samedi 2 décembre 2017

Axel, consultant à St Marie - chapitre 17

De retour dans l’appartement que je partageais avec mes colocataires, je me réfugiais dans ma chambre. Tout n’avait pas été explicité au cours de cette réunion. Il restait pour moi une grosse inconnue : étais désormais soumis à la fessée comme tous les autres élèves ? L’uniforme, cela me semblait acceptable. Mais la fessée en public, devant toute la classe … Cette question n’aurait pas de réponse avant la fin des vacances de la Toussaint qui commençaient. J’avais donc une semaine de répit.
Marc, Julie et moi avions pris l’habitude de prendre notre dîner ensemble lorsque nous étions présents tous les trois. Je pris place sur ma chaise, sans prendre de précaution. La grimace que je fis à la douleur qui électrisa mon postérieur, fut éloquente. Julie, à qui rien n’échappait, fronça les sourcils.
« Que t’arrive-t-il ? Ta as un problème ? »


Je me lançais dans une explication que je trouvais moi-même peu convaincante : un choc contre une table, un bleu qui disparaitrait bientôt, … Julie me regardait. Il y avait du doute dans son regard.
« Tu devrais mettre une pommade contre les coups. J’en ai une si tu veux. »
Julie faisait des études de médecine. Elle prenait toutes les questions liées à la santé avec un sérieux qui annonçait son futur professionnalisme. Je la remerciais et je l’assurais que j’avais ce qui me fallait.
Le soir venu, je me passais de la pommade sur les fesses comme l’avait demandé Sœur Gabrielle. Debout devant la glace, je vérifiais que j’avais bien enduit toute la surface de mon postérieur de l’onguent qui me faisait vraiment du bien, mais il était malaisé de le faire pénétrer dans la peau. Je n’étais pas dans une bonne position. Demander à Julie ? Il n’en était pas question. Je passai la nuit allongé sur le ventre. C’était la seule façon que j’avais trouvé pour que mes fesses me laissent tranquilles.

Je me levais de bonne heure le lendemain matin.
« Je vous ai pris un rendez-vous à neuf heures trente demain matin. »
Sœur Marie Madeleine m’avait bien recommandé d’être à l’heure. Madame Mac Cormac, la propriétaire du magasin ne supportait pas les élèves qui arrivaient en retard.
Je pris une douche et je me passais, une nouvelle fois, de la pommade sur les fesses. La douleur s’était atténuée. Elle ne se réveillait que quand cas de contact appuyé sur mon postérieur. M’asseoir était encore douloureux, mais j’arrivais à le faire sans montrer la difficulté que cela représentait. Ma guérison était en bonne voie.
Il y avait un point qui me chagrinait. Les marques ovales bleues que la brosse de bain avait laissées, marquaient encore mes fesses et mes cuisses. Elles ne paraissaient pas diminuer, ni en taille, ni en couleur. Les vacances me laissaient un peu plus d’une semaine pour les faire disparaitre avant que mes condisciples puissent les voir lors des douches qui concluaient les cours d’éducation physique. J’espérais que cela suffirait.


Le magasin de confection avait une toute petite vitrine. Quand on y pénétrait, on voyait que l’intérieur laissait place à de l’espace dont avaient besoin des clients plutôt fortunés. Aurai-je les moyens de m’offrir les services d’une telle boutique ?
L’accueil était à la hauteur du standing du magasin. Une jeune fille vint à moi.
« Bonjour Monsieur, que puis-je pour vous ?
– J’ai rendez-vous pour un uniforme scolaire.
– Vous êtes Monsieur …
– Axel Fournier. »
La jeune fille consulta un planning.
« Effectivement, nous vous attendions. C’est Madame Mac Cormac, elle-même qui va s’occuper de vous. Vous avez dû être recommandé. »
Elle me désigna un petit espace salon om tout était fait pour le confort des clients qui patientait.
« Si vous voulez bien vous installer. »
L’accueil me rassurait. Tout semblait feutré dans ce décor cossu. Je n’attendis pas plus de dix minutes avant qu’une forte femme s’approche.
« Monsieur Fournier ?
– C’est moi, dis-je en me levant.
– Vous venez bien pour un trousseau scolaire de St Marie ? »
Je ne voyais pas bien ce qu’elle voulait dire par « trousseau », mais n’y connaissant rien dans ce secteur, je supposais qu’il s’agissait bien de l’uniforme scolaire que je venais chercher.
« Sœur Gabrielle, que j’ai eu au téléphone à votre propos, m’a demandé de m’occuper personnellement de vous. Elle semble tenir à ce que votre tenue soit parfaite pour la rentrée. Suivez-moi, je vous prie. »
Elle me dirigea vers une cabine d’essayage qui avait la taille d’une petite pièce. Il y avait bien plus de place que dans celles que j’utilisais habituellement dans les magasins que je fréquentais. Il aurait été possible de s’y trouver simultanément à quatre ou cinq personnes sans s’y sentir à l’étroit. Le long d’un mur, il y avait un banc. Un grand miroir couvrait deux des murs de telle sorte qu’on pouvait s’y contempler sous tous les angles.
Madame Mac Cormac me suivit à l’intérieur. Elle referma le rideau derrière elle.
« Otez donc votre pantalon et votre chemise, je reviens de suite avec de quoi prendre vos mesures. »
Les difficultés commençaient. Me montrer en sous-vêtements faisait certainement partie des normes dans une cabine d’essayage. Je devais toutefois cacher les marques sur mes cuisses. Je résolu de me placer toujours face à Madame Mac Cormac. Elle revint quelques instants plus tard, alors que je finissais d’enlever mon pantalon.
« Bon, voyons cela. »
Elle s’approcha de moi et elle marqua un arrêt.
« Hum, hum, je comprends mieux pourquoi Sœur Gabrielle parlait d’un trousseau complet. Votre maillot de corps et votre culotte ne sont pas du tout réglementaires. Il faut changer cela. Enlevez-les. »
Je crus avoir mal entendu.
« Pardon ?
– Vous avez parfaitement entendu, ôtez vos sous-vêtements. »
Je ne savais plus bien comment faire. Madame Mac Cormac semblait sûre d’elle. Elle attendait, les bras croisés, que je m’exécute. Lentement l’ôtais le tee-shirt. Puis je m’arrêtais. Comprenant qu’elle n’avait pas l’intention de me laisser l’espace d’intimité nécessaire, je formulais, le plus poliment possible ma demande :
« Pouvez-vous, s’il vous plait, m’apporter une autre culotte pour me changer, c’est plus … »
Je ne savais plus comment finir ma phrase, tant la conclusion me semblait évidente.
« Jeune homme, vous me faites perdre mon temps. Je veux prendre toutes vos mesures en une fois, culotte comprise. Pour cela, j’ai besoin que vous ôtiez celle dont vous n’aurez plus besoin une fois habillé avec l’uniforme de Sainte Marie. »
Son ton montrait une exaspération croissante.
« Otez tout de suite votre culotte ! »
Tout son langage corporel montrait un mécontentement corporel. Je portais mes mains à ma taille mais je ne pus aller plus loin. Je m’arrêtais là.
« Bien, dit-elle, Sœur Gabrielle m’a expliqué que je pourrais rencontrer des difficultés avec votre obéissance. Elle m’a également expliqué comment y remédier. »
Avant que j’aie pu faire un geste, elle m’avait saisi par le bras et elle me tira vers le banc sur lequel elle s’assit. Son mouvement continua et elle me fit basculer en travers de ses genoux. Sans me laisser de répit, elle baissa ma culotte à mi-cuisses et sa main frappa le centre de mes fesses.
Seulement alors, je tentais de me relever. Son bras, encerclant ma taille, m’en empêcha. Elle me recoucha sur ses genoux. Je reçus une deuxième claque sur les fesses qui me laissa une brûlure là où elle avait frappé. Je plaçais ma main droite sur mes fesses pour les protéger.
« Je vois que Sœur Gabrielle s’est déjà occupée de vous. D’ailleurs, j’ai un message pour vous, de sa part. Elle vous fait dire qu’au cas où je me verrais dans l’obligation de vous punir, elle attend de vous que vous acceptiez votre fessée. Sinon, elle viendra sans occuper, sans attendre la rentrée des vacances. »
Sans attendre la rentrée ! Elle projetait de venir chez moi ? Ce n’était pas possible.
« Jeune homme, ôtez votre main que je puisse vous donner la fessée. »
J’hésitais, mais je n’en eus pas le courage.
« Je pense que je vais demander à la jeune fille de l’accueil de venir ici, pour me donner un téléphone portable. Je vais alors pouvoir appeler Sœur Gabrielle. Je vous donne une dernière chance. »
Que la jeune fille de l’accueil me voie dans cette tenue, et Sœur Gabrielle décidée à venir me fesser chez moi, c’en était trop. J’enlevais ma main. La fessée reprit aussitôt. Elle ne fut pas bien longue, mais particulièrement cuisante et humiliante.
J’avais honte de me trouver quasiment nu sur les genoux d’une dame que je ne connaissais pas il y a cinq minutes, pour y recevoir une fessée. Mais par-dessus tout, la main de Madame Mac Cormac frappant là où la brosse avait laissé ses marques, rendait la fessée insupportable.
Conscient d’être dans une cabine d’essayage absolument pas insonorisée, je retenais mes cris, les étouffant au mieux. Le bruit des claques sur mes fesses devait déjà être assez évocateur pour qu’il n’y ait pas de doute sur ce qui se passait. Une claque plus forte ou administrée là où mes fesses étaient le plus sensible, provoqua mon premier cri. Ce fut alors comme si un barrage venait de céder. Je ne maîtrisais plus mon flot de paroles :
« Aïe, … aïe, … je vais obéir, aïe, … je vais, aïe, … ôter ma culotte, aïe, … aïe, … »
Puis, mes paroles devinrent beaucoup moins claires lorsqu’elles furent entrecoupées de sanglots.
Quand la fessée cessa, j’avais les fesses en feu. Toute la douleur de la brosse était revenue. Je restais allongé sur les genoux de Madame Mac Cormac qui m’enleva mon sous-vêtement.
« Debout ! »
Pendant tout le temps où elle prit mes mesures, elle me donnait ses ordres sèchement.
« Tournez-vous ! … levez les bras ! … redressez la tête ! … écartez les jambes ! »
J’y obéissais le plus vite possible mais cela ne m’évita pas quelques claques bien senties sur les cuisses ou les fesses.
« Bon, fit-elle après avoir rempli un carnet de chiffres, je crois que j’ai tout ce qu’il me faut. Allez vous mettre au coin en attendant que je prépare tout cela. »
Nu comme un ver, je me plaçais là où elle me l’indiquait : le coin face à la porte.
« Ici, c’est comme à St Marie, si on bouge du coin avant d’y avoir été autorisé, on reçoit une autre fessée. J’ai un bon martinet dans un tiroir de mon bureau, je vous y ferai goûter.
Je l’entendis écarter le rideau, mais pas le refermer. Je devais être visible pour toute personne qui passerait dans l’allée du magasin. Que pouvais-je y faire ? Je craquais et j’eus une autre crise de larmes.

Quand elle cessa, j’étais toujours au coin. J’entendis, peu à peu le magasin devenir plus bruyant. Il y avait un plus grand nombre de clients. Ce qui devait arriver ne tarda pas. Une dame qui passait devant la cabine dans laquelle je me tenais, m’aperçut. Elle marqua un arrêt devant la porte grande ouverte.
« Il semble qu’il y ait là un grand jeune homme qui n’a pas été sage ! Oh, à voir la couleur de ses fesses, je pense qu’il a compris. Je parie qu’il va désormais être bien obéissant. »
Sa remarque fut accompagnée de quelques rires émis par les personnes qui l’accompagnaient.
J’entendais d’autres personnes passer. Certaines se contentaient d’une exclamation. Je ne sais pas si j’en étais à l’origine. D’autres restaient silencieux. M’avaient-elles aperçu ?

Il y eut des pas décidés qui entrèrent dans la cabine.
« Bon, je vois que vous avez enfin décidé d’être obéissant, mon garçon. Cela vous évitera d’autres fessées. »
J’avais retenu ma respiration. Je soufflais de soulagement. C’était bien Madame Mac Cormac. Je voyais le bout de mon cauchemar.
« Posez tout cela ici, Mademoiselle.
– Oui Madame. »
La vois était juvénile. Madame Mac Cormac n’était pas revenue seule. Elle était accompagnée d’une jeune vendeuse. Je crispais mes fesses et je frissonnais de désespoir.
« Mademoiselle, vous allez m’habiller correctement ce grand garçon, selon les normes de St Marie. Je veux qu’il soit impeccable. S’il vous fait quelques difficultés, vous avez ma permission de le fesser. N’hésitez pas ! Est-ce bien compris ?
– Oui, Madame. »
J’entendis les pas de Madame Mac Cormac s’éloigner, sans refermer le rideau derrière elle.
« Venez ici, mon garçon ! »
La vendeuse avait pris une voix ferme. Celle, sans doute, qui lui semblait correspondre à une personne représentant l’autorité. Je fis demi-tour pour découvrir une toute jeune fille qui s’était assise sur le banc. Elle ne semblait pas avoir plus de vingt ans. Son visage avait un air grave.
« Plus près ! »
Elle me désignait le sol à ses pieds. Je mis mes mains devant moi pour cacher mon sexe et je m’avançais.
« Enlevez vos mains, elles vont gêner ! »
Elle me donna une petite tape sur les mains, comme si elle avait affaire à un petit garçon désobéissant. Cela ne suffit pas pour me faire obéir. Elle me donna alors quelques claques sur le haut des cuisses.
« Faut-il que je vous fesse pour vous faire obéir ? »
La menace était réelle. J’ôtais mes mains.
« Allez-vous être sage ou faut-il que je vous donne une fessée pour commencer ? 
– Non, s’il vous plait, pas la fessée ! »
Je reçus malgré tout une nouvelle claque sur la cuisse.
« Non, qui ? »
Je ne mis pas plus d’une seconde à comprendre ce qu’elle attendait.
« Non, Mademoiselle ! »
Elle sourit et me tapota les fesses.
« C’est bien, mon garçon. Je pense que tu vas être sage pendant que je t’habille. D’abord les chaussettes. Tiens-toi à mon épaule. »
Malgré son jeune âge, elle n’en était visiblement pas à son premier habillage. Je posais ma main sur son épaule pour garder mon équilibre, tandis que je levais les pieds, l’un après l’autre, à son invite, pour qu’elle m’enfile des socquettes blanches. Elle passa alors au maillot de corps qui était de la même couleur.
« Levez les bras ! »
Je lui obéis. Elle me présenta ensuite une culotte, blanche elle aussi.
« Votre pied ! … l’autre ! »
Je passais mes pieds l’un après l’autre dans l’espace prévu pour mes jambes. Elle remonta alors la culotte et fit passer le maillot de corps à l’intérieur, le lissant contre mes hanches en insérant ses doigts dans la culotte. Une chemise blanche qu’elle boutonna, puis ce fut le tout du pantalon bleu marine qu’elle me présenta comme elle l’avait fait pour ma culotte. Ma chemise y fut ramassée avant de le boutonner. Il y avait une ceinture qui faisait partie de l’uniforme. Elle me la passa autour de la taille et la boucla. Il restait une veste, bleu marine elle aussi, qu’elle ajusta sur mes épaules. Elle noua la cravate beaucoup plus adroitement que je n’aurai su le faire.
Tout était ajusté, du sur mesure. La jeune fille me donna deux paquets. L’un volumineux dans lequel, comme elle me le précisa, il y avait mon trousseau et dans l’autre, mes vêtements « civils ».
« Voilà, dit-elle, bien propre, comme doit l’être un élève de St Marie. »
Dans la glace, je remarquais un jeune homme qui ressemblait à tous ceux qui fréquentaient l’école dont je portais maintenant l’uniforme.
La vendeuse me donna une claque sur la cuisse. Cela ne pouvait me faire du mal à travers le pantalon, mais c’était plutôt vexant.
« On ne t’a pas appris à être poli à St Marie ? Qu’est-ce qu’on dit ? »
Je restais interloqué, sans comprendre. Une nouvelle claque au même endroit me fit comprendre ce qu’elle voulait.
« Merci, Mademoiselle !
– C’est bien ! Un grand garçon bien habillé et bien poli, tout à fait ce qu’il faut à St Marie. »
Elle me laissa là avec mes deux paquets. Madame Mac Cormac arriva presqu’immédiatement.
« Voyons cela ! »
Elle me fit *pivoter devant elle.
« Parfait, dit-elle, exactement ce qu’il fallait ! »
Elle me prit poussa en dehors de la cabine jusqu’au comptoir où se tenait toujours la jeune fille de l’accueil.
« Sœur Marie Joseph a décidé de prendre en charge financièrement votre trousseau. Vous n’avez donc rien à régler. Vous pouvez rentrer chez vous.
– Euh, je vais me changer et remettre mes vêtements d’abord. »
Madame Mac Cormac fronça les sourcils.
« Il n’en est pas question. Vous devez vous habituer à porter fièrement l’uniforme du collège. Sachez qu’il vous sera demandé de l’avoir sur vous à chaque fois que vous arriverez à l’école et, bien entendu vous l’aurez encore en sortant. Si vous ne respectez pas cette règle élémentaire, j’ai peur que vos fesses aient à en souffrir. La fessée que je vous aie donnée tout à l’heure vous paraîtra alors comme une douce plaisanterie. »


Elle avait évoqué ma punition devant la jeune vendeuse qui assurait l’accueil. Je rougis en croisant son regard. Je marmonnais un vague remerciement et je filais vers la sortie.

Pour suivre le fil de cette histoire :

Pour comprendre le contexte : introduction
Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 16
Le prochain épisode : chapitre 18

4 commentaires:

  1. Tout à fait réjouissantes ces humiliantes et cuisantes fessées administrées en public dans des endroits inattendus, par de fortes femmes autoritaire. Cette Madame Mac Cormac ( peut-être d'origine du Royaume Uni réputé pour ses pratiques de "Spanking") ne manque pas de piquant ni d'initiatives.
    Avec elle, les fesses de notre ami Axel sont encore soumises à rude épreuve et n'ont pas vraiment le temps de refroidir... pour le plus grand plaisir de la lecture. Bravo pour votre imagination et le style direct de votre écriture..

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    1. Bonjour Ramina,
      Votre assiduité sur ce blog ne se dément pas et vous n'êtes pas avare de commentaires ... un brin distanciés. Je vous en remercie.
      Vous décrivez en une phrase la ligne éditoriale du blog "ces humiliantes et cuisantes fessées administrées en public dans des endroits inattendus, par de fortes femmes autoritaires."
      C'est bien cela.
      Au plaisir de vous lire, ce dont je ne doute pas,
      JLG.

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    2. Ma foi oui! je me réjouis de contribuer à alimenter ce blog, d'une excellente tenue et d'échanger franchement sur un sujet aussi original,partagé par des amateurs avertis. Pas mécontent non plus d'avoir cerné d'aussi près une ligne éditorial si stimulante.
      Quelle bonne idée vous avez eu de créer ce site. Nous étions orphelins de ces sévères et fantasques fesseuses qui ont tant marqué la vie (et les fesses) de tant de personnes.

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    3. Ramina,
      Si j'ai créé ce site, c'est suite au constat d'une réelle pauvreté de récits parlant de la fessée, administrée par une femme, en punition de désobéissances et sans connotation sexuelles graveleuse.
      J'étais également fatigué de ne trouver que des histoires remplies d'onomatopées et écrites dans un français à peine compréhensible.
      Il reste à être suffisamment nombreux pour durer. Cela ne peut être qu'une oeuvre collective.
      Si cela vous inspire ...
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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