Dans le cadre de notre mastère où nous devons faire l’équivalent de neuf mois en entreprise, Olga, Iourievna et moi avons eu une réponse positive de la Mairie pour des postes au sein des services techniques. Avec notre spécialité informatique, nos compétences sont recherchées et durant les deux années que dure notre mastère, nous serons amenées à développer des projets au sein de notre société, pour la soutenance finale qui comptera pour notre diplôme.
A notre arrivée dans le bâtiment, nous sommes présentées à nos responsables, tout d’abord le directeur Jean-Bernard V., qui supervise tous les services et ensuite la secrétaire Gabrielle L., Agathe S. du service sécurité et Amélie B., notre responsable directe.
La mairie de notre ville
possède déjà une personne qui gère les systèmes informatiques, Loic L., la
petite trentaine, mais les prestations ne sont vraiment pas optimales et c’est
dans ce cadre qu’Olga, Iourievna et moi allons devoir œuvrer pour mettre le
service à la pointe de l’innovation.
Amélie B. est une femme de caractère
de trente-six ans qui mène son personnel avec rigueur. Entourée majoritairement
d’hommes, elle se doit d’être autoritaire, pour ne pas se faire dépasser par
les évènements et ses collaborateurs la respectent ou la craignent, car
lorsqu’elle pique une colère, ça déménage...
« Bonjour
Mesdemoiselles ! Bienvenue dans le service. Un peu de féminité dans cet
univers masculin ne fera pas de mal. Loic, je vous présente vos trois
collègues, Olga, Iourievna et Elena. Elles travailleront avec vous pour mettre
en place tous les projets dont nous avons parlé en fin d’année passée. Vous
m’aviez dit que vous aviez besoin de renfort, et bien, les voilà. Ne me décevez
pas ! »
« Oui,
Madame » répond Loic L.
« En
cas de besoin, notre secrétaire Gabrielle ou moi-même répondrons à vos
questions »
Loic L. nous présente les
locaux et les projets dont il est le responsable.
« Elle n’a pas l’air
d’être commode Madame B. ? »
« En
effet, elle sait se montrer douce, presque maternelle par moment, mais
extrêmement dure à d’autres moments. On ne sait jamais de quel côté ça va pencher ! Faite
attention à vous ! » nous répond Loic L.
« Effectivement,
il faudra être rigoureuses et tout se passera bien » dit
Olga, la plus sérieuse d’entre nous.
« Tout
à fait, Olga. Voulez-vous vous rincez l’œil, les filles ? » nous
demande Loic L., à brule-pourpoint !
Très étonnées de la
proposition de Loic L. que nous connaissons à peine, nous répondons que oui, si
cela ne nous attire pas d’ennui.
« Regardez
par la fenêtre... »
Nous voyons un homme, les
fesses et le pénis à l’air en train de balayer la cour, derrière la Mairie !
Surprises, nous explosons de rire de voir cet homme en train de travailler dans
cette tenue impudique. Lorsque nous sommes remises de notre fou-rire, nous lui demandons :
« Qu’a-t-il
fait pour mériter ça ? »
« Il
s’appelle Nathaniel T. et il faisait partie des gens qui ont participés à une
fête clandestine, il y a peu de temps. Il a été fessé avec plein d’autres chez
les gendarmes, et comme notre directeur Jean-Bernard V. veut des collaborateurs
irréprochables, il lui a rajouté cette punition dégradante. Il doit rester le
bas du corps nu, au moins un mois, pour lui apprendre à respecter les règles... Il
a même été obligé de s’épiler et il doit garder son prépuce retroussé pour
l’humilier davantage, ce dont raffole notre secrétaire qui ne perd pas une
occasion d’aller lui demander quelque chose et là, vous le verriez être au
garde à vous... c’est tordant de rire ! »
En sachant le pourquoi de la
punition de Nathaniel T., le rouge de confusion nous monte aux joues, car si notre
participation et notre punition se savaient, nous pourrions être mises dans le
même panier que cet homme et ce serait un début de stage particulièrement
déshonorant.
« Ô, Vous
rougissez ? » nous demande Loic L.
« Euh...
Un peu, oui, c’est d’avoir vu cet homme à moitié nu qui nous trouble ! »
répondis-je à Loic L., pour donner le change.
« Y’a
pas trop à rougir. Avec la fraicheur du dehors, il est tout rétrécit, son kiki
et y’a vraiment pas grand-chose à voir. Il doit se les cailler ! » se
moque ouvertement Loic L.
« Pourra-t-on
aller voir ça de plus près ? » demandais-je à Loic L.
« Ça
vous intéresse, je vois... Oui, bien sûr, je vous présenterai les gens des
différentes équipes, ça sera l’occasion de vous rincer l’œil de plus près sur
Nathaniel. Vous l’auriez vu lorsqu’il est revenu au travail après sa correction
à la gendarmerie, il avait les fesses et les cuisses dans un état... Il s’est
même pris quelques cinglées sur le pénis ! Les fesseuses lui ont dit
qu’elles ne l’ont pas fait volontairement, mais je suis sûr qu’elles ont tout
fait pour que ça arrive... » nous explique-t-il.
« Ce
ne serait pas étonnant de la part des femmes gendarmes, elles aiment soumettre
les punis et leur faire prendre conscience de l’ascendant qu’elles ont sur
eux et même sur les femmes... » lui répond Iourievna.
Le restant de la matinée est
passée à regarder les différents projets sur lesquels nous allons travailler.
Loic L. expose les contraintes et les délais que nous allons devoir
impérativement respecter, surtout dans l’optique des prochaines élections (
départementales, régionales et présidentielle ) et dans un cadre plus communal
où les nouvelles technologies pourront aider à mieux gérer les besoins de la
Mairie et des administrés.
Soudain, nous entendons des claquements
et des cris venant de la cour. Curieuses, nous nous précipitons à la fenêtre et
nous voyons la responsable Agathe S., en train de fesser Nathaniel T. à la
volée. Gabrielle L. est près d’eux et à l’air d’apprécier le spectacle. Nous
entendons ce qui se dit :
« Espèce
d’obsédé ! Être avec cette érection ridicule devant Gabrielle ! Mais quelle
honte ! Je vais vous apprendre à manquer de respect à une
dame ! » crie Agathe S., furieuse.
« AAAH !
... PARDOOON ! ... WOUAAH ! ... AAIEEH ! ... ASSEEEZ !
» crie
Nathaniel T. en se contorsionnant et en sautant d’une jambe sur l’autre et en
essayant de se protéger comme il peut.
Les claquements et les cris
ameutent les autres employés communaux, qui rigolent de la danse grotesque de Nathaniel
T.
« Et
ben, Gabrielle a ce qu’elle cherchait. Elle est allée le voir sous un prétexte
fumeux, comme d’hab et du coup, le Nathaniel a été tout émoustillé et manque de
bol pour lui, Agathe l’a vu. Avec ce qu’il est en train de prendre, ça va
calmer ses ardeurs, à celui-là » nous explique Loic L.
« Peut-être
pas, car chez les garçons, la fessée a le don de provoquer ou renforcer leur
érection ! » lui répond Olga.
« Oui,
exact ! Alors, il n’est pas au bout de ses peines, le Nathaniel ! »
« Au
moins, ça va le réchauffer un peu... » dis-je en m’amusant de
le voir sautiller.
« Ah,
au fait, on ne vous l’a pas dit, mais vous vous en doutez, maintenant, Agathe
et Amélie manient très bien la ceinture et se réjouissent de s’en
servir ! Elles appliquent à la lettre les consignes de la femme du Maire,
qui est enceinte et avec ses hormones en ébullition, elle apprécie tout
particulièrement ce genre de spectacle » nous prévient Loic L.
« Par
hasard, ce n’est pas elle, là-bas, la femme avec son gros ventre, à la fenêtre ? »
demande Iourievna à Loic L.
« Si,
bien vu, c’est elle ! » répond Loic L.
« Elle
a l’air de se caresser... » fais-je remarquer à mes amies.
Pendant ce temps, Agathe S. en
a terminé avec la fessée de Nathaniel T. Celui-ci se caresse les fesses brulantes,
en se confondant en excuses auprès de Gabrielle L. qui, tout excitée, retourne
à son bureau. Malgré son masque, on peut voir qu’elle est ravie.
Les collègues de Nathaniel T.
se rassemblent auprès de lui pour admirer de plus près ses traces un peu boursoufflées.
« Allez,
mon gars, t’en verra d’autres ! Elle t’a pas raté, la cheffe ! » lui fait
remarquer un de ses collègues.
« Si
tu voulais te la faire, Gabrielle, et ben, c’est raté ! » plaisante
un autre.
Jean-Bernard V. fait un détour
et vient près des agents municipaux rassemblés :
« Monsieur
D. reprenez votre travail sur le champ, il ne va pas se faire tout
seul ! Vous autres, laissez-le tranquille, à moins que vous
souhaitiez vous retrouver dans la même tenue de lui ? »
La menace du directeur a pour
effet de faire se disperser ses collègues. Soumis, Nathaniel T., a peine remis
de sa correction reprend son balaie et continue ce qu’il était en train de
faire.
« Vous
savez, les filles, des scènes comme celles-ci, vous allez en voir quelques-unes
durant vos stages en alternance ! Les agents communaux sont sympas mais ils
n’ont rien dans le ciboulot, du coup, ils ne réfléchissent pas avant d’agir, ce
qui fait qu’ils sont punis »
La fin de la journée se passe
avec ces scènes tournant en boucle dans notre esprit. Nous nous en délectons
même si au fond de nous, nous sommes contre ces traitements que nous jugeons
très limites.
En partant, nous rencontrons
Garance C. de V., une camarade de Ste CROIX, en stage également à la Mairie.
« Tiens,
mais c’est Garance qui est là, c’est une nana de ma section »
s’étonne Olga.
« Ah
ouais, et sa mère, elle est pas adjointe au Maire, à la sécurité publique ou un
truc dans le genre ? » demande Iourievna.
Après avoir discuté avec
Garance et lorsqu’elle nous a expliqué qu’elle se trouvait dans un service de
communication à côté du bureau du Maire, David R., nous nous rendons compte du
piston qu’elle a eu.
« Mademoiselle
C. de V. a droit à un stage au sein de la Mairie... Et nous, pauv’ prolétaires,
c’est les services techniques avec les agents communaux ! C’est
toujours les mêmes qui ont du bol » dis-je en me moquant et en
prenant des airs de pimbêche.
« On
n’est pas du même monde... » rajoute Olga.
« Oh,
visez les filles, y’a Nathaniel droit devant » nous
fait remarquer Iourievna, au détour d’un couloir.
« On
va le voir ? » demande Olga
« Chiche ! »
dis-je
« EH
NATHANIEL ! » crie Olga
Nathaniel T., qui ne nous avait
pas vu, est surpris d’entendre son nom. Il se retourne et voit trois jeunes
femmes qui semblent le connaitre.
« Bonjour
Nathaniel. On est stagiaires ici, on travaille avec Loic L., au service
informatique. On t’a vu se faire fesser, ce matin ! C’que t’avais
l’air ridicule, mon pauvre... » lui dit Iourievna, sans
ménager sa susceptibilité.
Nathaniel T., rougit en face
de jeunes femmes et perd ses moyens dû au fait qu’il soit pénis nu devant nous.
Dans un ultime réflexe, il se cache avec ses mains.
« Pas
la peine de la cacher ta saucisse, on a déjà tout vu... » lui
dis-je pour le décomplexer et surtout pour qu’il retire ses mains afin qu’on
puisse l’admirer davantage.
« Ouais,
on va s’croiser plusieurs fois par jour, durant notre stage, alors autant t’y habituer tout
de suite... » en remet une couche Iourievna.
Le visage empourpré de honte, Nathaniel
T., résigné, retire ses mains. Nous pouvons voir son long pénis assez fin et
son gros gland découvert.
Nous tentons de discuter, mais
ayant perdu toute dignité, Nathaniel T. bafouille des propos que nous avons du
mal à suivre. Cette extrême émotion se transforme par une belle érection.
« Ô,
on te fait de l’effet, je crois » s’exclame Olga en contemplant
son membre s’allonger davantage et se dresser.
« Vous...
le di... direz... pas, hein ? Elle va enc... core me... foue...
fouetter ! Prom... mettez-moi ? »
balbutie Nathaniel T., pris sous l’émotion.
« Ouais,
on te le promet seulement si on peut toucher, sinon, on balance tout à Agathe
S. ! » lui dis-je.
« Non,
pas ça, pas... à elle ! c’est d’ac... cord, vous pou... pouvez tou... cher,
allez-y ! » bégaye Nathaniel T. en bombant son bassin
en avant pour nous offrir son pénis.
Ravies de l’avoir fait céder et
avec délectation, chacune notre tour, nous lui caressons la verge que nous
sentons se durcir au maximum, puis nous lui palpons les testicules. Le fait
qu’il soit épilé rend son pénis encore plus long.
Nous gloussons en faisant des
réflexions des plus érotiques sur son membre.
« Ouh
la, attention les filles, poussez-vous, il va gicler ! »
dis-je à mes amies lorsque je le vois trembler et ouvrir la bouche sur le point
de jouir.
Puis n’y tenant plus de nos
caresses savoureuses, Nathaniel T. écarte les cuisses, se raidit au maximum et
avec de longs râles, il éjacule plusieurs fois.
« Waouh !
quels jets ! Alors toi, t’es un sacré étalon ! »
s’émerveille Olga en pouffant de rire, alors que Nathaniel soupire de satisfaction.
C’est avec cette vision de
rêve que nous quittons Nathaniel T., comblé, pour rentrer chez nous. Durant
notre trajet, tout excitées, nous papotons en nous esclaffant et le sujet
principal est bien évidemment Nathaniel T.
Dans les jours qui suivent,
nous nous arrangeons pour croiser Nathaniel T. aussi souvent que nous pouvons, avec
un sourire en coin, ce qui le rabaisse d’autant, car il sait que nous l’avons
vu dans une situation des plus intimes.
« Je
ne sais pas ce qu’il se passe, mais lorsqu’il vous croise, il est tout chose,
le Nathaniel, vous avez vu comment il rougit et avec son kiki dressé ? » nous
dit Loic L.
« De
jeunes femmes, nouvelles, qui le regardent, ça le trouble surement... »
« Ça
doit être ça ! »
Amélie B. qui passe lui
dit :
« Ben
alors Nathaniel, ça ne vous a pas suffi la fessée d’Agathe, l’autre jour. Vous
en faut-il une autre pour calmer votre fougue face à ces trois jeunes
stagiaires ? Dégoutant personnage ! ! Si ça continue, je vais
vous envoyer en ville dans cette tenue, vous aurez de bonnes raisons d’être ému !
»
« Non,
Madame, pardon, je fais pas exprès ! M’envoyez pas en ville comme ça,
tout le monde va se moquer de moi ! Pitié ! »
implore Nathaniel T., affolé par la menace.
« Alors,
maitrisez-vous ! »
« Ça
serait marrant de le voir déambuler dans les rues de la ville, la saucisse à
l’air avec ses pruneaux qui pendouillent ! » nous dit
Olga, en aparté.
« Non,
arrête, ça serait traumatisant pour lui, surtout ! Imagine que ça t’arrive ! !
Déjà qu’il est à moitié à poil devant tous ses collègues... »
dis-je en ayant un peu pitié de Nathaniel T.
« Ne
vous inquiétez pas pour lui, ça lui ferait les pieds de se faire humilier une
bonne fois. Ce n’est pas la première fois qu’il se fait réprimander par sa
cheffe, y’a des spécialistes dans l’équipe, mais lui, c’est le pire de tous, je
crois ! Il a même fait deux mois de prison, pour un vol au début où
il était ici. C’est grâce à notre directeur que Nathaniel est de nouveau parmi
nous. En fait, notre directeur est un voisin de ses parents et il l’a pris en
pitié, mais il ne lui passe rien et toute bêtise est immédiatement sanctionnée,
c’était la condition de sa réintégration » nous confit Loic L.
« Ce
qui explique sa mise à l’air ! » complète Iourievna.
« Oui
et Nathaniel n’a pas pu contester l’humiliation durant tout le mois ! »
A
suivre...
Une série écrite par Elena
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Bonjour Elena. et bonjour à tous.
RépondreSupprimerNos jeunes amies sont maintenant totalement désinhibées. Même en-dehors du contexte de Sainte-Croix, elles n'hésitent pas à afficher le plaisir qu'elles éprouvent à contempler des messieurs dans le plus simple appareil. Et à se délecter de l'humiliation qu'ils éprouvent à être ainsi exposés à la vue de tous. Et elles ne se contentent pas de regarder. Elles mettent la main à la pâte, si l'on peut dire, et sont ravies de constater que cela fait bien de l'effet à leur victime. Voilà un stage qui commence on ne peut mieux et elles sont enchantées à l'idée de tous les plaisirs qui les attendent encore. Mais peut-être quelque grain de sable viendra-t-il enrayer la machine?
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerLe stage d'intégration professionnel qui avait pour but de faire mettre le pied à l'étrier de nos jeunes donzelles se transforme en spectacle réjouissant, tant la la vue que par le touché. Et elles ne s'en privent pas, ces demoiselles. Pas un iota de compassion vis-à-vis de Nathaniel qui s'en prend de belles.
Amitiés.
Elena.
Amis de la poésie et de la danse des fesses des agents communaux... bonjour!
RépondreSupprimerBonjour Elena, qui nous offre une nouvelle séquence, un peu raide, au cour de ce petit balayage au dessous de la ceinture. Parce que dans cette joyeuse commune, par souci louable d'économie, les agents de service, balayent la cour avec chemise, mais sans pantalon, pour exhiber le résultat de leur dernière fessée. Le spectacle d'une virile paire de fesses bien rouge, dépoussiérant la cour de la marie, redonne de la joie de vivre sous les jupes des employées municipales. Surtout quand ces fesses viennent de se faire claquer devant un public enthousiaste privé de concert à cause du confinement, par Agathe S.( comme Sévère ) la cheffe de service en personne!
C'est ainsi que, rescapé d'une fête clandestine après une grosse fessée gendarmesque, l'agent municipal, Nathaniel T. (comme testicules à l'air), le manche à balai en main, l'autre à la verticale, fait son service de nettoyage dans la cour de la Mairie.
"Ô Corse île d'amour"... ça se corse en effet, quand les trois gracieuses, petites vicieuses, viennent, sous la menace, lui titiller la bistouquette et soupeser les coucougnettes, ce qui du coup lui donne des raideurs dans la baguette magique... Les jeunes femmes en chaleur, excitées comme des pucelles d'Orléans devant un cageot de courgettes, applaudissent admiratives, l'arrosage lacté du sol de la cour, soudain inondé de spermatozoïdes agonisants. Ces petites bêtes ne vivent pas longtemps, en dehors du mode reproduction...
Tout est bien, qui humilie bien, Nathaniel T. (comme T'as pas fini d'en baver avec ces furieuses en rut) est en bonne voie de réhabilitation.
On craint, quand même encore, pour son trois pièces cuisine avant et ses dépendances jumelles postérieures. Allez savoir, tout est possible avec notre malicieuse et gourgandine Elena... ça dégénère très vite... Pour notre plus grand plaisir.
Amicalement.
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerEncore un beau commentaire...
Il faut montrer à ces messieurs que la discipline doit être respectée et dans le cas contraire, il faut s'attendre à des représailles de la part des cheffes de services qui ne s'en pas compter. Le sexe faible est dans ces épisodes le sexe fort.
Nos trois demoiselles, habituées à ce que ce soit elles qui paient les pots cassés, en profitent plus que de raison. Après tout, il n'y a pas de mal à se faire du bien et ce n'est pas Nathaniel qui dira le contraire, comblé par les caresses des jeunes femmes.
Suite au prochain épisode !
Amitiés.
Une vraie boite à malices, cette Elena...