En guise de (modeste) cadeau de Noël, deux épisodes d'Axel dans la même semaine. C'est le début d'une nouvelle partie : élève à St Marie, avec quelques changements dans la vie d'Axel. Joyeux Noël à tous. JLG.
« Allons, debout gros paresseux ! C’est l’heure de se lever ! Il y a école aujourd’hui : »
« Allons, debout gros paresseux ! C’est l’heure de se lever ! Il y a école aujourd’hui : »
Encore dans mon demi-sommeil je
percevais vaguement, à travers mes yeux entrouverts, Julie qui s’affairait.
Elle ouvrit les rideaux, rabattit les couvertures de mon lit sur mes pieds en
me laissant découvert. L’air frais m’entoura et je frissonnais. Cela ne suffit
pas pour que je me lève.
Julie préparait mes vêtements
qu’elle sélectionnait devant l’armoire. Elle revint vers moi et me donna une
claque sèche sur les fesses.
« Debout, tout de suite !
Plus question de rester au lit ! »
Une nouvelle claque sur le haut
de ma cuisse me décida à bouger. Ce n’était pas que cette petite fessée m’eusse
fait grand mal, mais c’était un avertissement à ne pas négliger.
Julie m’attendait dans la cuisine
où elle avait mis sur la table tout ce qu’elle attendait que je mange. C’était
beaucoup trop à mon goût, mais Julie en avait décidé autrement. Dès le petit
déjeuner avalé, Julie m’envoya dans la salle de bain. Elle m’y suivit.
C’était le troisième matin où elle
se chargeait de ma toilette. Elle me déshabilla et me lava des pieds à la tête.
Si les attouchements que cela supposait, étaient toujours aussi humiliants, je
ne protestais plus. Je m’étais installé dans une coopération minimale,
suffisante pour ne pas en être puni, mais qui me laissait l’impression que je
protestais activement contre cette atteinte à ma pudeur. Je ne sais pas si
Julie s’en apercevait. Elle n’en donnait aucun signe.
La suite faisait partie d’un
rituel qui, au bout de trois jours, était déjà bien établi. Julie qui avait
choisi mes vêtements du jour, m’habillait. Le moment le plus difficile, c’était
quand Julie me présentait ma culotte pour que j’y passe les pieds un par un et
qu’elle la remontait pour y faire rentrer mon tee-shirt. Elle prenait soin de
le positionner bien régulièrement autour de ma taille, ce qui l’obligeait à
glisser sa main sous l’élastique de ma culotte, effleurant mes fesses et mon
sexe. Ces caresses ne me laissaient pas indifférent et j’avais du mal à
réprimer une érection. Julie, elle, y était totalement indifférente, c’est du
moins ce qu’il me semblait.
J’avais hâte de retourner à St
Marie, là où je pouvais prendre ma douche seul et m’habiller sans l’aide de ma
colocataire.
La nouveauté, ce matin fut de me
vêtir de mon uniforme scolaire. Mon enthousiasme à regagner St Marie en fut
douché. Quelles conséquences auraient les décisions prises la veille des
vacances ?
« Vous perdez tous vos
privilèges, m’avait dit Sœur Marie Joseph. »
J’étais un peu inquiet sur ce que
cela pouvait signifier.
Julie acheva de nouer ma cravate.
Elle fit un pas en arrière.
« Voilà, beau comme un sou
neuf ! Tu es fin prêt pour retourner à l’école. J’espère que tu y seras
sage, sinon … »
Julie me donna une petite claque
sur les fesses. Ce n’était pas vraiment une fessée, mais plutôt la promesse de
futures corrections. Muni du sac contenant le trousseau que Madame Mac Cormac
m’avait donné et de mon cartable contenant mon rapport d’étude en cours de
finalisation, Julie m’envoya à St Marie.
Sœur Marie Joseph m’attendait.
D’un geste du doigt, elle m’ordonna de venir plus près d’elle. Elle me regarda
de haut en bas.
« Tournez-vous,
Axel ! »
Il n’y avait plus de
« Monsieur Fournier ». Cela faisait certainement partie des
privilèges que j’avais perdus suite au dernier conseil des professeurs.
« Tenez-vous
droit ! »
Sœur Marie Joseph redressa
légèrement mon nœud de cravate.
« C’est bien, vous êtes
correctement habillé autant que je puisse en juger. Je compte sur vous pour
être désormais tous les jours dans une tenue aussi impeccable. Est-ce bien
entendu ?
– Oui, ma Sœur.
– Rejoignez votre
classe ! »
C’était le ton de la directrice
qui s’adressait à un élève et je lui avais répondu comme un élève s’adressant à
la directrice. Ce n’était pas vraiment de la peur, mais plutôt un respect que
je lui devais et qui ne se discutait pas. Il était teinté de crainte, celle
qu’on ressentait naturellement en présence de l’autorité incarnée. Mon attitude
m’était venue spontanément. Il n’était pas question de discuter tant son
ascendance sur moi était forte à ce moment-là. Il fallut que je mette de la
distance entre elle et moi pour me rendre compte que j’en avais encore pour
presque deux mois à ce régime.
A mon arrivée à proximité du
groupe de mes condisciples, le silence se fit. Me voir en uniforme avait
stupéfié tous les élèves. Lentement les conversations reprirent et j’avais
l’impression que j’étais au centre d’un bon nombre des échanges. Certains se
tournaient furtivement vers moi, comme pour vérifier que leurs yeux ne les
avaient pas trompés.
Sœur Thérèse mit fin à ces
conciliabules en mettant en rang tout ce petit monde pour nous conduire vers la
salle de classe. Elle me retint à côté de l’estrade pendant que mes camarades
prenaient place.
« Comme vous avez pu le
constater, Axel porte maintenant l’uniforme du collège. Il fait désormais
complètement partie de votre classe, c’est un élève comme les autres. Allez
vous asseoir Axel. »
Le cours commença. La routine
banale s’installa. Il y avait des leçons à réciter que Christophe ne
connaissait pas assez bien. Il reçut la première fessée de la journée et, la
culotte baissée, il alla réviser dans le coin de la salle pendant que
l’interrogation orale se poursuivait avec d’autres élèves. En somme, tout était
normal, habituel, si ce n’était moi, avec ma nouvelle tenue, dans le fond de la
classe.
Le cours prit son rythme de
croisière. Jouant mon nouveau rôle, j’en suivais le contenu. Sœur Thérèse
parlait de la Chine après la seconde guerre mondiale. Ce qui se disait n’était
pas très compliqué. J’avais déjà entendu tout cela. Il m’était difficile de me
concentrer sur ce qui était dit, tant il me semblait banal, ressassé. Je
m’ennuyais.
J’étais bien plus préoccupé par
les conséquences que pourrait avoir mon intégration pleine et entière dans la
classe. Il était clair que je ne pouvais plus me permettre de mener ma propre
activité pendant les cours. Fini les lectures personnelles, terminé la
rédaction de mes notes. J’allais devoir suivre le programme de terminale, ce
qui ne m’offrait pas une perspective bien alléchante. Je pouvais toujours être
distrait, mais cela ne me sauverait pas de l’ennui.
Il y avait bien quelques matières
dans lesquelles je n’avais jamais été à l’aise, sans y avoir passé une énergie
conséquente, plutôt le contraire. C’étaient dans l’ensemble les matières
scientifiques. Ce n’est pas pour rien que j’avais passé un baccalauréat
littéraire. Là les contenus seraient probablement nouveaux, mais ils ne
m’intéressaient pas. Finalement, je ne trouverai mon compte que pendant les
cours d’éducation physique. Leur seul inconvénient était de se terminer par une
douche. Presque deux mois à tenir !
« Axel, je vous prie, que
pensez-vous de l’opinion que vient d’émettre votre camarade ?
Je sursautais ce qui provoqua
quelques rires dans la classe. Je m’extirpais de ma rêverie pour revenir à la
réalité. Sœur Thérèse s’adressait à moi. Tous les élèves me regardaient.
« Nous serions très
intéressés pour connaître ce qui ressort des profondes pensées qui vous
accaparent depuis plusieurs minutes. Nul doute qu’elles vont nous éclairer sur
le sujet dont nous discutions. Alors ?
– Je ne sais pas ma Sœur.
– Vous ne savez pas. Qu’est-ce à
dire ? N’avez-vous pas d’opinion ?
– Oui, c’est cela. Je n’ai pas
d’opinion.
– Vous n’avez pas
d’opinion ! Sur quoi, au fait, n’avez-vous pas d’opinion ?
Pouvez-vous nous le dire, mon garçon ?
– Euh, … je , … je ne, … »
Je ne pouvais pas risquer un
sujet au hasard. Il était préférable de me taire.
« Alors, insista Sœur
Thérèse, de quoi parlions-nous ? Nous n’avons pas trop de temps à vous
consacrer, Axel. J’attends votre réponse. »
Je baissais les yeux.
« Vous ne pouvez pas
répondre à cette question parce que vous ne suiviez pas du tout le cours. Vous
étiez ailleurs, mais du tout avec nous. C’est ennuyeux ! »
Je sentais la tension monter dans
la classe, à moins que ce ne soit mon propre trouble qui me nouait le ventre.
« Venez-ici,
Axel ! »
Je la regardais incrédule.
J’avais vécu cette scène bien plus d’une fois à St Marie. Je ne pensais même
pas à obéir à son ordre tant j’étais abasourdi par ce que je pressentais. Je
restais sur place, pétrifié.
« Faut-il que j’aille vous
chercher, jeune homme ? Venez-ici tout de suite ! »
Sœur Thérèse avait haussé la voix
ce qui lui arrivait rarement. Je reçus son ordre comme une onde de choc que je
ressentis physiquement sur mon visage, comme une gifle qui aurait traversé la
classe. Mécaniquement, je me levais et je marchais vers le devant de la classe
où Sœur Thérèse m’attendait.
« Il semble, mon garçon, que
vous rêvassiez en cours. Cela est strictement interdit. Quand vous êtes en
classe, c’est pour apprendre. La distraction est incompatible avec un
apprentissage sérieux. A St Marie, nous savons guérir les élèves inattentifs en
classe. En général, une bonne fessée est un remède tout à fait efficace,
parfois il en faut deux ou trois. Rarement plus. »
Nous y étions. Le mot était
lâché. La fessée.
« Baissez votre pantalon,
Axel ! »
Il y eut un murmure qui parcourut
la salle. Sœur Thérèse leva les yeux vers ses élèves. Le silence total se fit
aussitôt. Elle reporta son attention sur moi.
« J’attends, Axel !
– Mais, … mais, … je, … je, …
– Dépêchez-vous !
– Non, … non, … pas, …
– Osez-vous dire que vous refusez
de recevoir la fessée ? »
Dans mon angoisse j’arrivais
malgré tout à percevoir la menace dans ces quelques mots de Sœur Thérèse.
– Si, ma Sœur, mais … pas, … ici
– Au contraire, je pense que
c’est ici que vous devez recevoir la fessée. Ici et maintenant. La recevoir en
privé fait partie des privilèges que vous avez perdu. Comme les autres élèves,
elle vous sera dorénavant donnée dès que vous l’aurez méritée, sans délai. Plus
la correction est proche de ce qui l’a motivée, plus elle porte ses fruits.
Quant à la recevoir devant vos camarades, c’est très utile pour leur édification.
L’inattention en classe se termine par une fessée. C’est ce qui va entrer dans
la tête de chacun de vos condisciples quand ils vous verront danser des fesses
sous le rythme que ma main va leur imprimer.
– Oui, mais …
– Ça suffit maintenant ! Je
n’ai pas l’habitude de discuter avec les élèves que j’ai décidé de punir. Votre
pantalon tout de suite ! »
Je plaçais mes mains sur la
ceinture de mon pantalon, mais je ne pus pas aller plus loin. Les yeux de Sœur
Thérèse flamboyèrent.
« Si vous ne baissez pas
votre pantalon tout de suite, c’est moi qui vais le faire. Vous aurez alors une
autre fessée à la fin du cours. »
Cette menace ne réussit pas à me
faire obéir. Sœur Thérèse fit un pas en avant.
« Je vous conseille de me
laisser faire ! »
Elle donna une sévère tape sur
mes mains pour les écarter. Je n’avais pas plus l’énergie pour m’opposer à elle
que pour participer à mon déculottage. En un rien de temps, elle avait défait
mon pantalon et l’avait fait glisser sur mes mollets.
« C’est parfait, vous avez
gagné une deuxième fessée que je vous donnerai à la fin du cours. Elle sera
bien plus sévère que celle que je vais vous donner maintenant. »
Sœur Thérèse entoura ma taille de
son bras gauche en me ployant sous son coude. Elle était debout sur l’estrade
alors que j’étais resté au pied. Elle avait donc gagné une vingtaine de
centimètres, ce qui la mettait à la bonne hauteur pour surplomber mes fesses.
Je sentis ses doigts se saisir de l’élastique de ma culotte. Elle la descendit
à hauteur de mes genoux. Je sentis l’air frais caresser tout mon postérieur.
J’eus alors pleinement le
sentiment de l’horreur de ce qui m’arrivait : ma première fessée
déculottée, en public, devant toute la classe. Les fesses tournées vers mes
condisciples, je ne pouvais pas les voir. Je sentais pourtant le poids de leurs
yeux posés sur mes fesses nues.
Cette sensation ne dura que
quelques secondes. Elle fut vite remplacée par la brûlure provoquée par la main
de Sœur Thérèse qui frappait mon postérieur. Elle alternait : un côté,
puis l’autre. Les claques se succédaient à un rythme infernal et je ne pouvais
encaisser une telle cuisson sur mes fesses tout en restant inerte.
Je commençais par remuer le
bassin de gauche à droite. Ce mouvement était contenu par le bras de Sœur
Thérèse qui me maintenait contre son flanc. Assez vite, j’accompagnais ce
balancement par une trépidation de mes pieds : je levais celui qui était
situé du côté où la main de Sœur Thérèse venait de claquer mes fesses, sans
arriver à suivre le rythme. Toute cette gesticulation était limitée par mon
pantalon tombé sur mes chevilles.
Les grognements assourdis que
j’émettais au début de la fessée, devinrent de plus en plus sonores. Sœur
Thérèse n’avait pas encore coloré toute la surface de mes fesses que je criais
sans retenue. Alors que, dans un mouvement incontrôlé, j’écartais les jambes,
la main de Sœur Thérèse s’égara sur la peau tendre à l’intérieur de mes
cuisses. Je sentis une douleur aigue, ce qui marqua le début de mes pleurs. Il
n’y eut plus moyen de les arrêter.
La présence de mes camarades,
spectateurs de ma fessée, m’était maintenant indifférente alors que c’était ma
préoccupation principale durant mon déculottage. Pour être plus exact,
j’oubliais leur présence.
J’avais, par contre, bien à
l’esprit la stature de Sœur Thérèse qui me dominait. Sa présence accaparait mon
esprit. Nos positions respectives créaient une proximité qui s’approchait de
l’intimité : son bras gauche entourant ma taille ; sa main gauche
placée sous mon ventre, à la limite de mon pubis ; mon buste plaqué contre
son flanc ; mon bassin appuyé sur sa cuisse gauche qu’effleurait mon pénis
au gré de mes mouvements ; et sa main droite entrant en contact avec mes
fesses et provoquant la cascade douleur qui allait croissante.
Nos deux corps étaient
étroitement imbriqués comme ne le sont que rarement ceux de deux adultes. Sans
aucune ambiguïté, nous étions dans un autre registre. Il s’agissait là d’un
adulte, agissant au nom de sa légitimité à décider ce qui est nécessaire pour
un enfant et lui imposant sa volonté, au-delà de toute privauté, au-delà de
toute pudeur. Ma soumission à la correction allait dans ce sens. Je ne donnais
aucun signe de rébellion contre le traitement qui m’était infligé. Je laissais
Sœur Thérèse mener ma punition comme elle l’entendait, sans tenter de m’y
soustraire. Je reconnaissais implicitement son droit de fesser l’enfant que
j’étais, au nom de l’autorité qu’elle détenait. Ce n’était pas mes
gesticulations, ni mes cris et mes pleurs qui pouvaient passer pour une
protestation.
L’interdiction de protéger mes
fesses de ma main libre et fortement ancrée dans mon esprit. Je l’avais apprise
à mes dépens lors des précédentes fessées qui m’avaient été administrées. L’obéissance
due à ma correctrice me défendait d’effecteur le geste que ma raison demandait
pour soulager mes fesses en tentant de neutraliser la source de la douleur qui
était maintenant devenue insupportable.
Comme au cours de toute fessée
assez longue, vint le moment où mes mouvements devinrent moins incontrôlés. Je
ne réagissais plus qu’au contact de ma main de Sœur Thérèse sur mes fesses, par
une crispation de mes muscles fessiers. Mes pleurs ne cessèrent pas pour
autant. J’étais arrivé à un pallier de souffrance que la suite de la fessée ne
pouvait plus qu’entretenir. C’était sans doute là où Sœur Thérèse voulait me
conduire. Elle mit fin à la fessée.
Je crois que si elle m’avait
relâché dans l’instant, je serais tombé. Mon poids reposait largement sur Sœur
Thérèse et la position dans laquelle elle me tenait, me laissait en léger déséquilibre.
Elle me laissa un petit moment pour reprendre mes esprits et le contrôle de mon
corps que lui avais abandonné.
« Relèvez-vous ! »
Je retrouvais la position
verticale et je portais mes mains à mes fesses.
« Non, fit-elle ! C’est
interdit de se frotter les fesses après une correction. »
Elle écarta mes mains d’une tape
sèche sur les doigts.
« Mettez vos mains dans le
dos ! »
Je n’avais pas d’autre ambition
que d’obéir à ses ordres. Quoiqu’elle m’ait ordonné à ce moment-là, je l’aurais
fait.
« Allez vous mettre au
coin ! »
Je savais ce que cela voulait
dire pour avoir vu plusieurs de mes camarades obtempérer à ce commandement,
quasiment tous ceux qui avaient reçu une fessée. Je me dirigeais vers le lieu
où devait se dérouler la suite de ma punition. Je me positionnais dans l’angle
de la pièce et m’immobilisais, à l’image de ce que faisaient mes condisciples
dans la même situation.
« Je vois, commenta Sœur
Thérèse, que vous avez appris à vous tenir au coin. Il est donc inutile que je vous
rappelle qu’il est interdit de bouger avant que je ne vous y autorise. »
Je n’avais pas d’autre désir que
de me faire oublier. Me rappeler à l’attention de Sœur Thérèse en outrepassant
les règles qui régissaient une station au coin ne faisait pas partie de mes
projets à court terme. Tout faire pour éviter une autre fessée était ma seule
aspiration.
C’est alors que je me souvins que
le moment de ma prochaine fessée était déjà décidé. Mes sanglots redoublèrent.
« Axel, gronda Sœur Thérèse,
je ne veux pas vous entendre ! Vous gênez toute la classe. Vous faut-il
une autre fessée sur le champ ? »
Je ravalais mes sanglots mais je
pleurais toujours, cette fois-ci bien plus silencieusement.
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