"Vous croyez, dit ma directrice, qu'il serait … je ne
sais pas comment dire … convenable que je le fesse ?
– J'en suis certaine. Ce ne serait pas juste que vous ne le
punissiez pas.
– Comment cela "juste" ?
– Je vous explique. Si Daniel ne s'améliore pas d'ici la fin
de la période d'essai, allez-vous le garder ?
– En effet, ce n'est pas certain.
– Vous trouveriez normal de le renvoyer alors que vous ne
lui avez pas donné toutes ses chances ?
– Non, c'est vrai. Si je me rends compte que je n'ai pas
fait tout ce qu'il fallait, je m'en voudrai.
– Le meilleur moyen de l'aider, c'est de le punir sévèrement
à chaque fois qu'il rend un travail bâclé, qu'il ne se comporte pas comme un
employé modèle. Je vous assure qu'il n'y a que la fessée déculottée qui peut
lui permettre de s'améliorer notablement.
– Ah oui, c'est une idée.
– Vous n'aurez peut-être pas un employé parfait dans un
mois, mais je peux vous promettre qu'il sera beaucoup plus attentif et
concentré sur son travail.
– Oui, oui, je vois ce que vous voulez dire.
– Bon, commençons tout de suite !
– Euh, vous croyez, maintenant ? Mais, va-t-il me
laisser faire ?
– Si je le décide, il n'aura pas le choix. Il sait ce que
lui coûterait de résister à l'administration d'une fessée. Soyez ferme, il va
vite comprendre qu'il est préférable pour lui de vous obéir."
Voilà, c'était fait. Madame Raveneau s'était rendu aux
arguments de ma logeuse.
"Ordonnez-lui de venir vous voir, puis installez-le de
façon à ce que vous soyez à l'aise, puis fessez-le jusqu'à ce que vous sentiez
qu'il a appris sa leçon. Je vais vous guider si nécessaire."
Madame Raveneau s'éclaircit la gorge, puis :
"Daniel, viens ici !"
Je n'avais pas d'autre choix que de me rendre à une telle
convocation, surtout qu'elle était parrainée par Madame Tolbois.
Je me retournais et je luttais contre l'envie de couvrir mon
sexe qui était bien visible par Madame Raveneau, puisque je me dirigeais vers
elle. Je marchais à petits pas, jetant un regard suppliant à Madame Tolbois,
espérant qu'elle reviendrait sur sa décision. Cet espoir fut vain.
"Faut-il que je t'aide à aller un peu plus vite avec
quelques claques bien senties sur tes fesses ?" me demanda Madame
Tolbois.
J'accélérais pour faire les quatre ou cinq pas qui me
séparaient encore de ma directrice. J'y arrivais bien trop tôt.
"Approche !" m'ordonna Madame Raveneau.
Elle était passée au tutoiement. C'était beaucoup plus
adapté à la situation. Il aurait paru bizarre à tout le monde de donner du
"vous" à une personne déculottée sur le point de recevoir une fessée.
Encore un pas et je touchais presque son fauteuil. Elle hésitait, examinant ses
genoux qui dépassaient à peine de l'assise de la chaise de bureau.
"Vous avez raison, dit-elle à Madame Tolbois, il faut
une chaise sans accoudoirs.
Elle se leva, me prit par le bras et m'entraîna avec elle
vers la chaise qui était idéalement disposée pour remplir son office. Elle s'y
assit et je dus suivre le mouvement en me couchant en travers de ses genoux.
"Je peux vous le dire maintenant que nous y sommes.
Depuis les premiers jours que Daniel travaille ici, j'ai l'impression d'avoir
affaire à un adolescent rebelle qui cherche les limites que les adultes doivent
lui imposer. Toujours à chercher comment être à la lisière des règles, comment
les contourner, en ayant toujours un mépris affiché pour ceux qui restent dans
le cadre. Cela demandait une attention de tous les instants pour obtenir un
minimum de cet enfant attardé. C'est épuisant !
– Vous devriez plutôt dire "c'était épuisant," s'immisça
Madame Tolbois, car cet épisode est derrière vous, maintenant que vous avez un
moyen efficace de le punir.
– A l'évidence, les retenues du soir ne suffisaient pas. Il
m'est venu à l'idée une ou deux fois que ces comportements d'enfants auraient
mérité une punition d'enfant. Je n'aurai jamais franchi le pas si vous n'aviez
pas donné le coup de pouce, ce dont je vous remercie."
Sur ces paroles, je reçus la première claque sur mes fesses.
Chaque main laisse en quelque sorte sa signature sur les fesses des punis.
Chacun a sa façon de claquer les fesses et je sentais bien que ce n'était pas
Madame Tolbois, ni Madame Mercier qui ne punissaient. C'était une sensation nouvelle
qui rajoutait à la honte d'avoir dû me déplacer nu pour la première fois sous
le regard d'une nouvelle personne.
Madame Raveneau était hésitante, elle donnait la fessée avec
énergie, mais sans efficacité. Il y avait certes, un claquement sur la peau de
mon postérieur qui provoquait une petite sensation de brûlure, mais l'onde de
douleur que déclenchait chaque fessée était limitée. Je ne réagissais que
mollement à cette punition.
Madame Tolbois ne tarda pas à rectifier la situation.
"Si vous me permettez, Martha, je pense que Daniel ne
va profiter que moyennement de votre fessée. Elle va avoir un effet dissuasif
limité. J'ai peur qu'il ne les craigne pas assez pour s'obliger à faire les
efforts nécessaires pour améliorer son comportement."
Madame Raveneau stoppa la fessée, mais sans me donner
l'autorisation de me relever. Sa main posée sur le milieu de mon dos me faisait
comprendre, sans aucune hésitation, que la fessée n'était pas terminée.
"Votre main doit épouser la forme de ses fesses.
Essayez, vous allez voir comment il va accuser chaque fessée par un cri de
douleur. C'est ce qu'il lui faut ! Vous saurez que vous avez atteint votre
but quand il finira en larmes. A ce moment-là, je peux vous promettre qu'il
n'aura aucune envie de revenir faire un tour sur vos genoux."
Madame Raveneau dut m'administrer encore quelques claques
hésitantes avant d'intégrer la technique proposée par Madame Tolbois. Puis,
progressivement, sa main commença à claquer sur mes fesses en provoquant un
bruit de plus en plus sonore. Je commençais à ressentir l'échauffement gagner
mes fesses, puis progressivement se transformer en brûlure qui s'intensifiait.
La prévision de Madame Tolbois se révéla exacte. Etouffés au
début, mes cris devinrent vite désespérés. Mêlés à des râles et à des promesses
éternelles de comportement irréprochable, elles ressemblaient à celles que je
proférais lors des corrections que me donnait Madame Tolbois.
"Vous aviez raison, commenta Madame Raveneau, la
différence est criante. J'ai maintenant vraiment le sentiment de le punir
sévèrement."
"Essayez avec cela !"
La fessée s'arrêta.
"Tenez, dit Madame Tolbois, servez-vous-en régulièrement."
Concentré sur la formidable fessée que je venais de
recevoir, je n'avais pas fait attention à ce qui venait de se passer. Je m'en
rendis compte lorsque la fessée recommença. Ce n'était plus la paume de sa main
qu'utilisait ma directrice, mais un objet qui claquait mes fesses tout aussi
douloureusement.
"N'hésitez pas, recommanda Madame Tolbois, vous
n'utilisez pas toute la puissance de la règle ! Soyez plus
vigoureuse ! N'oubliez pas que vous le punissez pour l'ensemble de son
œuvre depuis plusieurs semaines, cela mérite une correction mémorable."
Madame Raveneau suivit le conseil. Elle appuya ses coups et
je perdis rapidement tout lien avec ce qui m'environnait. Je criais aussi fort
que je le pouvais, maintenant indifférent à ce que mes collègues pouvaient
entendre malgré la porte fermée. Lorsque je me mis à battre des pieds de façon
incontrôlée, elle dut me tenir en place sur ces genoux pus fermement afin que
je ne glissasse pas à terre à ses pieds.
"Retourne au coin !"
Malgré mon pantalon et ma culotte qui, tombés sur mes
chevilles, limitaient ma vitesse de déplacement, je m'empressais de retourner
dans l'angle de la pièce où je m'étais déjà tenu avant cette fessée magistrale.
Là, je savais, à condition d'y être sage, que le risque d'une fessée s'était un
peu éloigné, au moins pour les minutes à venir. C'était bien préférable de m'y
tenir en pénitence malgré la honte que cela supposât, plutôt que de laisser mes
fesses à portée de la main de Madame Raveneau ou de la règle qu'elle avait
posée juste à côté d'elle. A ce moment-là, la possibilité d'être vu par l'une
de mes collègues, les fesses nues portant encore les marques de la punition, m'importait
peu. Tout était préférable à une nouvelle confrontation avec la règle de Madame
Raveneau.
"C'est parfait, approuva Madame Tolbois, je pense qu'il
sera désormais attentif à éviter de venir faire un tour à plat ventre sur vos
genoux.
– Il y aura pourtant d'autres occasions, répliqua ma
directrice. J'entrevois maintenant assez précisément comment obtenir un travail
de meilleure qualité de la part de Daniel.
– N'hésitez surtout pas ! En particulier dans ces
prochains jours. S'il se rend compte que le moindre relâchement dans la qualité
de son travail le conduit immanquablement vers une retentissante fessée, je
vous promets des progrès rapides."
Il était étrange d'être le sujet principal de la
conversation sans pouvoir me mêler des avis donnés sur les traitements qui me
seraient réservés. Les deux femmes parlaient de moi en ma présence, comme si je
n'étais pas là, ou plutôt en négligeant ma présence pourtant évidente dans
cette appareil dans lequel je ne pouvais passer inaperçu.
"Je tiens à ce que Daniel comprenne que je réprouve son
comportement dilettante au travail. Il faut que je lui montre que je suis
totalement solidaire de vos décisions. Je vais donc appliquer le principe :
une fessée au bureau, une fessée à la maison."
Je ne pus retenir un gloussement d'effroi à cette
perspective, ce qui me valut une menace qu'il n'était pas raisonnable de
négliger.
"Signale-toi encore une fois d'une quelconque façon
pendant que tu es au coin et je vais te montrer comment je m'occupe des garçons
qui interrompent les conversations des grandes personnes !"
Je me recroquevillais dans le coin, enfonçant encore plus
mon nez dans l'angle, comme si je pouvais y disparaître en m'incorporant dans
le mur.
"Une fessée au bureau, une fessée à la maison, voilà un
principe qui me semble tout à fait adapté à la situation, acquiesça Madame
Raveneau. Toutefois, comme je serai amenée à le fesser assez souvent, je serai
obligée de le garder en retenue le soir pour finir le travail qu'il ne pourra
faire pendant qu'il recevra la fessée ou qu'il sera mis au coin.
– C'est normal, convint Madame Tolbois. Je saurai maintenant
pourquoi il revient à la maison en retard. Ses fesses en subiront les
conséquences.
– Je vous propose de mettre en place un carnet de
correspondance. J'y consignerai toutes les punitions qu'il recevra ici et il
devra me le rapporter signé de votre main le lendemain. Ainsi, aucune des
punitions que je lui donnerai ne vous échappera."
Je sentais se rétrécir l'espace autour de moi. La fessée
était maintenant de rigueur dans le seul endroit qu'elle n'avait pas encore
gagné jusqu'ici. Je me représentais bien quel usage Madame Tolbois ferait de ce
carnet de correspondance dans lequel mes négligences professionnelles seraient
reportées. Cependant, je me gardais bien d'exprimer le plus petit signe de
désaccord.
"Il serait bon, poursuivit Madame Tolbois, que durant
quelques temps, vous le fessiez chaque jour en punition des étourderies et
désobéissances commises depuis qu'il travaille ici. Je les doublerai d'une
punition à la maison. Il faut qu'il comprenne sans équivoque que l'époque de
ses légèretés au travail est terminée.
– Nous sommes mardi, sans doute jusqu'à la fin de la
semaine, cela devrait suffire pour qu'il comprenne que la fessée est dorénavant
la règle."
Elles continuèrent encore quelques minutes à se féliciter du
régime qui me serait maintenant appliqué. Ce fut Madame Tolbois qui porta le
coup de grâce.
"Je pense que vous n'êtes pas toujours présente, vos
fonctions vous conduisent à être souvent à l'extérieur.
– Oui, en effet.
– Il serait bon que Daniel n'en profite pas pour retomber
dans ses errements. Avez-vous quelqu'un d'autre qui pourrait prendre le relais
quand vous êtes absente ?
– Je pense que Madame Colas saurait y faire.
– Expliquez-lui la situation et donnez-lui le droit de punir
mon garnement quand il en a besoin.
– Encore une précision, croyez-vous que nous devrons ne
sévir qu'en privé ? Cela obligerait soit à mobiliser mon bureau ce qui ne
serait pas pratique, soit à différer la punition.
– Surtout pas ! répondit Madame Tolbois. Imaginez-vous
que vos employés ne vont pas rapidement se douter que Daniel est puni et quelle
est la nature de la punition ?
– Evidemment, non. Il leur sera facile de comprendre ce qui
se passe derrière la porte, bien qu'elle soit fermée, ne serait-ce qu'en
entendant les échos de la punition. Daniel ne semble pas très discret quand la
punition produit ses effets.
– La fessée doit lui être donné aussitôt que possible après
avoir constaté qu'elle est mérité. Peu importe si cela doit se passer devant
des collègues. Il n'y a aucune raison de dissimuler l'administration d'une
punition quand elle est légitime. Cela sera profitable pour tout le
monde : pour Daniel afin de renforcer l'impact des punitions et pour les
spectateurs à qui cela donnera à réfléchir à ce qui pourrait leur arriver à eux
également.
– Vous avez raison, je vais adopter votre façon de voir."
Ce détail réglé, elles passèrent à des sujets plus habituels.
"Je vous laisse, proclama Madame Tolbois en sortant. Et
toi soit sage, je compte sur toi pour obéir comme un grand garçon !"
Madame Raveneau me laissa au coin encore un bon moment dont
je ne sus pas estimer la durée.
"Viens ici !" me dit-elle enfin.
Je me retournai, incertain sur la conduite à tenir. J'avais
gardé les bras croisés dans le dos, sans doute conditionné par les exigences de
Madame Tolbois dans de pareils cas. Je ressentais fortement la honte de
m'exposer ainsi dénudé.
Quand je me tenais ainsi devant Madame Tolbois, la gêne que
j'éprouvais était présente à mon esprit, mais en arrière-plan. C'était la
crainte de la fessée à venir ou le soulagement de la fin de la punition qui
l'emportaient. L'habitude de me tenir nu ou à demi-nu devant elle avait
banalisé la situation. Sans que je sois à l'aise de devoir lui montrer mon
intimité, je l'acceptais comme un embarras inévitable avec lequel il fallait
composer. Dès qu'une autre personne assistait à ces moments où je devais me
montrer la culotte baissée, c'était une réelle angoisse que je ressentais, y
compris quand ce n'était que Maria qui en était la spectatrice.
En présence de Madame Raveneau, je me sentais tiraillé par
la nécessité de la honte qui m'envahissait et l'obligation d'obéissance. Avec
Madame Tolbois, la question ne se posait pas. Là, me présenter dans cette
apparence face à ma directrice m'obligeait à un réel effort de volonté pour me
soumettre à son regard.
La raison l'emporta. Ma brève hésitation n'eut pas de
conséquence. Je me rendis au pied de son fauteuil, là où, du doigt, elle
m'indiquait que je devais me tenir. A cet endroit, non seulement j'étais sous
son regard sans pouvoir rien dissimuler de mes fesses et de mes organes
génitaux, mais de plus j'étais à bonne distance pour que sa main puisse me
claquer les fesses si elle l'aurait jugé nécessaire. J'étais totalement
dépendant de son bon vouloir, ce qui était certainement l'effet recherché.
"J'espère qu'il est clair pour toi que, dorénavant, je
n'hésiterai pas à te fesser aussi souvent que nécessaire."
Elle eut une mimique montrant qu'elle attendait une réponse.
Je m'empressais de la satisfaire.
"Oui, Madame.
– Je vais donner à Madame Colas l'autorisation de te punir.
Je pense que ce sera probablement elle qui sera amenée à sévir le plus souvent,
à moins que tu t'améliores rapidement, ce dont je doute fortement. Compte tenu
de la disposition de nos locaux, tu devras t'habituer à être déculotté et fessé
en présence de tes camarades. Est-ce bien compris ?
– Oui Madame.
– Pour ce soir, tu resteras en retenue une demi-heure. C'est
le temps de travail que tu as manqué alors que tu recevais ta punition. Tu me
rapporteras le carnet de correspondance signé demain matin. Et n'oublies pas,
la matinée commencera par une fessée. Rhabille-toi et retourne travailler et
que je n'aie plus rien à te reprocher d'ici ce soir."
A mon entrée dans le bureau commun où nous travaillions
tous, il y avait une tension palpable dans l'air. Tous les regards se
tournèrent vers moi. Je me sentis devenir écarlate. J'étais au centre de
l'attention bien après que j'eusse dû prendre place sur ma chaise de bureau.
Malgré son rembourrage, je ne pus retenir un grognement et une grimace.
Madame Raveneau fit son apparition dans la pièce une dizaine
de minutes après moi.
"Madame Colas, s'il vous plait, pouvez-vous me
consacrer quelques minutes ?"
Les deux femmes disparurent dans le bureau directorial.
Lorsque ma chef de bureau en ressortit, elle m'examina attentivement. Je levais
les yeux et je la fixais, hypnotisé par son regard. J'y lisais une nouvelle
résolution. Il n'y eut pas besoin qu'elle me le confirme par des mots. Je
savais qu'elle avait été mise au courant de ma nouvelle condition et de la
nature des sanctions qu'elle aurait à employer.
"Daniel, n'as-tu rien à faire que tu bayes aux
corneilles au lieu de travailler ?"
Je baissais les yeux sur mon ordinateur. Elle venait de me
tutoyer pour la première fois depuis que je la côtoyais. Elle s'était adressée
à comme un petit garçon, ce que j'étais devenu à ses yeux le temps d'un quart
d'heure d'échange avec Madame Raveneau.
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une,
- L'épisode précédent : chapitre 30
Il y a une suite ... le chapitre 32
Les commentaires, les avis sont les bienvenus
Donnez votre avis, postez un commentaire, faites part de vos expériences, racontez ce que vous avez vécu, laissez libre cours à votre imagination ...
Bon, je ne vais pas en faire des tonnes... Mais madame Tolbois est une bonne pédagogue Ses leçons de fessée sont instructives et efficaces et elle sait en faire profiter son entourage. Madame Raveneau apprend vite. Le reste du personnel féminin devrait suivre. Le principe de "Une fessée au bureau, une fessée à la maison" est une très bonne idée pour maintenir la pression sur les fesses de Daniel! Judicieuse mesure.
RépondreSupprimerRamina.
Ramina,
SupprimerDécidément, vous êtes le plus grand fan de Madame Tolbois et de ses méthodes claquantes.
Gageons, sans prendre trop de risque, que la fessée au travail va se propager.
Au plaisir de vous lire,
JLG.