mercredi 6 décembre 2017

une histoire vraie - chapitre 7

L'été se déroule ensuite plus calmement. Je suis moins souvent puni car je suis dompté comme dit Madame Tourelle. J'aime énormément ma mère adoptive qui est véritablement devenu ma mère aussi dans mon cœur. Je pense d'ailleurs et je sais que c'est réciproque. Cependant je la crains énormément. Je suis toujours sur mes gardes et je me concentre toujours pour ne faire d'erreur. Il faut dire que la moindre bêtise me vaut une ou des punitions.
Quelques jours avant la rentrée, après mes devoirs quotidiens, maman m'envoie acheter une baguette de pain à la boulangerie toute proche. J'ai bien sûr droit aux recommandations d'usage.
- Tu fais attention en traversant, la route, tu es poli, tu ne traînes pas en route et tu me ramènes la monnaie. Une baguette coûte 3 francs quatre-vingt. Tu dois donc me ramener 1 franc vingt.
Arrivé devant la boulangerie, je rencontre Thomas Lafrogne. Il semble être aussi content que moi de le rencontrer. Il me propose de venir avec lui cet après-midi pour une partie de foot avec des amis à lui dont certain seront avec nous au lycée. J'ai vraiment envie de dire oui mais je crains que ma mère me le refuse. Je lui fais part de mes doutes mais il me dit qu'il viendra me chercher à 14 heures et que l'on verra bien si j'ai l'autorisation de l'accompagner.
En rentrant à la maison, je n'ose pas demander l'autorisation à Maman. Elle travaille à son bureau et je reste penaud sans rien faire dans la pièce. Au bout d'un petit moment, elle finit par m'interroger.
- Tu n'as rien donc à faire ? Ton livre à finir par exemple ou sinon j'ai des travaux qui t'attendent.
Je tente de prendre mou courage à deux mains et je me lance
- Euh je voulais vous demandais maman, euh j'ai rencontré Thomas devant la boulangerie et euh
- Oui ou veut tu en venir ? Arrête de tourner autour du pot
- Ben voilà maman, Thomas m'a proposé d'aller jouer au football avec ses amis  cet après-midi à 14 heures sur le terrain à côté de la maison. Puis-je y aller s'il vous plait ? Je n'en mène pas large en posant la question. Je me doute d'une réponse négative. J'ai des frissons.  Je m'attends à me faire "reprendre de volée" en me faisant reprocher le fait de vouloir m'amuser alors qu'il y'a tant à faire ou que je suis loin d'avoir le niveau pour toute proche entrée en classe de seconde. Mais à ma grande surprise maman me répond positivement
- Hé bien pourquoi pas. Mais je te préviens tu devras rentrer  pour seize heures précise.
- Oh merci maman ! Je cours l'embrasser. Maman me fait un câlin puis me demande de l'aider à éplucher les légumes pour le repas de midi.
A 14 heures, Thomas sonne à la porte. Maman le fait patienter. Devant la maison 5 de ses amis attendent. Je les aperçois en regardant par la fenêtre. Maman m'appelle et me demande de descendre au garage pour mettre mes chaussures. Elle m'oblige mettre mes nue pieds. Je tente de protester
- Mais maman pour jouer au foot ce n'est pas les chaussures qu'il faut
Une claque sur la cuisse me rappelle que je n'ai pas mon mot à dire concernant mes tenues
- Tu préfères rester ici peut être ? Tu mettras ce que je te dirai de mettre c'est claire ? me dit-elle en m'enfilant mes sandales.
Je sors en me frottant la cuisse. Heureusement personne n'a vu cette claque mais je pense qu'ils ont entendu. Un jeune garçon prénommé Nicolas me fait d'ailleurs la remarque
- Elle n'a pas l'air commode ta mère
Je bredouille un ouais et nous partons pour le terrain de foot situé non loin de là.
Après une partie d'environ 1 heure, nous faisons une pause. Nous nous installons un peu plus loin dans l'herbe à l'abri des regards. Là l'un de mes camarades sort un paquet de cigarettes de sa poche et nous en propose. Nous sommes deux à accepter. Depuis le temps que j'en ai envie, je ne peux résister à sa proposition.
Thomas me fait remarquer que si ma mère l'apprend ou me surprend je vais passer un sale quart-d‘heure. Mais je n'en ai que faire et surement pour me faire bien voir ou pour me faire passer pour un "rebelle" je lui rétorque
- Mais non ne t’inquiète pas pour moi
Nous parlons de tout et de rien, je trouve ces gars très sympa. Avant de partir je fume de nouveau une clope ne me souciant guère de ce qui peut se passer. Bien qu'étant plus âgé qu'eux et qu'ayant vécu autre chose, je ne dénote pas. Je me suis fait très vite à ma nouvelle vie et je suis dans ma tête un adolescent. Mon cerveau réagit comme tel.
Je me hâte de rentrer à la maison. J'arrive à l'heure ce qui me soulage. J'ôte mes chaussures et je mets mes chaussons. Maman m'attends dans la cuisine. Elle est train de faire de la couture.
- Parfait tu es à l'heure me dit-elle Tu t'es bien amuser
- Oui maman merci
Bêtement je m'approche d'elle pour l'embrasser et la remercier de ce moment de détente. Je ne pense pas que je sens le tabac à des kilomètres.
Elle fronce les sourcils et me demande de souffler devant son visage
- Tu as fumé affirme t'elle
Je sens la peur m'envahir, je panique et je nie l'évidence.  Maman me donne fortement  une claque sur la cuisse
- Et en plus tu me mens effrontément cela te vaudra aussi une punition me dit-elle en prenant l'oreille. En attendant tu vas prendre ta douche maintenant. Je crains que nous manquions de temps après.
Maman me claque les fesses à chaque ordre. Au WC, dans la chambre sous la douche.... Elle me claque les cuisses ou les fesses dès qu'elle m'impose de faire quelque chose. C'est une douche glacé qui m'est donnée ce soir. Je suffoque quand l'eau froide me tombe sur la tête et le corps.
Pendant qu'elle me lave je me fais gronder vertement :
C'est inadmissible ! Non seulement tu mets ta santé en danger mais en plus tu m’as désobéi. Tu sais parfaitement que fumer ne t'ai pas permis. Je te l'ai pourtant clairement signifié. Mais non ! Monsieur se permet de le faire quand même. Tu te moques de moi ! Tu as voulu faire le malin devant tes camarades hein. Je vais te passer l'envie de refumer tu peux me croire. Je vais t'infliger une sérieuse correction tu vas être bien puni tu peux me croire. Tu vas t'en souvenir de celle-là. Je pense qu'il est inutile de te préciser que ce genre de petite sortie est terminé. Dorénavant tu resteras sous surveillance puisque je ne peux pas te faire confiance. Mais tu vas le regretter je te le promets.
Au sortir de la douche je ne repasse pas par la case chambre. Je suis trainé dans la cuisine par maman. Elle m'ordonne de prendre position à la table. Elle me couche le ventre sur la table et j'agrippe les bords.
Maman va chercher la cravache.
- Tu vas voir ce qu'il en coute de te comporter aussi bêtement mon garçon
Shlak un premier un coup atterri sur mes cuisses et me déchire un cri s'en suit un second puis un 3eme. Je pleure déjà. Maman continue de me corriger. Les fesses, les cuisses comme elle a l'habitude, mais là j'impression qu'elle y met encore plus de vigueur. Au bout d'un moment elle repose la cravache mais m'ordonne de ne pas bouger. Elle revient avec la ceinture. La correction reprend et dès le 1er coup qui atterrit sur mon dos j'ai le souffle coupé. Les coups pleuvent. Moi je m'agrippe à la table, je pleure, je suffoque. Heureusement qu'elle ne pas commander de compter les coups car je n'arrive même plus à demander pardon ou à supplier tellement je pleure. Je n'arrive plus à sortir un mot de ma bouche. Seulement mes pleures et mes cris.
Le châtiment s'arrête enfin. Comme toujours maman me place au coin mains sur la tête le nez collé au mur.  Je tremble, j'ai mal, ça brûle. Je regrette vivement de m'être laisser entrainer et d'avoir succombé à ce vice. Le temps me parait interminable. J'ai mal au dos aux fesses aux jambes aux bras. Je me concentre pour ne pas bouger. Mais qu'est que je suis venir dans cette galère ? Pourquoi j'ai voulu cette situation ? Je peux partir. Après tout je suis majeur. Alors certes je m'appelle dorénavant Paul Tourelle mais bon. Je me ressaisis. Partir pour aller où ? Pour faire quoi ? Et puis je l'ai bien mérité cette raclée.
Après un moment qui me semble encore long, maman m'appelle.
- Paul viens ici. Tournes toi.
Elle regarde l'état de mes fesses, de mon dos et des cuisses?
Bien. Ne te crois pas sorti d'affaires mon garçon. Tu seras encore puni demain matin pour avoir fumer. Et demain soir tu seras encore sanctionner pour tes mensonges.
Maman me mets ensuite en pyjama et nous passons à table. J'ai le ventre noué, je n'ai pas faim mais ne voulant pas être puni à nouveau je mange.
Le lendemain matin dès le réveil, j'angoisse. Je me demande quelles punitions ma mère me réserve. Elle est en revanche très calme, comme toujours. Le début de matinée se déroule tout à fait normalement. Je ne parviens cependant pas à me calmer.
Après ma toilette, maman m'habille comme à son habitude.
- Je ne vais pas me te mettre de slip ni de culotte pour l'instant. Tu sais que tu me dois encore des punitions. Va m'attendre dans le salon.
Je pars donc direction le salon. La verge pendante. Nu des chaussons à la taille. Maman quant à elle a pris la direction du jardin. Je l'entends une bonne dizaine de minutes. J'ai mis les mains dans mon dos et baisse la tête. Mon angoisse à redoubler. Je ne sais pas à quoi m'attendre.
Maman rentre enfin. Elle tient dans sa main gantée avec un gant de jardinage un bouquet d'orties. J'ai lu une fois qu'elles pouvaient servir à punir. Je ressens des frissons.
Maman s'installe dans le canapé. Elle dépose le bouquet à ses côtés et m'ordonne de m'approcher. Je ne peux m'empêcher de regarder les orties. Elles sont assez petites mais la tige me semble assez grosse. Je ne peux m'empêcher de demander à maman ce qu'elle va me faire. J'obtiens pour seul réponse
- Tais-toi et mets-toi à genoux ici.
Je m'exécute et maman reprend : Tu vas avoir maintenant la deuxième partie de ta punition pour avoir désobéi et mis ta santé en danger. Ce soir je te sanctionnerai à nouveau pour tes mensonges. Allez viens par ici.
Mes promesses de ne plus jamais recommencer ne change rien
Maman m'aide à me coucher sur sa jambe. Elle reprend quelques orties. Elle me les fait remonter en douceur le long de mes jambes jusqu'au bas du dos. Dans un premier temps je ne ressens rien mais très vite j'ai l'impression que l'on me fait un tas de piqures. C'est horrible. Je tente de remuer mais maman me maintient fermement. Je pousse des petits cris. Je veux me gratter c'est épouvantable. Maman s'applique à bien irradier chaque partie de la peau. Je ressens une immense chaleur m'envahir. Je commence à pleurer.
Maman prend un nouveau bouquet et m'ordonne d'écarter les cuisses. J'en profite pour tourner la tête. J’entrevois des boursouflures sur ma peau qui viennent se mélanger aux marques de la correction de la veille. La même sensation se fait sentir. Elle me protège mon sexe et mes boules en me les tenant avec sa main libre. Puis maman me redresse et resserre encore étreinte. Elle m'écarte mes fesses et comme si elle me torchait en douceur, elle m'applique le même traitement. Mes plaintes sont de plus fortes. Je n'ai qu'une seule pensé me gratter, mais à la place je retrouve au coin mains sur la tête. Très vite les picotements et la douleur font place à une chaleur intense. J'ai l'impression qu'on pourrait faire cuire un œuf sur ma peau.
Je passe la matinée complète dans mon coin et quand maman m'enfile mon slip et ma culotte courte la douleur reprend. Ce sera encore le cas quand je vais m'assoir pour le repas et idem l'après-midi quand je dois m'assoir pour écrire une punition scripturale de 300 fois "Je ne dois pas mentir effrontément à ma mère".
La douche chaude et le fait d'être lavé ravive aussi la douleur. Et enfin le soir quand maman me corrige avec le martinet avant de me coucher, je pleure immédiatement car la aussi cela m'enflamme directement l'arrière train.
Deux jours plus tard, maman m'annonce que nous allons passer l'après-midi à la piscine. Elle m'informe également qu'elle va en profiter pour m'inscrire dans l'équipe de natation. Elle veut que je fasse du sport.
Maman prépare nos affaires. Je suis surpris car elle ne prend qu'un sac. En l'occurrence un panier tressé.
En arrivant à la piscine, nous nous rendons directement au bureau pour les inscriptions. Maman m'inscrit aux entrainements du mercredi et vendredi soir. Elle en profite pour s'inscrire au cours d'aquagym qui démarre 15 minutes plus tard. De ce fait elle m'accompagnera à chaque cour.
Puis nous nous rendons vers les cabines. Maman rentre dans la première. Je me dirige vers la cabine d'à côté et elle me rattrape par le bras
- Ou vas-tu comme ça ?
- ben euh... on ne va pas...
Maman me fait rentrer dans sa cabine et commence à me dévêtir.
Je tente de l'en empêcher en me protégeant avec mes mains
- Enfin maman s'il vous plait pas ici
Une claque retentissante sur la cuisse suivit d'une sur chaque mains me remettent à ma place aussitôt
- Je ne veux pas de caprices Paul. Continues comme ça et tu vas recevoir la fessée.
Je subis assez d'humiliations comme ça. Je me résigne à la laisser faire.
Après m'avoir affublé d'un slip de bain rouge, maman me fait attendre dehors le temps qu'elle mette à son tour son maillot de bain.
J'ai honte de ne pas avoir un maillot de bain comme tous les garçons de mon âge, mais je ne suis pas au bout de mon humiliation.
Quand maman sort à son tour de sa cabine, nous nous dirigeons vers les douches. J'apprends de me retrouver seul sous la douche sans être inactif. Très vite maman s'occupe tout de même de frotter les cheveux et de me sortir pour me mettre un bonnet de bain en plastique bleu.
En arrivant dans la piscine, nous rejoignons madame Boursier et son fils Edouard. Nous nageons un long moment avec nos mères respectives puis alors qu'elles vont se détendre dans le bain à bulles, elles nous permettent d'aller jouer dans le toboggan et dans le petit bassin.
Je me surprends encore à m'éclater comme un gamin. Je vis l'enfance que je n'ai jamais eue. Puis on se fait embêter par des ados de notre âge qui nous appellent les spermatozoïdes à cause de nos ridicules bonnets.
Du coup nous allons dans un coin du bassin pour discuter. Je n'ai pas le temps de lui poser des questions sur son éducation car nos mères viennent nous rechercher pour le départ.
La honte se poursuit. Maman m’entraîne dans une douche fermé dans une cabine pour me laver et la mère de Victor en fait d'ailleurs autant.
Quand je sors en peignoir après avoir été lavé je remarque que personne n'a prêté attention à la scène. Depuis je me dis que lorsque les choses sont faites naturellement, elle ne choque personne.


Pour prendre connaissance de ce qui s'est passé auparavant

Le  premier épisode : chapitre 1 
l’épisode précédent : chapitre 6

Pour la suite ... je ne sais pas s'il y en aura une. Bientôt peut-être.

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10 commentaires:

  1. c'est une belle histoire malgré que je trouve les punitions plutôt violentes

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  2. J'ai lu ce texte tout d'un bloc. Et je trouve qu'il y gagne: en-dehors des fessées proprement dites, on se trouve aux prises avec un quotidien répétitif, routinier, qui rend parfaitement compte du climat dans lequel évolue ce jeune homme. Et "maman" assure peut-être tout autant son emprise par cette maîtrise du quotidien de son fils que par les corrections qu'elle lui administre.

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  3. Intéressant récit d'une éducation sévère et stricte. le quotidien y est très détaillé, trop peut-être. la narration gagnerait à davantage de diversités dans les actions. On a du mal à croire que cela ait pu se dérouler vers 1998 tant les mentalités n'étaient plus en faveur de ce genre d'éducation pourtant courant dans les années cinquante et soixante, deux décennies durant lesquelles les méthodes d'éducation associaient rigueur disciplinaire et châtiments corporels jusqu'à un âge avancé. Ce fut l'éducation que me donna ma mère mais en moins excessif que Madame tourelle. On attend avec impatience les premiers pas de Paul au lycée.

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  4. Magnifique histoire mais je regrette que la gestion et le contrôle de la sexualité de ce grand garçon ne soit pas abordés malgré l'importance de cet aspect dans une éducation sévère parfaitement justifiée.
    Henriette

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  5. Paul a 20ans et est présenté à son école comme ayant 16 ans. Vu comment sa maman le traite, il est évident qu'il a du rester en culottes courtes un petit moment. Et rentrer en classe de seconde en culottes courtes n'a pas du être facile ! A-t-il eu droit au pantalon long ou est-il resté en culottes courtes jusqu'au bac ?
    Bruno

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    1. Moi aussi, la culotte courte je l’ai portée jusqu’en classe de seconde et ça ne me gênait pas du tout. J’étais d’ailleurs un blondinet mince, plutôt petit de taille et je ne faisais pas mon âge, encore un gamin. L’été pendant les vacances c’était un petit short en nylon très court. J’aimais beaucoup porter ces petits shorts et j’y étais très à l’aise pour courir, faire du vélo ou jouer au ballon. Moi aussi j’étais puni lorsque je le méritais. J’avais souvent droit à la fessée déculottée et aussi parfois au martinet. Mes copains aussi d’ailleurs…on était bien éduqués.

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    2. Moi aussi j’ai été éduqué un peu comme Paul. Chez moi il ne fallait faire aucun écart et surtout obéir. Sinon je te dis pas les fessées que je me prenais et parfois le martinet été décroché et c’était pas pour rien je t’assure. C’était d’autant plus fréquent que j’étais resté un gamin immature et insolent. Alors la correction était au rendez-vous et la culotte vite baissée. Pascal

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    3. Un jour alors que j’étais en classe de cinquième dans un collège privé j’ai été sévèrement puni. La veille j’avais reçu le carnet de notes avec quelques observations sur ma mauvaise tenue et ma paresse. Je devais bien entendu le faire signer mais le soir en rentrant je m’étais bien gardé de le montrer de peur de la punition qui m’attendait. Je savais que de toute façon je n’y échapperais pas. Mon copain de classe Marc avait lui aussi eu un carnet de notes plus que médiocre. Le lendemain lorsque je passais le prendre pour aller au collège sa mère très en colère le grondait sévèrement. J’attendais devant le portail et un gamin pleurait dans la maison. J’ai vite compris qu’il s’agissait de mon copain. « aiii aiii ouille ouille. Non maman s’il te plaît, pas la fessée...pas la fessée. ». Et la maman de répondre : « Mon garçon il fallait s’en apercevoir plus tôt. Je vais t’apprendre à obéir moi. Vas me chercher le martinet tout de suite et tu vas voir tes fesses. Et dépêche toi sinon je double la punition. Je te garantis que cette fessée tu l’as bien méritée. ». Quelques instants plus tard mon copain sortait de la maison entravé dans sa culotte courte descendue aux chevilles. D’une main sa mère le tirait fermement par une oreille et de l’autre elle lui fouettait les fesses avec le martinet. Sclac sclac sclac... Le garçon fondait en larmes ce qui n’empêchait pas sa maman de continuer à le fesser. Et les aller-retour du martinet cinglait bien les fesses dénudées du garçon. De mon côté à l’école je passais une mauvaise journée. Marc avait été puni et je savais que mes fesses allaient aussi payer je prix de ma paresse. Le soir j’arrivais à la maison tout penaud et prétextais des leçons à apprendre pour filer directement dans ma chambre. J’y restais un bon moment jusqu’à l’heure du repas lorsque mon père m’a appelé. Arrivé en bas des marches mon père m’interpelle. « Dis-moi tu n’as rien à me montrer. » Je suis gêné et deviens tout rouge. «Si papa... » et la réponse de papa : « Alors tu attends quoi...dépêche toi. Ton carnet de notes s’il te plaît, je sais que tu l’as depuis hier... » Je remonte dans ma chambre et redescends aussitôt avec mon carnet de notes. Papa s’en saisit et le regarde en détail. Il fronce les sourcils et me saisit par une oreille. Il tire fort très fort j’ai beau me hisser sur la pointe des pieds ça fait très mal. Papa se met en colère et me gronde pour mon comportement inacceptable. « Tu es un vrai gamin. Alors ta fessée tu vas te la prendre je t’assure et tout de suite et une bonne. Viens ici et plus vite que ça. » aussitôt il tire une chaise au milieu de la pièce et y prend place. D’un geste rapide il baisse ma culotte courte et mon slip et me bascule en travers de ses genoux en position pour la fessée. Et clac clac clac... j’ai droit à une fessée magistrale. Je ne compte pas le nombre de claques sur chaque fesse et les cuisses en ont aussi leur lot. Je me mets à pleurer mais la fessée se poursuit. Lorsque la correction se termine j’ai encore droit à des remontrances de papa qui m’envoie dans ma chambre. Le lendemain lorsque je retrouve mon copain en route pour le collège je lui parle de la fessée que j’ai reçue. Il s’en doute car mes cuisses sont encore un peu rouges. On a été fessés tous les deux, pas de jaloux. Et ce n’est pas la première fois. A la maison comme chez Marc les fessées tombaient souvent pour prix de nos bêtises et la plupart de nos camarades aussi recevaient la fessée. Pascal.

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    4. La fessée mon père me la donnait aussi souvent au martinet. Ah le martinet, il était suspendu à un clou dans l’entrée. Je le redoutais plus que tout mais mon attitude de gamin insolent justifiait qu’il soit souvent décroché et mes fesses et mes cuisses en faisaient souvent les frais. Chez mon copain Marc comme chez la plupart de mes camarades il y avait un martinet bien en vue et les parents menaçaient souvent de l’employer. C’était le premier avertissement et il n’y en avait pas dautre

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    5. Après le premier avertissement il n’y en avait pas d’autre, si le gamin n’obéissait pas c’était la punition immédiate. On l’attrait par une oreille et culotte baissée on l’allongeait sur les genoux pour la fessée et on lui fouettait les fesses au martinet. Pas de duscution la fessée cul nu et c’était tout. C’était une bonne leçon. On était tous punis de la même manière.

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