mercredi 3 février 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 40

Durant toute la première demi-heure, l’inflammation ne cessa de croître. A chaque fois que Marguerite faisait un mouvement, quel qu’il soit et aussi précautionneux qu’il fût, la culotte frottait sur la peau des fesses. C’était comme si du papier abrasif passait en permanence sur la peau de ses fesses. Il fallait trouver une solution.
Enlever la culotte aurait été le plus simple, mais il y avait l’interdiction décrétée par Hélène. Marguerite ne pouvait passer outre. Malgré le malaise que cela lui aurait provoqué, elle était prête à passer la journée les fesses nues sous sa jupe. C’était , de toute façon, une hypothèse exclue.
Machinalement, Marguerite se mit à tirer sur sa culotte. Entre le pouce et l’index, elle saisissait le tissu de sa culotte en glissant sa main sous sa jupe. Elle l’écartait un peu de l’endroit où la démangeaison était la plus forte, puis elle laissait doucement retomber la culotte. Le soulagement était de courte durée, mais elle avait, ainsi, l’impression de mieux maîtriser son sort.
« Marguerite, tu montres ta culotte ! Laisse ta jupe tranquille ! »
Le manège n’avait pas échappé à Hélène, mais elle ne semblait pas courroucée. Plutôt amusée par l’énergie que Marguerite devait mettre pour faire diminuer la douleur, conséquence de la fessée de la veille. Par précaution, Marguerite espaça son geste. Il ne s’agissait pas de fâcher Hélène. C’est pourtant ce qui faillit arriver.
« Cesse donc de relever ta jupe. On voit tes fesses. On dirait une vraie gamine. »
La troisième remarque fut plus explicite.
« Laisse ta culotte à sa place. Elle t’agace et je sais pourquoi, mais la seule solution pour qu’elle ne frotte plus sur tes fesses, c’est que ce soit moi qui l’enlève. Mais ce serait alors pour une fessée. Tu passerais le reste de la matinée au coin. Si c’est ce que tu veux, continue comme cela ! »
Le reste de la matinée au coin, la culotte baissée, c’était tentant, mais recevoir la fessée pas du tout, surtout compte tenu de l’état de son postérieur. Marguerite frissonna à cette perspective. Elle mit autant d’énergie à faire cesser son geste qu’elle en avait mis à faire diminuer le frottement. Sa main, quand les élancements devenaient trop forts, partait automatiquement vers le bas de sa jupe. Elle devait faire un effort de volonté pour l’en empêcher. La menace d’Hélène était suffisamment dissuasive pour qu’elle y arrivât.

Vers le milieu de la matinée, Hélène se préparait à sortir.
« Mets tes chaussures et ton manteau. Nous allons faire un tour au marché. »
Le marché, cela ne réjouissait pas Marguerite. Il fallait marcher, ce qui signifiait bien plus d’irritation due à sa culotte. Comment faire autrement ? Marguerite se résigna.
« Va sonner chez Teva. Avec Maeva, elles viennent avec nous. Je te suis ! »
La porte s’ouvrit quelques secondes après que Marguerite avait appuyé sur le bouton de la sonnerie. Teva avait déjà son manteau sur le dos et Maeva suivait. Marguerite fut enlacée par Teva qui l’attira à elle. Serrée dans les bras, elle reçut un bisou sur le front et Teva lui tapota les fesses à travers la jupe.
« Aïe, cria Marguerite ! »
Si cela n’avait rien à voir avec une fessée, le contact sans précaution de la main, sur les fesses suffit à faire monter les larmes aux yeux de Marguerite.
« Désolée, ma chérie ! J’ai oublié que tu avais eu une grosse fessée hier soir. Elle a laissé des traces semble-t-il. »
Hélène qui arrivait derrière confirma.
« Oh oui ! Je crois que ma grande chipie n’est pas prête à oublier cette fessée. Ses fesses sont encore toutes rouges et les cloques dues aux orties ne sont pas encore résorbées. Regarde ! »
Sans plus de cérémonie, là sur le palier, Hélène courba Marguerite sous son bras, les fesses tournées vers les deux autres femmes. Quand la jupe fut retroussée, elle laissa voir les cuisses nues qui portaient, bien visibles, les stigmates de la fessée aux orties.
Le malaise de Marguerite était visible. Elle remuait son bassin comme si elle avait pu dissimuler sa culotte exposée et ses pieds se soulevaient en un piétinement lent. Ce n’était pas tant la présence de Teva et de Maeva qui la mettait au supplice, mais le risque qu’une autre personne, passant dans l’escalier, assiste à la scène.
« Et les fesses, c’est pareil ! »
Hélène baissa la culotte.
« Oh non, cria Marguerite ! Pas ici ! »
Sa main vint couvrir ses fesses, les doigts ouverts pour en cacher le maximum, mais elle la retira immédiatement. Ce simple contact avait réveillé la douleur qui était maintenant aussi forte que la veille au soir. Elle esquissa le geste de rabattre sa jupe.
« Vas-tu te tenir sagement et me laisser faire ? »
Deux, trois, cinq claques sur les fesses arrachèrent des cris désespérés à Marguerite.
« Depuis quand est-ce toi qui décides des lieux où je peux te baisser la culotte ? »
Une claque sur chaque fesse relança la fournaise.
« N’oublie pas que tu es punie tout le week-end ! Je t’ai épargné la fessée ce matin, eut égard à l’état de tes fesses, alors que, en toute logique, tu aurais dû être corrigée, mais je peux le faire maintenant si tu y tiens ! »
Marguerite cessa ses gesticulations. Ce n’était pas le moment.

« Excusez-moi, apparemment, je vous dérange en pleine séance disciplinaire. »
Le bruit de la fessée avait couvert les pas de la dame qui montait l’escalier, un panier plein. Elle avait un léger accent britannique qui s’entendait à la fin de ses phrases. Marguerite serra les fesses, mais elle ne pouvait rien faire d’autre, sauf à recevoir la fessée qu’Hélène lui avait promise à la prochaine désobéissance.
« Non, non, je vous en prie ! C’est moi qui vous bloque le passage avec ma grande fille courbée sous mon bras.
– Ce n’est rien, continuez ! Je vais en profiter pour faire une pause avant d’attaquer les deux derniers étages. »
La dame posa son panier. Marguerite ne voyait que les pieds de la nouvelle arrivante quand elle se tordait le cou par-dessus la taille d’Hélène.
« Je vais vous laisser le passage.
– N’en faites rien. Je m’en voudrais d’interrompre une fessée bien méritée. Je vois que cette jeune fille a reçu une sévère correction. Si vous n’avez pas fini, ne vous gênez pas pour moi.
– Je montrais justement à Teva les traces de la fessée aux orties d’hier soir. Vous voyez, elle en a encore pour un joli bout de temps avant qu’elles ne disparaissent.
– Ce sont donc des orties qui ont laissé ces cloques ! Une fessée d’hier soir ! »
Apparemment, cela donnait à réfléchir à la voisine.
«  Vous êtes sévère. Mais si elle en a besoin…
– Ces deux petites pestes, commenta Teva en englobant Maeva d’un mouvement de menton, ont régulièrement besoin de fessées. Cela leur fait le plus grand bien. Elles sont beaucoup plus sages après avoir reçu une bonne correction. »
Maeva ne savait plus où se mettre. Sa sœur venait de révéler à une inconnue qu’elle recevait la fessée aussi naturellement que si elle avait parlé de la pluie et du beau temps. Le seul lieu où elle pouvait se réfugier un peu, c’était dans les bras de Teva. Elle cacha son visage entre les deux seins de sa sœur qui l’entoura d’un bras en la plaquant contre elle.
« Je comprends cela, fit la voisine. Ce sont vos filles ?
– Pas exactement, c’est ma petite sœur. »
Elle mit deux doigts sous le menton de Maeva, l’obligeant à basculer sa tête en arrière et à la regarder dans les yeux. Son index tapotait doucement le bout du nez de sa sœur.
« C’est ma petite sœur chérie, mais cela ne m’empêche pas de la déculotter et de la fesser quand elle en a besoin. N’est-ce pas ma grande ? »
La main descendit sur les fesses et elle donnait de petite fessée sur le fond de la jupe. Maeva prit cela pour un encouragement à confirmer ce que sa sœur venait de dévoiler.
« Oui, oui. C’est vrai ! »
Maeva ferma les yeux ? Pouvait-elle ainsi fuir un peu cette situation si embarrassante ? Probablement pas. La dame tourna un regard interrogateur vers Hélène.
« Ce n’est pas non plus ma fille. C’est une jeune femme que j’héberge chez moi, une pupille dont je prends soin. Il lui faut aussi une bonne fessée de temps en temps. Plutôt souvent en ce moment !
– Excusez ma curiosité, mais vous avez dit jeune femme ?
– Bien sûr ! Si vous consultez leur état civil, vous apprendrez que celle-ci, elle désignait Maeva, aura trente ans l’année prochaine. Et celle-là, dit-elle en montrant les fesses de Marguerite, les a eus l’année dernière. En principe ce ne sont plus des gamines.
– Tente ans ? Mais… la fessée… à leur âge ?
– Auriez-vous cru qu’elles étaient aussi âgées si on ne vous l’avait pas dit ?
– Non, c’est vrai, mais la position, elle désignait Marguerite, incite à les croire plus jeune.
– Ce qui compte, c’est l’âge qu’elles ont dans la tête. Et là, nous sommes loin des trente ans. Elles ont une mentalité de petite fille de dix ou douze ans. Parfois, j’ai même l’impression que c’est moins.
– Et elles ne protestent pas ? Elles… comment dire… se laissent faire ?
– Maeva, précisa Teva, n’a pas eu trop le choix. Je lui ai imposé l’autorité que j’ai sur elle après un grave problème qu’elle a eu à son travail. Marguerite, elle, a fait le choix volontairement, et en connaissance de cause, de se placer sous notre responsabilité. Cela lui redonne des repères qu’elle avait perdus.

La conversation continua sur ce sujet pendant quelques minutes. Maeva restait pelotonnée dans les bras de sa sœur et Hélène avait gardé Marguerite dans la même position. Elles devisaient toutes les trois sans s’occuper des deux jeunes femmes qui étaient pourtant au centre de la discussion.
« Cela doit vous faire un travail conséquent de surveiller ces deux grandes filles ?
– Vous savez, ce n’est pas vraiment du travail. Et c’est assez gratifiant de voir comment elles font des progrès et comment elles sont de plus en plus affectueuses. La fessée n’empêche rien. Au contraire ! J’ai l’impression d’être devenue très proches de ces deux chipies et qu’elles recherchent nos câlins. Des petites filles, je vous dis. »
Marguerite, compte tenu de sa position ne pouvait bouger sans prendre le risque d’être taxée de désobéissance. Maeva, elle, se nicha plus étroitement contre la poitrine de sa sœur dont la main caressait les fesses à travers la jupe.
Ni l’une ni l’autre ne souhaitait protester. Ce qu’elles entendaient correspondait à la réalité. Mais c’était très vexant de l’entendre raconter à une dame qu’elles connaissaient à peine, mais qu’elles risquaient de croiser chaque jour dans l’escalier.
« Je comprends qu’elles soient sages quand elles sont avec vous. Cela doit être dissuasif de savoir que la fessée va clore chaque épisode de désobéissance.
– Cela ne les empêche pas de commettre quelques bêtises. Tenez, regardez cette jeune femme dont vous voyez les traces de la fessée aux orties sur les fesses… »
Teva raconta comment elle avait surpris Marguerite, par hasard, se permettant des insolences envers l’une de ses anciennes voisines et comment elle en avait été punie, mais également la satisfaction de la jeune femme de venir habiter définitivement chez Hélène, malgré les nombreuses fessées que cela signifiait.
« Elles peuvent donc commettre bien des bêtises sans que vous le sachiez, quand elles ne sont pas sous votre surveillance.
– Nous comptons sur les grandes personnes qu’elles rencontrent. Voyez-vous, à leur travail, le recours à la fessée est systématique que ce soit pour des raisons de comportement ou de qualité de travail fourni. »
Teva ne manquait pas d’anecdotes pour illustrer son propos, autant sur Maeva que sur Marguerite et sur les corrections qu’elles avaient reçues dans le cadre professionnel.
« Il ne reste donc que peu de temps où elles échappent à la surveillance d’un adulte, conclut Teva.
– Il faudrait que les personnes qu’elles rencontrent dans la rue ou ici dans les escaliers se sentent autorisées à les fesser quand elles font une bêtise. Vous, par exemple !
– Moi ? Non, non ! Je ne me vois pas donner une fessée à l’une de ces jeunes femmes. Elles sont trop grandes ! »
Ce refus n’était que de pure forme. Deux trois arguments et elle en accepta la responsabilité.
« Je compte sur vous ! Vous n’hésiterez pas. Quelle que soit celle que vous prenez en faute, vous la déculottez séance tenante et vous la fessez. N’ayez pas peur de rougir les fesses. Une fessée c’est fait pour cela.
– Je comprends votre insistance. Je vous promets que je serai attentive à les punir dès que l’occasion se présentera. »
Marguerite grimaça à cette annonce, mais elle n’osa pas montrer plus avant sa désapprobation. Placée comme elle l’était, cette mimique de protestation passa inaperçue. Maeva n’eut pas la sagesse de s’en tenir à une discrétion de bon aloi.
Dès que la question de l’autorisation donnée à la voisine de les punir, Marguerite et elle, vint sur la table, elle commença à se crisper dans les bras de sa sœur. Teva le sentit bien et elle redoubla de caresse, mais rien n’y fit. Elle était tellement tendue à la fin de l’échange qu’elle ne put retenir sa colère.
Elle échappa à l’étreinte de Teva et elle se planta devant elle, en croisant les bras.
« Non, ce n’est pas juste ! Je ne veux pas !
– Maeva, gronda Teva !
– Elle n’a pas le droit !
– Maeva, qu’est-ce que c’est que cette colère ? Depuis quand est-ce toi qui décides qui a le droit de te donner la fessée ?
– Je ne me laisserai pas faire !
– Cesse cette colère immédiatement. J’ai décidé que la voisine aurait le droit de vous fesser, Marguerite et toi, ce sera donc comme cela.
– Non et non et non ! »
Maeva accompagna chacun des trois derniers mots qu’elle prononçait en frappant le sol de son pied. Le visage de Teva se ferma et ses sourcils se froncèrent.
« Voilà ce qui arrive aux petites filles qui font des colères ! »
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Maeva se retrouva courbée sous le bras de Teva. Elle se rendit compte de son erreur, mais c’était trop tard. La fessée était en route, plus rien ne l’arrêterait. Teva retroussa la jupe et baissa la culotte. Sa main trouva les fesses de sa sœur immédiatement. Elle ne perdit pas de temps pour les rougir. Elle tombait sur la peau nue à un rythme infernal. Maeva faisait suivre chaque claque par un cri, mais elle ne pouvait suivre le tempo que donnait sa sœur. Très vite ce ne fut plus qu’une longue plainte qui se termina en sanglots.
L’écho, renvoyé par les murs de l’escalier, amplifiait le bruit et le multipliait. On avait l’impression que toute une série de fessée étaient en cours conjointement. Le bruit était tellement saisissant que Maeva pensait qu’elle recevait la pire fessée de toute sa vie. Ses cris en rajoutaient encore.
Tout ce tintamarre attira les voisins.
« Que se passe-t-il ici, dit la voisine du dessous en montrant son nez au demi-palier inférieur ?
La voisine du dessus, celle qui avait déjà eu l’occasion de fesser Maeva une fois, rejoignit le petit groupe.
« Mais c’est Maeva qui prend encore une fessée ! Qu’a-t-elle encore fait ? »
Il y eut rapidement une petite douzaine de personnes qui s’étaient attroupées et qui commentaient la correction en cours.
« Avec ça, pensa Teva, tout le monde sera rapidement au courant que ma petite chipe et sa copine prennent la fessée. Il reste encore une étape à franchir. »
C’est une Maeva en pleurs qu’elle relâcha.
« Je crois que tu dois aller présenter tes excuses à la voisine et lui demander de te punir. »
Maeva lui jeta un regard suppliant à travers ses larmes, mais rien ne pouvait faire fléchir sa grande sœur. Elle se retourna et marcha vers la voisine qui souriait.
« Je vous… demande pardon… arriva-t-elle à articuler entre les hoquets dus aux sanglots. J’ai mérité… une fessée… pouvez-vous… me la donner ?
– Mais bien sûr, ma chérie. Je crois effectivement que tu l’as méritée. »
Elle écarta son bras gauche et Maeva se glissa dans l’espace ainsi créé, baissant la tête pour passer sous le bras. La voisine releva la jupe. La culotte était restée à sa place, tendue entre les deux genoux. Sur un terrain que Teva avait préparé, il était facile de faire impression. Mais la voisine n’en était visiblement pas à la première correction qu’elle administrait. Cela se voyait à l’aisance avec laquelle elle maintenait Maeva en place et avec la facilité avec laquelle sa main claquait les fesses nues.
Maeva signifia la rigueur de la fessée en reprenant se cris et ses pleurs à peine interrompus. Quand elle commença à trépigner sur place, la voisine sut que Maeva craindrait la prochaine fois où elle serait contrainte de se courber sous son bras. Il n’y aurait plus de colère, pas de désobéissance. Il était maintenant entendu qu’elle pouvait fesser la jeune femme quand elle le jugerait nécessaire.
« Va te mettre au coin ! »
Teva désignait l’angle le plus poche de la porte de son appartement. Maeva ne discuta pas. Le coin qui lui était réservé, était sur le palier, mais cela ne l’empêcha pas d’y prendre la position habituelle, exposant ses fesses nues où la couleur que lui avaient donnée les mains de Teva et de la voisine, étaient encore vives.
« Mesdames, dit Teva d’une voix forte, je vous invite, dorénavant, à ne pas hésiter à corriger cette grande fille dès qu’elle commettra une bêtise. Vous lui baissez la culotte et vous la fessez. Peu importe où elle se trouve. Et ce sera pareil pour Marguerite, n’est-ce pas Hélène ?
– Exactement confirma cette dernière. Je vous recommande ensuite de les mettre au coin. Sur le palier ce sera très bien, devant chez vous ou ici, comme vous le préférez ! »
Marguerite frissonna. Cela ouvrait des perspectives désagréables. Tous les voisins n’étaient pas présents, mais l’information se répandrait comme une traînée de poudre. Chacun serait maintenant susceptible de la fesser à la moindre occasion. A part quelques moments où elle serait dans la rue, elle était maintenant en permanence sous la surveillance de grandes personnes qui n’hésiteraient pas à la punir.
« Dans la rue, se dit-elle ? Encore faudrait-il que je sois certaine qu’il n’y ait pas un voisin à proximité ! »
Elle fit une rapide grimace. Comment faire autrement ? Elle n’avait pas le choix. Ses pensées furent interrompues quand elle sentit qu’Hélène lui remontait la culotte. Elle gémit quand le tissu frotta sur ses cuisses et quand il se colla sur la peau de ses fesses. Elle avait un peu oublié la douleur de la fessée aux orties, mais elle était encore bien là.

« Puis-je vous demander un service, Mesdames ? »
Teva s’adressait aux voisines les plus proches, celles qui habitaient aux étages supérieur et inférieur.
« Je vais laisser Maeva ici, au coin, le temps que nous fassions nos courses. Pouvez-vous jeter un coup d’œil de temps en temps. Je ne crois pas qu’elle oserait bouger, mais il est préférable qu’elle se sache surveillée. »
Toutes les voisines acquiescèrent.
« Si nécessaire, n’hésitez pas : la fessée. Elle n’a ni le droit de bouger, ni d’émettre le moindre son. »
Elle se tourna alors vers Hélène.
« On y va ? Avec toutes ces histoires, nous ne sommes pas de bonne heure.
– En route conclut Hélène ! »
Elle donna une petite claque sur le fond de la jupe de Marguerite qui s’empressa de prendre trois ou quatre pas d’avance.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 39
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.


Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

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