samedi 13 février 2021

Fabien, saison 2 - chapitre 43

 Elle m’a regardé d’un air tout à fait pathétique, complètement nue, les cheveux emmêlés, sa mignonne frimousse dévastée par les larmes qui séchaient à peine, elle était véritablement dressée, vaincue, restait les bras ballants, ne cherchant plus à rien dissimuler de son intimité, comprenant intuitivement que c’était vain, tant elle n’avait plus de secret pour notre trio.

- Pitié Fabien, j’ai déjà trop mal, ça me brûle, tu ne peux pas savoir.

- Tu sais bien que si et tu sembles avoir oublié que tu m’as flanqué une fessée, il n’y a pas si longtemps, tu avais même pris des photos, il faudra d’ailleurs que tu me les rendes, avec la pellicule bien sûr, faute de quoi, je ferais circuler les tiennes, allez, cesse tes jérémiades et viens te mettre en position avant que je m’énerve.

- Je veux bien que tu te venges, mais alors pas trop fort, j’ai déjà les fesses en marmelade, ça me cuit atrocement.

Elle est venue s’installer sur mes cuisses, résignée à subir son sort et assouplie par les deux sérieuses corrections qu’elle venait de se ramasser, il est vrai que ses fesses étaient sinon brûlantes, encore très chaudes. Je l’ai attaquée bille en tête pour ne pas me laisser attendrir, je bénéficiais d’une super érection qu’elle devait évidemment sentir contre son ventre.

J’y allais en désordre, sans l’ordonnancement relativement précis de celles qui m’avaient précédé, frappant plusieurs fois sur une fesse en divers endroits, m’attaquant ensuite à ses cuisses graciles, pour revenir sur son fessier, très vite, elle s’est mise à geindre et a écarté progressivement son compas, je me penchais sournoisement en avant pour jeter un œil sur sa foufougnette, que j’avais pourtant eu tout loisir de contempler précédemment, surtout quand Lucie l’avait contrainte de se mettre dans la position dite « du cul en l’air ».

Il est vrai qu’il y avait un grand moment que je n’avais pas eu le bonheur d’exercer ce bel exercice, la dernière que j’avais fessée, c’était Lucie, au début de notre séjour balnéaire, il me semblait qu’il y avait un siècle. Je ne cherchais d’ailleurs pas à m’appliquer ni à imiter les fesseuses émérites que j’avais eu le loisir de regarder faire et par ailleurs, hélas, durement appréhendé leurs méthodes respectives au détriment de mes fesses dénudées.

Le fessier de Justine, déjà durement éprouvé par les deux corrections précédentes, avait rapidement repris la couleur de la fraise écrasée, je songeais à nouveau à ces fameuses photos que j’avais presque oublié,  il s’agissait de celles de mon arrière-train en fâcheuse posture, après les deux fessées qu’elle m’avaient administrées, unissant pour l’occasion ses forces à celle de ma cousine, il est vrai qu’elle ne m’en avait plus jamais reparlé et j’avais enfoui cette épisode peu glorieux qui succédait à d’autres qui ne l’étaient pas moins. D’y songer à nouveau me donnait une sorte de rage et je tenais à faire voir à ma victime la différence qu’il existait entre une fessée féminine, même bien menée, ce qui avait été largement le cas et celle infligée par une main d’homme. Justine sous la violence des claques que j’infligeais à son bas du dos, ne tardât pas à se tordre, sans qu’elle ne manifeste pour autant la volonté de se dérober aux claques que je lui assénais, les corrections précédentes l’avaient véritablement démoli mentalement et elle avait bien intégré qu’une révolte entrainerait des conséquences fâcheuses pour ses fesses. Je n’avais donc nul besoin d’intensifier la pression de ma main gauche sur sa taille. Elle avait résisté un moment, j’imagine ne voulant pas me donner la satisfaction de la voir pleurer, elle gémissait de plus en plus fort, poussait des cris de douleur de moins en moins maîtrisés, quand ma main s’abattait sur une partie de ses fesses déjà maltraitée, puis ses jambes se mirent à battre en tous sens, comme celles d’une gamine et enfin elle cédât et après quelques sanglots, ce furent les grandes eaux.

Etrangement, elle pleurait presque en silence, résignée, sachant que cela ne changerait rien à ma détermination de me venger, ne remuant presque plus, je savais ce que cela signifiait, j’étais parvenu au bout, continuer à m’acharner sur son cul ne changerait rien ou alors il aurait fallu que je me munisse d’un instrument coercitif, le martinet par exemple qui se trouvait au fond du tiroir de la table de nuit de Lucie voire frapper comme cette dernière l’avait fait sur la chatte ou l’anus, je préférais m’en tenir là, je passais les mains sur le fessier bien massacré tout de même par trois fessées consécutives et pas des petites, je songeais à celle de Lucie qui m’avait semblé particulièrement sévère. Les fesses et même le sommet de ses cuisses que j’avais également frappées dans ma première fureur étaient flamboyants, on aurait presque dit qu’elles avaient gonflé, je crois bien que si j’avais coincé un œuf entre ses fesses, il aurait cuit !

 

Hélas, je vais bientôt avoir d’autres soucis, je m’aperçois que soudainement l’atmosphère vient de changer, les filles se sont installées sur les deux fauteuils et me regardent étrangement. C’est Corinne qui embraye.

- Ça c’est fait, nous avons vengé ma copine et ce n’est pas fini, avec la vidéo qu’on a d’elle, elle est à notre merci, je la convoquerai à nouveau un de ses jours et elle me sucera la chatte, la chipie, ça ne t’intéresse pas Lucie ?

- Non, sans façon, je préfère les mecs.

- Cela n’empêche pas crois-moi, à ce propos, nous pourrions peut-être bien joindre l’utile à l’agréable avec ce cher Fabien, dis-moi mon coco, ta non moins chère cousine m’a dit que tu avais envisagé de me filer une fessée avec son aide, je ne suis pas sûre que ça me fasse plaisir.

- Non, ce n’est pas ça, le plan, c’était avec Justine…

- Et je n’en faisais pas partie ? En plus tu mens comme un arracheur dents, cela te vaudra des sanctions supplémentaires pour te guérir de ce vilain défaut.   

J’étais atterré, moi qui croyais m’être rapprochée de me Lucie, avoir trouvé une alliée à tout le moins de circonstances, la garce m’avait trahie.

- Alors tu avoues tes turpitudes.

- C’est vrai que j’en avais parlé, mais vaguement, ce n’était qu’une idée en l’air, après tout, tu étais la seul de nous trois à qui ça n’était pas arrivé, cela n’aurait été qu’une petite fessée symbolique et puis elle ne t’a pas dit qu’elle était d’accord.

- Tu t’enfonces, si elle te l’a dit, c’était pour te piéger et bien sûr tu es tombé dans le panneau, tu n’as même pas le courage de tes opinions et bien moi, ce n’est pas une petite fessée symbolique que je vais te flanquer, tu ne vas pas pouvoir t’assoir d’un bon moment, crois-moi.

Ça allait être ma fête, moi qui étais ravi de mon début d’après-midi, j’avais réussi à me venger de Justine, tout en conservant un espoir de la revoir, c’est en tout cas l’impression que j’avais eu sur la fin, celle de m’être enfin comporté en homme et peut-être n’attendait-elle que ça, je tombais de haut !

- Allez, approche que je m’occupe de ton cas.

- Il n’en est pas question, c’est fini ces manières, tu peux faire une croix dessus, je m’en balance de tes vidéos de merde.

- Bien, si tu le prends comme ça, allons-y, tu me passes ton ordi ma chérie, on va publier tout ça, y compris les dernières de Justine, on va arroser grave, y compris et surtout l’école, cela fera plaisir à tes futures copines de te découvrir en train de te ramasser une fessée par deux filles, surtout que je te rappelle que tu parais tout à fait consentant, le spectacle va combler tes nombreuses admiratrices, puisque Lucie me dit que tu joues désormais les Don Juan.

C’était horrible, c’est vrai qu’en faisant mon bravache, je n’avais pas envisagé toutes les conséquences de la mise en ligne de cette vidéo, j’étais coincé, je ne m’en sortais pas et je ne voyais pas ce que je pouvais faire, sauf à me débrouiller pour disposer d’un film similaire de ces deux pouffiasses, ce qui n’apparaissait tout à fait simple.

- Je pourrais déposer une plainte, vous n’avez pas le droit de faire ça.

- A ton aise, cela fera encore un peu plus de publicité et nous nierons être les auteurs de la diffusion, qu’on fera bien sûr avec ton propre ordi, les flics penseront que comme tu parais totalement consentant, tu es un pervers et que tu as mis ça en ligne pour te faire mousser, compte comme tu veux, tu es coincé mon pauvre vieux, allez, ça suffit, asses tergiversé, la punition va être à la hauteur de ta rébellion, allez, mets-toi tout nu et vite, car tu n’es pas au bout de tes peines crois-moi.

Elle avait raison, j’étais pris au piège, je jetais un regard désespéré à ma cousine qui faisait semblant de n’être pas concernée, genre, moi j’ai eu un début de vengeance avec Justine, mais je veux me payer Anaïs, toutes vos histoires ne m’intéressent plus guère, ce sont des enfantillages, tout juste si elle n’envoyait pas ; les fesses de Fabien et le reste, je connais par cœur, ça va comme ça.

Je n’avais pas d’autre choix que me déshabiller, apparemment Corinne n’était pas lassée de me voir nu et de me tourmenter, une fois en slip, je me présentais devant elle.

- Tu fais des progrès mon petit Fabien, tu as compris que c’était à moi de te baisser ta culotte et que j’y prenais un petit plaisir coquin, voilà qui est fait, mais toi aussi, ça te plait, regarde Lucie, monsieur bande, je constate que tu ne le négliges pas, il est trop mignon épilé de frais.

C’est vrai que je ne sais trop pourquoi, mon sexe était à moitié gonflé, alors que les perspectives de cette fin d’après-midi me concernant étaient tout sauf réjouissantes. La chipie ne s’est pas privée de m’empoigner les bourses à pleines mains, de les examiner de près et de les soupeser.

- C’est bien ma chérie, tu as fait du bon boulot, il n’y a pas l’ombre d’un poil sur ses boules, toujours aussi moches, par ailleurs, tu le décalottes toujours avant la fessée.

- Oui bien sûr, cela fait partie du règlement. Lucie soudainement interpellée par mes misères, se fendait la poire.

- Eh bien, je vais faire de même, il ne faudrait pas que ce garçon perde ses bonnes habitudes. Dis-moi ma chérie, voudrais-tu aller m’acheter du camphre à la pharmacie du coin et de l’harissa.

- Tu vas te lancer dans la cuisine ?

- T’inquiète, tu veux bien ?

- O.K, j’y vais, mais ne commence pas sans moi.

- Nous avons bien le temps, Fabien, tu restes avec ta culotte sur les chevilles et tu vas aller me chercher le martinet dans la cuisine, ensuite tu te mettras au piquet, à genoux, les mains sur la tête, allez, plus vite que ça, n’aggrave pas ton dossier qui est déjà suffisamment chargé.

Je m’exécutais, de l’étrange et surtout ridicule démarche que l’on peut adopter dans ces conditions difficiles, surtout nu comme un ver ou presque et je m’inquiétais fortement de ce que trafiquait Corinne, décidemment encore plus garce que ma cousine, la fouettée au martinet, ça j’allais y avoir droit, restait seulement à en connaître la durée et par conséquent la sévérité, j’imaginais le pire pendant que je me morfondais au piquet, ayant rapidement mal aux genoux, peut-être comptait-elle carrément m’écorcher les fesses et y passer du piment dessus aux fins d’aviver mes souffrances, j’avais lu que ça se faisait dans la marine anglaise, on mettait du sel sur les blessures des malheureux condamnés au fouet, soi-disant que ça accélérait la cicatrisation, peut-être bien, en attendant le pauvre diable devait déguster, j’en frémissais d’avance. Après une dizaine de minutes d’angoisse, Lucie est revenue toute guillerette.

- J’ai trouvé ce que tu voulais et j’ai rencontré une fille de l’école, c’est dommage, je ne la connais pas assez bien, je l’ai invitée à venir boire un café, mais elle n’avait pas le temps, je n’ai pas osé lui dire qu’il allait y avoir du spectacle, ç’aurait été d’autant plus marrant qu’elle connait et semble-t-il apprécie mon cher cousin, tant pis ce sera pour une autre fois, allez Fabien, c’est l’heure du châtiment.

Il n’aurait plus manqué que ça, j’aurais été complètement grillé dans toute l’école et adieu à mes projets de flirt avec Marie Claude, quoique, on ne sait jamais avec les filles, en tant que sœur de fessée, la compassion aurait pu l’emporter sur le mépris, je préférais ne pas avoir à me poser la question.

Je me relevais avec peine, tous les muscles tétanisés et je me plantais devant Corinne, toujours aussi affligeant avec ma culotte aux chevilles, j’aurais de loin préféré me trouver complètement en tenue d’Adam, ce qui n’a d’ailleurs pas tardé. Corinne m’a fait allonger sur la table basse et m’a lié les mains à deux de ses pieds à l’aide de petits bouts de ficelle plutôt solides, qu’elle avait dû récupérer dans la cuisine pendant mon stage au piquet.

- C’est pour éviter des manifestations trop intempestives mon chéri, car comme tu l’as bien compris, j’ai bien l’intention de te mettre les fesses en sang.

Je savais pertinemment qu’elle n’irait pas jusque-là, il n’empêche, ça faisait encore monter d’un niveau l’angoisse qui me sciait le ventre. Justement, elle a placé un traversin sous mon estomac, pour bien surélever ma croupe, comme elle disait, m’a enfin dépouillé de mon slip et m’a fait écarter les jambes au maximum.

Tu vas avoir droit à cinquante coups de ce joli martinet, plus dix pour ta dissimulation, tu veux bien les compter ma chérie.

- Volontiers.

C’était l’horreur, je ne me rappelais pas d’avoir reçu autant de coups de martinet ou alors j’avais oublié, après, ce n’est évidemment pas seulement le nombre de coups qui constituent l’importance de la fouaillée, mais surtout la force avec laquelle, ils sont appliqués et je savais hélas d’expérience que Corinne, certes plus grande que sa copine, mais par ailleurs plutôt élancée, elle avait une poitrine très menue, n’y allait pas mollo, elle tapait même plus rudement que Lucie qui pourtant n’amusait pas la galerie, le maître étalon restant dans ce domaine la mère Leblanc, à égalité avec madame Bruno, même si je gardais l’abominable souvenir d‘une fessée à la baguette, qui en succédait à une précédente au martinet appliquée par ma mère qui m’avait durablement marqué le fondement. De toute façon, la peur n’évitant pas le danger, au point où j’en étais, je ne pouvais que subir une correction qui s’annonçait extrêmement sévère, si possible avec courage et dignité, même si je n’étais guère confiant.

Et c’est parti sur des bases élevées, Corinne m’a très rapidement strié les fesses et je n’ai pu résister au-delà du dixième coup de martinet, j’avais vraiment l’impression que les lanières me perforaient les fesses, c’était très dur et je me suis mis à sortir la panoplie de celui ou celle qui se ramasse une sévère fessée, gémissements, cris puis hurlements de douleur aux alentours du quinzième coup, soigneusement énoncé par ma cousine qui debout derrière moi n’en perdait pas une, enfin j’ai lâché les eaux cinq coups plus tard, pleurant à chaudes larmes. Je me disais que la grognasse avait bien fait de m’attacher, sinon je n’aurais pas pu résister, j’aurais tenté d’échapper aux terribles lanières qui me cisaillaient les fesses, quoiqu’il puisse m’en coûter par la suite, Corinne ne mollissait pas, le spectacle de mes fesses que j’imaginais complètement dévastées ne l’incitait pas pour autant à la clémence, le mot ne devait pas faire partie de son vocabulaire, elle poursuivait son programme, au trentième coup, je hurlais si fort et me cabrais dans mes liens, me redressant autant que je le pouvais qu’elle voulut bien me consentir une pause, à force de mes tordre et de briller, j’étais en apnée et j’ai mis du temps à retrouver une respiration normale, j’avais l’impression que mes fesses n’était plus qu’une plaie vive, fumait même.



Les aventures de Fabien...

Elles remontent, plus exactement leurs publication sur ce blog, à août 2016 quand paraissait le 1er épisode, et nous l'avions laissé remontant de la plage lors de l'épisode 19, dans une tenue... Relisez l'épisode, vous verrez bien !

Elles continuent...

Serge reprend le flambeau et nous a proposé un vingtième chapitre et il y en a plusieurs autres, dont le dernier publié : le chapitre 42

Et les commentaires ?

Oui, c'est vrai, et les commentaires ? Serge se fera un plaisir de répondre à ceux que vous lui adressez. Si vous voulez le joindre directement, passez par moi : legall.josip35@laposte.net, je transmettrai

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