lundi 30 avril 2018

Première fessée au martinet

"Tu sais pourtant que je tiens toujours mes promesses. Depuis le temps que nous cohabitons, tu devrais t'en être rendu compte ! Je ne parle jamais à la légère et ce que je dis, je le fais.
Ne fais pas celle qui est surprise par ce qui lui arrive. Je suis obligée d'en arriver là. Il n'y a que de cette manière que tu comprends que tu t'es comportée comme une petite peste et que tu apprends à ne pas recommencer aussitôt.
Je t'avais annoncé que j'achèterais un martinet si tu continuais à faire des caprices à tout bout de champ. Voilà, c'est fait.
Visiblement, ma main ne suffisait plus à te remettre dans le droit chemin. Tu vas voir comment, tu vas hésiter à me refaire une colère maintenant que tu sais qu'elle finira par une bonne fessée au martinet.


fessée par sa colocataire

Tu t'obstines à vouloir jouer la petite file capricieuse et bien soit ! Mais moi, je vais jouer la colocataire sévère. Cela fait quoi ? Un mois, non, plus près de deux maintenant, que je te donne la fessée quand tu l'as méritée.

Les premières fois, j'ai commencé par une petite claque sur les fesses, juste pour souligner une réprimande, peine perdue ! Cela n'a fait de l'effet que trois ou quatre fois. Ton indignation, la première fois où j'y ai eu recours, a bien vite cédé place à de l'indifférence.
Ces avertissements n'ont servi à rien. Je me rappelle bien ta réaction, la première fois que je t'ai déculottée. Tu ne m'en croyais sans doute pas capable ? Quand tu as compris que j'irai jusqu'au bout, tu as essayé de m'en empêcher. Je te tenais déjà fermement sur mes genoux. C'était trop tard, tu n'as rien pu faire.
Depuis quelques semaines, bien que maintenant je te baisse la culotte à chaque fois, tes caprices reviennent presque quotidiennement. Ma main rougit pourtant correctement tes fesses, mais les effets en disparaissent trop vite. Tu te tiens sage pendant quelques heures, puis tu oublies.

Les lanières du martinet vont laisser des traces plus durables sur tes fesses. Je compte bien qu'elles soient encore bien visibles demain. Tu te rappelleras durant tout le temps où tu sentiras les effets du martinet, quel traitement je réserve aux demoiselles qui se comportent comme des pimbêches désobéissantes.
Quand, demain, tu seras en maillot de bain sur la plage, il est fort probable que tout le monde voit les marques qu'aura laissé le martinet. Tu auras peut-être quelques explications gênantes à fournir. J'expliquerais à ceux qui le demanderont ce qui t'est arrivé. Quand on a vingt-neuf ans et qu'on a encore régulièrement besoin de la fessée pour faire passer ses colères, je ne vois pas pourquoi cela devrait rester confidentiel !"

Elle n'est pas la seule à bénéficier de la sévérité de sa colocataire

                  Ce sera douche et fessée                                                               Exigence de ponctualité
       Fessé par sa colocataire                                             une fessée pour être en retard

Merci à Bruce Morgan pour le dessin que je lui ai emprunté

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8 commentaires:

  1. Très beau monologue...qui appelle une suite j'espère ?

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    1. Bonjour Gege Bonn,
      Pas certain qu'il y aura une suite. Ce sont des récits très courts accompagnant une image, prenant une scène sur le vif, comme un clip littéraire illustré. Une porte s'ouvre et nous surprenons pour un bref instant une situation, puis la porte se referme.
      Par ailleurs, il y a les feuilletons qui, eux, ont un fil conducteur pérenne pendant plusieurs épisodes.
      Rien ne vous empêche de vous emparer de la situation et de lui donner une suite ... Ce blog est collaboratif et est ouvert à contribution qui reste dans la ligne éditoriale (voir par "à propos"). Qu'en dites-vous ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Bonjour JLG,
      C'est exactement cela : "une porte entrouverte, une conversation prise au vol, sur une punition qui se prepare..." : faut-il rester proche de cette porte pour être témoin de cet instant magique ? ou s'en aller discrètement de cette intimité entre la fesseuse et la futur punie ?
      Pour l'écriture, je pense que je vais être très mauvais dans le domaine. A l'école j'étais nul en Français! Pourtant c'est pas l'envie qui m'en manque, mais je suis pas sur d'être à la hauteur.
      Cordialement.
      Gégé

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    3. Bonjour,
      Moi non plus, à l'école, je n'étais pas très bon dans les exercices proposés (rédaction, dissertation, dictées, ...) jusqu'au jour où j'ai eu besoin qu'il en soit autrement.
      Ecrire n'est pas compliqué quand on accepte de faire simple, de coller à la vie réelle, d'écrire dans un langage vivant.. Dès qu'on veut faire littérature ... en général on se plante.
      Si vous voulez essayer, je veux bien vous donner mon avis, vous suggérer des améliorations. Envoyez-moi un premier texte.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. michaelandreani36@gmail.com

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    1. j'avais une mere qui était contre dame à l'usine et elle avait l'habitude de commander donc de ce fait elle faisait la meme chose avec moi! De plus la conaissant ,et en lus comme elle était grande et forte jamais je n'aurais osé répondre ou encorel moins lui tenir tete ! car aussitot le Martinet était décroché de son clou dans le couloir en plus un Martinet qu'elle avait fait faire chez le cordonnier du coin avec un gros manche en bois et ses épaisses l et longues lanieres en cuir marron 50cn de long ! je pouvais m'attendre à les sentir sur mes feses mais aussi sur mon popotin également! Car dés que ma mere jugeait que je meritais le Martinet j'étais déshabillé cul nu et je devais me pencher par dessus une chaise de la cuisine ,et ma mere se positionant derriere moi et soulevant le Martinet bien haut pour que je le sente bien en plus appuyait se coups ,et le bareme était le suivant selon ma mere,pour un retard ou n'avoir pas obtemperé tout de suite c'était 5 coups bien appliqués et pour ramener un mauvais bulletin scolaire ou encore etre distrait en classe_ n'avoir pas écouté le cours etc.. la c'était 10bon coups bien lourdement donnés sur le popotin ,et attenrtion Il ne fallait pas bouger avec ma mere sinon elle recomençàit le nombre des coups à donneret et ça ç' arivait souvent! et qu'il ait du monde ou pas dans la cuisine ma fessée se porsuivait et devant ces gens je me payais la honte d'etre fessé cul nu devant eux !De plus il y des fois lorsqu'elle devait aller à l'usine de bon heure j(étais conduit chez sa soeur ( ma tante) qui elle était encore plus partisane que mamere du Martinet et qui s'en servait à tout bout de champ du Martinet sur ses 3 filles et lorsq'elles le reçevaient pleuraient à chaudes larmes et fortement ce qui m'énervais ,tout comme elles se chamaillerent pour un oui ou pour un non et en particulier sur l'histoire de leurs bretelles l'une accusant l'autre de lui avoir piquée ses bretelles et pour y mettre fin ma tante devait une fois de plus les fesser sévèrement avec son Martinet ,il n'y avait que comme ça qu'elles se taisaient! De plus ma tante n'avait pas de patience! donc le Martinet avait vite fait de régler le probléme !quoique moi meme j'y ai passé pr ses mains en étant fessé par elle et je l'ai senti !et quand j'étais chez elle pas question d'enlever ma blouse en nylon,et mem en plein étéje devais la supporter ,et en plus c'est elle qui passait le tondeuse éledtrique sur ma tete et qui le rasait ,en me disant te voila tranquille aves tes cheveux de toute façon ils ne te servent à rien car plus tard ils vont tomber alors autant que ce soit tout de suite!grace à ma tonte réguliere je devais aussi mettre un grand beret sur ma tete été comme hiver !En fait lorsque j'y repense ma vie de garçon jusqu'à mes 16 ans se passaient comme ça ! en tete tondue ( fort pratiquée par les mamans de cette époque) et oblgation de porter en permanace mes blouses en nylon ,mes bretelles,et etre fessé au Mretinet cul nu comme un vulgaire sale gamin et devant tout le monde !

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  3. Moi je peux en parler ! ,car ma mere était responsable de la discipline dans un college privé ,auquel j'allais !et dans son bureau il y avait une grand choix de Martinets de diverses tailles d'accrochés au mur ,et dont elle se servait ,car en plus les fessées au Martinets étaient admises par les parents d' éleves! Donc je n'y échapais pas! Et je peux dire que j'en ai reçu des fessées avec le Martinet par ma mere,non seulement à l'école ,mais aussi à la maison ,et de ce fait à force d'en reçevoir et la plupart du temps "cul nu" j'avais du mal à m'assoir sur une chaise ,et je me rapelle me plaignant à ma mere à ce sujet ,mais ma mere m'a tout simplement répondue ," et bien tu n'as qu'à etre plus sage et travailler mieux à l'école et peutetre tu en reçevras moins de Martinet sur ton popotin ,Mais en attendant tant que tu ne t'amelioras pas et tant que tuferas tes betises ,la seule solution pour moi c'est le Martinet et si tu continues d'avantage ,je vais te faire gouter au Martinet avec ses lanieres en cuir avec des peites boules de plomb incrustées dans les lanieres en cuir ! Car moi ,à ton age j'étais fessée par ma mere qui employait Un Martinet avec des petites boules de plomb incrustés dans les lanieres en cuir du Martinet ,et ça faisait bienplus mal que les Martinets d'aujoud'hui! Crois moi j'ai trouvée un fournisseur qui peut m'enfaire faire et m'en vendre, et naturelement j'ai pensé à toi , tu verras avec ce type de Martinet tu vas mieux m'écouter! Et en effet ce jour arriva et ma mere m'appela dans son bureau pour me monrter les Martinets qu'elle venait de reçevoir et comportaient certains avec des petits boules de plomb incrustés dans les lanieres !" Tu verras mon garçon tu vas vite senir la difference ! et malheureusementce jour arriva et je fus convoqué das son bureau ou la elle me souleva ma blouse en nylon et abaissit ma culote avec ses bretelles attachées dessus et mon slip ! Puis elle me plça dans sa trajectoire de frappe et Shlack;Schlack , Schlack ,Shlack elle me fit gouter à son nouveau Martinet ,Aie ,c'est vrai qu'il faisait plus mal que les autres : non seulemeny je sentais les lanieres en cuir mais en plus aussi les petites boules en plomb ;meme qu'au bout de seulement quelques coups sur mon derrire j'avais deja trés mal !! et cria pardon maman ! mais rien n'y fait ma mere continua la fessée ,,Puis au bout de la fessée j'avais plus mal à mes fesses et à mon popotin que d'habitude ,et mamere aparament satisfaite d'elle me dit , alors qu'est ceque tu en penses je répondiis "h maman il fait plus mal que les autres !,et " ah tu vois mon fils à partir de maintenant je vais te fesser qu'avec ce type de Martinet ,,puis elle me remit mes vetements ,en prenant soin de bien me retendre mes bretelles et de bien boutonner ma blouse en nylo orange ! et me dit retournes en cours etje répondit oui maman ,Bref à cette époque ma mere me dominait completement ! et je n'avais que 13 ans à l'époque et cette façon de me fesser continua encor 3 longues années !

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    1. J'ai passé toute ma scolarité dans un établissement privé dans les années 1960-70 et je n'ai jamais vu un élève puni au martinet à l'école. Par contre, certains prêtres avaient la main leste et distribuaient claques et gifles. Mais à la maison c'était autre chose et le martinet trônait dans bien des foyers. Du temps des culottes courtes, on pouvait parfois apercevoir des traces rosâtres de martinet sur les cuisses des garçons, chose impensable de nos jours mais courante à l'époque et parfaitement admise par la société.

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