mercredi 13 décembre 2017

Georges chez Madame Anne-Sophie

Une histoire vécue par Georges T, nouvel auteur invité sur ce blog, qui nous en fait le récit. Espérons qu'il nous gratifiera d'autres écrits, histoires vécues ou imaginées.
Deux récits, quelques commentaires, la saga des visites chez Madame Anne-Sophie s'allonge. Qui sera le prochain ? JLG


Suite à la lecture des aventures de Josip chez Madame Anne Sophie je décidais, avec l'accord de mon épouse qui m'y poussait, à mon tour de franchir le pas et de l'appeler pour en savoir plus.

Après une première tentative sans réponse, elle me rappelle. Très à l'aise elle m'explique qu'elle fesse des garçons de 21 à 75 ans. Que cela se passe très bien et qu'elle sera contente de me rougir les fesses, si je le souhaite. Mais que cela reste une fessée sur les fesses  et rien d'autre.

Devant tant de cordialité je me laisse-moi aussi aller et commence à la tutoyer. Elle me reprend alors vertement et me remet rapidement à ma place de futur puni. Elle m'invite à la rappeler quand j'aurai réfléchi et pris ma décision. Mais puisque j'y étais presque je lui demandais sa disponibilité et nous tombâmes rapidement d'accord sur le mardi suivant. Madame Anne Sophie est une vraie institutrice et ne peut donc sévir sur des adultes consentants qu'en soirée à partir de 18h15.

Je me remémorais à plusieurs reprises ce court entretien, un peu déstabilisant qui ne m'avait pas vraiment permis de rentrer dans les détails de ma motivation ni de ma perception de la fessée et laisser par la même une certaine frustration . Aussi je me décidais à lui adresser un mail de présentation destiné à nous faciliter la tâche pour le mardi suivant. 

Ce mail le voici :
« Bonjour Madame,
En préalable à notre rendez-vous du 5/12 je souhaitais mieux me faire connaître de vous et vous en dire plus sur moi et la fessée.
Tout d'abord excusez-moi d'avoir pris la liberté  de vous avoir tutoyé. J'en suis contrit et rien que cela justifie une correction exemplaire.
J'ai attrapé le virus de la fessée très jeune, probablement suite à ma scolarité chez les jésuites. Un des pères, sadique et pervers dans l'âme, avait toujours un martinet dans la poche de sa soutane et s'en servait à la moindre incartade sur les mollets et les cuisses de ses élèves. A l'époque nous étions encore, à 10/12 ans, en culotte courte.
Aujourd'hui ce père irait directement en prison. Mais dans les années 60/70 le martinet était d'usage dans les familles et personne n'y trouvait rien à redire. Certaines maîtresses laïques donnaient d'ailleurs aussi parfois des fessées sur les genoux. Personnellement je n'ai jamais été puni de la sorte et c'est peut-être le début d'une certaine frustration. Car chez certains de mes amis j'ai vu là aussi le martinet accroché au clou dans la cuisine ou en action sur les fesses de mes petits camarades. En tous les cas les images de fessée, l'évocation même de celle-ci, met mon cerveau et mon corps en ébullition.
Cela ne m'a heureusement jamais handicapé, ni dans ma vie professionnelle plutôt réussie, ni dans ma vie familiale également heureuse, puisque je suis toujours avec mon épouse.  Mes enfants, avec lesquels je n'ai jamais dépassé une éducation aimante, ou ma famille n'ont évidemment jamais rien su de mes pensées secrètes. Seule mon épouse a été très rapidement mise dans la confidence. Comme nous nous aimions elle a compris qu'elle ne pourrait pas échapper à cette passion même si pour elle ce n'était pas évident. Elle s'y est pourtant rapidement mis voyant tous l'intérêt d'une discipline domestique à son profit, avec droit de correction. C'est du côté du manche du martinet qu'elle s'est tenue toutes ces années avec plus ou moins de sévérité.
Après mon premier martinet acheté la première année de notre mariage, notre collection est maintenant importante avec aussi paddle, cravache, canne anglaise. Elle me punit pour mes fautes avouées aussi souvent que nécessaire quand les circonstances se présentent et que mes fautes et bêtises sont suffisantes pour un "conseil de discipline" ou un cours d'anglais dans notre langage codée.
Je trouve dans ces séances disciplinaires une nécessité correctrice en regard de mon comportement à la maison et un certain soulagement qui m'enlève tous le stress accumulé de par mes fonctions (dirigeant d'entreprise). Un moment de régression et de lâchage dont les endorphines ne sont pas les dernières responsables. Je peux supporter 200 coups, certes progressivement mais sans concessions, avec la canne anglaise en final. J'en garde des marques pour la semaine.
Malheureusement la motivation de mon épouse s'émousse les années passant et je sens qu'elle délèguerait bien l'application de la discipline domestique nécessaire à autrui.
Parallèlement, je n'ai cessé de me documenter sur la fessée punitive principalement sur internet.  C'est d'ailleurs comme cela que je vous ai trouvée. Et ce sera donc la première fois que je me ferai corriger par quelqu'un d'autre que mon épouse.
Autant vous dire que ma curiosité est grande et votre responsabilité importante dans ce premier rendez-vous de découverte.
Merci Madame d'avoir pris le temps de lire ma prose un peu longue j'en conviens là aussi.
À mardi prochain
Sévèrement votre,
Georges »

J'avais longuement hésité à me découvrir et même me déshabiller par avance mais je jugeais que nous gagnerions du temps et du confort avec ces explications qui lui permettrait de mieux appréhender son punie et la manière de le corriger.

La date se rapprochait et je n'avais pas de réponse à ma présentation.
Le mardi matin je reçois un message : « bonjour, toujours ok pour ce soir 18h15 ? »
Je réponds immédiatement : « Bonjour Madame, oui je serai au rendez-vous. »
Je reçois alors les codes portes et les explications pour trouver l'appartement.

Puis je lui adresse le courrier suivant : « Je suis chargé de vous transmettre ce courrier avant notre rendez-vous de ce jour.
« À l'attention de Madame Anne Sophie - Paris 75018
Madame,
Après avoir pendant des années essayer de corriger mon mari au propre et au figuré, je vous l'adresse aujourd'hui pour une prise en main sérieuse par une éducatrice professionnelle.
C'est un dur à cuire (mais un peu douillet) et je suis certaine que vous saurez le faire rentrer dans le rang par un programme de châtiments corporels adaptés.
Mon mari est paresseux et ne s'occupe jamais des tâches ménagères préférant aller sur internet regarder du porno. Je le soupçonne de se masturber en cachette pendant mes absences.
Il lui arrive de mal me parler lorsqu’il est de mauvaise humeur sans raison véritable.
De plus il boit beaucoup trop lorsqu’il est avec ses copains m'obligeant à ramener la voiture à sa place. Je pourrai encore allonger cette liste mais je pense que les motifs ne manquent déjà pas pour une première séance de redressement et pour le punir sévèrement et lui marquer les fesses et l'esprit durablement, ce que je pourrai apprécier à son retour.
Je vous laisse en tant qu’experte juger de la situation et évaluer l'intensité et les instruments de la correction que je vous remercie de lui donner sans concession ni négociation d'aucune sorte de sa part.
Bien à vous,
Madame T, épouse de Georges »

Quelques minutes plus tard je reçois la réponse suivante : « Votre époux va recevoir ce soir une correction exemplaire Madame ! »

L’angoisse commence à me gagner et je me demande ce que je vais prendre dans quelques heures.
Toute la journée je reste avec une boule au ventre dans l'attente de ce rendez-vous tout en assurant ma journée de travail et de rendez-vous sur Paris.
Enfin l'heure arrive. Je suis scrupuleusement les instructions et ai pris un peu d'avance pour ne pas aggraver mon cas, au vu du courrier de mon épouse.

Je suis reçu dans un petit appartement par une femme agréable mais stricte en jupe bleu marine et chemisier blanc qui m'invite à rentrer et à quitter mes chaussures.
Puis elle me fait rentrer dans le salon ou sont exposés sur une table tous les instruments de correction : padlle, tawse, plusieurs martinets, cravache, badine, canne anglaise.
On rentre rapidement dans le vif du sujet avec un sermonnage en règle au sujet de mon attitude à la maison accompagné d'une fessée sur mon pantalon. Comme je ne réponds pas assez vite aux questions, la fessée se fait plus forte. Au bout de quelques minutes, je dois quitter mon pantalon.

Elle m'invite alors sur ses genoux où la fessée reprend sur mon slip. Rapidement Madame Anne Sophie glisse ses doigts sous l'élastique de mon caleçon, l'abaisse fermement sur mes chevilles, me repositionne et commence la fessée sur mon fessier désormais nu. Je peux alors sentir et entendre le claquement de sa main sur mes pauvres fesses. Et elle claque fort. Et elle claque bien, et elle y va en me sermonnant une nouvelle fois sur mes manquements dénoncés par mon épouse. La chaleur et la brûlure de mes fesses commence alors à se faire sentir fortement et mon émotion à monter.
Lorsque elle estime cette première partie terminée, c'est à dire au bout de quelques minutes d'une solide fessée manuelle par une vraie fesseuse, elle m'envoie au coin.
Comme je n'y vais pas assez vite et que je n'ai pas répondu "oui Madame" j'ai droit à plusieurs claques supplémentaires sur mon fessier devenu très sensible, en guise d'avertissement.

Je l'entends saisir un instrument et le faire claquer dans sa main. Il s'agit d'un padlle en cuir que je ne tarde pas à goûter à genoux, la tête dans le canapé. Mes fesses me brûlent désormais et je commence à geindre faiblement pour ne pas montrer trop de faiblesse.
Elle me présente ce tour de chauffe comme un hors d'œuvre en regard de mon comportement qui va mériter martinets et canne anglaise.
Après un nouveau passage au coin, elle me fait m'agenouiller sur une chaise et mettre mes avant-bras sur une table, les fesses déjà écarlates, bien tendues et exposées à la punition. J'ai alors droit à une flagellation en règle avec un premier martinet, suivie de plusieurs autres dont la sévérité va crescendo. Bien qu'elle m'ait indiqué auparavant le code de sécurité, je serre les dents et encaisse le martinet avec quelques plaintes sur les coups les plus sensibles, lorsque l’extrémité des lanières claque sur le bord des fesses et s'imprime sur la peau. Elle change de côté régulièrement pour bien couvrir les 2 globes.

Elle attrape alors une badine type canne anglaise légère et m'annonce 18 coups que je devrais compter. Le premier coup arrive sur mes fesses déjà très endolories déclenchant une plainte sourde. J'allais oublier de compter et je me précipite pour crier UN !
La suite ne sera que douleur tant la canne est sévère sur des fesses sensibles. Avant de me renvoyez au coin, Madame Anne-Sophie dans une ultime humiliation me couche à nouveau sur ses genoux où je m'abandonne pour une ultime et forte fessée manuelle.
Vaincu et épuisé je retourne au coin, les mains dans le dos, pour méditer sur mon sort de mari puni pour sa mauvaise conduite domestique.


Le lendemain je garde des traces conséquentes de cette première fessée, avec des fesses bien marquées, rouges, bleues, striées par la badine et les martinets. Mon épouse m'a d'ailleurs, dès mon retour, fait déculotter pour vérifier le travail de Madame Anne Sophie. Après avoir baissé mon caleçon, elle a méticuleusement inspecté les dégâts.

Apparemment satisfaite elle termina par une grosse claque me disant que j'avais largement mérité cette correction et qu'elle me renverrait là-bas très vite si mon comportement ne s'améliorait pas. Et que dire dès que je m'assois, je ne peux que me revoir la veille sur les genoux de Madame Anne Sophie, corrigé d'importance comme un gamin que je suis trop souvent.


Un récit d'une autre visite chez Madame Anne-Sophie accompagné de quelques commentaires.

Pour recevoir ou donner une fessée, déposer une annonce sur rencontres fessée

Suivez le lien pour contacter Madame Anne-Sophie 

N'oubliez pas de la saluer respectueusement de ma part quand vous la contacterez et après un passage chez elle, de laisser un commentaire pour faire part de vos impressions.

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Si vous le souhaitez, vous pouvez également joindre directement Georges T, par courriel  à l'adresse suivante : dyoni.gt69@gmail.com

1 commentaire:

  1. Bonjour Mr Georges,

    Vous êtes un homme comblé !!! Si je puis dire...
    Ce n'est jamais facile pour un homme d'accorder sa vie de couple avec ses désirs profonds. Visiblement, vous y avez brillamment réussi. Et ce n'est pas évident.
    Les "Dames fesseuses" sont très rares en proportion, par rapport à leurs homologues masculins.
    Nous autres, hommes quinquagénaires, avons connu l'usage de la fessée et du martinet dans notre jeunesse dans les années 1970 et certains d'entre nous en ont gardé un souvenir, certes douloureux, mais ému de ces moments d'intimité cuisante. Et parfois nous recherchons à revivre ces "madeleines de Proust" quant nous atteignons l'âge adulte.
    J'ai le souvenir d'une fessée à laquelle j'ai assisté en classe à 6 ans (1973),qui fut donnée par une jeune institutrice remplaçante (blonde au cheveux courts en tailleur jupe foncé si mes souvenirs sont exacts) à l'un de mes camarades qui bavardait.
    Malgré sa jeunesse, j'aurais pensé qu'elle aurait fait preuve de souplesse et seulement grondé mon camarade, vu l'ambiance de cette époque "Peace and Love". Même ma Maman, très Mère-poule, stricte et tendre à la fois, avait eu ces mots : "Ce n'est pas une maitresse, c'est un vrai dragon". Et pourtant ma mère savait se faire bien obéir, elle aussi. Des mots qui marquent un jeune esprit. Mais c'était avant... Quelle époque.
    Merci pour votre "témoignage".
    Bon Dimanche. Peter Pan.

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