Ah mince!
Je sens que ça va chauffer pour mon grade !
La dame se
relève. Elle s'approche de la porte fenêtre, puis l'ouvre. Elle n’a pas l'air
commode.
"Monsieur
s'est bien régalé du spectacle ? Mais entrez donc !"
Elle
m'invite à rentrer avec son bras. Je reste sans voix. Bon ben. Quand
faut y aller, il faut y aller ! Je rentre dans la pièce. J'ai la dame de
face. Effectivement belle paire de seins bien garnie. La chemise est bien
ouverte. Je vois en plein milieu du bas de ses seins le soutien-gorge rouge
vif. Magnifique femme !
Son visage
est rond avec une coiffure sophistiquée type chignon à l'arrière gauche, bref
jolie visage malgré qu'il soit plutôt fermé et non souriant. J'avoue
avec un tel décolleté j'ai du mal à la regarder dans les yeux!
Je me tourne vers la punie pour l'observer. Elle aussi était en train de se retourner. Elle a les mains sur la tête. La culotte au niveau des chevilles. Étonnamment sa jupe est par terre. Je ne sais pas comment elle s'est retrouvée là. Elle se retourne toujours, les mains sur la tête et me dévoile son intimité y compris l'intégralité de sa fente.
J'en reste
bouche bée !
Elle est
plutôt mignonne. Un visage angélique. Des cheveux blonds jusqu’aux épaules, un
peu mince avec une petite paire de seins. Sa peau est blanche, ce qui contraste
avec le rouge des marques du martinet.
Mes yeux
sont fixés sur son sexe. Je vois la surprise dans son visage quand elle s'en
rend compte. Remarquant
son erreur, elle se retourne aussitôt très gênée. Je vois ses fesses et ses
cuisses bien marquées. La fessée a été dure, le martinet a bien travaillé.
"Je
vous laisse observer quelques instants, après tout, le regard des autres fait
partie de la punition. C'est le but du martinet sur les cuisses non ?
Que les autres sachent que vous avez été punie. N'est-ce pas? Vous êtes
d'accord? "
Sur ces
paroles, je sens la fille sangloter d’humiliation.
Je suis
figé.
"Je
vous ai posé une question me semble-t-il !
- Euh.
Oui. Pardon. Je reprends mes esprits.
- Alors ?
- Euh…Oui,
effectivement. C'est le but du martinet. Répondis-je timidement.
- Et je
peux savoir ce que vous faisiez derrière les carreaux ?
-
Euh... J'ai entendu du bruit ... Je voulais m'assurer qu'il n'y avait rien de
grave. ... Vous comprenez .... On ne sait jamais... Il arrive tellement de
choses de nos jours...
Bref,
concours de mauvaise foi.
« Moi
je comprends surtout que vous étiez en train de nous épier, et ce n'est pas
beau d'observer chez les gens ce qui s'y passe. Surtout pour y voir une
punition. Et en parlant de punition, je pense que vous en méritez une !
- Euh … mais…
comment ça ? Balbutiai-je, passant surement au rouge pivoine.
- Il me
semble que je ne vous ai pas invité à observer. Vous n'aviez rien à faire
derrière les carreaux. Ça mérite une fessée comme un vulgaire garnement trop
curieux.
- Vous
êtes sérieuse ? Mais ça ne va pas la tête !
- Stop !
Lança la dame d'un ton sec. Pas d’enfantillage. N’aggravez pas votre cas.
Je ne sais
trop quoi dire ni quoi faire. Je suis en train de me faire réprimander comme un
vulgaire gamin.
« Mais
on ne se connait pas dites-moi. Je n'ai plus 10 ans.
- Là n'est
pas la question. Quand on a un comportement de gamin de 10 ans, on est puni
comme un gamin de 10 ans. Et après ce que vous venez de voir par la fenêtre on
peut dire qu'on se connait suffisamment maintenant.
- Mais ...
Il n'en n'est pas question !
Elle prend
une voix plus lente et plus autoritaire en appuyant bien sur les " ou "
- OU Vous
prenez votre punition sans broncher, et ce petit incident de voisinage restera
entre nous. OU je préviendrais le syndic de votre comportement."
Cette
dernière phrase me laisse sans voix. Si elle prévient le syndic je suis foutu.
Je réfléchis … me dis qu’après tout, je suis bon joueur, j'ai merdé, tant pis.
Je me fais une raison, je vais être puni comme un gamin. Mais avant que
je comprenne la situation, elle m'a agrippé le bras et je me suis retrouvé sur
ses genoux, les fesses en l'air.
" -
Bien ! Voilà la situation clarifiée. Vous allez prendre une bonne fessée
maintenant. "
La dame
pose son bras gauche sur mes hanches et sa main vient me frapper la fesse
droite sur le pantalon.
« Ouille
!
Elle y va
franco.
"Voilà
ce qui arrive aux vilains garçons qui regardent derrière les carreaux... Ils
prennent une bonne fessée ..."
Elle
m’assène une première série de 20 claques. Elle s’arrête, me caresse
légèrement le postérieur. Je suis plutôt calme et j’attends que le mauvais
1/4 d'heure passe. Elle reprend la série ... je sens mes fesses chauffer
progressivement. Etonnamment, c'est plutôt agréable et je commence même à
sentir mon sexe se durcir ! Tout en me caressant elle me lance :
"
Maintenant c'est cul nu ! Levez-vous et baissez votre pantalon ! "
Je me
relève d'un coup.
"
Mais ça ne va pas. Je ne vais pas me prendre une fessée déculottée. Pas devant
vous. On a le même âge et je suis plus vieux que votre fille."
Elle est
passée toute rouge. Je sens qu’elle n'a pas apprécié ma dernière réflexion.
" -
Déjà ce n'est pas ma fille. C'est ma colocataire ! Et concernant mon âge
je ne vous permets pas ! Et quand vous nous observiez, l’âge ne semblait pas
être un problème pour vous. Pantalon à terre ! "
Elle
semble tellement énervée que je ne risque pas le dialogue. Je m’exécute et
baisse mon pantalon. Elle me prend à nouveau par le bras pour me
réinstaller sur ses genoux. Elle me tire le slip vers le bas, je n'ai
même pas le temps de réagir qu'elle reprend la fessée sur mes fesses nues.
« Ouille »
La douleur des claques est beaucoup plus
intense sans le pantalon, j'ai du mal à rester en place. Elle frappe
comme un métronome. Ça chauffe sérieusement mes fesses. Elle arrête, me
tapote les fesses.
" Ça
ira bien pour cette fois ! Mais attention, à la prochaine incartade, vous
recevrez le martinet ! Vous pouvez vous relever »
Je
m’exécute en cachant mon sexe tendu avec mes mains afin de ne pas le dévoiler à
ces dames. Je remonte mon slip, et avant que j'attrape mon pantalon,
elle me lance :
"
Mettez-vous au coin les mains sur la tête, juste à côté de la demoiselle."
J'y vais,
les fesses endolories.
Ma voisine
d’infortune ne sanglote plus. Quand je suis à côté d’elle, je sens qu'elle est
en train de rigoler, à la limite d’exploser de rire. Nous restons 5
minutes, plantés là, comme 2 idiots.
" Bon
monsieur, ça suffit. Je lève votre punition, vous pouvez partir.
Je me
rhabille en 4ème vitesse et ne demande pas mon reste.
" -
Et que je ne vous y reprenne plus. "
Je risque
un timide
" -
Bonsoir mesdames. "
Et je
m’éclipse de la pièce.
Je reprends mon jardinage en me frottant un peu les fesses et
en réfléchissant à ce qui vient de se passer. Je dresse le bilan. J'ai vu un
beau décolleté avec une belle paire de seins dedans … j’ai assisté à une
magistrale fessée cul nu au martinet ... J'ai vu une charmante suppliciée au
coin et surtout son intimité et sa belle fente pendant la fessée, sans parler
de la couleur de ses fesses ... Et que finalement tout cela ne m'avait coûté qu'une fessée.
Bonjour...
RépondreSupprimerBingo ! Suite (et fin ?) des mésaventures d'un jardinier trop curieux ! J'avais donc deviné (mais c'était prévisible).
Le jeu en a t-il valu la chandelle. D'après l'infortuné curieux, ça valait le coup.
Ne jamais titiller une dames en colère !!!!
So long, camarade !
Peter'
Oh ben c'est magique ! j'écris un texte, et il y a des illustrations qui apparaissent toutes seules ! Et fort jolies en plus. Merci l'artiste.
SupprimerEh oui, c'est la magie de ce blog qui fonctionne sur le mode dialogue autour de la fessée. Du texte, des images, de l'action et du suspens! Jolie petite aventure.
RépondreSupprimerVaut il mieux cultiver son jardin ou faire une pause devant une bonne fessée? On se doute de la réponse
Ramina
je viens de regarder à nouveau le dessin de Peter Pan. le crayon glissé dans la poche de la salopette m'amène à me demander s'il ne se représente pas lui-même dans ses illustrations. Il en dit quoi le garnement?
RépondreSupprimerBonjour Ramina, et vous tous...
SupprimerVous me posez une colle à laquelle je n'avais même pas pensé.
Voilà qui mérite réflexion.
Elle me rappelle d'ailleurs un commentaire posté chez Isabelle183 il y a deux ou trois dans lequel j'expliquais qu'il arrive parfois que les individus les plus sages (comme moi ) rêvent de "désobéir" afin de laisser libre cours à leurs tempéraments, quant ils sont cadrés par une éducation maternelle assez stricte.
Oserais-je dire qu'il serait mon alter-ego coquin ?
Je ne saurais le dire...
Peter'
Bonsoir que serait il passé si la fesseuse aurait remarqué le sexe tendu du monsieur puni pendant et après la fessée ?
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