mercredi 27 janvier 2021

Deux grandes filles à éduquer - chapitre 39

Marguerite s’avança vers Hélène. Elle avait le ventre noué et elle n’arrivait pas à avaler sa salive. Hélène tendait un bras vers elle, l’invitant à la rejoindre. Ce n’était pas vraiment une invitation. Marguerite n’avait pas le choix. Bien que la demande d’Hélène eût été formulée à voix douce, sans élever le ton, Marguerite ne s’y était pas trompée. C’était un ordre qu’il ne serait pas de bon ton d’ignorer.
C’était surtout le bouquet d’orties qu’Hélène avait posé à côté d’elle qui effrayait Marguerite. Elle gardait un souvenir cuisant de la dernière fois qu’on avait utilisé ces végétaux urticants pour la punir. Les effets s’en étaient fait sentir pendant deux jours pour ce qui était des plus cuisants et les picotements n’avaient totalement disparus que deux jours encore plus tard. Quatre jours à se rappeler la fessée à chaque fois qu’elle s’asseyait ou simplement quand sa culotte frottait contre ses fesses… c’est-à-dire à peu près toute la journée, sans compter les nuits où il avait fallu dormir sur le ventre. Elle ne tenait pas à vivre de nouveau cette expérience et c’est pourtant ce qui lui était promis ce soir-là.

On aurait pu penser qu’il s’agissait de quatre amies qui se promenaient, en cette fin d’un samedi après-midi, alors qu’elles se dirigeaient vers le coin où poussaient les orties. De loin on voyait nettement que le carré de plantes s’était étoffé et que celles qui avaient été cueillies, il y a quelques semaines, avaient été remplacées par de jeunes pousses.
« Hélène, s'il te plait, ce n’est pas obligé.
– Qu’est-ce qui n’est pas obligé, ma chérie ?
– De cueillir les orties. Tu peux me donner la fessée autrement. Avec la règle ?
– Désolée, Marguerite, mais je crois bien que ce sont des orties dont tu as besoin. Donc tu les auras ce soir et je compte bien que cela te laisse des souvenirs piquants pendant plusieurs jours.
– Oui, mais…
– Je crois que cela suffit sur ce sujet. C’est ce que j’ai décidé et je ne reviendrai pas dessus. Mais comme j’en ai quelques-unes à portée de main, si tu insistes, je peux commencer par t’en frotter les fesses dès maintenant. »
Marguerite ouvrit la bouche, mais cela n’alla pas plus loin. Une fessée aux orties, ici, dans la rue ? Non, non, Marguerite n’était pas candidate. Elles s’étaient mises, toutes les quatre, à cueillir délicatement les végétaux et elles les posaient délicatement dans une boite en carton qu’Hélène avait apportée. Il s’agissait de ne pas perdre du pouvoir urticant des orties.
« Il y en a peut-être assez, suggéra Marguerite.
– Assez ? Crois-tu ? Combien en avais-tu cueillies la dernière fois, Teva ?
– Il y avait deux bouquets et bien une bonne vingtaine de plantes dans chaque.
– Alors il faudra que j’en aie trois, cette fois-ci ! Avec autant d’orties dans chaque !
– Mais ce n’est pas juste ! Deux ça suffit !
– Ah oui ? Est-ce que cette première fessée aux orties a suffi pour que ton comportement soit, par la suite, irréprochable ?
– Non, mais…
– C’est donc que deux bouquets, ce n’était pas assez ! Nous allons essayer trois cette fois-ci. Nous verrons bien si cela sera suffisant.
– Oh non, s'il te plait Hélène !
– Ah, tu en préfères quatre tout de suite ? Il fallait le dire. »
Marguerite baissa les yeux, sans tenter d’argumenter plus loin. Cela ne pourrait qu’envenimer les choses. Hélène attendit un peu avant de conclure.
« Je pense que pour cette fois, tu te contenteras de trois bouquets. Nous essayerons quatre la prochaine fois. »
Durant tout le trajet qui les ramenait à la maison, on pouvait voir les orties qui dépassaient de la boite. Les personnes qui passaient à proximité, quand elles prenaient conscience de quelles plantes il s’agissait, jetaient des regards interrogatifs à Marguerite à qui Hélène avait confié le soin de porter la cueillette.
Elle s’attendait, à tout instant, à ce que l’une de celles qui prenaient un air des plus étonnés, s’enquière de l’usage auquel étaient destinées les orties. Hélène ou Teva n’auraient eu aucune raison de ne pas expliquer à quoi elles devaient servir et elle aurait peut-être même demandé à Marguerite elle-même de donner les explications. Heureusement, cela ne s’était pas produit et Marguerite avait été soulagée quand elle avait pu se réfugier chez Hélène et clore la porte derrière elle.
Face à l’inévitable, maintenant, ce n’était plus aussi simple.

« Allons, approche ! De toute façon, tu n’échapperas pas aux orties ! »
Marguerite avait des larmes dans les yeux quand elle fit les derniers pas. Hélène avait raison. La fessée aux orties était décidée, plus rien ne pouvait la lui épargner. Il fallait en passer par là.
Hélène prit en main fermement la suite. Elle agrippa le bras de Marguerite et elle la força à se mettre à genoux entre ses pieds. Marguerite était en chemise de nuit. Hélène la retroussa d’un geste du poignet.
« Ecarte tes genoux ! »
La main d’Hélène se glissa entre les cuisses et elle en tapotait l’intérieur jusqu’à ce que l’écartement lui convînt. Il donnait accès à la peau située à l’intérieur des cuisses. Marguerite geignait doucement. Hélène n’y prenait pas garde. Il était, après tout, normal que sa protégée anticipe, avec crainte, la fessée qui l’attentait. Cela en montrait l’efficacité alors qu’elle n’avait pas encore commencé.
Hélène fit glisser le bouquet d’orties qu’elle tenait en main, le long de la cuisse gauche de Marguerite, et elle remonta jusqu’au haut des fesses. Puis elle effectua le même geste de l’autre côté. Marguerite s‘attendait à une brûlure insupportable. Elle le fut bien moindre que ce dont elle se souvenait. Une deuxième fois, Hélène caressa les fesses de son bouquet.
L’embrasement monta aussitôt. Marguerite poussa un cri étouffé. Là, cela correspondait à son souvenir, mais Marguerite n’en avait cure. Une troisième caresse des feuilles urticantes en rajouta au feu qui brûlait ses fesses. Elle rua entre les jambes de sa tutrice et elle battit des pieds aussi fortement qu’elle le put, mais elle n’avait pas l’autorisation de bouger de la position dans laquelle Hélène l’avait mise.
Marguerite n’aurait, de toute façon, pas osé aller au bout de son geste. Elle ne pouvait pas faire autrement que de subir cette fessée que lui administrait Hélène, quelle que soit la douleur qu’elle provoquait. Hélène en avait le droit, c’était même son devoir de punir sa pensionnaire quand Marguerite l’avait mérité. Marguerite ne pouvait pas nier que cette correction était justifiée.
Hélène alternait entre des moments où elle caressait les cuisses et les fesses de Marguerite avec les feuilles des orties en en lent mouvement régulier, partant du bas d’une des cuisses pour remonter vers le haut des fesses, d’un côté, puis de l’autre ; et des temps où elle frappait légèrement la peau des fesses avec son bouquet, pas trop fort, pour ne pas casser les fragiles tiges végétales.
A chaque répit que lui laissait Hélène, l’intensité de la brûlure augmentait. Marguerite lui était gré de reprendre l’application des orties sur ses fesses, tout en sachant que ce n’était que reculer le moment où il faudrait faire face à l’atroce cuisson qui ne cessait de s’amplifier.
Quand elle se rendit compte que le premier bouquet avait perdu de sa vigueur, Hélène s’empara du deuxième. La pause ne profita pas vraiment à Marguerite. La douleur explosa sur ses fesses après quelques secondes sans la caresse des feuilles urticantes. Ça aurait presque été un soulagement quand Hélène recommença la frottée si elle n’avait pas choisi un territoire qui n’avait pas encore connu les orties : l’intérieur des cuisses.
Hélène posa le bouquet végétal juste au-dessus du genou et elle remonta jusqu’à l’entrejambe. D’une rotation du poignet, elle frotta les feuilles fraîches contre le pubis de Marguerite qui poussa un hurlement et referma les jambes, coinçant les orties entre ces deux jambes qu’elle rouvrit immédiatement. La brûlure était trop forte.
« Je te préviens, Marguerite, que si tu recommences tu auras une deuxième fessée aux orties demain soir et autant de fois que ce sera nécessaire tant que tu ne me laisseras pas te punir ! »
Marguerite redoubla de sanglots pour toute réponse.
« Tes cuisses restent écartées ! »
Hélène fit remonter son faisceau végétal le long de l’autre cuisse, pour finir au même endroit. Même au travers de ses sanglots et malgré la cuisson qui s’était emparée de toute la peau du bas de son dos jusqu’en bas des cuisses, Marguerite avait compris la menace. Pour rien au monde elle n’aurait poussé Hélène à décréter qu’elle aurait une autre fessée aux orties le lendemain. Elle laissa ses cuisses ouvertes à la morsure des orties.

Quand Hélène constata que le troisième bouquet avait, lui aussi, perdu son pouvoir urticant, elle jugea de l’effet de la punition. Les fesses et les cuisses de Marguerite étaient rouges. L’inflammation dégageait une chaleur qui était perceptible sur le visage d’Hélène. C’est comme si elle avait eu un radiateur entre ses jambes. Toute la surface de la peau était couverte de petites cloques.
Hélène y posa la main. Le hurlement que cela provoqua chez Marguerite montrait comment toute cette zone était hypersensible et qu’elle ne supportait plus le moindre contact.
« Cette grande fille va dormir sur le ventre cette nuit, pensa-t-elle. Mais cela ne suffira pas. Même le poids du drap sera difficile à supporter. »
Hélène ressentait de la compassion pour la jeune femme qui était allongée sur ses genoux, mais elle ne la plaignait pas et elle n’éprouvait aucun remord. Bien au contraire ! Elle avait le sentiment d’avoir accompli son devoir. Marguerite avait mérité cette correction et elle en avait besoin. Nul doute qu’elle se souviendrait de ce qu’elle risquait s’il lui prenait de nouveau l’envie de quelque insolence envers ses aînés, y compris quand elle ne serait pas sous la surveillance directe de Teva ou d’Hélène.
La propension au désordre et à laisser une chambre dans un état déplorable n’inquiétait pas Hélène. A la moindre chaussette qui traînerait, à la première culotte sale qui ne serait pas dans le panier à linge, au plus petit papier laissé sur le sol, la fessée mettrait bon ordre. Pour cela, Marguerite serait en permanence sous sa main. La sanction suivrait de peu l’oubli coupable.
Faisant fi du redoublement des pleurs qu’elle provoquait, Hélène passa sa main sur la peau enflammée. C’était une sensation surprenante de sentir toutes ces petites boursouflures sous ses doigts, là où la peau était habituellement lisse.
« C’est parfait ! Ma grande chérie en a pour plusieurs jours en en sentir les effets. Quand il lui faudra rester assise toute la journée lundi, celui lui cuira encore. »
Hélène passa ses doigts entre les jambes de Marguerite, vérifiant si le pubis avait également eu sa dose de liquide urticant. La réaction de Marguerite, suite à l’attouchement, la rassura. Là aussi les feuilles avaient trouvé leur chemin.
« Les orties sont vraiment formidables. Il ne faudra pas en abuser, mais je sais maintenant comment donner une très sévère fessée. Il faudra que je garde cela pour les occasions exceptionnelles. »
Elle tapota les fesses sous sa main.
« Allons, grande fille, debout ! Il est l’heure d’aller au coin ! »
Marguerite savait que ce n’était pas le moment à montrer des réticences à obéir. Elle ne tenait pas à ce qu’Hélène prolonge la fessée. Même si les orties seraient maintenant inefficaces, la main d’Hélène suffirait pour en rajouter à la brûlure qui emportait ses fesses.
Elle se leva, mais, dès les premiers pas, la marche se révéla difficile. A chaque pas, ses cuisses frottaient l’une contre l’autre. C’était une sensation insupportable. Elle marcha les jambes écartées, mais cela ne suffisait pas à éviter le frottement douloureux. C’était insoluble. Hélène trouva la solution.
« Plus vite que cela ! »
Une forte claque sur les fesses décida Marguerite à ignorer la brûlure qui emportait ses cuisses à chaque pas. Le risque d’une deuxième dose de fessée était bien trop grand. Arrivée au coin, la question se reposa. Heureusement, la position à tenir voulait que la chemise soit remontée dans le dos. Plus rien n’était en contact avec les fesses. Marguerite n’avait pas encore la lucidité nécessaire pour s’en réjouir, mais c’était pourtant une cause de désagrément qui lui était épargnée.
C’est du côté des cuisses que cela ne s’arrangeait pas. Bien qu’elles soient immobiles, le contact de l’une contre l’autre suffisait à provoquer des élancements intolérables. Marguerite comptait qu’ils se calment au bout de quelques minutes sans bouger, mais il n’en fut rien. Elle écarta un tout petit peu les jambes, mais ce n’était pas suffisant. Encore un peu… et encore…
« Qu’est-ce que c’est que cette position ? »
Quatre, cinq, dix claques sur les fesses.
« Resserre-moi ces jambes ! Et que je ne te vois plus bouger ! »
Il était clair qu’au prochain reproche, Marguerite ne s’en tirerait pas si aisément. Des larmes recommencèrent à couler de ses yeux, silencieusement. A part les « aïe » qui avaient accompagnés le contact de la main d’Hélène avec les fesses de Marguerite, cette dernière n’avait proféré aucune plainte. C’était interdit quand on était au coin.

Bien que le temps au coin ait duré, la fournaise qui embrasait les fesses de Marguerite ne s’était pas calmée quand Hélène annonça qu’il était l’heure d’aller au lit. Elle prit Marguerite par la main et elle la conduisit dans la chambre. Elle ouvrit les draps, invitant la jeune femme à s’y glisser.
« Est-ce que je peux dormir sur le ventre ?
– Bien sûr, ma chérie. Je pense que tu ne vas pas avoir d’autre choix pendant quelques jours. »
Marguerite grimaça, mais il était évident qu’Hélène avait raison. Elle s’allongea précautionneusement sur le ventre, les jambes bien écartées. Le contact de son pubis irrité sur le drap lui arracha un glapissement aigu. Les larmes lui montèrent de nouveau aux yeux. Elle souleva son bassin, mais ce n’était pas une position qui lui permettrait de dormir.
« Ça suffit, cette comédie ! Tu te couches tout de suite ! »
La claque qui accompagna cet ordre montrait, s’il en était besoin, qu’Hélène ne plaisantait pas. Marguerite se laissa retomber sur le lit, serrant les dents à la douleur que cela provoquait. Elle cacha son visage dans son oreiller qui absorba les larmes qui commençaient à couler de ses yeux.
Hélène rabattit la chemise de nuit sur les fesses. Le tissu, bien qu’il soit léger, irritait les cloques qu’avaient laissées les orties. La couette en rajouta encore un peu. Des élancements fulgurants traversant les fesses et les cuisses sans arrêt, un fourmillement continu qui émanait de toute la surface de peau que les orties avaient visitée et que le contact avec les fesses rendait encore plus indisposant, une chaleur qui émanait de toute la zone et qui ne diminuait pas… Marguerite se dit qu’elle ne pourrait jamais dormir dans ces conditions. Hélène éteignit la lumière.
« Tu restes avec moi, demanda-t-elle timidement ?
« Chut, fit Hélène ! »
Elle avait pris une voix ferme qui ne laissait pas place à l’émission d’un autre mot de supplication de Marguerite. Il était temps de se taire. Sans rajouter un mot, Hélène s’assit sur le bord du lit. Sa cuisse frôlait la joue de Marguerite. Elle glissa sa main sous la couette, elle trouva le chemin sous la chemise de nuit et elle commença un léger massage des fesses.
Marguerite ne put ravaler un gémissement.
« Silence, gronda Hélène ! »
Là où passait la main d’Hélène, la douleur devenait plus aiguë, mais elle s’apaisait ensuite. Marguerite serrait les dents, mais pour rien au monde elle n’aurait voulu que la caresse cesse. Peu à peu elle se détendit. Elle était endormie quand Hélène quitta la pièce.

Marguerite fut réveillée au petit matin par l’inconfort émanant de ses fesses. Elle ne supportait plus le frottement du tissu sur sa chemise de nuit. La cuisson de ses fesses n’avait pas diminué et les élancements étaient toujours aussi fulgurants. Marguerite rejeta la couette au pied du lit et elle releva sa chemise, découvrant les fesses. L’air frais la soulagea un petit peu.
« Qu’est-ce que c’est que ces fesses que je vois là ? »
Hélène était entrée dans la chambre sans prévenir, comme à son habitude. Marguerite n’avait pas eu le temps de retrouver une tenue plus décente. Une bonne claque sur les fesses lui rappela qu’Hélène n’appréciait pas les postures indécentes.
« As-tu besoin d’une fessée pour comprendre qu’une grande fille comme toi ne se montre pas les fesses nues ? Sais-tu que quand tu les montres, c’est soit quand je m’occupe de ton hygiène corporelle ou bien qu’une fessée soit nécessaire ? Est-ce que c’est ce que tu veux ? »
Marguerite avait rabattu vivement sa chemise de nuit, dissimulant le plus gros de ses rondeurs.
« Je préfère cela ! Lève-toi et viens déjeuner. »
Marguerite suivit Hélène qui lui tendit la main qu’elle prit avec empressement. Cela rassura la jeune femme. Sa tutrice n’était pas vraiment en colère. Cela lui ôta un poids.
« Puisqu’on parle de montrer tes fesses, viens-ici que je regarde dans quelle état elles sont. »
Hélène avait pris place sur une chaise dans la cuisine. Elle coucha Marguerite sur ses genoux et releva la chemise de nuit. Marguerite ne releva pas l’irone de la situation. Pour quelqu’un qui était attentive aux comportements pudiques de sa pupille, Hélène exposait ses fesses bien facilement. Ce n’était pas le moment de le faire remarquer. Cela aurait été pris pour une insolence dont les conséquences étaient évidentes.
La main d’Hélène caressa les fesses. Marguerite gémit et serra les dents.
« C’est parfait ! Elles sont encore très sensibles. C’est ce qu’il faut ! Je pense que tu en as au moins pour toute la journée, mais ce ne sera pas totalement fini demain. Va t’asseoir pour prendre ton petit déjeuner ! »

Hélène avait supervisé la toilette de Marguerite. Elle l’emmenait maintenant dans sa chambre pour l’habiller. Elle fit passer la chemise de nuit par-dessus la tête de la jeune femme. Marguerite regarda en grimaçant les vêtements qui avaient été préparés pour elle.
« Approche que je t’habille ! »
Marguerite ne réagit pas à l’ordre donné qui lui était donné. Hélène fronça les sourcils.
« Est-ce que je peux rester en chemise de nuit aujourd’hui ?
– Il n’est pas question que tu restes en vêtement de nuit toute la journée. Ce n’est pas une habitude à prendre. Viens ci ! »
Marguerite ne bougea pas plus qu’à la première injonction.
« Est-ce que je peux ne pas porter de culotte aujourd’hui ?
– Depuis quand les jeunes femmes de ton âge ne porteraient-elles pas de culotte ? Ce ne serait pas une tenue décente. Je t’interdis bien de t’y essayer une seule fois. »
Marguerite fit la moue.
« Dois-je comprendre que non seulement tu désobéis, mais en plus tu me fais un caprice ? La fessée d’hier ne justifie pas du tout que tu ne dois pas être habillée correctement. Je sais que le frottement de la culotte sur la peau de tes fesses ne va pas être facile à supporter. »
La grimace de Marguerite était éloquente.
« Tu n’as à t’en prendre qu’à toi-même. C’est à cause de ton insolence que tu as eu les orties. Tu porteras une culotte comme tous les autres jours ! »
Hélène porta sa main, paume ouverte à hauteur de son visage. Elle lui faisait faire de rapides allers-retours dont la signification était claire.
« Par contre, les caprices… »
Aller plus loin, c’était la fessée assurée. La culotte serait ensuite remontée sur des fesses encore plus enflammées qu’elle ne l’était déjà. Inutile d’en rajouter. Marguerite laissa Hélène l’habiller. La culotte était effectivement bien difficile à supporter.


Voyons, voyons, Maeva, Teva... ça me dit quelque chose

Eh bien oui ! Nous les avons déjà croisées. Rappelez-vous c'était dans le chapitre 93 d'Axel au supermarché que nous avons fait la connaissance de la jeune fille et, dans le chapitre  98, de sa sœur si sévère.

Il faut suivre si l'on veut comprendre, donc avoir lu ce qui a précédé

Voici le début du récit : le chapitre 1
L'épisode précédent : le chapitre 38
Et tous les autres sur la page "mes récits"

Mais, ce n'est pas fini

Y a-t-il une suite ? Bientôt, bientôt peut-être. Allez, je lâche le morceau : c'est sûr, mais il faut attendre la semaine prochaine.


Un commentaire, deux commentaires, trois... n'en jetez plus !

Si, si, au contraire, ne vous restreignez pas. Abondance de commentaire ne nuit point.

2 commentaires:

  1. Enfin le retour de Teva, Maeva, Hélène, Marguerite.... ça va se remettre à fesser dans l'immeuble. On n'a pas fini d'entendre des claques, des cris et des pleures ! Merci JLG

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  2. Amis de la poésie, nature et découverte, de la fessée aux orties, Bonjour,
    Bonjour Josip. On a reconnu le père fouettard !

    On n'est encore loin du printemps mais on voit bien que la nature reprend déjà le dessus. Colchique dans les prés, promenons nous dans les bois, à la cueillette aux orties... La fessée frottée écologique au végétal, est très tendance en ce moment. Après les fesses de Lucie, dans "Fabien 2" c'est Marguerite, ici, qui se fait effeuiller le derrière à la plante urticante, ça cuit, un peu, beaucoup, à la folie, par dessus tout... Et pas que les fesses, la belle Hélène ne fait pas de détail. Frotti, frotta, entre les cuisses, sur le pubis, et tout le tra, la, la... La mignonnette se fait sonner les cloques avant Pâques.

    Etonnant comme la fessée aux orties inspire les auteurs, qui se fendent de descriptions précises, si suggestives qu'on en a le derrière qui pique rien qu'en lisant....
    Parole de Dutronc: "Dans mon slip, il y a des cactus !.." Quand même pas!
    Amicalement
    Ramina

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