lieu de travailler ?"
Je baissais les yeux sur mon ordinateur. Elle venait de me tutoyer pour la première fois depuis que je la côtoyais. Elle s'était adressée à comme un petit garçon, ce que j'étais devenu à ses yeux le temps d'un quart d'heure d'échange avec Madame Raveneau.


Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?

Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
  • Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une,
  • L'épisode précédent : chapitre 30
Il y a une suite ... le chapitre 32


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2 commentaires:

  1. Bon, je ne vais pas en faire des tonnes... Mais madame Tolbois est une bonne pédagogue Ses leçons de fessée sont instructives et efficaces et elle sait en faire profiter son entourage. Madame Raveneau apprend vite. Le reste du personnel féminin devrait suivre. Le principe de "Une fessée au bureau, une fessée à la maison" est une très bonne idée pour maintenir la pression sur les fesses de Daniel! Judicieuse mesure.
    Ramina.

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    Réponses
    1. Ramina,
      Décidément, vous êtes le plus grand fan de Madame Tolbois et de ses méthodes claquantes.
      Gageons, sans prendre trop de risque, que la fessée au travail va se propager.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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