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mercredi 31 mars 2021

Madame Caroni - chapitre 54

La fin d’après-midi du lendemain fut très occupée. Camile se présenta chez Madame Caroni dès son retour du travail. Elle avait fait plusieurs erreurs dues à des inattentions et Madame Daurent s’était résolue à lui administrer une fessée à la troisième bévue afin de marquer son agacement sur ces négligences. Camille avait passé un moment au coin, temps qu’elle avait dû rattraper en travaillant plus tard le soir.
Quand elle arriva chez Madame Caroni, elle avait la tête basse et l’air penaud d’une petite fille qui vient avouer une bêtise. Dès qu’elle la vit, Madame Caroni devina ce qui s’était passé.

samedi 27 mars 2021

Madame Caroni - chapitre 53

Benoît ne s’attendait pas, en rentrant chez lui, au spectacle qu’il avait sous les yeux. Il y avait une petite assemblée dans le hall d’entrée de l’immeuble, mais, dans un premier temps, une seule personne attirait son regard. Il s’agissait d’un home dont il était difficile de déterminer l’identité, étant donné qu’il tournait le dos. Le nez dans le coin, la culotte baissée, il montrait ses fessées striées de grands trais foncés, à tous ceux qui arrivaient. La fessée avait dû être sévère.

vendredi 26 mars 2021

Madame Caroni - chapitre 52

Paul rentrait chez lui après sa journée de travail. Il était perdu dans ses pensées quand il arriva dans le hall de son immeuble, pensant à la façon dont il avait remis sa cheffe à sa place le matin-même. Cela faisait plusieurs semaines qu’elle n’était pas satisfaite ni de son rythme de travail, ni de son attitude vis-à-vis de ses collègues.
« Tous des imbéciles ignorants, pensa-t-il ! »

mercredi 24 mars 2021

Madame Caroni - chapitre 51

« Allez, on va se coucher ! »
Marlène devait sortir du cocon que Judith avait tissé autour d’elle avec ses bras et ses caresses. Ce n’était pas agréable, mais Judith avait décidé. Il fallait obéir. Judith la prit par la main et elle la suivit jusque dans la chambre.
C’est Judith qui la déshabilla. Elle se fit gronder à propos du soutien-gorge qu’elle portait.
« Ce n’est pas du tout adapté à une petite fille. Je vais changer tout cela. »

samedi 20 mars 2021

Madame Caroni - chapitre 50

Il était vingt heures dix. Madame Caroni fulminait.
« Les petits chameaux ! Ils vont me le payer ! »
Ni Véronique, ni Paul ne s’étaient présentés chez Madame Caroni pour y recevoir leur fessée, comme Madame Caroni le leur avait ordonné la veille. La première impulsion de Madame Caroni fut d’aller les chercher.
« Non, se dit-elle, leur punition doit être bien plus spectaculaire. Elle doit leur apprendre qu’on ne peut pas désobéir de la sorte. »
Elle réfléchit quelques minutes, puis elle décrocha son téléphone.

mercredi 10 mars 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 49

Tatie Claudie mit quelques temps à trouver la solution. C’est une scène à laquelle elle assista dans un magasin qui lui ouvrit les yeux.
Elle faisait la queue dans la petite épicerie du quartier quand un garçon et une femme arrivèrent. La tenue de la femme ne semblait pas adaptée à son âge, mais cela pouvait paraître pour une mode un peu décalée. Sa jupe grise plissée semblait sortir tout droit d’un film des années cinquante et sous son blazer, le pull bleu avec un col en V d’où pointait le col blanc d’un corsage renforçait le côté suranné de la tenue. Elle portait des chaussettes blanches qui lui montait jusqu’aux genoux.

vendredi 5 mars 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 48

Finalement, le temps au coin avait été trop court. Audrey n’avait pas eu vraiment le temps de décider de ce qu’elle allait avouer. De quoi Tatie Claudie était-elle au courant ? Il faillait lâcher au moins une partie de la vérité. Cela se traduirait par une fessée, mais c’était inévitable. Mais si elle connaissait toute la vérité ? Ce serait terrible ! Surtout la fessée que cela leur vaudrait à son mari et à elle. Elle n’échapperait pas à la règle. Il allait falloir manœuvrer finement.
« Revenez-ici, tous les deux ! »

mercredi 3 mars 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 47

La fessée avait acquis ses quartiers de noblesse dans cet immeuble. Teva avait montré la voie. Hélène l’avait suivie et cet exemple avait fait tache d’huile. La fessée gagna de la place, elle concerna de plus en plus régulièrement, de plus en plus de postérieurs masculins ou féminins. 

samedi 27 février 2021

Madame Caroni - chapitre 47

Marlène n’était pas au coin depuis très longtemps, mais elle commençait à se demander combien de temps devrait-elle y demeurer. Elle avait bien compris qu’en aucun cas elle ne devait s’y manifester d’aucune manière, ni par des bruits, ni par des mouvements. Elle fut pourtant tentée quand elle entendit une personne entrer dans l’appartement. Le nouvel arrivant ne pouvait manquer de l’apercevoir, seulement son dos et ses fesses nues, ce qui était une maigre consolation.
Marlène resta finalement sans bouger. La voix de Caroline interpellant la personne entrante avait laissé cette tentation à l’état d’intention.
« Tu tombes bien, je commençais à penser que tu étais en retard. »

samedi 20 février 2021

Madame Caroni - chapitre 46

« Ah, te voilà ! »
Le ton de Bernadette avait changé. Il y avait une réelle impatience dans sa voix, plus rien à voir avec la réserve avec laquelle elle l’accueillait les jours précédents. Elle s’adressait à un enfant à qui il fallait demander des comptes.
« Arrive par ici ! »

vendredi 19 février 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 45

Bien que la fessée ait cessé, il ne tenta pas de bouger sans l’autorisation de sa femme. Ses fesses le brûlaient bien plus que tout ce dont il se souvenait. Il était conscient que la honte de la punition infantilisante y était pour beaucoup. Qu’elle lui ait été administrée en présence de la voisine en rajoutait encore.
« Debout ! Va te mettre au coin ! »

mercredi 17 février 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 44

La voisine et Maeva regardèrent Marguerite se placer dans le coin, ajuster l’arrière de sa jupe afin que ses fesses soient bien dégagées.
« A toi, Maeva, approche ! »
Un court instant Maeva avait oublié que si la fessée de Marguerite était terminée, c’est que la sienne était imminente. En l’interpellant, La voisine l’avait ramenée sur terre, vers une réalité bien prosaïque : bientôt ses fesses auraient la même couleur que celles de Marguerite et elle ressentirait une cuisson analogue à celle que devait actuellement ressentir sa copine.

vendredi 12 février 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 43

Maeva et Marguerite montaient l’escalier. La voisine les suivait. Elle ne les avait pas autorisées à remonter leur culotte, ce qui rendait l’ascension difficile.
« Ne croyez pas vous en tirer à si bon compte. Votre punition n’est pas finie ! »
Ce qu’elles craignaient arriva. Les deux filles s’arrêtèrent au premier, l’étage auquel habitait la dame. Si la punition ne se prolongeait pas dans le hall de l’immeuble, cela devait être certainement au domicile de la dame.

mercredi 10 février 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 42

Maeva n’en pouvait plus. Cette dame savait donner la fessée comme peu de personnes. Sa main claquait sur les fesses. Maeva ne pouvait pas contenir ses réactions. Elle s’en était doutée dès qu’elle avait été prise en mains.
A peine Teva avait-elle avait-elle tourné le dos, donnant implicitement l’autorisation à la voisine de la fesser, que Maeva avait senti qu’on la prenait par le bras. Elle fut amenée au pied de la voisine qui la fit passer sous son bras d’un geste fluide, puis qui resserra son étreinte autour de la taille de Maeva. Elle n’avait pas hésité une seule seconde sur la position dans laquelle il fallait placer sa punie pour que ses fesses soient aisément accessibles.

vendredi 5 février 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 41

La vie suivait son cours chez Teva et chez Hélène. Marguerite suivait, sur le tas, une formation accélérée de documentaliste pour seconder Hélène dans son travail. Elle exerçait ses fonctions le soir en rentrant du travail et le week-end. Maeva se joignait le plus souvent à elle. Elles apprirent vite à respecter la rigueur nécessaire. Hélène sanctionnait, chez l’une ou chez l’autre, chacune des étourderies ou des approximations par une bonne fessée. Au-delà du plaisir à entrer dans l’intimité d’Hélène, les punitions constituaient un sérieux moteur incitant à fournir un travail de qualité.

mercredi 3 février 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 40

Durant toute la première demi-heure, l’inflammation ne cessa de croître. A chaque fois que Marguerite faisait un mouvement, quel qu’il soit et aussi précautionneux qu’il fût, la culotte frottait sur la peau des fesses. C’était comme si du papier abrasif passait en permanence sur la peau de ses fesses. Il fallait trouver une solution.

vendredi 4 décembre 2020

Tapage nocturne ? Impolitesse ? La solution est évidente !

 Eh oui, ma chérie, je sais que la voisine est là ! C'est d'ailleurs à cause ce qu'elle vient de me dire que toi tu te retrouves là où tu es ! Eh bien non, je ne vois pas en quoi sa présence pourrait changer quoi que ce soit à la punition que tu as méritée. C'est exactement pour cela que je t'ai amenée chez elle.

Vois-tu, elle m'a expliqué, avec force de détails très convaincants, comment tu te comportes quand je ne suis pas là pour te surveiller. Il paraît que le week-end dernier, alors que tu étais seule à la maison, la musique était à fond jusqu'à quatre heures du matin ? Pire encore, ce ne serait pas la première fois ! Je comprends maintenant pourquoi tu aimais tant rester seule à la maison !

mercredi 12 août 2020

Chroniques de confinement - chapitre 10

 Ces souvenirs remémorés par sa mère et Madame Bernadette en firent remonter d’autres à l’esprit d’Aurélie. Toujours au coin, elle avait tout le loisir de songer à ces années qui avaient suivi ses dix-huit ans. Suite à cette première journée, il fut tacitement entendu que la fessée était devenue la méthode habituelle pour remettre Aurélie à sa place. Ni sa mère, ni Madame Bernadette n’hésitèrent plus à sévir au moindre prétexte que leur donnait Aurélie.

mercredi 5 août 2020

Chroniques de confinement - chapitre 9

« Et c’est sur ces entrefaites que vous êtes arrivée, Bernadette.
– Pas exactement, Madame Marianne. Vous lui aviez déjà donnée sa deuxième fessée, quand elle a goûté à votre règle pour la première fois. Je ne suis arrivée qu’après. Elle était déjà sortie du coin. »
Elles s’étaient, toutes deux, installées sur la table de la cuisine pour prendre un café. Elles jetaient un œil distrait sur Aurélie et Philippe, toujours le nez dans le coin. Ce flash-back était empreint d’un peu de nostalgie.

mercredi 15 juillet 2020

Chroniques de confinement - chapitre 6

Madame Bernadette avait raison. Quelques courtes minutes après avoir été remis au coin, il ne ressentait plus les effets de la fessée. Cela n’avait été qu’une petite correction, un avertissement en quelque sorte, mais qui avait parfaitement porté son message. Avec Madame Bernadette également, il allait falloir être sage et obéissant.
Je commençais à avoir une image assez nette de ce que serait ma vie pendant ce confinement. Elle serait faite d’exigences de la part de ma belle-mère, relayée par Madame Bernadette et ponctuée de fessées, données par l’une ou par l’autre, à chaque fois que je sortirai du cadre fixé.