mardi 19 janvier 2021

Ces dames aux mains fermes - saison 4 - chapitre 9

 QUI AIME BIEN, FESSE BIEN

LE MARTINET DOUBLE USAGE. 1ère partie

 Norbert, qui n'avait pas encore osé se reculotter entièrement sans autorisation de son épouse, se déplace à petits pas, le pantalon aux chevilles, pour aller accrocher sa blouse de travail, au porte manteau. C'est à ce moment qu' Astrid, visiblement en colère, fait, de nouveau irruption dans l'atelier. Elle brandit à la main, un martinet, et la manière dont elle l'agite, semble indiquer qu'il fait l'objet d'une réclamation. Il sursaute en entendant sa voix l'interpeller.

– Dis-moi Norbert, on dirait que ce n'est pas ton jour, c'est la deuxième fois aujourd'hui, Après le battoir tout à l'heure, maintenant c'est un martinet ! C'est bien toi qui as fabriqué ça ?... Je ne vois personne d'autre !

Dit-elle en balançant l'instrument de discipline sur la table, devant lui.

– Ben évidemment, qui veux-tu que ce soit !

Le regard noir, elle se plante en face de lui en croisant les bras sous son envahissante poitrine, qui en profite pour prendre des libertés avec son décolleté.

– Attention Norbert, tu recommences ! Je n'aime pas du tout le petit ton ironique que tu viens d'employer. Il faut croire que la fessée de tout à l'heure n'a pas été assez sévère...  Je t'ai pourtant prévenu qu'il pourrait bien t'en arriver une autre sur le derrière, avant la fin de la journée.

Du haut de son imposante stature, surélevée de dix centimètres de talons aiguille, Astrid domine son mari d'au moins une tête, et encore un peu plus, lorsqu'il commence à se  recroqueviller sur lui-même quand elle le menace d'une correction. Le soulever de terre en l'empoignant par la taille et lui positionner le derrière à sa guise pour lui claquer une fessée à la volée, ne pose aucune difficulté à la plantureuse épouse. Plutôt mince et de petite taille, Norbert, ne fait pas le poids devant elle, qui profite à volonté de la partie la plus intéressante de son anatomie. Une imposante paire de fesses, dont l'a généreusement doté la nature, qui offre à la maîtresse femme la surface à corriger idéale pour satisfaire ses exigences disciplinaires, comme bon lui semble.

La cuisson de ses fesses, encore sensibles, rappelle à Norbert l'épisode du battoir et la déculottée qu'elle lui a mise en début d'après-midi.  Il a bien compris que sa charmante épouse n'est pas d'humeur. Géraldine pressée de rentrer chez elle, lui a demandé de partir plus tôt, sans plus d'explication, et elle n'aime pas ça. Dans ces cas-là, Madame a besoin de se calmer les nerfs et saisit le moindre prétexte pour distribuer les fessées à tour de bras.  Ce n'est pas le moment de la contrarier, il prend un ton doucereux.

– Euuuh, oui... oui  chérie... Bien sûr, c'est le martinet qu'avait commandé Madame Duplessy, la semaine dernière. Qu'est ce qui ne va pas ?… Elle l'a pourtant eu à la date prévue ...

Astrid, peu patiente, commence déjà à taper du talon aiguille sur le sol. Elle soupire en levant les yeux au ciel, qui s'assombrit au-dessus des fesses du malheureux, pris en défaut pour la deuxième fois de la journée.;  

– N'essaye pas de faire diversion Norbert, là n'est pas la question !

– Ah bon, c'est quoi alors ? Les lanières ? Je les lui ai faites sur...

– Non Norbert, non ! Ce n'est pas une histoire de lanières !... C'est le manche qui ne va pas !

– Comment ça...le manche qui ne va pas ? Mais... mais... lui aussi je l'ai fait à la bonne longueur, comme elle l'avait demandé, l'épaisseur aussi, pour qu'elle l'ait bien en main  !

Tu lui as même fait essayer sur les fesses de Géraldine... Elle était satisfaite ! 

– Et bien non, figure-toi ! Elle s'en est servi, tous les jours pendant une semaine sur les fesses de son mari et là, elle est venue me le rapporter.

Norbert commence à s'inquiéter sérieusement et à reculer alors que sa femme avance sur lui, en le pointant d'un index menaçant. 

– Tu as oublié un détail important sur le manche, mon ami ! Elle avait pourtant bien insisté quand elle a passé sa commande.

– Mais je te jure ma chérie, je ne vois pas de quoi il s'agit. Je l'ai fabriqué comme d'habitude... Assez lourd et cannelé pour qu'il lui tienne bien dans la main .

– Dans la main oui... il tient bien... mais pas dans le derrière !

Norbert regarde son épouse avec un air complètement ahuri. C'est plus fort que lui, ses  fesses, encore sensibles des fessées précédentes, commencent à frémir dans son slip. Il bafouille à moitié et tremble un peu sur ses jambes.

– Co... Comment ça dans le derr... dans le derrière ?... Mais dans le derrière de qui ?

– D'Aristide ! Son mari...Imbécile ! Elle lui flanque des fessées avec le manche de son martinet dans le derrière !!! Tu ne savais pas ?

– Ah... Ah bon ? Dans le … Non...

– Parfaitement dans le derrière ! Mon pauvre ami, tu vis sur quelle planète ? Toujours dans ton atelier, la tête dans tes lanières de cuir ! Tu fabriques d'excellents martinets, très bien, mais tu ne sais pas comment on s'en sert !

– SI, si, je sais... je sais, bien sûr...

– Et bien ça n'a pas l'air ! C'est la tendance actuelle, figure-toi ! Certaines clientes ont décidé de rendre les fessées plus humiliantes en corrigeant leur mari avec le manche de leur martinet planté dans le derrière ! Et oui, c'est nouveau... ça vient de sortir... enfin... de rentrer plutôt !  Amusant non ?

– Oui chérie, oui...évidemment !... Amusant... Enfin, ça dépend pour qui...

– Oui chérie ! Oui chérie ! Tu ne sais dire que ça ! As-tu seulement fait attention au slogan  qu'on a trouvé pour vanter l'efficacité de nos martinets ? Parce que c'est le produit qu'on vend le plus, figure-toi ! 

– Euuh...oui.. Chér... oui... je... je ...--

– Non Norbert, ne fais pas semblant... tu ne sais pas ! Tu ne sais rien !  Alors je vais te le rappeler avant de te le mémoriser sur les fesses... Tu m'écoutes ?

Elle l'a saisi par le col de sa chemise et le soulève de son tabouret pour mettre son visage à la hauteur du sien et le regarder droit dans les yeux.

– ''  Delaniaires, le martinet double usage, les fesses aux lanières et le manche dans le derrière. – C'est Géraldine qui a trouvé ça. Non seulement elle a une belle paire de  fesses, mais, en plus, elle est intelligente !  Estime toi heureux que je ne t'en ai pas encore fait expérimenter l'usage. Mais ton gros cul ne perd rien pour attendre  ;

Le malheureux époux, se liquéfie au fur et à mesure que monte la colère de sa femme qui commence à relever la manche droite de son chemisier. Ça sent la fessée, comme à chaque fois qu'il commet une erreur.  

– Maintenant baisse ton pantalon et amène-moi tes fesses que je les déculotte ... tout de suite. Tu nous fais un vrai festival aujourd'hui ! Troisième fessée de la journée et ce n'est pas fini ! J'ai proposé à madame Duplessy de t'en flanquer une autre,  pour te punir elle-même, d'avoir négligé sa commande. Elle nous attend dans le magasin avec son mari. Pour ta gouverne, ce sont les cannelures du manche qui ne correspondent pas à ce qu'elle voulait. Elle t'expliquera.

 

L'agréable odeur de cuir neuf des instruments de discipline emplissait la boutique des Delaniaires où régnait une agréable atmosphère de discipline. La mise en condition commençait dès l'ouverture de la porte avec, comme signal sonore destiné à informer  de l'arrivée d'une cliente, la diffusion de l'enregistrement d'une fessées de Géraldine. Ça plaisait beaucoup aux inconditionnelles.

Régine Duplessy, attendait patiemment le retour d'Astrid, partie dans l'atelier de fabrication, faire le point avec son mari, au sujet du martinet sur mesure, récemment acheté, et non conforme à la commande. D'un pas nonchalant, rythmé par le claquement de ses talons aiguille, elle allait et venait en longeant le comptoir qui occupait le milieu du magasin. Elle parcourait,  d'un doigt nonchalant, la rangée de martinets étalés sur les présentoirs, et, après avoir enlevé ses gants, commença à les prendre en main les uns après les autres.  Elle en soupesait le manche dans sa main, lissait les lanières entre ses doigts pour apprécier la souplesse du cuir et, d'un air songeur, le reposait délicatement pour prendre celui d'à côté.

Madame Duplessy faisait partie du cercle des adeptes inconditionnelles de la fessée qui se retrouvaient souvent au salon de coiffure de Béatrice Klakerspank ou dans la boutique de lingerie de Madame de Blagnac. Elle figurait donc naturellement parmi les fidèles clientes de la maison Delaniaires, fournisseur attitré en instruments de discipline.

C'était une grand femme élégante, d'allure un peu aristocratique,  dont l'imposante silhouette attirait les regard partout où elle passait. Son allure distinguée avec ses petits tailleurs moulants, bien coupés, ses talons aiguille vertigineux, et un phrasé assez sophistiqué, révélaient une éducation bourgeoise classique, chic et de bon goût. Mais pour qui la connaissait, sous le vernis des bonnes manières, se cachait une nature perverse au caractère autoritaire, que trahissait un ton souvent glacial et des répliques aussi cinglantes que les lanières de ses martinets. Mis à part ses amies, avec qui elle partageait ses convictions sur les bienfaits de la discipline, personne ne pouvait se douter de la sévérité des corrections qu'elle était capable d'infliger. Aristide, son mari, marqué à la culotte, c'était le cas de le dire, avait les fesses bien placées pour le savoir, soumis qu'il était, à un impitoyable régime de fessées, qu'elle lui imposait sans concession.

Une cuisante fessée, rapide mais efficace, avait suffi à Régine, pour convaincre son mari réticent, à l'accompagner jusqu'à la boutique des Delaniaires. Lui aussi attendait,  manifestement pas rassuré d'avoir été traîné de force dans ce temple de la fessée. Elle l'avait fait asseoir, sur un des tabourets du magasin, le pantalon baissé sur les chevilles, les fesses encore en feu au contact direct avec le bois dur. Solidement reculotté après sa  correction, son slip de nylon, très serré, lui offrait d'autant moins de protection que les élastiques tendues dans la raie des fesses en découvrait pratiquement toute la surface. Les fameux slips à fessée, dont l'efficacité n'était plus à démonter étaient justement conçus pour entretenir la cuisson. Visiblement mal à l'aise, il se dandinait d'une fesse sur l'autre, à intervalles réguliers, pour essayer de les soulager un tant soit peu.  Cela eu très vite le don d'agacer sa sévère épouse. 

– Aristide, mon ami, dit-elle d'un ton calme, tout en tapotant le plat d'un battoir sur la paume de sa main pour en éprouver le claquant. C'est trop vous demander de vous tenir convenablement sur votre siège et de cesser de tortiller du derrière comme un petit garçon ? Vous êtes ridicule !

Le malheureux se met à pleurnicher. Il sait qu'à la moindre tentative de soulever son postérieur dans l'espoir d'en atténuer la cuisson, ce serait le retour immédiat sur les genoux de son épouse pour une nouvelle fessée. Et elle ne se privera pas de lui faire  remonter le derrière  à un niveau de chaleur parfaitement insupportable.

– Mais Régine ... C'est la fessée, vous avez encore tapé si fort. Les fesses me cuisent, vous ne pouvez pas savoir !

  Aristide, mon ami, croyez-vous vraiment que je puisse ne pas le savoir, moi qui suis  toujours si exigeante sur la qualité de cuisson de vos fesses à chacune de vos corrections ?  Sur cette dernière, elles ont été parfaitement bien claquées sur toute la surface, il est donc tout à fait normal qu'elles vous cuisent autant. Mais, peut être voulez que je recommence pour confirmer cet état de fait ?

– Raaah, non, non... Quand même, vous avez la main tellement lourde !!

  Faites un effort mon cher ! Un homme bien éduqué doit supporter, sans broncher la cuisson de ses fesses après une correction, si sévère soit-elle. Pleurer et crier pendant la fessée c'est normal et même recommandé pour témoigner de l'efficacité de la punition.  Trop de pleurnicheries, après, peu devenir  agaçant. Et estimez-vous heureux que je vous ai autorisé à vous reculotter.

– Ooooh Régime... Je m'en serais bien passé. Ces slips sont tellement serrés que ça fait encore plus mal... Vous êtes vraiment sévère avec moi. 

– Ce n'est pas avec vous que je suis sévère Aristide … C'est avec vos fesses !!  Prenez cela comme un hommage à leur belle capacité d'endurance. Et n'oubliez pas que pendant vos punitions, vous n'êtes plus rien d'autre qu'une paire de fesses à corriger le plus sévèrement possible. Et c'est pour qu'elles le soient encore davantage que nous sommes ici ! Attendez-vous au pire mon ami.

Le malheureux époux se trémousse de nouveau sur son tabouret. Il a soulevé son postérieur de l'assise et plongé les deux mains dans son slip pour soulager un peu ses fesses de l'atroce pression du nylon.

La réaction de Régine est immédiate.

– Mais enfin... Aristide, qu'est-ce c'est que vous faites ? Vous avez déjà oublié ce que je viens de vous dire ! Peut-être avez-vous besoin d'une nouvelle fessée pour vous obliger à rester tranquille. Ce n'est pas compliqué vous savez !

– Non ! Non Régine chérie, pitié !!  Je vous en prie, pas de nouvelle fessée !!

– Alors enlevez moi tout de suite les mains de votre slip, déculottez-vous, pour la peine, et asseyez-vous correctement en cambrant les reins pour bien étaler vos grosses fesses sur le tabouret. Vous avez de la chance que le siège ne soit pas en osier cannelé comme à la maison. Là au moins, vous profitez bien de la cuisson de vos fessées.

Aristide sort les mains de son slip, se déculotte complètement et se rassied avec  précaution dans un pitoyable gémissement de douleur.

  Aller, insiste la sévère épouse. Appuyez bien toute la surface sur le siège sans faire votre petit douillet, je déteste ça !  Vous avez déjà mérité une nouvelle fessée !

 Tout en sermonnant son mari, elle regarde vers la porte de l'atelier à travers laquelle parviennent les éclats de voix d'une dispute.

– Hummm, vous entendez Aristide, on dirait bien que Monsieur se fait vertement houspiller par Madame. Heureusement qu'elle est là pour faire tourner la boutique. Voyez mon ami, comme les hommes ont besoin de femmes à poigne pour marcher droit .

Brusquement la conversation s'arrête, remplacée par le claquement caractéristique d'une main sur un derrière, dont l'éclatante sonorité ne laisse aucun doute sur le fait qu'il ait été   préalablement déculotté.

– Ah ça y est, elle lui met sa fessée, dit Régine en tendant l'oreille avec un sourire satisfait. 

Ecoutez  Aristide comme elle fesse bien, elle aussi. Vous entendez les belles claques retentissantes, et le rythme soutenu et régulier. On sent que Madame a du savoir-faire.    Elle claque des derrières toute la journée, et jamais les même . ;

Aristide ne répond pas, trop préoccupé par la cuisson de ses fesses. De l'autre côté de la porte, la fessée prend de l'ampleur, avec de violentes accélérations ponctuées de  hurlements stridents. Le malheureux Norbert, paye ses négligences au prix cher. 

Astrid ne fait pas de détail. Pour elle, quel que soit le motif, il n'y a jamais de demi-mesure ni de fessée ordinaire. Pour qu'une correction soit efficace et serve vraiment de leçon, elle s'est donnée comme règle de toujours punir avec la plus grande sévérité. Quand bien même la durée et l'intensité des fessées soient, souvent, disproportionnée par rapport à l'importance des fautes commises. L'objectif est d'exercer une autorité sans faille .

Elle tapait tellement fort, que le claquement sec de la fessée, accompagné des éclats de voix, des pleurs et des supplications de Norbert, s'entendait de plus en plus clairement, à travers la cloison de l'atelier.  Ce n'est qu'au bout de dix bonnes minutes d'un claquage intensif, seulement interrompu par un changement de position, que la porte s’ouvrit.

 Astrid apparaît, rayonnante, transportant triomphalement sous son bras, un Norbert  en larmes, le pantalon sur les chevilles, le slip en travers des cuisses.  Son gros fessier déculotté est entièrement cuit, et resplendit d’un magnifique rouge écarlate.

– Et voilà ! S'exclame-t-elle, en exhibant le fessier conjugale comme un trophée. , Monsieur a eu sa fessée, bien cuisante, jusqu'au bout ! C'est le tarif minimum, en cas de travail mal fait.  Voyez, ses grosses fesses toutes rouges  sont déjà bien corrigées !


Une double fessée déculottée



– Elles sont aussi reluisantes que celles de mon mari ! s'exclame Régine avec emphase. Votre réputation  n'est pas usurpée ma chère, quand vous flanquez une fessée vous n'y allez pas de main morte !  On l'a entendue claquer jusqu'ici.  Monsieur a dû la sentir passer .

  Et ce n'est pas terminé, il sait qu'il y en a une deuxième en préparation. Les punitions de Norbert ne se terminent jamais tant que ses fesses ne sont pas entièrement  claquées à l'écarlate !  C'est son régime habituel de correction. Quand je lui annonce une fessée et que je lui demande de préparer ses fesses, je vous garantis qu'il n'en même pas large. Il en a d'ailleurs une autre en préparation, pour finir la journée comme il l'a commencée.

Norbert, humilié devant Madame Duplessy, hoquette entre deux sanglots. 

– Ooooh non, Astrid, s'il te plaît, plus la fessée... Tu tapes trop fort !

Totalement indifférente à ses supplications, Astrid  traverse triomphalement la boutique en le transportant sous son bras, jusqu’au tabouret à fessée, la tête en bas, les fesses en l'air, parfaitement  exposées. Là elle le remet debout devant elle et lui ordonne de se reculotter, pour le plaisir de lui infliger l'humiliation d'un nouveau déculottage à la fessée suivante. 

– Le slip seulement, comme tout à l'heure. Bien tendu sur le derrière pour entretenir l'effet de cuisson.

 

 Norbert se fait larmoyant et trépigne sur place, comme un gamin que sa mère oblige à se reculotter après lui avoir flanqué une fessée devant des personnes qu'il ne connaît pas.

– Ooh Astrid... S'il te plaît... ça fait mal !

Il obéit cependant et se reculotte en tortillant douloureusement du derrière pour recaler ses fesses gonflées de claques, dans un slip devenu presque trop petit pour les contenir entièrement. Elles débordent de chaque côté des élastiques. Astrid le regarde d'un air goguenard.

– Les fesses te cuisent mon pauvre chéri. C'est vrai que ces slips en nylon sont terriblement efficaces pour ça !

 Elle désigne d'un coup d'œil le derrière d'Aristide débordant, lui aussi, mais du tabouret   où il a ordre de rester assis et lance à Régine un petit sourire complice .

– Vous aussi vous lui faites porter des slips à fessée !

Régine, nonchalamment appuyée sur le comptoir lui renvoie son sourire.

– Comme toute épouse exigeante sur la présentation du derrière de son mari... Aristide déteste en mettre, mais, ils sont parfaits pour rendre les fessées plus attrayantes. Cuisson efficace grâce à la finesse du nylon, souplesses des élastiques pour déculottage facile ,  elle s'approche de son époux, le derrière tendu, en dehors du tabouret et le lui tapote du plat de la main. N'est-ce pas mon ami ?

– Et bien justement ! Enchaîne Astrid  en posa son talon aiguille sur le deuxième tabouret  inoccupé, la cuisse en pont montée à horizontale. Vous allez pouvoir comparer la sonorité des fesses de mon étourdi de mari, avec slip et sans slip !  Vous allez voir qu'il n'y a pas tant de différence que ça, elle rit. Il suffit de régler la distance de tir et de bien ajuster la frappe! . 

Sûre de sa force et d'une autorité qu'elle n'a plus à démontrer depuis longtemps,  elle le soulève sans aucun effort, en le tirant par le col de sa chemise et l'oblige à grimper sur sa cuisse. Il s'y installe docilement,  plié en deux, la tête en bas vers le sol, d'un côté, les jambes dans le vide et les fesses en l'air, largement déployées, de l'autre. Elle les oriente vers Régine pour lui faire pleinement profiter du spectacle.

– Allez mon ami, tends bien ton gros derrière vers Madame Duplessy, dont tu as si bien négligé la commande. Montre-lui comment tu dois me présenter tes fesses pour que je les fasse bien claquer. Elle va adorer. Elle lance un clin d'œil à sa cliente. 

– Elle va t'expliquer ce qu'elle veut, pendant que je te flanque ta fessée. Tu as intérêt à bien écouter parce que tes fesses vont faire du bruit. 

Régine sourit, d'un air entendu, en acquiesçant de la tête. Elle contourne le malheureux et saisissant un autre tabouret au passage, vient s'asseoir devant lui, penchée en avant à quelques centimètres de son visage. D'un doigt passé sous le menton, elle lui fait redresser la tête pour le regarder dans les yeux, pendant que son épouse le déculotte sans ménagement. Le passage du slip très serré sur le sommet du fessier en feu, lui arrache des gémissements de douleur. Les yeux emplis de larmes, il a du mal à distinguer les traits de son interlocutrice qui lui parle comme si de rien était, indifférente à   sa position critique. 

– Ecoutez moi bien, Monsieur Delaniaires,  sans que cela vous empêche de savourer pleinement la cuisante fessée que votre femme vous prépare. Je vais vous expliquer la raison pour laquelle j'ai ramené ce martinet. Je ne mets pas en cause la qualité de votre travail, mais vous avez oublié un détail important.

Elle perçoit, du coin de l’œil, un léger mouvement du côté de son mari, qui s'est soulevé de son tabouret pour regarder la scène par-dessus son épaule.  

– Aristide, dit-elle d'une voix forte. N'en profitez pas pour essayer de soulager vos fesses. Vous les gardez bien calées sur votre siège... Vous savez ce qui les attend, si vous m'obligez à me déplacer !



Et après la saison 3... vient la saison 4!

Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.

Que s'est-il passé précédemment ? Un trou de mémoire ? Ce n'est pas grave vous retrouverez ici la saison, précédente le chapitre 1, et le dernier en date de la saison 4, c'est le chapitre 8

La suite, c'est très bientôt.

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.

8 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    "Règlement de comptes à Spankcity"!
    Le SAV est assuré avec brio par Mam'e Delaniaires en personne.
    "Avec la qualité des instruments Delaniaires, la satisfaction des clientes est prioritaire !!!"
    Wahou, quelle qualité ! Pièces et main-d'œuvre assurés !
    A défaut d'un chapeau vert, ces "Drôles de Dames" ont la main verte... de rage !!!! Courage, Messieurs !

    RépondreSupprimer
  2. Re-bonjour Ramina,

    En relisant ton récit; un sous-titre m'est venu à l'esprit, dans un contexte ciné : "La valse des pantins "! Je trouve que ces Messieurs sont réduits à l'état de pauvres marionnettes sous les lourdes mains manucurées () de leurs terrrrribles épouses !
    Amicalement. Peter.

    RépondreSupprimer
  3. Amis de la poésie et du manche défaillant, bonsoir !
    Norbert a encore une fois faillit à son travail : Le manche ne tient pas en place. Le martinet, ça s'utilise rectum-verso... Tout un programme ! Et cette Madame DUPLESSY qui a du plaisir ( ça rime ), en fessant son époux sur le fauteuil en osier comme celui où Emmanuelle était assise de façon lascive. Je ne suis pas sûre qu'avec Aristide, l'aspect érotique de la chose soit comparable ?
    Les hommes ont besoin d'une femme à poigne pour marcher droit, mais comment peut-on marcher droit avec un manche de martinet planté ? Le chemin de croix, à n'en pas douter.
    Manche raté, c'est la fessée, manche foutu, tu l'as dans le c.. Rooooh, la Elena se lâche, c'est pas bon !
    Amitiés.
    Elena.

    RépondreSupprimer
  4. Bonjour Peter,

    Ouaww, quelle émulation ! Bravi, bravo! Chaque commentaire devient une petite œuvre à elle toute seule, festival de slogans et jeux de mots pas laids du tout!
    L'arrière train de Norbert va claquer trois fois! Et dans le genre référence cinéma, après " La valse des pantins " pourquoi pas "le Cave se rebiffe" et "Norbert voit rouge" Mais si, mais non!
    En attendant, se sont plutôt ses fesses qui voient la vie en rouge.
    Rires
    Amicalement
    Ramina

    RépondreSupprimer
  5. Bonjour Elena,

    Décidément, les auteurs ont du talent, les commentateurs aussi ... les lecteurs sont ravis. On joue avec les maux, comme avec les mots. Mots d'esprit, esprit frappeur, la main de sa soeur sur les fesses de Gérôme ! Bon, ça rime pas, mais ça claque quand même.

    Joli et bien troussé, le "rectum-verso"! - Pas sans fondement, la remarque sur le "marcher droit avec un martinet planté"...dans le tunnel sous la ceinture. Avec le Brexit celui sous la manche est moins fréquenté!
    Elena se lâche, bien sûr que si, c'est bon pour son moral et celui des lecteurs. Les amateurs de postérieurs en couleurs ne comptent pas pour du beurre... Même pas peur!
    Amicalement
    ramina

    RépondreSupprimer
  6. « Sur tant de fondements, ma puissance établie ». Racine, Britannicus, acte III

    Bravo à tout les trois, j'aime autant vos commentaires que vos récits, quel talent, quel esprit, un véritable festival.

    Sympathiquement .

    Serge

    RépondreSupprimer
  7. Bonsoir Serge,

    Merci beaucoup pour vos compliments qui nous encouragent à persévérer. Nous les savourons comme des parts de galette des Rois.
    Amicalement. Peter.

    RépondreSupprimer
  8. Bonjour Serge,

    Grand merci pour ce commentaire élogieux! Je ne sais pas mes amis, mais j'en ai personnellement rougit jusqu'aux orteils  en passant par la racine des cheveux. Jolie référence au théâtre racinien qui ajoute une touche de culture classique à celle, moins académique, de la fessée avec racine de gingembre dans le derrière ! (rire)
    Au moins, là, on sait où sont nos '' wouacines ''...
    Amicalement
    Wouamina!

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.