vendredi 19 février 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 45

Bien que la fessée ait cessé, il ne tenta pas de bouger sans l’autorisation de sa femme. Ses fesses le brûlaient bien plus que tout ce dont il se souvenait. Il était conscient que la honte de la punition infantilisante y était pour beaucoup. Qu’elle lui ait été administrée en présence de la voisine en rajoutait encore.
« Debout ! Va te mettre au coin ! »
Curieusement, la fessée avait fait disparaître toute trace de pudeur. Il ne doutait pas que toute tentative de rébellion le ramènerait sur les genoux d’Audrey. La nécessité de lui obéir était plus forte que tout, plus forte que l’envie de dissimuler son intimité aux personnes qui étaient présentes.
Sans qu’on lui en ait donné l’ordre, il ne tenta pas de remonter ni son pantalon ni sa culotte, découvrant la difficulté de marcher dans cette tenue. Traverser la pièce, la culotte baissée, exhibant ses attributs sexuels qui ballottaient entre ses cuisses, lui sembla naturel, compte tenu des circonstances. Il avait le sentiment d’avoir été traité comme un enfant désobéissant. Il se comportait donc comme le ferait un gamin que la fessée avait ramené à de meilleurs sentiments. Nul besoin de cacher ses fesses.
Il plaça son nez dans le coin, mais il ne savait pas quoi faire de ses mains. Audrey lui vint en aide. Elle les ramena dans son dos et les y croisa. Elle y glissa en-dessous la chemise qui tombait sur ses fesses.
« Tu ne bouges pas de là avant que je ne t’y autorise ! »
Une claque sonore sur ses fesses vint confirmer le sérieux de la résolution d’Audrey, ce dont il ne doutait pourtant pas. Elle resta juste derrière lui une vingtaine de seconde, examinant le résultat de son travail, puis elle s’éloigna, le laissant seul dans son coin.

Il n’en voulait pas à Audrey. Depuis la première fois qu’elle lui avait évoqué la nécessité de le fesser, il se doutait que c’était comme cela que ça devait finir. Il savait que l’exaspération de sa femme montait de jour en jour, mais il se sentait incapable de modifier son comportement de lui-même. Comme les autres, il avait entendu parler des corrections reçues par les filles du troisième. Il avait pris conscience qu’elles légitimaient le recours aux châtiments corporels et qu’il était dans le collimateur d’Audrey.
Il savait que, puisqu’il n’était pas capable de s’imposer une attitude responsable, il n’y avait pas d’autre solution s’il voulait éviter une rupture définitive avec sa femme. Cela ne pouvait plus durer. Il fallait que quelqu’un prenne les choses en mains. C’était elle qui avait raison dans la dispute qui les opposait, c’était elle la plus raisonnable des deux. C’était donc à Audrey de le faire.
Un reste d’orgueil masculin l’avait retenu de franchir le pas plus tôt, en premier. Ce n’était pas aisé de se soumettre, de son propre chef à la fessée. C’était déchoir de son statut d’adulte qu’il avait eu tant de mal à gagner. Il fallait qu’Audrey l’y contraigne, mais elle en était incapable physiquement. Il avait vingt-cinq bons centimètres de plus qu’elle et elle lui rendait quinze kilos. L’intervention de la voisine était tombée au bon moment.
D’un côté, cela avait rendu les choses plus difficiles. Même dans ses cauchemars les plus noirs, autant il s’était fait à l’idée de recevoir la fessée de sa femme, autant il n’aurait jamais pensé qu’elle lui serait administrée en présence d’une tierce personne et encore moins de la voisine.
D’un autre côté, son intransigeance avait grandement facilité le saut dans le vide qu’il devait faire. Elle lui avait fourni un prétexte, tout ce qu’il y avait de plausible, pour qu’il se retrouvât dos au mur et dût faire un choix. En fait, ce n’en était pas un. Dans l’alternative qu’elle lui avait proposée, les deux solutions le menaient à la fessée. La moins pire des deux consistait à se soumettre à la punition qu’Audrey avait décidé de lui administrer.
Le moment le plus difficile avait été pendant qu’Audrey le déculottait. Une bouffé d’angoisse l’avait submergé quand elle lui avait baissé le pantalon. Elle avait été encore plus forte quand ce fut au tour de sa culotte. Il n’avait plus l’habitude d’exposer son intimité depuis que l’âge lui avait appris que cela ne se faisait pas. A part un épisode éprouvant devant une infirmière quand il avait quatorze ou quinze ans, nul n’avait vu ses fesses nues jusqu’à ce qu’il se marie avec Audrey. Et encore, il avait eu un moment d’hésitation quand elle avait exigé que la lumière restât allumée le premier soir où ils avaient fait l’amour ensemble.
Il avait dû mettre sa pudeur de côté, malgré la présence de la voisine. Non, ce n’était pas cela. Malgré sa honte, il n’avait rien pu faire pour ménager sa pudeur qu’Audrey avait décidé d’ignorer. Il avait cru mourir de honte quand sa culotte, descendant le long de ses cuisses, avait dévoilé son pénis et ses bourses. Il n’en avait rien été, ce qui était encore pire.
Étrangement son niveau d’angoisse avait nettement diminué, pourtant sa tenue était tout aussi impudique que pendant la fessée. Ce n’était pas que la position qu’Audrey lui avait fait prendre au coin, cachât ses attributs sexuels. Au contraire. Bien qu’ils ne soient plus à la vue des deux femmes derrière lui, chacune savait qu’ils étaient exhibés comme le reste et qu’il n’avait pas l’autorisation de retrouver une tenue décente.
La fessée avait changé son statut. Audrey avait maintenant autorité sur lui. Il en était parfaitement conscient. C’est elle qui avait maintenant la responsabilité de tout ce qui le concernait. Il se doutait que cela irait bien plus loin qu’il le souhaitait.
Il se serait senti rabaissé s’il avait tranquillement accepté de recevoir la fessée de son plein gré. Là, elle lui avait été imposée. L’honneur était sauf. Audrey pouvait le menacer, à tout moment, de recourir à une escouade de voisine pour le contraindre à accepter les punitions qu’elle déciderait de lui infliger.
Il ne doutait pas que la solidarité entre fesseuses jouerait automatiquement. Il y avait la voisine et les deux dames du troisième ainsi que celle qui avait raconté partout qu’elle avait donné une fessée sur le palier à l’une des filles du troisième, et aussi celle qui avait renchérit en expliquant que c’était plusieurs semaines auparavant que, chez elle, elle avait sévi, sans compter toutes celles qui ne se gênaient pas pour approuver l’idée de corriger les contrevenants… cela faisait un nombre considérable de personnes à qui faire appel en cas de besoin. Même en cas d’absence de quelques-unes, il en resterait assez pour le déculotter de force et le fesser. Il fallait être lucide. Le long temps de réflexion au coin l’y aidait.
Il n’avait donc plus le choix. Curieuse sensation. Il se sentait ramené à l’état de petit garçon ce qui, à la fois, l’effrayait, mais le soulageait également. Il y aurait des moments difficiles, les fessées par exemple. Il ne se doutait pas, jusqu’à maintenant, qu’Audrey pouvait lui causer une telle douleur uniquement avec sa main nue appliquée sur ses fesses. Mais il pouvait maintenant s’abandonner entre les mains de sa femme. Il s’y sentait en sécurité, sentiment qui le ramenait à sa petite enfance.
S’abandonner, ce n’était certainement pas le terme qui convenait. Audrey pouvait dorénavant lui imposer des règles drastiques et beaucoup plus de travail, notamment domestique, que ce qu’il faisait jusqu’à maintenant. Mais le poids des responsabilités qu’il sentait sur ses épaules depuis qu’il était majeur et que son mariage avait encore alourdi, avait quasiment disparu.
La vie serait bien plus simple puisque c’était à Audrey de prendre, dorénavant, les responsabilités et les décisions. C’est elle, en particulier, qui décidera, en baissant sa culotte, des lieux et des personnes devant qui, il sera convenable d’exposer ses fesses et ses organes sexuels nus. Sa pudeur en souffrira, bien sûr, mais bien moins que quand il fallait en décider lui-même, y compris quand c’était dans l’intimité. L’obéissance avait des inconvénients, mais elle avait aussi des avantages.

Audrey portait un plateau quand elle revint dans le séjour où son mari patientait toujours au coin.
« Je vous en prie, prenez place. Là si vous le voulez ! »
Une personne prit place dans un fauteuil.
« J’espère que c’est bien la voisine, pensa le jeune homme qui se tenait au coin. C’est bien assez pour aujourd’hui d’avoir dû lui montrer mes fesses à elle. Pourvu qu’il n’y ait personne d’autre. »
La voix le rassura.
« Je vous remercie.
– C’est moi qui vous remercie. Vous m’avez rendu un grand service. »
Il y eut un bon moment d’échange de politesses et d’amabilités qui déboucha sur un court silence.
« Croyez-vous que je devrais le mettre au coin sur la palier, comme les deux filles ? »
Dans son coin, il faillit s’étrangler.
« Je ne pense pas. Pas aujourd’hui. Vous allez être amenée à le fesser très souvent à partir d’aujourd’hui. Je crois que vous ne devez rien lui passer, surtout dans les premiers mois : aucune désobéissance, ni impolitesse ni insolence, pas de négligence… tout doit se traduire en une fessée.
– Rien lui passer, dites-vous ? Comme de refuser de me laisser le déculotter ?
– Bien entendu. C’est une désobéissance très grave.
– Je dois donc lui donner une deuxième fessée, dès ce soir, pour avoir fait obstacle à son déculottage.
– Ce serait une bonne idée.
– Nous sommes d’accord. Il aura donc une fessée après le dîner. Mais je vous ai interrompue à propos de la mise au coin dans le couloir.
– Oui, je disais donc que vous devrez le fesser très souvent.
– Certainement !
– Vous devez donc garder des réserves de sévérité.
– Comment cela ?
– La rigueur des fessées que vous lui donnerez devra être fonction de la gravité des écarts qu’il commet : une désobéissance volontaire, une récidive, si ses actes le mette en danger, lui ou quelqu’un d’autre… ce genre de choses.
– Ah oui, je vois !
– Vous devrez alors lui donner une fessée bien plus sévère qu’aujourd’hui. »
Il n’en croyait pas ses oreilles. Bien plus sévère… était-ce possible ? Certainement ! Que diable, pourquoi avait-il mis le pied sur cette galère ?
« Vous avez alors plusieurs possibilités, continua la voisine. Il y a bien sûr le recours aux instruments punitifs. Vous avez, à coup sûr, une ceinture dans l’un de vos placards. Tenez, celle qu’il y a là entre les passants de son pantalon fera l’affaire. Mais vous devez également avoir une règle d’école, plate, en bois ou encore une brosse au dos plat avec un manche solide. Tout cela fera l’affaire !
– Oui, bien sûr, il suffit d’y penser.
– Vous pouvez acheter un martinet. Ne prenez pas ceux que l’on trouve dans le commerce. Ils sont inefficaces pour des adultes. Teva, la sœur de Maeva qui est au coin sur le palier a trouvé un cordonnier qui les fabrique sur commande. Elle vous en donnera certainement l’adresse.
– Je la lui demanderai.
– Vous pouvez également envoyer votre garnement cueillir une badine dans l’arbre qui est au milieu de la cour. C’est ce que j’ai fait avec les deux filles. Ça fait une fessée qui laisse des marques pour plusieurs jours.
– Je retiens cette idée. Elle est excellente ! »
S’il en avait eu le droit, il en aurait hurlé. De quoi administrer des fessées bien plus sévères, effectivement. Les corrections d’Audrey risquaient d’être bien plus difficiles à absorber que prévu.
« Pour ce qui est de la mise au coin, je vous la recommande systématiquement. Aller réfléchir au coin après une bonne fessée, la culotte baissée, permet d’y prendre de bonnes résolutions. En général, ils en reviennent prêts à demander pardon, ce qui est indispensable. Par contre, gardez la mise en pénitence sur le palier pour un écart plutôt important. C’est humiliant de montrer ses fesses à tous les passants.
– Vous avez raison, allons-y par étapes. »
Il n’en croyait pas ses oreilles. Impossible qu’il finisse un jour au coin sur le palier. Et pourtant… Qu’aurait-il fait si Audrey avait décidé de l’y mettre aujourd’hui ? Risquer une autre fessée ? Avec l’un des instruments dont la voisine avait fait l’éloge ?
« Quant aux personnes devant qui vous le fesserez ou à qui vous demanderez de le corriger, ce n’est pas une question de sévérité.
– Ah, j’aurais pourtant pensé…
– Non, voyez-vous, cela dépend du moment et du lieu où son comportement laisse à désirer et des personnes envers qui il se montre effronté. Vous pourrez toujours choisir de ne le punir qu’en privé, mais cela oblige à différer la punition. Ce n’est pas souhaitable. Une bonne fessée déculottée administrée sur le moment, en présence des personnes qui ont été témoins de son écart, voire donnée par la personne envers qui il a été désobligeant, je vous assure que cela apprend à vivre.
– J’imagine, en effet ! »
Il avait, lui, du mal à imaginer. La fessée déculottée devant tout le monde ? Donnée par une autre personne qu’Audrey ? Ce serait bien plus humiliant. Audrey semblait s’être rangée à l’avis de la voisine. Il devait éviter cela à tout prix.

« Si j’osais, commença Audrey, je vous demanderai bien quelque chose.
– Je vous en prie, faites !
– C’est ce que vous avez dit, il y a quelques minutes, qui m’a troublée.
– A quel sujet ?
– Vous avez dit qu’il ne faut rien lui passer, surtout dans les premiers temps.
– En effet, c’est bien ce que j’ai dit.
– Oui, mais ce n’est pas ce que nous avons fait.
– Que voulez-vous dire ?
– Quand vous êtes entrée dans le séjour, je crois me rappeler que mon cher mari a été tout, sauf poli avec vous. C’était de l’insolence, limite vulgaire.
– Vous avez raison ! Vous êtes observatrice. Votre mari n’en sera que mieux surveillé. Dans le feu de l’action, je ne l’avais pas relevé. J’étais surtout préoccupée par la fessée que vous deviez lui donner.
– Maintenant que cette première fessée a été administrée, ne serait-il pas tant de revenir sur ce qui en nécessite une autre ?
– Ah oui, bien sûr. Vous devez le punir pour cela aussi.
– Si j’applique les principes que vous m’avez si généreusement exposés, ce n’est pas moi qui dois le punir, mais vous.
– Moi ? Mais… et bien oui, vous avez raison ! Vous pensez que je peux…
– Non, je vous le demande. Voulez-vous bien donner à mon mari la fessée qu’il a méritée en étant insolent avec vous ?
– Et bien je ne vois pas comment je pourrais refuser. »
La voisine marcha jusqu’au coin. Elle prit l’oreille du jeune homme qui s’y trouvait et en tirant elle le sortit de là où il était.
« Non, Audrey, non… pardon… je ne le ferai plus… Audrey, s'il te plait, pas ça ! »
Cette longue supplique n’avait pas interrompu la préparation de la voisine. Maintenant que la fessée était décidée, plus rien ne pouvait l’arrêter. Elle avait passé son bras autour de la taille du jeune homme et en pesant sur son dos de son coude, elle l’obligea à se courber.
« Tu es trop grand pour moi. Mets-toi à genoux ! »
Comme il ne réagissait pas tout de suite, elle s’appuya sur son dos de tout son poids et sa main vint frapper dans le pli, derrière les genoux. Il tomba sur ses genoux, au pied de la voisine.
« Ecarte un peu tes genoux ! »
Il était hébété à la pensée de ce qui se préparait. Les mains de la voisine qui s’était emparées de son corps le brûlaient à chaque fois qu’elles le touchaient. C’étaient des mains étrangères qui s’immisçaient dans son intimité et qui, contre sa volonté, se posaient partout où elles en avaient besoin pour le préparer à recevoir une fessée. Il n’aurait jamais cru que cela pouvait lui arriver. Il sentit un bras entourer son buste et une main se glisser sous son ventre, à toucher sa toison pubienne, à quelques centimètre de sa verge, une main qui appartenait à une personne à qui il avait à peine parlé pendant dix minutes en deux ans.
Un pied cherchait à se glisser entre ses jambes. Il les écarta un peu pour lui laisser de la place dont le pied prit possession aussitôt. La voisine le plaqua contre sa cuisse, puis elle releva la chemise qui était tombée sur ses fesses. Son bras gauche était passé derrière le dos de la voisine, le droit était libre, mais il avait compris qu’il ne devait pas s’en servir pour protéger ses fesses.
La main de la voisine frappa sa fesse gauche. Il tenta d’avancer pour éviter la claque suivante, mais son bassin fut arrêté par la jambe de la voisine et il dut rester en place, là où il reçut une deuxième claque sur les fesses, du côté droit, tout aussi forte que la première. Il se rappela à temps de ne pas interposer sa main libre, alors qu’il en avait la possibilité. C’était tentant, mais interdit et les conséquences en étaient évidentes : une autre fessée. Il devait se contrôler.
Il serra les dents pour ne pas crier le temps que la voisine lui assène une bonne dizaine de claques sur chaque fesse. Il avait envie de crier pour évacuer la douleur qui se concentrait sur ses fesses, mais sa fierté le lui défendait. Stupide orgueil masculin !
La voisine sourit.
« Il y viendra bien, pensait-elle ! Il suffit d’attendre. »
D’attendre et d’accentuer la pression en accélérant le rythme de la fessée. Les claques se firent plus rapprochées. Il y eut deux ou trois grognements retenus, puis un étouffé au dernier moment quand la main de la voisine visa le haut de la cuisse, légèrement à l’intérieur. Elle insista, au même endroit, deux, trois, quatre fois et un cri franc résonna dans la pièce.
« Nous y sommes, pensa la voisine ! »
Il y eut un deuxième cri qui n’alla pas au bout, puis il éclata en sanglots qui ne cessèrent pas jusqu’à la fin de la fessée. La voisine continua sans ralentir le rythme ni économiser la force qu’elle y mettait. Cette première fessée qu’elle lui donnait devait être mémorable. Les suivantes seraient plus simples. Il saurait maintenant qu’il ne pouvait pas résister à une correction qu’elle donnait. Cela faciliterait les prochaines et pour lui et pour elle.
Elle lui donna une dernière série de claques, le plus fort qu’elle pouvait, bien détachées l’une de l’autre pour finir. Elle le garda dans cette même position, le temps qu’il retrouve ses esprits. Si l’on faisait abstraction de ses fesses qui le brûlaient affreusement, il se sentait à sa place, là où il était, le visage enfoui dans les plis de la robe de la voisine qui épongeait ses larmes. La main qui l’avait fessé passait dans ses cheveux. Il aurait voulu que cela ne s’arrêtât jamais. Ce ne fut pas le cas. Une sérieuse tape sur les fesses lui en donna le signal.
« Allez, debout et retourne au coin ! »
Il se leva difficilement. Ses genoux dont les articulations s’étaient ankylosées, le faisait souffrir. Rien de comparable avec ses fesses. De ce côté-là, c’était une fournaise qui lui emportait le postérieur. Les premiers pas furent difficiles, mais il tenait à montrer son obéissance. C’était son seul souhait à ce moment-là. Il fallait que la voisine soit satisfaite de son comportement. Il reprit sa place au coin, reprenant la même position que celle qu’il avait, avant cette deuxième fessée.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 44
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.


Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

1 commentaire:

  1. Bravo très beau récit fesser par sa femme et la voisine et déculottée au coin huummm j'aimerai être à sa place

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