De retour dans l’appartement que
je partageais avec mes colocataires, je me réfugiais dans ma chambre. Tout
n’avait pas été explicité au cours de cette réunion. Il restait pour moi une
grosse inconnue : étais désormais soumis à la fessée comme tous les autres
élèves ? L’uniforme, cela me semblait acceptable. Mais la fessée en
public, devant toute la classe … Cette question n’aurait pas de réponse avant la
fin des vacances de la Toussaint qui commençaient. J’avais donc une semaine de
répit.
Marc, Julie et moi avions pris
l’habitude de prendre notre dîner ensemble lorsque nous étions présents tous
les trois. Je pris place sur ma chaise, sans prendre de précaution. La grimace
que je fis à la douleur qui électrisa mon postérieur, fut éloquente. Julie, à
qui rien n’échappait, fronça les sourcils.
« Que t’arrive-t-il ?
Ta as un problème ? »
Je me lançais dans une
explication que je trouvais moi-même peu convaincante : un choc contre une
table, un bleu qui disparaitrait bientôt, … Julie me regardait. Il y avait du
doute dans son regard.
« Tu devrais mettre une
pommade contre les coups. J’en ai une si tu veux. »
Julie faisait des études de
médecine. Elle prenait toutes les questions liées à la santé avec un sérieux
qui annonçait son futur professionnalisme. Je la remerciais et je l’assurais
que j’avais ce qui me fallait.
Le soir venu, je me passais de la
pommade sur les fesses comme l’avait demandé Sœur Gabrielle. Debout devant la
glace, je vérifiais que j’avais bien enduit toute la surface de mon postérieur
de l’onguent qui me faisait vraiment du bien, mais il était malaisé de le faire
pénétrer dans la peau. Je n’étais pas dans une bonne position. Demander à
Julie ? Il n’en était pas question. Je passai la nuit allongé sur le
ventre. C’était la seule façon que j’avais trouvé pour que mes fesses me
laissent tranquilles.
Je me levais de bonne heure le
lendemain matin.
« Je vous ai pris un
rendez-vous à neuf heures trente demain matin. »
Sœur Marie Madeleine m’avait bien
recommandé d’être à l’heure. Madame Mac Cormac, la propriétaire du magasin ne
supportait pas les élèves qui arrivaient en retard.
Je pris une douche et je me
passais, une nouvelle fois, de la pommade sur les fesses. La douleur s’était
atténuée. Elle ne se réveillait que quand cas de contact appuyé sur mon
postérieur. M’asseoir était encore douloureux, mais j’arrivais à le faire sans
montrer la difficulté que cela représentait. Ma guérison était en bonne voie.
Il y avait un point qui me chagrinait.
Les marques ovales bleues que la brosse de bain avait laissées, marquaient
encore mes fesses et mes cuisses. Elles ne paraissaient pas diminuer, ni en
taille, ni en couleur. Les vacances me laissaient un peu plus d’une semaine
pour les faire disparaitre avant que mes condisciples puissent les voir lors
des douches qui concluaient les cours d’éducation physique. J’espérais que cela
suffirait.
Le magasin de confection avait
une toute petite vitrine. Quand on y pénétrait, on voyait que l’intérieur
laissait place à de l’espace dont avaient besoin des clients plutôt fortunés.
Aurai-je les moyens de m’offrir les services d’une telle boutique ?
L’accueil était à la hauteur du
standing du magasin. Une jeune fille vint à moi.
« Bonjour Monsieur, que
puis-je pour vous ?
– J’ai rendez-vous pour un
uniforme scolaire.
– Vous êtes Monsieur …
– Axel Fournier. »
La jeune fille consulta un
planning.
« Effectivement, nous vous
attendions. C’est Madame Mac Cormac, elle-même qui va s’occuper de vous. Vous
avez dû être recommandé. »
Elle me désigna un petit espace
salon om tout était fait pour le confort des clients qui patientait.
« Si vous voulez bien vous
installer. »
L’accueil me rassurait. Tout
semblait feutré dans ce décor cossu. Je n’attendis pas plus de dix minutes
avant qu’une forte femme s’approche.
« Monsieur Fournier ?
– C’est moi, dis-je en me levant.
– Vous venez bien pour un
trousseau scolaire de St Marie ? »
Je ne voyais pas bien ce qu’elle
voulait dire par « trousseau », mais n’y connaissant rien dans ce
secteur, je supposais qu’il s’agissait bien de l’uniforme scolaire que je
venais chercher.
« Sœur Gabrielle, que j’ai
eu au téléphone à votre propos, m’a demandé de m’occuper personnellement de
vous. Elle semble tenir à ce que votre tenue soit parfaite pour la rentrée.
Suivez-moi, je vous prie. »
Elle me dirigea vers une cabine
d’essayage qui avait la taille d’une petite pièce. Il y avait bien plus de
place que dans celles que j’utilisais habituellement dans les magasins que je
fréquentais. Il aurait été possible de s’y trouver simultanément à quatre ou
cinq personnes sans s’y sentir à l’étroit. Le long d’un mur, il y avait un
banc. Un grand miroir couvrait deux des murs de telle sorte qu’on pouvait s’y
contempler sous tous les angles.
Madame Mac Cormac me suivit à
l’intérieur. Elle referma le rideau derrière elle.
« Otez donc votre pantalon
et votre chemise, je reviens de suite avec de quoi prendre vos mesures. »
Les difficultés commençaient. Me
montrer en sous-vêtements faisait certainement partie des normes dans une
cabine d’essayage. Je devais toutefois cacher les marques sur mes cuisses. Je
résolu de me placer toujours face à Madame Mac Cormac. Elle revint quelques
instants plus tard, alors que je finissais d’enlever mon pantalon.
« Bon, voyons cela. »
Elle s’approcha de moi et elle
marqua un arrêt.
« Hum, hum, je comprends
mieux pourquoi Sœur Gabrielle parlait d’un trousseau complet. Votre maillot de
corps et votre culotte ne sont pas du tout réglementaires. Il faut changer
cela. Enlevez-les. »
Je crus avoir mal entendu.
« Pardon ?
– Vous avez parfaitement entendu,
ôtez vos sous-vêtements. »
Je ne savais plus bien comment
faire. Madame Mac Cormac semblait sûre d’elle. Elle attendait, les bras
croisés, que je m’exécute. Lentement l’ôtais le tee-shirt. Puis je m’arrêtais.
Comprenant qu’elle n’avait pas l’intention de me laisser l’espace d’intimité
nécessaire, je formulais, le plus poliment possible ma demande :
« Pouvez-vous, s’il vous
plait, m’apporter une autre culotte pour me changer, c’est plus … »
Je ne savais plus comment finir
ma phrase, tant la conclusion me semblait évidente.
« Jeune homme, vous me
faites perdre mon temps. Je veux prendre toutes vos mesures en une fois,
culotte comprise. Pour cela, j’ai besoin que vous ôtiez celle dont vous n’aurez
plus besoin une fois habillé avec l’uniforme de Sainte Marie. »
Son ton montrait une exaspération
croissante.
« Otez tout de suite votre
culotte ! »
Tout son langage corporel
montrait un mécontentement corporel. Je portais mes mains à ma taille mais je
ne pus aller plus loin. Je m’arrêtais là.
« Bien, dit-elle, Sœur
Gabrielle m’a expliqué que je pourrais rencontrer des difficultés avec votre
obéissance. Elle m’a également expliqué comment y remédier. »
Avant que j’aie pu faire un geste,
elle m’avait saisi par le bras et elle me tira vers le banc sur lequel elle
s’assit. Son mouvement continua et elle me fit basculer en travers de ses
genoux. Sans me laisser de répit, elle baissa ma culotte à mi-cuisses et sa
main frappa le centre de mes fesses.
Seulement alors, je tentais de me
relever. Son bras, encerclant ma taille, m’en empêcha. Elle me recoucha sur ses
genoux. Je reçus une deuxième claque sur les fesses qui me laissa une brûlure
là où elle avait frappé. Je plaçais ma main droite sur mes fesses pour les
protéger.
« Je vois que Sœur Gabrielle
s’est déjà occupée de vous. D’ailleurs, j’ai un message pour vous, de sa part.
Elle vous fait dire qu’au cas où je me verrais dans l’obligation de vous punir,
elle attend de vous que vous acceptiez votre fessée. Sinon, elle viendra sans
occuper, sans attendre la rentrée des vacances. »
Sans attendre la rentrée !
Elle projetait de venir chez moi ? Ce n’était pas possible.
« Jeune homme, ôtez votre
main que je puisse vous donner la fessée. »
J’hésitais, mais je n’en eus pas
le courage.
« Je pense que je vais
demander à la jeune fille de l’accueil de venir ici, pour me donner un
téléphone portable. Je vais alors pouvoir appeler Sœur Gabrielle. Je vous donne
une dernière chance. »
Que la jeune fille de l’accueil
me voie dans cette tenue, et Sœur Gabrielle décidée à venir me fesser chez moi,
c’en était trop. J’enlevais ma main. La fessée reprit aussitôt. Elle ne fut pas
bien longue, mais particulièrement cuisante et humiliante.
J’avais honte de me trouver
quasiment nu sur les genoux d’une dame que je ne connaissais pas il y a cinq
minutes, pour y recevoir une fessée. Mais par-dessus tout, la main de Madame Mac
Cormac frappant là où la brosse avait laissé ses marques, rendait la fessée
insupportable.
Conscient d’être dans une cabine
d’essayage absolument pas insonorisée, je retenais mes cris, les étouffant au
mieux. Le bruit des claques sur mes fesses devait déjà être assez évocateur
pour qu’il n’y ait pas de doute sur ce qui se passait. Une claque plus forte ou
administrée là où mes fesses étaient le plus sensible, provoqua mon premier
cri. Ce fut alors comme si un barrage venait de céder. Je ne maîtrisais plus
mon flot de paroles :
« Aïe, … aïe, … je vais
obéir, aïe, … je vais, aïe, … ôter ma culotte, aïe, … aïe, … »
Puis, mes paroles devinrent
beaucoup moins claires lorsqu’elles furent entrecoupées de sanglots.
Quand la fessée cessa, j’avais
les fesses en feu. Toute la douleur de la brosse était revenue. Je restais
allongé sur les genoux de Madame Mac Cormac qui m’enleva mon sous-vêtement.
« Debout ! »
Pendant tout le temps où elle
prit mes mesures, elle me donnait ses ordres sèchement.
« Tournez-vous ! …
levez les bras ! … redressez la tête ! … écartez les
jambes ! »
J’y obéissais le plus vite
possible mais cela ne m’évita pas quelques claques bien senties sur les cuisses
ou les fesses.
« Bon, fit-elle après avoir
rempli un carnet de chiffres, je crois que j’ai tout ce qu’il me faut. Allez
vous mettre au coin en attendant que je prépare tout cela. »
Nu comme un ver, je me plaçais là
où elle me l’indiquait : le coin face à la porte.
« Ici, c’est comme à St
Marie, si on bouge du coin avant d’y avoir été autorisé, on reçoit une autre
fessée. J’ai un bon martinet dans un tiroir de mon bureau, je vous y ferai goûter.
Je l’entendis écarter le rideau,
mais pas le refermer. Je devais être visible pour toute personne qui passerait
dans l’allée du magasin. Que pouvais-je y faire ? Je craquais et j’eus une
autre crise de larmes.
Quand elle cessa, j’étais
toujours au coin. J’entendis, peu à peu le magasin devenir plus bruyant. Il y
avait un plus grand nombre de clients. Ce qui devait arriver ne tarda pas. Une
dame qui passait devant la cabine dans laquelle je me tenais, m’aperçut. Elle
marqua un arrêt devant la porte grande ouverte.
« Il semble qu’il y ait là
un grand jeune homme qui n’a pas été sage ! Oh, à voir la couleur de ses
fesses, je pense qu’il a compris. Je parie qu’il va désormais être bien
obéissant. »
Sa remarque fut accompagnée de
quelques rires émis par les personnes qui l’accompagnaient.
J’entendais d’autres personnes
passer. Certaines se contentaient d’une exclamation. Je ne sais pas si j’en
étais à l’origine. D’autres restaient silencieux. M’avaient-elles aperçu ?
Il y eut des pas décidés qui
entrèrent dans la cabine.
« Bon, je vois que vous avez
enfin décidé d’être obéissant, mon garçon. Cela vous évitera d’autres
fessées. »
J’avais retenu ma respiration. Je
soufflais de soulagement. C’était bien Madame Mac Cormac. Je voyais le bout de
mon cauchemar.
« Posez tout cela ici,
Mademoiselle.
– Oui Madame. »
La vois était juvénile. Madame
Mac Cormac n’était pas revenue seule. Elle était accompagnée d’une jeune
vendeuse. Je crispais mes fesses et je frissonnais de désespoir.
« Mademoiselle, vous allez
m’habiller correctement ce grand garçon, selon les normes de St Marie. Je
veux qu’il soit impeccable. S’il vous fait quelques difficultés, vous avez ma
permission de le fesser. N’hésitez pas ! Est-ce bien compris ?
– Oui, Madame. »
J’entendis les pas de Madame Mac
Cormac s’éloigner, sans refermer le rideau derrière elle.
« Venez ici, mon
garçon ! »
La vendeuse avait pris une voix
ferme. Celle, sans doute, qui lui semblait correspondre à une personne
représentant l’autorité. Je fis demi-tour pour découvrir une toute jeune fille
qui s’était assise sur le banc. Elle ne semblait pas avoir plus de vingt ans.
Son visage avait un air grave.
« Plus près ! »
Elle me désignait le sol à ses
pieds. Je mis mes mains devant moi pour cacher mon sexe et je m’avançais.
« Enlevez vos mains, elles
vont gêner ! »
Elle me donna une petite tape sur
les mains, comme si elle avait affaire à un petit garçon désobéissant. Cela ne
suffit pas pour me faire obéir. Elle me donna alors quelques claques sur le
haut des cuisses.
« Faut-il que je vous fesse
pour vous faire obéir ? »
La menace était réelle. J’ôtais
mes mains.
« Allez-vous être sage ou
faut-il que je vous donne une fessée pour commencer ?
– Non, s’il vous plait, pas la
fessée ! »
Je reçus malgré tout une nouvelle
claque sur la cuisse.
« Non, qui ? »
Je ne mis pas plus d’une seconde
à comprendre ce qu’elle attendait.
« Non,
Mademoiselle ! »
Elle sourit et me tapota les
fesses.
« C’est bien, mon garçon. Je
pense que tu vas être sage pendant que je t’habille. D’abord les chaussettes.
Tiens-toi à mon épaule. »
Malgré son jeune âge, elle n’en
était visiblement pas à son premier habillage. Je posais ma main sur son épaule
pour garder mon équilibre, tandis que je levais les pieds, l’un après l’autre,
à son invite, pour qu’elle m’enfile des socquettes blanches. Elle passa alors
au maillot de corps qui était de la même couleur.
« Levez les
bras ! »
Je lui obéis. Elle me présenta
ensuite une culotte, blanche elle aussi.
« Votre pied ! …
l’autre ! »
Je passais mes pieds l’un après
l’autre dans l’espace prévu pour mes jambes. Elle remonta alors la culotte et
fit passer le maillot de corps à l’intérieur, le lissant contre mes hanches en
insérant ses doigts dans la culotte. Une chemise blanche qu’elle boutonna, puis
ce fut le tout du pantalon bleu marine qu’elle me présenta comme elle l’avait
fait pour ma culotte. Ma chemise y fut ramassée avant de le boutonner. Il y
avait une ceinture qui faisait partie de l’uniforme. Elle me la passa autour de
la taille et la boucla. Il restait une veste, bleu marine elle aussi, qu’elle
ajusta sur mes épaules. Elle noua la cravate beaucoup plus adroitement que je
n’aurai su le faire.
Tout était ajusté, du sur mesure.
La jeune fille me donna deux paquets. L’un volumineux dans lequel, comme elle
me le précisa, il y avait mon trousseau et dans l’autre, mes vêtements
« civils ».
« Voilà, dit-elle, bien
propre, comme doit l’être un élève de St Marie. »
Dans la glace, je remarquais un
jeune homme qui ressemblait à tous ceux qui fréquentaient l’école dont je
portais maintenant l’uniforme.
La vendeuse me donna une claque
sur la cuisse. Cela ne pouvait me faire du mal à travers le pantalon, mais
c’était plutôt vexant.
« On ne t’a pas appris à
être poli à St Marie ? Qu’est-ce qu’on dit ? »
Je restais interloqué, sans
comprendre. Une nouvelle claque au même endroit me fit comprendre ce qu’elle
voulait.
« Merci, Mademoiselle !
– C’est bien ! Un grand
garçon bien habillé et bien poli, tout à fait ce qu’il faut à St Marie. »
Elle me laissa là avec mes deux
paquets. Madame Mac Cormac arriva presqu’immédiatement.
« Voyons cela ! »
Elle me fit *pivoter devant elle.
« Parfait, dit-elle,
exactement ce qu’il fallait ! »
Elle me prit poussa en dehors de
la cabine jusqu’au comptoir où se tenait toujours la jeune fille de l’accueil.
« Sœur Marie Joseph a décidé
de prendre en charge financièrement votre trousseau. Vous n’avez donc rien à
régler. Vous pouvez rentrer chez vous.
– Euh, je vais me changer et
remettre mes vêtements d’abord. »
Madame Mac Cormac fronça les
sourcils.
« Il n’en est pas question.
Vous devez vous habituer à porter fièrement l’uniforme du collège. Sachez qu’il
vous sera demandé de l’avoir sur vous à chaque fois que vous arriverez à
l’école et, bien entendu vous l’aurez encore en sortant. Si vous ne respectez
pas cette règle élémentaire, j’ai peur que vos fesses aient à en souffrir. La
fessée que je vous aie donnée tout à l’heure vous paraîtra alors comme une
douce plaisanterie. »
Elle avait évoqué ma punition
devant la jeune vendeuse qui assurait l’accueil. Je rougis en croisant son
regard. Je marmonnais un vague remerciement et je filais vers la sortie.
Tout à fait réjouissantes ces humiliantes et cuisantes fessées administrées en public dans des endroits inattendus, par de fortes femmes autoritaire. Cette Madame Mac Cormac ( peut-être d'origine du Royaume Uni réputé pour ses pratiques de "Spanking") ne manque pas de piquant ni d'initiatives.
RépondreSupprimerAvec elle, les fesses de notre ami Axel sont encore soumises à rude épreuve et n'ont pas vraiment le temps de refroidir... pour le plus grand plaisir de la lecture. Bravo pour votre imagination et le style direct de votre écriture..
Bonjour Ramina,
SupprimerVotre assiduité sur ce blog ne se dément pas et vous n'êtes pas avare de commentaires ... un brin distanciés. Je vous en remercie.
Vous décrivez en une phrase la ligne éditoriale du blog "ces humiliantes et cuisantes fessées administrées en public dans des endroits inattendus, par de fortes femmes autoritaires."
C'est bien cela.
Au plaisir de vous lire, ce dont je ne doute pas,
JLG.
Ma foi oui! je me réjouis de contribuer à alimenter ce blog, d'une excellente tenue et d'échanger franchement sur un sujet aussi original,partagé par des amateurs avertis. Pas mécontent non plus d'avoir cerné d'aussi près une ligne éditorial si stimulante.
SupprimerQuelle bonne idée vous avez eu de créer ce site. Nous étions orphelins de ces sévères et fantasques fesseuses qui ont tant marqué la vie (et les fesses) de tant de personnes.
Ramina,
SupprimerSi j'ai créé ce site, c'est suite au constat d'une réelle pauvreté de récits parlant de la fessée, administrée par une femme, en punition de désobéissances et sans connotation sexuelles graveleuse.
J'étais également fatigué de ne trouver que des histoires remplies d'onomatopées et écrites dans un français à peine compréhensible.
Il reste à être suffisamment nombreux pour durer. Cela ne peut être qu'une oeuvre collective.
Si cela vous inspire ...
Au plaisir de vous lire,
JLG.