mardi 26 décembre 2017

Axel, élève à St Marie - chapitre 21

En guise de (modeste) cadeau de Noël, deux épisodes d'Axel dans la même semaine. C'est le début d'une nouvelle partie : élève à St Marie, avec quelques changements dans la vie d'Axel. Joyeux Noël à tous. JLG.

« Allons, debout gros paresseux ! C’est l’heure de se lever ! Il y a école aujourd’hui : »
Encore dans mon demi-sommeil je percevais vaguement, à travers mes yeux entrouverts, Julie qui s’affairait. Elle ouvrit les rideaux, rabattit les couvertures de mon lit sur mes pieds en me laissant découvert. L’air frais m’entoura et je frissonnais. Cela ne suffit pas pour que je me lève.
Julie préparait mes vêtements qu’elle sélectionnait devant l’armoire. Elle revint vers moi et me donna une claque sèche sur les fesses.

« Debout, tout de suite ! Plus question de rester au lit ! »
Une nouvelle claque sur le haut de ma cuisse me décida à bouger. Ce n’était pas que cette petite fessée m’eusse fait grand mal, mais c’était un avertissement à ne pas négliger.
Julie m’attendait dans la cuisine où elle avait mis sur la table tout ce qu’elle attendait que je mange. C’était beaucoup trop à mon goût, mais Julie en avait décidé autrement. Dès le petit déjeuner avalé, Julie m’envoya dans la salle de bain. Elle m’y suivit.
C’était le troisième matin où elle se chargeait de ma toilette. Elle me déshabilla et me lava des pieds à la tête. Si les attouchements que cela supposait, étaient toujours aussi humiliants, je ne protestais plus. Je m’étais installé dans une coopération minimale, suffisante pour ne pas en être puni, mais qui me laissait l’impression que je protestais activement contre cette atteinte à ma pudeur. Je ne sais pas si Julie s’en apercevait. Elle n’en donnait aucun signe.
La suite faisait partie d’un rituel qui, au bout de trois jours, était déjà bien établi. Julie qui avait choisi mes vêtements du jour, m’habillait. Le moment le plus difficile, c’était quand Julie me présentait ma culotte pour que j’y passe les pieds un par un et qu’elle la remontait pour y faire rentrer mon tee-shirt. Elle prenait soin de le positionner bien régulièrement autour de ma taille, ce qui l’obligeait à glisser sa main sous l’élastique de ma culotte, effleurant mes fesses et mon sexe. Ces caresses ne me laissaient pas indifférent et j’avais du mal à réprimer une érection. Julie, elle, y était totalement indifférente, c’est du moins ce qu’il me semblait.
J’avais hâte de retourner à St Marie, là où je pouvais prendre ma douche seul et m’habiller sans l’aide de ma colocataire.
La nouveauté, ce matin fut de me vêtir de mon uniforme scolaire. Mon enthousiasme à regagner St Marie en fut douché. Quelles conséquences auraient les décisions prises la veille des vacances ?
« Vous perdez tous vos privilèges, m’avait dit Sœur Marie Joseph. »
J’étais un peu inquiet sur ce que cela pouvait signifier.
Julie acheva de nouer ma cravate. Elle fit un pas en arrière.
« Voilà, beau comme un sou neuf ! Tu es fin prêt pour retourner à l’école. J’espère que tu y seras sage, sinon … »
Julie me donna une petite claque sur les fesses. Ce n’était pas vraiment une fessée, mais plutôt la promesse de futures corrections. Muni du sac contenant le trousseau que Madame Mac Cormac m’avait donné et de mon cartable contenant mon rapport d’étude en cours de finalisation, Julie m’envoya à St Marie.

Sœur Marie Joseph m’attendait. D’un geste du doigt, elle m’ordonna de venir plus près d’elle. Elle me regarda de haut en bas.
« Tournez-vous, Axel ! »
Il n’y avait plus de « Monsieur Fournier ». Cela faisait certainement partie des privilèges que j’avais perdus suite au dernier conseil des professeurs.
« Tenez-vous droit ! »
Sœur Marie Joseph redressa légèrement mon nœud de cravate.
« C’est bien, vous êtes correctement habillé autant que je puisse en juger. Je compte sur vous pour être désormais tous les jours dans une tenue aussi impeccable. Est-ce bien entendu ?
– Oui, ma Sœur.
– Rejoignez votre classe ! »
C’était le ton de la directrice qui s’adressait à un élève et je lui avais répondu comme un élève s’adressant à la directrice. Ce n’était pas vraiment de la peur, mais plutôt un respect que je lui devais et qui ne se discutait pas. Il était teinté de crainte, celle qu’on ressentait naturellement en présence de l’autorité incarnée. Mon attitude m’était venue spontanément. Il n’était pas question de discuter tant son ascendance sur moi était forte à ce moment-là. Il fallut que je mette de la distance entre elle et moi pour me rendre compte que j’en avais encore pour presque deux mois à ce régime.
A mon arrivée à proximité du groupe de mes condisciples, le silence se fit. Me voir en uniforme avait stupéfié tous les élèves. Lentement les conversations reprirent et j’avais l’impression que j’étais au centre d’un bon nombre des échanges. Certains se tournaient furtivement vers moi, comme pour vérifier que leurs yeux ne les avaient pas trompés.
Sœur Thérèse mit fin à ces conciliabules en mettant en rang tout ce petit monde pour nous conduire vers la salle de classe. Elle me retint à côté de l’estrade pendant que mes camarades prenaient place.
« Comme vous avez pu le constater, Axel porte maintenant l’uniforme du collège. Il fait désormais complètement partie de votre classe, c’est un élève comme les autres. Allez vous asseoir Axel. »
Le cours commença. La routine banale s’installa. Il y avait des leçons à réciter que Christophe ne connaissait pas assez bien. Il reçut la première fessée de la journée et, la culotte baissée, il alla réviser dans le coin de la salle pendant que l’interrogation orale se poursuivait avec d’autres élèves. En somme, tout était normal, habituel, si ce n’était moi, avec ma nouvelle tenue, dans le fond de la classe.
Le cours prit son rythme de croisière. Jouant mon nouveau rôle, j’en suivais le contenu. Sœur Thérèse parlait de la Chine après la seconde guerre mondiale. Ce qui se disait n’était pas très compliqué. J’avais déjà entendu tout cela. Il m’était difficile de me concentrer sur ce qui était dit, tant il me semblait banal, ressassé. Je m’ennuyais.
J’étais bien plus préoccupé par les conséquences que pourrait avoir mon intégration pleine et entière dans la classe. Il était clair que je ne pouvais plus me permettre de mener ma propre activité pendant les cours. Fini les lectures personnelles, terminé la rédaction de mes notes. J’allais devoir suivre le programme de terminale, ce qui ne m’offrait pas une perspective bien alléchante. Je pouvais toujours être distrait, mais cela ne me sauverait pas de l’ennui.
Il y avait bien quelques matières dans lesquelles je n’avais jamais été à l’aise, sans y avoir passé une énergie conséquente, plutôt le contraire. C’étaient dans l’ensemble les matières scientifiques. Ce n’est pas pour rien que j’avais passé un baccalauréat littéraire. Là les contenus seraient probablement nouveaux, mais ils ne m’intéressaient pas. Finalement, je ne trouverai mon compte que pendant les cours d’éducation physique. Leur seul inconvénient était de se terminer par une douche. Presque deux mois à tenir !
« Axel, je vous prie, que pensez-vous de l’opinion que vient d’émettre votre camarade ?
Je sursautais ce qui provoqua quelques rires dans la classe. Je m’extirpais de ma rêverie pour revenir à la réalité. Sœur Thérèse s’adressait à moi. Tous les élèves me regardaient.
« Nous serions très intéressés pour connaître ce qui ressort des profondes pensées qui vous accaparent depuis plusieurs minutes. Nul doute qu’elles vont nous éclairer sur le sujet dont nous discutions. Alors ?
– Je ne sais pas ma Sœur.
– Vous ne savez pas. Qu’est-ce à dire ? N’avez-vous pas d’opinion ?
– Oui, c’est cela. Je n’ai pas d’opinion.
– Vous n’avez pas d’opinion ! Sur quoi, au fait, n’avez-vous pas d’opinion ? Pouvez-vous nous le dire, mon garçon ?
– Euh, … je , … je ne, … »
Je ne pouvais pas risquer un sujet au hasard. Il était préférable de me taire.
« Alors, insista Sœur Thérèse, de quoi parlions-nous ? Nous n’avons pas trop de temps à vous consacrer, Axel. J’attends votre réponse. »
Je baissais les yeux.
« Vous ne pouvez pas répondre à cette question parce que vous ne suiviez pas du tout le cours. Vous étiez ailleurs, mais du tout avec nous. C’est ennuyeux ! »
Je sentais la tension monter dans la classe, à moins que ce ne soit mon propre trouble qui me nouait le ventre.
« Venez-ici, Axel ! »
Je la regardais incrédule. J’avais vécu cette scène bien plus d’une fois à St Marie. Je ne pensais même pas à obéir à son ordre tant j’étais abasourdi par ce que je pressentais. Je restais sur place, pétrifié.
« Faut-il que j’aille vous chercher, jeune homme ? Venez-ici tout de suite ! »
Sœur Thérèse avait haussé la voix ce qui lui arrivait rarement. Je reçus son ordre comme une onde de choc que je ressentis physiquement sur mon visage, comme une gifle qui aurait traversé la classe. Mécaniquement, je me levais et je marchais vers le devant de la classe où Sœur Thérèse m’attendait.
« Il semble, mon garçon, que vous rêvassiez en cours. Cela est strictement interdit. Quand vous êtes en classe, c’est pour apprendre. La distraction est incompatible avec un apprentissage sérieux. A St Marie, nous savons guérir les élèves inattentifs en classe. En général, une bonne fessée est un remède tout à fait efficace, parfois il en faut deux ou trois. Rarement plus. »
Nous y étions. Le mot était lâché. La fessée.
« Baissez votre pantalon, Axel ! »
Il y eut un murmure qui parcourut la salle. Sœur Thérèse leva les yeux vers ses élèves. Le silence total se fit aussitôt. Elle reporta son attention sur moi.
« J’attends, Axel !
– Mais, … mais, … je, … je, …
– Dépêchez-vous !
– Non, … non, … pas, …
– Osez-vous dire que vous refusez de recevoir la fessée ? »
Dans mon angoisse j’arrivais malgré tout à percevoir la menace dans ces quelques mots de Sœur Thérèse.
– Si, ma Sœur, mais … pas, … ici
– Au contraire, je pense que c’est ici que vous devez recevoir la fessée. Ici et maintenant. La recevoir en privé fait partie des privilèges que vous avez perdu. Comme les autres élèves, elle vous sera dorénavant donnée dès que vous l’aurez méritée, sans délai. Plus la correction est proche de ce qui l’a motivée, plus elle porte ses fruits. Quant à la recevoir devant vos camarades, c’est très utile pour leur édification. L’inattention en classe se termine par une fessée. C’est ce qui va entrer dans la tête de chacun de vos condisciples quand ils vous verront danser des fesses sous le rythme que ma main va leur imprimer.
– Oui, mais …
– Ça suffit maintenant ! Je n’ai pas l’habitude de discuter avec les élèves que j’ai décidé de punir. Votre pantalon tout de suite ! »
Je plaçais mes mains sur la ceinture de mon pantalon, mais je ne pus pas aller plus loin. Les yeux de Sœur Thérèse flamboyèrent.
« Si vous ne baissez pas votre pantalon tout de suite, c’est moi qui vais le faire. Vous aurez alors une autre fessée à la fin du cours. »
Cette menace ne réussit pas à me faire obéir. Sœur Thérèse fit un pas en avant.
« Je vous conseille de me laisser faire ! »
Elle donna une sévère tape sur mes mains pour les écarter. Je n’avais pas plus l’énergie pour m’opposer à elle que pour participer à mon déculottage. En un rien de temps, elle avait défait mon pantalon et l’avait fait glisser sur mes mollets.
« C’est parfait, vous avez gagné une deuxième fessée que je vous donnerai à la fin du cours. Elle sera bien plus sévère que celle que je vais vous donner maintenant. »
Sœur Thérèse entoura ma taille de son bras gauche en me ployant sous son coude. Elle était debout sur l’estrade alors que j’étais resté au pied. Elle avait donc gagné une vingtaine de centimètres, ce qui la mettait à la bonne hauteur pour surplomber mes fesses. Je sentis ses doigts se saisir de l’élastique de ma culotte. Elle la descendit à hauteur de mes genoux. Je sentis l’air frais caresser tout mon postérieur.
J’eus alors pleinement le sentiment de l’horreur de ce qui m’arrivait : ma première fessée déculottée, en public, devant toute la classe. Les fesses tournées vers mes condisciples, je ne pouvais pas les voir. Je sentais pourtant le poids de leurs yeux posés sur mes fesses nues.
Cette sensation ne dura que quelques secondes. Elle fut vite remplacée par la brûlure provoquée par la main de Sœur Thérèse qui frappait mon postérieur. Elle alternait : un côté, puis l’autre. Les claques se succédaient à un rythme infernal et je ne pouvais encaisser une telle cuisson sur mes fesses tout en restant inerte.
Je commençais par remuer le bassin de gauche à droite. Ce mouvement était contenu par le bras de Sœur Thérèse qui me maintenait contre son flanc. Assez vite, j’accompagnais ce balancement par une trépidation de mes pieds : je levais celui qui était situé du côté où la main de Sœur Thérèse venait de claquer mes fesses, sans arriver à suivre le rythme. Toute cette gesticulation était limitée par mon pantalon tombé sur mes chevilles.
Les grognements assourdis que j’émettais au début de la fessée, devinrent de plus en plus sonores. Sœur Thérèse n’avait pas encore coloré toute la surface de mes fesses que je criais sans retenue. Alors que, dans un mouvement incontrôlé, j’écartais les jambes, la main de Sœur Thérèse s’égara sur la peau tendre à l’intérieur de mes cuisses. Je sentis une douleur aigue, ce qui marqua le début de mes pleurs. Il n’y eut plus moyen de les arrêter.
La présence de mes camarades, spectateurs de ma fessée, m’était maintenant indifférente alors que c’était ma préoccupation principale durant mon déculottage. Pour être plus exact, j’oubliais leur présence.
J’avais, par contre, bien à l’esprit la stature de Sœur Thérèse qui me dominait. Sa présence accaparait mon esprit. Nos positions respectives créaient une proximité qui s’approchait de l’intimité : son bras gauche entourant ma taille ; sa main gauche placée sous mon ventre, à la limite de mon pubis ; mon buste plaqué contre son flanc ; mon bassin appuyé sur sa cuisse gauche qu’effleurait mon pénis au gré de mes mouvements ; et sa main droite entrant en contact avec mes fesses et provoquant la cascade douleur qui allait croissante.
Nos deux corps étaient étroitement imbriqués comme ne le sont que rarement ceux de deux adultes. Sans aucune ambiguïté, nous étions dans un autre registre. Il s’agissait là d’un adulte, agissant au nom de sa légitimité à décider ce qui est nécessaire pour un enfant et lui imposant sa volonté, au-delà de toute privauté, au-delà de toute pudeur. Ma soumission à la correction allait dans ce sens. Je ne donnais aucun signe de rébellion contre le traitement qui m’était infligé. Je laissais Sœur Thérèse mener ma punition comme elle l’entendait, sans tenter de m’y soustraire. Je reconnaissais implicitement son droit de fesser l’enfant que j’étais, au nom de l’autorité qu’elle détenait. Ce n’était pas mes gesticulations, ni mes cris et mes pleurs qui pouvaient passer pour une protestation.
L’interdiction de protéger mes fesses de ma main libre et fortement ancrée dans mon esprit. Je l’avais apprise à mes dépens lors des précédentes fessées qui m’avaient été administrées. L’obéissance due à ma correctrice me défendait d’effecteur le geste que ma raison demandait pour soulager mes fesses en tentant de neutraliser la source de la douleur qui était maintenant devenue insupportable.
Comme au cours de toute fessée assez longue, vint le moment où mes mouvements devinrent moins incontrôlés. Je ne réagissais plus qu’au contact de ma main de Sœur Thérèse sur mes fesses, par une crispation de mes muscles fessiers. Mes pleurs ne cessèrent pas pour autant. J’étais arrivé à un pallier de souffrance que la suite de la fessée ne pouvait plus qu’entretenir. C’était sans doute là où Sœur Thérèse voulait me conduire. Elle mit fin à la fessée.
Je crois que si elle m’avait relâché dans l’instant, je serais tombé. Mon poids reposait largement sur Sœur Thérèse et la position dans laquelle elle me tenait, me laissait en léger déséquilibre. Elle me laissa un petit moment pour reprendre mes esprits et le contrôle de mon corps que lui avais abandonné.
« Relèvez-vous ! »
Je retrouvais la position verticale et je portais mes mains à mes fesses.
« Non, fit-elle ! C’est interdit de se frotter les fesses après une correction. »
Elle écarta mes mains d’une tape sèche sur les doigts.
« Mettez vos mains dans le dos ! »
Je n’avais pas d’autre ambition que d’obéir à ses ordres. Quoiqu’elle m’ait ordonné à ce moment-là, je l’aurais fait.
« Allez vous mettre au coin ! »
Je savais ce que cela voulait dire pour avoir vu plusieurs de mes camarades obtempérer à ce commandement, quasiment tous ceux qui avaient reçu une fessée. Je me dirigeais vers le lieu où devait se dérouler la suite de ma punition. Je me positionnais dans l’angle de la pièce et m’immobilisais, à l’image de ce que faisaient mes condisciples dans la même situation.
« Je vois, commenta Sœur Thérèse, que vous avez appris à vous tenir au coin. Il est donc inutile que je vous rappelle qu’il est interdit de bouger avant que je ne vous y autorise. »
Je n’avais pas d’autre désir que de me faire oublier. Me rappeler à l’attention de Sœur Thérèse en outrepassant les règles qui régissaient une station au coin ne faisait pas partie de mes projets à court terme. Tout faire pour éviter une autre fessée était ma seule aspiration.
C’est alors que je me souvins que le moment de ma prochaine fessée était déjà décidé. Mes sanglots redoublèrent.
« Axel, gronda Sœur Thérèse, je ne veux pas vous entendre ! Vous gênez toute la classe. Vous faut-il une autre fessée sur le champ ? »

Je ravalais mes sanglots mais je pleurais toujours, cette fois-ci bien plus silencieusement.

Pour suivre le fil de cette histoire :

Pour comprendre le contexte : introduction
Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 20
Le prochain épisode :chapitre 22.

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