samedi 30 décembre 2017

Axel, élève à St Marie - chapitre 22

Les premières minutes que je passais au coin, j’étais centré sur les élancements intenses qui sillonnaient mes fesses. J’éprouvais le besoin de les atténuer en massant mes fesses pour disperser la douleur qui émanait, me semblait-il, de zones restreintes de ma peau qui se déplaçaient lentement sur toute la surface de mes fesses.
Puis, insensiblement, les pics de douleur se firent moins vifs. C’est alors que je me promis de faire tout ce qui m’était possible pour éviter une prochaine fessée … ou plus exactement une nouvelle fessée après celle que je devais recevoir à la fin du cours. L’obéissance aux professeurs et un travail sans reproche me semblaient une nécessité vers laquelle je pouvais tourner toute mon énergie. Cette décision prise, je me sentais rasséréné, comme si j’avais solutionné une part importante de mes problèmes.

vendredi 29 décembre 2017

Mon histoire avec Madame Anne-Sophie

Les visites chez Madame Anne-Sophie se multiplient. En voilà une autre qui nous est relatée par J.
Bonne lecture. JLG


Étant un adepte de la fessée ,je cherchais une maîtresse d'école comme dans mon enfance qui administre de bonnes fessées.
Et je tombe sur une petite annonce,je n'en crois pas mes yeux,une vraie maîtresse d'école qui donne de vraies fessées déculottées , à la main et instruments ,à Paris à 45 km de chez moi.Et en plus un numéro est disponible , à joindre par SMS .

jeudi 28 décembre 2017

Christine - chapitre 11

C’était déjà ma deuxième journée de cours de vacances à Ste-Marie que je venais d’entamer et il me semblait que cela faisait une éternité que j’avais fait ma rentrée tant les évènements s’étaient additionnés et bousculés depuis la veille.

Je n’avais pas encore commencé mon premier cours ce matin-là que je pensais avoir déjà fait ma journée. Nous avions été interceptées, ma camarade Magali et moi, par la Sœur portière sitôt entrées dans l’établissement. Logiquement en pénétrant à Ste-Marie on doit signaler sa présence à cette religieuse qui pointe les élèves à l’arrivée comme à la sortie des classes. Généralement la Sœur portière vise les cartes de correspondance et on peut laisser ses effets dans nos casiers respectifs.

mercredi 27 décembre 2017

Mémoire d'un garnement de jadis - 1er épisode

Premier d'une probable longue liste, ce dessin parle de lui-même. Peter Pan inaugure une nouvelle série dessinée qui constituera bientôt un passage obligé régulier pour nombre de lecteurs fidèles de ce blog. Je peux déjà vous en annoncer deux autres.
Merci Peter Pan, nous comptons sur toi pour nourrir, pendant de longues semaines, notre nouveau rendez-vous du mercredi.

mardi 26 décembre 2017

Axel, élève à St Marie - chapitre 21

En guise de (modeste) cadeau de Noël, deux épisodes d'Axel dans la même semaine. C'est le début d'une nouvelle partie : élève à St Marie, avec quelques changements dans la vie d'Axel. Joyeux Noël à tous. JLG.

« Allons, debout gros paresseux ! C’est l’heure de se lever ! Il y a école aujourd’hui : »
Encore dans mon demi-sommeil je percevais vaguement, à travers mes yeux entrouverts, Julie qui s’affairait. Elle ouvrit les rideaux, rabattit les couvertures de mon lit sur mes pieds en me laissant découvert. L’air frais m’entoura et je frissonnais. Cela ne suffit pas pour que je me lève.
Julie préparait mes vêtements qu’elle sélectionnait devant l’armoire. Elle revint vers moi et me donna une claque sèche sur les fesses.

lundi 25 décembre 2017

SFID, l'annonce - chapitre 1

Georges T rejoint le groupe des auteurs publiés sur ce blog. Nous entamons avec lui un récit qui comporte déjà plusieurs épisodes que vous découvrirez au fur et à mesure de leur publication, selon les codes propres aux feuilletons. Vous en avez l'habitude sur ce blog.
En fin du récit ci-dessous, vous trouverez tout ce qu'il faut pour le contacter directement. N'oubliez pas de lui faire part de vos appréciations. JLG.

Je m’appelle Georges T, j’ai 30 ans et je voulais vous raconter ce qui m’a amené à mon emploi actuel dans un environnement un peu particulier et en relation avec notre centre d’intérêt commun, la fessée.
Alors que je cherchais du travail il y a maintenant 2 ans, suite à un licenciement économique de ma société, je tombais sur une annonce dans un supplément emploi d’un grand quotidien national.
« La SFID recherche son responsable marketing en vente B to B/C et web.

samedi 23 décembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 20

Je passais la suite des vacances sous la stricte surveillance de Julie. J’avais l’impression que le contrôle se renforçait chaque jour. Son exigence que j’avais admise les premiers jours me pesait de plus en plus. Je voyais finir les vacances sans que j’aie pu paresser comme je le faisais habituellement. Julie me maintenait au travail toute la journée.
Il y avait d’abord les tâches ménagères dont je devais faire plus que ma part. Enfin, … une part aussi importante que la sienne, … ou presque aussi importante. Ce n’était pas dans mes habitudes. De plus, elle était tout le temps sur mon dos à m’expliquer comment il fallait faire ou à me faire remarquer quand ce n’était pas bien fait. Elle exigeait alors que je recommence.

jeudi 21 décembre 2017

Christine - chapitre 10

« Quelle journée ! » Jamais en m’inscrivant à Ste-Marie pour y obtenir mon bac je n’aurais imaginé vivre de tels moments. J’étais ce qu’on nomme une petite bourgeoise à la vie bien rangée. Femme de 36 ans, sans histoire, mariée, deux enfants. Ma seule ambition, c’était de passer mon bac et de vouloir mettre tous les atouts de mon côté pour la réussite de ce projet.

C’était tout naturellement donc et parce que mes enfants y étaient scolarisés que je m’étais tournée vers Ste-Marie et l’offre que m’y faisait sa directrice, Sœur Marie-Joseph. Je savais bien lors de mon inscription que la discipline de cette école était stricte mais je pensais innocemment que du haut de mes 36 ans je n’avais rien à craindre ou si peu. En fait je pensais que je n’avais rien à craindre parce que tout simplement une femme adulte comme moi est mûre et posée, tout l’inverse d’une enfant ou d’une adolescente.

Grave erreur que je commettais là en croyant tout cela et surtout en considérant comme acquis un pseudo statut d’intouchable en faisant uniquement référence à mon âge. Pour des écarts de conduite pourtant évitables, j’avais été réprimandée, punie et même fessée. Fort heureusement et contrairement à Magali puis Nicolas, j’avais été fessée en classe durant les cours de vacances à Ste-Marie et de fait en les seules présences des Sœurs, la Préfète de discipline Sœur Marie-Hortense et ma professeure de lettres Sœur Thérèse. C’était là un moindre mal plutôt que d’avoir été fessée en public comme mes deux camarades.

Ensuite aux Galeries, où ma belle-mère avait tenu à m’habiller, j’avais perdu patience face à la vendeuse. Cela s’était soldé par quelques claques bien senties sur mes fesses dans la cabine d’essayage au rideau ouvert. Les quelques clients du rayon qui avaient pu être témoins de cette scène étaient restés si discrets que je ne les avais pas remarqués. Du reste et heureusement pour moi c’était des personnes que je ne connaissais pas, qui ne me connaissaient pas et que je ne reverrai ni ne recroiserai jamais.

Enfin chez ma belle-mère, où celle-ci avait tenu à ce que je passe la soirée et la nuit, j’avais subi ce qu’on pourrait appeler le Service après-vente. Ma belle-mère y avait dressé le bilan de mes actions de la journée écoulée. Forte de cela elle avait agi en conséquence. J’avais reçu une bonne fessée terminée à la règle en réponse à celle que m’avaient infligée les Sœurs. Ma belle-mère m’avait ensuite douchée et, pour marquer le coup suite à mon insolence aux Galeries, elle m’avait punie à l’aide du martinet.

C’était donc toutes ces pensées qui se bousculaient dans ma tête de manière très désordonnée lorsque ma belle-mère m’avait autoritairement mise au lit à 21h. Je pleurais encore mais la fatigue fut la plus forte. Je m’endormis assez rapidement. Le sommeil a cela de bon, on est déconnecté de tout et tout s’oublie et se dilue. J’avais peut-être rêvé cette nuit-là, fait des cauchemars, mais je n’en eus aucun souvenir.

mercredi 20 décembre 2017

Fessé par la bonne

Un dessin de Waldo que je ne connaissais pas et qui correspond tout à fait à nombre de situations racontées sur ce blog.


Merci à Georges qui me l'a adressé, pour sa contribution à l'enrichissement de notre culture et commune et merci à Waldo pour sa production dont on découvre régulièrement un dessin qui nous avait échappé.

lundi 18 décembre 2017

Merci Madame Anne Sophie


La saga des visites chez Madame Anne-Sophie continue. C'est Paul dont vous avez déjà lu des écrits sur ce blog (voir le récit intitulé "Georges, un ado comme les autres") qui nous fait part de son expérience.
Il est sous forme de poème, le premier de ce blog. Paul a des doutes sur sa qualité, faites-lui des retours.


Le forum mis en place par Josip est plein d’informations
Et Paul y trouva le moyen de recevoir une bonne punition
Ayant lu ici à propos d’Anne Sophie quelques compte-rendu
Il y vit là un moyen très efficace de se faire rougir le cul

samedi 16 décembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 19

Je sentis la lumière et un air plus froid entrer à grands flots dans ma chambre. On avait ouvert la fenêtre. Puis, mes couvertures furent rabattues sur le lied de mon lit.
« Debout, mon petit paresseux ! C’est l’heure de se lever. Le petit déjeuner est prêt. »
J’ouvris un œil, sur le point de m’insurger contre ce réveil trop matinal.
« Qu’est-ce que c’est que … »
Julie s’était assise sur le bord de mon lit. Le souvenir de la soirée d’hier me ramena à la prudence. Je ravalais mes protestations naissantes.
« Qu’est-ce que c’est que ce garçon ronchonneur quand il se réveille ? »
Elle tapota mes fesses en un simulacre de fessées, puis elle passa sa main dans mes cheveux.
« Je t’attends dans la cuisine. Cinq minutes, pas plus ! »

jeudi 14 décembre 2017

Christine - chapitre 9

Pour terminer cette journée de rentrée en cours de vacances à Ste-Marie, j’aurais préféré être seule chez moi mais les circonstances et surtout ma belle-mère en avaient décidé autrement. C’est donc chez ma belle-mère que j’allais finir la journée mais aussi y passer la nuit. En effet, suite à mes déboires matinaux à Ste-Marie où j’avais été collée pour le samedi suivant, ma belle-mère en réponse à cette sanction avait décidé de me garder, comme en retenue, chez elle pour la nuit.

Cette perspective ne me réjouissait absolument pas d’autant que les minutes que je venais de vivre chez elle avaient été fort éprouvantes. Ma belle-mère avait tenu à respecter à la lettre les consignes en vigueur à Ste-Marie lorsqu’une élève y est sanctionnée. La sanction est alors doublée à la maison par son tuteur, en l’occurrence ma tutrice en la personne de ma belle-mère.

J’avais reçu de ses mains une magistrale fessée terminée à la règle. En réponse à la douleur et à l’humiliation subies je n’avais malheureusement eu d’autre alternative de que de supplier et pleurer. Tout cela relevé par le fait que j’avais eu, juste auparavant, mon mari et mes enfants en ligne ; une bonne sape pour mon moral.

À la suite de cette rude épreuve, je me trouvais le front contre le mur, mise au coin afin de réfléchir sur les effets salutaires de cette punition. Je m’y tenais debout, la culotte au niveau des genoux et seulement vêtue de mon soutien-gorge. Mes larmes s’étaient peu à peu taries et je refaisais surface. Immobile depuis plus d’une trentaine de minutes, je ressentais une envie qui se faisait de plus en plus pressante. Je n’osais trop bouger de peur de heurter ma belle-mère dont je devinais parfois la présence derrière moi. Je me dandinais d’un pied sur l’autre pensant lui faire au moins remarquer la venue de ce besoin naturel.

mercredi 13 décembre 2017

Georges chez Madame Anne-Sophie

Une histoire vécue par Georges T, nouvel auteur invité sur ce blog, qui nous en fait le récit. Espérons qu'il nous gratifiera d'autres écrits, histoires vécues ou imaginées.
Deux récits, quelques commentaires, la saga des visites chez Madame Anne-Sophie s'allonge. Qui sera le prochain ? JLG


Suite à la lecture des aventures de Josip chez Madame Anne Sophie je décidais, avec l'accord de mon épouse qui m'y poussait, à mon tour de franchir le pas et de l'appeler pour en savoir plus.

Après une première tentative sans réponse, elle me rappelle. Très à l'aise elle m'explique qu'elle fesse des garçons de 21 à 75 ans. Que cela se passe très bien et qu'elle sera contente de me rougir les fesses, si je le souhaite. Mais que cela reste une fessée sur les fesses  et rien d'autre.

lundi 11 décembre 2017

L'institut F - chapitre 9

Diplômes

L’Institut F fonctionnait à merveille.  Les clients et clientes se bousculaient toute la journée. Il y avait les mères de famille qui avaient besoin d’un renfort d’autorité et qui venaient pour faire fesser leurs grands adolescents qui tentaient d’échapper à l’autorité parentale. Ces cas étaient sans doute les plus nombreux et les plus faciles à régler. Une bonne fessée déculottée ou quelques coups de martinet bien appliqués sur les fesses et les cuisses et le jeune garçon ou la jeune fille n’y revenait pas deux fois. Non seulement à cause de la douleur de la fessée mais aussi de ce sentiment d’humiliation à se retrouver dénudé et dans cette position inconfortable.

samedi 9 décembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 18

Julie m’accueillit avec des yeux écarquillés.
« Qu’est-ce que c’est que ce costume ? »
Il n’y avait pas d’autre solution que de faire passer ce qui m’était imposé pour tout ce qu’il y avait de normal.
« Oh, c’est l’uniforme de St Marie.
– Tu portes l’uniforme de St Marie, c’est nouveau, ça ! Je croyais que c’était réservé aux élèves ?
– C’est bien réservé aux élèves, mais nous nous sommes mis d’accord avec les professeurs que cela me permettrait d’être plus intégré dans le groupe d’élèves. Il faut aller plus loin dans l’observation participative.
– Observation participative … je vois. »

jeudi 7 décembre 2017

Christine - chapitre 8

Avec ma belle-mère, nous rentrions enfin. Mais en ce qui me concernait, les épreuves qui m’attendaient étaient loin d’être terminées. Débutée tôt le matin, cette journée avait été jalonnée par ma rentrée à Ste-Marie en cours de vacances, la pause-repas imposée par et avec ma belle-mère et enfin l’achat aux Galeries de mon trousseau toujours en compagnie de ma belle-mère.

Loin d’avoir été une partie de shopping, ce passage aux Galeries avait été éprouvant. J’y avais été prise à partie par la vendeuse et mon comportement n’avait alors pas arrangé les choses. Afin d’aller plus vite cette vendeuse avait demandé à ma belle-mère de m’aider pour les essayages et j’avais pris cela pour de l’ingérence. J’avais tout d’abord argué du fait que j’étais grande et savais me débrouiller toute seule pour me déshabiller. Puis je ne souhaitais pas me montrer en sous-vêtements ni enfiler des collants de laine. Et enfin j’avais refusé d’être nue pour essayer culottes et soutiens-gorge.

Je n’avais pas voulu me laisser faire et j’avais répondu sur un ton sec et déplaisant. La vendeuse, un peu excédée par mon insolence y avait été de quelques claques sur mes fesses qui s’étaient révélées être une bonne fessée. Par défi, par rapport à mes 36 ans, je m’étais retenue de toute réaction mais l’humiliation publique subie avait été la plus forte. Car c’est dans et devant les cabines d’essayage que tout cela s’était déroulé aux Galeries.

C’est en pleurant à chaudes larmes, telle une gamine, que j’avais suivi ma belle-mère jusqu’à la caisse. Y revoir la vendeuse qui me toisait n’avait fait qu’entretenir et même renforcer mes sanglots.

mercredi 6 décembre 2017

une histoire vraie - chapitre 7

L'été se déroule ensuite plus calmement. Je suis moins souvent puni car je suis dompté comme dit Madame Tourelle. J'aime énormément ma mère adoptive qui est véritablement devenu ma mère aussi dans mon cœur. Je pense d'ailleurs et je sais que c'est réciproque. Cependant je la crains énormément. Je suis toujours sur mes gardes et je me concentre toujours pour ne faire d'erreur. Il faut dire que la moindre bêtise me vaut une ou des punitions.
Quelques jours avant la rentrée, après mes devoirs quotidiens, maman m'envoie acheter une baguette de pain à la boulangerie toute proche. J'ai bien sûr droit aux recommandations d'usage.

lundi 4 décembre 2017

L'institut F - chapitre 8

le fouet

Depuis que Caroline avait administré une fessée déculottée à sa jeune stagiaire, elle n’eut plus jamais à lui faire de remontrances. Parfois, peut-être un conseil de temps en temps en général pour lui recommander d’être plus sévère. Mais Nadia avait parfaitement intégré ses missions d’assistante y compris pour recevoir et traiter directement clients et clientes.

Après quelques jours et un peu d’expérience, Nadia ne se formalisait plus. Déculotter un grand garçon ou une femme, y compris sensiblement plus âgée qu’elle ne la dérangeait pas. Elle avait compris que sa situation lui donnait une supériorité. Que le regard et le ton de la voix, déterminé et sans concession la plaçait en position de dominer la situation et d’obtenir une soumission presque parfaite.

samedi 2 décembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 17

De retour dans l’appartement que je partageais avec mes colocataires, je me réfugiais dans ma chambre. Tout n’avait pas été explicité au cours de cette réunion. Il restait pour moi une grosse inconnue : étais désormais soumis à la fessée comme tous les autres élèves ? L’uniforme, cela me semblait acceptable. Mais la fessée en public, devant toute la classe … Cette question n’aurait pas de réponse avant la fin des vacances de la Toussaint qui commençaient. J’avais donc une semaine de répit.
Marc, Julie et moi avions pris l’habitude de prendre notre dîner ensemble lorsque nous étions présents tous les trois. Je pris place sur ma chaise, sans prendre de précaution. La grimace que je fis à la douleur qui électrisa mon postérieur, fut éloquente. Julie, à qui rien n’échappait, fronça les sourcils.
« Que t’arrive-t-il ? Ta as un problème ? »