QUI AIME BIEN, FESSE BIEN
LE MARTINET DOUBLE USAGE. 1ère
partie
– Dis-moi
Norbert, on dirait que ce n'est pas ton jour, c'est la deuxième fois
aujourd'hui, Après le battoir tout à l'heure, maintenant c'est un martinet !
C'est bien toi qui as fabriqué ça ?... Je ne vois personne d'autre !
Dit-elle en
balançant l'instrument de discipline sur la table, devant lui.
– Ben
évidemment, qui veux-tu que ce soit !
Le regard noir,
elle se plante en face de lui en croisant les bras sous son envahissante
poitrine, qui en profite pour prendre des libertés avec son décolleté.
– Attention
Norbert, tu recommences ! Je n'aime pas du tout le petit ton ironique que
tu viens d'employer. Il faut croire que la fessée de tout à l'heure n'a pas été
assez sévère... Je t'ai pourtant prévenu
qu'il pourrait bien t'en arriver une autre sur le derrière, avant la fin de la
journée.
Du haut de son
imposante stature, surélevée de dix centimètres de talons aiguille, Astrid
domine son mari d'au moins une tête, et encore un peu plus, lorsqu'il commence
à se recroqueviller sur lui-même quand
elle le menace d'une correction. Le soulever de terre en l'empoignant par la
taille et lui positionner le derrière à sa guise pour lui claquer une fessée à
la volée, ne pose aucune difficulté à la plantureuse épouse. Plutôt mince et de
petite taille, Norbert, ne fait pas le poids devant elle, qui profite à volonté
de la partie la plus intéressante de son anatomie. Une imposante paire de
fesses, dont l'a généreusement doté la nature, qui offre à la maîtresse femme
la surface à corriger idéale pour satisfaire ses exigences disciplinaires,
comme bon lui semble.
La cuisson de
ses fesses, encore sensibles, rappelle à Norbert l'épisode du battoir et la
déculottée qu'elle lui a mise en début d'après-midi. Il a bien compris que sa charmante épouse
n'est pas d'humeur. Géraldine pressée de rentrer chez elle, lui a demandé de
partir plus tôt, sans plus d'explication, et elle n'aime pas ça. Dans ces cas-là,
Madame a besoin de se calmer les nerfs et saisit le moindre prétexte pour
distribuer les fessées à tour de bras.
Ce n'est pas le moment de la contrarier, il prend un ton doucereux.
– Euuuh, oui...
oui chérie... Bien sûr, c'est le
martinet qu'avait commandé Madame Duplessy, la semaine dernière. Qu'est ce qui
ne va pas ?… Elle l'a pourtant eu à la date prévue ...
Astrid, peu
patiente, commence déjà à taper du talon aiguille sur le sol. Elle soupire en
levant les yeux au ciel, qui s'assombrit au-dessus des fesses du malheureux,
pris en défaut pour la deuxième fois de la journée.;
– N'essaye pas
de faire diversion Norbert, là n'est pas la question !
– Ah bon, c'est
quoi alors ? Les lanières ? Je les lui ai faites sur...
– Non Norbert,
non ! Ce n'est pas une histoire de lanières !... C'est le manche qui
ne va pas !
– Comment
ça...le manche qui ne va pas ? Mais... mais... lui aussi je l'ai fait à la
bonne longueur, comme elle l'avait demandé, l'épaisseur aussi, pour qu'elle
l'ait bien en main !
Tu lui as même
fait essayer sur les fesses de Géraldine... Elle était satisfaite !
– Et bien non, figure-toi
! Elle s'en est servi, tous les jours pendant une semaine sur les fesses de son
mari et là, elle est venue me le rapporter.
Norbert
commence à s'inquiéter sérieusement et à reculer alors que sa femme avance sur
lui, en le pointant d'un index menaçant.
– Tu as oublié
un détail important sur le manche, mon ami ! Elle avait pourtant bien
insisté quand elle a passé sa commande.
– Mais je te
jure ma chérie, je ne vois pas de quoi il s'agit. Je l'ai fabriqué comme
d'habitude... Assez lourd et cannelé pour qu'il lui tienne bien dans la main .
– Dans la main
oui... il tient bien... mais pas dans le derrière !
Norbert regarde
son épouse avec un air complètement ahuri. C'est plus fort que lui, ses fesses, encore sensibles des fessées
précédentes, commencent à frémir dans son slip. Il bafouille à moitié et
tremble un peu sur ses jambes.
– Co... Comment
ça dans le derr... dans le derrière ?... Mais dans le derrière de
qui ?
– D'Aristide !
Son mari...Imbécile ! Elle lui flanque des fessées avec le manche de son
martinet dans le derrière !!! Tu ne savais pas ?
– Ah... Ah
bon ? Dans le … Non...
– Parfaitement
dans le derrière ! Mon pauvre ami, tu vis sur quelle planète ?
Toujours dans ton atelier, la tête dans tes lanières de cuir ! Tu
fabriques d'excellents martinets, très bien, mais tu ne sais pas comment on
s'en sert !
– SI, si, je
sais... je sais, bien sûr...
– Et bien ça
n'a pas l'air ! C'est la tendance actuelle, figure-toi ! Certaines
clientes ont décidé de rendre les fessées plus humiliantes en corrigeant leur
mari avec le manche de leur martinet planté dans le derrière ! Et oui,
c'est nouveau... ça vient de sortir... enfin... de rentrer plutôt ! Amusant non ?
– Oui chérie,
oui...évidemment !... Amusant... Enfin, ça dépend pour qui...
– Oui
chérie ! Oui chérie ! Tu ne sais dire que ça ! As-tu seulement
fait attention au slogan qu'on a trouvé
pour vanter l'efficacité de nos martinets ? Parce que c'est le produit
qu'on vend le plus, figure-toi !
– Euuh...oui..
Chér... oui... je... je ...--
– Non Norbert,
ne fais pas semblant... tu ne sais pas ! Tu ne sais rien ! Alors je vais te le rappeler avant de te le
mémoriser sur les fesses... Tu m'écoutes ?
Elle l'a saisi
par le col de sa chemise et le soulève de son tabouret pour mettre son visage à
la hauteur du sien et le regarder droit dans les yeux.
– '' Delaniaires,
le martinet double usage, les fesses aux lanières et le manche dans le
derrière. – C'est Géraldine qui a trouvé ça. Non seulement elle a une
belle paire de fesses, mais, en plus,
elle est intelligente ! Estime toi
heureux que je ne t'en ai pas encore fait expérimenter l'usage. Mais ton gros
cul ne perd rien pour attendre ;
Le malheureux
époux, se liquéfie au fur et à mesure que monte la colère de sa femme qui
commence à relever la manche droite de son chemisier. Ça sent la fessée, comme
à chaque fois qu'il commet une erreur.
– Maintenant
baisse ton pantalon et amène-moi tes fesses que je les déculotte ... tout de
suite. Tu nous fais un vrai festival aujourd'hui ! Troisième fessée de la
journée et ce n'est pas fini ! J'ai proposé à madame Duplessy de t'en
flanquer une autre, pour te punir elle-même,
d'avoir négligé sa commande. Elle nous attend dans le magasin avec son mari.
Pour ta gouverne, ce sont les cannelures du manche qui ne correspondent pas à
ce qu'elle voulait. Elle t'expliquera.
L'agréable
odeur de cuir neuf des instruments de discipline emplissait la boutique des
Delaniaires où régnait une agréable atmosphère de discipline. La mise en
condition commençait dès l'ouverture de la porte avec, comme signal sonore
destiné à informer de l'arrivée d'une
cliente, la diffusion de l'enregistrement d'une fessées de Géraldine. Ça plaisait
beaucoup aux inconditionnelles.
Régine
Duplessy, attendait patiemment le retour d'Astrid, partie dans l'atelier de
fabrication, faire le point avec son mari, au sujet du martinet sur mesure,
récemment acheté, et non conforme à la commande. D'un pas nonchalant, rythmé
par le claquement de ses talons aiguille, elle allait et venait en longeant le
comptoir qui occupait le milieu du magasin. Elle parcourait, d'un doigt nonchalant, la rangée de martinets
étalés sur les présentoirs, et, après avoir enlevé ses gants, commença à les
prendre en main les uns après les autres. Elle en soupesait le manche
dans sa main, lissait les lanières entre ses doigts pour apprécier la souplesse
du cuir et, d'un air songeur, le reposait délicatement pour prendre celui d'à
côté.
Madame Duplessy
faisait partie du cercle des adeptes inconditionnelles de la fessée qui se
retrouvaient souvent au salon de coiffure de Béatrice Klakerspank ou dans la
boutique de lingerie de Madame de Blagnac. Elle figurait donc naturellement
parmi les fidèles clientes de la maison Delaniaires, fournisseur attitré en
instruments de discipline.
C'était une
grand femme élégante, d'allure un peu aristocratique, dont l'imposante silhouette attirait les
regard partout où elle passait. Son allure distinguée avec ses petits tailleurs
moulants, bien coupés, ses talons aiguille vertigineux, et un phrasé assez
sophistiqué, révélaient une éducation bourgeoise classique, chic et de bon
goût. Mais pour qui la connaissait, sous le vernis des bonnes manières, se
cachait une nature perverse au caractère autoritaire, que trahissait un ton
souvent glacial et des répliques aussi cinglantes que les lanières de ses
martinets. Mis à part ses amies, avec qui elle partageait ses convictions sur
les bienfaits de la discipline, personne ne pouvait se douter de la sévérité
des corrections qu'elle était capable d'infliger. Aristide, son mari, marqué à
la culotte, c'était le cas de le dire, avait les fesses bien placées pour le
savoir, soumis qu'il était, à un impitoyable régime de fessées, qu'elle lui
imposait sans concession.
Une cuisante
fessée, rapide mais efficace, avait suffi à Régine, pour convaincre son mari réticent, à
l'accompagner jusqu'à la boutique des Delaniaires. Lui aussi attendait, manifestement pas rassuré d'avoir été traîné
de force dans ce temple de la fessée. Elle l'avait fait asseoir, sur un des
tabourets du magasin, le pantalon baissé sur les chevilles, les fesses encore
en feu au contact direct avec le bois dur. Solidement reculotté après sa correction, son slip de nylon, très serré,
lui offrait d'autant moins de protection que les élastiques tendues dans la
raie des fesses en découvrait pratiquement toute la surface. Les fameux slips à
fessée, dont l'efficacité n'était plus à démonter étaient justement conçus pour
entretenir la cuisson. Visiblement mal à l'aise, il se dandinait d'une fesse
sur l'autre, à intervalles réguliers, pour essayer de les soulager un tant soit
peu. Cela eu très vite le don d'agacer
sa sévère épouse.
– Aristide,
mon ami, dit-elle d'un ton
calme, tout en tapotant le plat d'un battoir sur la paume de sa main pour en
éprouver le claquant. C'est trop vous demander de vous tenir convenablement sur
votre siège et de cesser de tortiller du derrière comme un petit garçon ?
Vous êtes ridicule !
Le malheureux
se met à pleurnicher. Il sait qu'à la moindre tentative de soulever son
postérieur dans l'espoir d'en atténuer la cuisson, ce serait le retour immédiat
sur les genoux de son épouse pour une nouvelle fessée. Et elle ne se privera
pas de lui faire remonter le
derrière à un niveau de chaleur
parfaitement insupportable.
– Mais Régine
... C'est la fessée, vous avez encore tapé si fort. Les fesses me cuisent, vous
ne pouvez pas savoir !
– Aristide, mon ami, croyez-vous
vraiment que je puisse ne pas le savoir, moi qui suis toujours si exigeante sur la qualité de cuisson de vos fesses à chacune de
vos corrections ? Sur cette dernière,
elles ont été parfaitement bien claquées sur toute la surface, il est donc tout
à fait normal qu'elles vous cuisent autant. Mais, peut être voulez que je
recommence pour confirmer cet état de fait ?
– Raaah, non,
non... Quand même, vous avez la main tellement lourde !!
– Faites un effort mon cher ! Un homme
bien éduqué doit supporter, sans broncher la cuisson de ses fesses après une
correction, si sévère soit-elle. Pleurer et
crier pendant la fessée c'est normal et même recommandé pour témoigner de
l'efficacité de la punition. Trop de
pleurnicheries, après, peu devenir
agaçant. Et estimez-vous heureux que
je vous ai autorisé à vous reculotter.
– Ooooh
Régime... Je m'en serais bien passé. Ces slips sont tellement serrés que ça
fait encore plus mal... Vous êtes vraiment sévère avec moi.
– Ce n'est pas
avec vous que je suis sévère Aristide … C'est avec vos fesses !! Prenez cela comme un hommage à leur belle
capacité d'endurance. Et n'oubliez pas que pendant vos punitions, vous n'êtes
plus rien d'autre qu'une paire de fesses à corriger le plus sévèrement
possible. Et c'est pour qu'elles le soient encore davantage que nous sommes
ici ! Attendez-vous au pire mon
ami.
Le malheureux
époux se trémousse de nouveau sur son tabouret. Il a soulevé son postérieur de
l'assise et plongé les deux mains dans son slip pour soulager un peu ses fesses
de l'atroce pression du nylon.
La réaction de
Régine est immédiate.
– Mais
enfin... Aristide, qu'est-ce c'est que
vous faites ? Vous avez déjà oublié ce que je viens de vous dire ! Peut-être avez-vous besoin d'une nouvelle fessée pour vous obliger à rester
tranquille. Ce n'est pas compliqué vous savez !
– Non !
Non Régine chérie, pitié !! Je vous
en prie, pas de nouvelle fessée !!
– Alors
enlevez moi tout de suite les mains de votre slip, déculottez-vous, pour la peine, et asseyez-vous correctement en cambrant les reins pour bien étaler vos
grosses fesses sur le tabouret. Vous avez de la chance que le siège ne soit pas
en osier cannelé comme à la maison. Là au moins, vous profitez bien de la
cuisson de vos fessées.
Aristide sort
les mains de son slip, se déculotte complètement et se rassied avec précaution dans un pitoyable gémissement de
douleur.
– Aller, insiste la sévère épouse. Appuyez bien
toute la surface sur le siège sans faire votre petit douillet, je déteste
ça ! Vous avez déjà mérité une
nouvelle fessée !
Tout en sermonnant son mari, elle regarde vers
la porte de l'atelier à travers laquelle parviennent les éclats de voix d'une
dispute.
– Hummm, vous
entendez Aristide, on dirait bien que Monsieur se fait vertement houspiller par
Madame. Heureusement qu'elle est là pour faire tourner la boutique. Voyez mon
ami, comme les hommes ont besoin de femmes à poigne pour marcher droit .
Brusquement la
conversation s'arrête, remplacée par le claquement caractéristique d'une main
sur un derrière, dont l'éclatante sonorité ne laisse aucun doute sur le fait
qu'il ait été préalablement déculotté.
– Ah ça y est,
elle lui met sa fessée, dit Régine en tendant l'oreille avec un sourire
satisfait.
Ecoutez Aristide comme elle fesse bien, elle aussi.
Vous entendez les belles claques retentissantes, et le rythme soutenu et
régulier. On sent que Madame a du savoir-faire. Elle claque des derrières toute la journée,
et jamais les même . ;
Aristide ne
répond pas, trop préoccupé par la cuisson de ses fesses. De l'autre côté de la
porte, la fessée prend de l'ampleur, avec de violentes accélérations ponctuées
de hurlements stridents. Le malheureux
Norbert, paye ses négligences au prix cher.
Astrid ne fait
pas de détail. Pour elle, quel que
soit le motif, il n'y a jamais de demi-mesure ni de fessée ordinaire. Pour qu'une correction soit
efficace et serve vraiment de leçon, elle s'est donnée comme règle de toujours
punir avec la plus grande sévérité. Quand bien même la durée et l'intensité des
fessées soient, souvent, disproportionnée par rapport à l'importance des fautes
commises. L'objectif est d'exercer une autorité sans faille .
Elle
tapait tellement fort, que le claquement sec de la fessée, accompagné des
éclats de voix, des pleurs et des supplications de Norbert, s'entendait de plus
en plus clairement, à travers la cloison de l'atelier. Ce n'est qu'au bout de dix bonnes minutes
d'un claquage intensif, seulement interrompu par un changement de position, que
la porte s’ouvrit.
Astrid apparaît, rayonnante, transportant
triomphalement sous son bras, un Norbert
en larmes, le pantalon sur les chevilles, le slip en travers des
cuisses. Son gros fessier déculotté est
entièrement cuit, et resplendit d’un magnifique rouge écarlate.
– Et
voilà ! S'exclame-t-elle, en exhibant le fessier conjugale comme un trophée. ,
Monsieur a eu sa fessée, bien cuisante, jusqu'au bout ! C'est le tarif
minimum, en cas de travail mal fait.
Voyez, ses grosses fesses toutes rouges sont déjà bien corrigées !
– Elles
sont aussi reluisantes que celles de mon mari ! s'exclame Régine avec emphase. Votre réputation
n'est pas usurpée ma chère, quand vous flanquez une fessée vous n'y
allez pas de main morte ! On l'a
entendue claquer jusqu'ici. Monsieur a
dû la sentir passer .
– Et ce n'est pas terminé, il sait qu'il y en a
une deuxième en préparation. Les punitions de Norbert ne se terminent jamais
tant que ses fesses ne sont pas entièrement
claquées à l'écarlate ! C'est son régime habituel de
correction. Quand je lui annonce une fessée et que je lui demande de préparer
ses fesses, je vous garantis qu'il n'en même pas large. Il en a d'ailleurs une
autre en préparation, pour finir la journée comme il l'a commencée.
Norbert,
humilié devant Madame Duplessy, hoquette entre deux sanglots.
– Ooooh
non, Astrid, s'il te plaît, plus la fessée... Tu tapes trop fort !
Totalement
indifférente à ses supplications, Astrid
traverse triomphalement la boutique en le transportant sous son bras,
jusqu’au tabouret à fessée, la tête en bas, les fesses en l'air, parfaitement exposées. Là elle le remet debout devant elle
et lui ordonne de se reculotter, pour le plaisir de lui infliger l'humiliation
d'un nouveau déculottage à la fessée suivante.
– Le
slip seulement, comme tout à l'heure. Bien tendu sur le derrière pour
entretenir l'effet de cuisson.
Norbert se fait larmoyant et trépigne sur
place, comme un gamin que sa mère oblige à se reculotter après lui avoir
flanqué une fessée devant des personnes qu'il ne connaît pas.
– Ooh
Astrid... S'il te plaît... ça fait mal !
Il
obéit cependant et se reculotte en tortillant douloureusement du derrière pour
recaler ses fesses gonflées de claques, dans un slip devenu presque trop petit
pour les contenir entièrement. Elles débordent de chaque côté des élastiques.
Astrid le regarde d'un air goguenard.
– Les
fesses te cuisent mon pauvre chéri. C'est vrai que ces slips en nylon sont
terriblement efficaces pour ça !
Elle désigne d'un coup d'œil le derrière d'Aristide débordant, lui
aussi, mais du tabouret où il a ordre
de rester assis et lance à Régine un petit sourire complice .
– Vous
aussi vous lui faites porter des slips à fessée !
Régine,
nonchalamment appuyée sur le comptoir lui renvoie son sourire.
– Comme
toute épouse exigeante sur la présentation du derrière de son mari... Aristide
déteste en mettre, mais, ils sont parfaits pour rendre les fessées plus
attrayantes. Cuisson efficace grâce à la finesse du nylon, souplesses des
élastiques pour déculottage facile ,
elle s'approche de son époux, le derrière tendu, en dehors du tabouret
et le lui tapote du plat de la main. N'est-ce pas mon ami ?
– Et
bien justement ! Enchaîne Astrid en
posa son talon aiguille sur le deuxième tabouret inoccupé, la cuisse en pont montée à
horizontale. Vous allez pouvoir comparer la sonorité des fesses de mon étourdi
de mari, avec slip et sans slip !
Vous allez voir qu'il n'y a pas tant de différence que ça, elle rit. Il
suffit de régler la distance de tir et de bien ajuster la frappe! .
Sûre de
sa force et d'une autorité qu'elle n'a plus à démontrer depuis longtemps, elle le soulève sans aucun effort, en le
tirant par le col de sa chemise et l'oblige à grimper sur sa cuisse. Il s'y
installe docilement, plié en deux, la
tête en bas vers le sol, d'un côté, les jambes dans le vide et les fesses en
l'air, largement déployées, de l'autre. Elle les oriente vers Régine pour lui
faire pleinement profiter du spectacle.
– Allez mon ami, tends bien ton gros derrière
vers Madame Duplessy, dont tu as si bien négligé la commande. Montre-lui comment tu dois me présenter tes fesses
pour que je les fasse bien claquer. Elle va adorer. Elle lance un clin d'œil à sa cliente.
– Elle va
t'expliquer ce qu'elle veut, pendant que je te flanque ta fessée. Tu as intérêt
à bien écouter parce que tes fesses vont faire du bruit.
Régine sourit,
d'un air entendu, en acquiesçant de la tête. Elle contourne le malheureux et
saisissant un autre tabouret au passage, vient s'asseoir devant lui, penchée en
avant à quelques centimètres de son visage. D'un doigt passé sous le menton,
elle lui fait redresser la tête pour le regarder dans les yeux, pendant que son
épouse le déculotte sans ménagement. Le passage du slip très serré sur le
sommet du fessier en feu, lui arrache des gémissements de douleur. Les yeux
emplis de larmes, il a du mal à distinguer les
traits de son interlocutrice qui lui parle comme si de rien était, indifférente
à sa position critique.
– Ecoutez moi
bien, Monsieur Delaniaires, sans que
cela vous empêche de savourer pleinement la cuisante fessée que votre femme vous
prépare. Je vais vous expliquer la raison pour laquelle j'ai ramené ce
martinet. Je ne mets pas en cause la qualité de votre travail, mais vous avez
oublié un détail important.
Elle perçoit,
du coin de l’œil, un léger mouvement du côté de son mari, qui s'est soulevé de
son tabouret pour regarder la scène par-dessus son épaule.
– Aristide, dit-elle d'une voix forte. N'en profitez pas pour essayer de
soulager vos fesses. Vous les gardez bien calées sur votre siège... Vous savez
ce qui les attend, si vous m'obligez à me déplacer !
Et après la saison 3... vient la saison 4!
Nous retrouvons des protagonistes dont nous avons déjà fait la connaissance, mais nous allons également découvrir de nouveaux personnages pour lesquels la fessée est à l'ordre du jour.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimer"Règlement de comptes à Spankcity"!
Le SAV est assuré avec brio par Mam'e Delaniaires en personne.
"Avec la qualité des instruments Delaniaires, la satisfaction des clientes est prioritaire !!!"
Wahou, quelle qualité ! Pièces et main-d'œuvre assurés !
A défaut d'un chapeau vert, ces "Drôles de Dames" ont la main verte... de rage !!!! Courage, Messieurs !
Re-bonjour Ramina,
RépondreSupprimerEn relisant ton récit; un sous-titre m'est venu à l'esprit, dans un contexte ciné : "La valse des pantins "! Je trouve que ces Messieurs sont réduits à l'état de pauvres marionnettes sous les lourdes mains manucurées () de leurs terrrrribles épouses !
Amicalement. Peter.
Amis de la poésie et du manche défaillant, bonsoir !
RépondreSupprimerNorbert a encore une fois faillit à son travail : Le manche ne tient pas en place. Le martinet, ça s'utilise rectum-verso... Tout un programme ! Et cette Madame DUPLESSY qui a du plaisir ( ça rime ), en fessant son époux sur le fauteuil en osier comme celui où Emmanuelle était assise de façon lascive. Je ne suis pas sûre qu'avec Aristide, l'aspect érotique de la chose soit comparable ?
Les hommes ont besoin d'une femme à poigne pour marcher droit, mais comment peut-on marcher droit avec un manche de martinet planté ? Le chemin de croix, à n'en pas douter.
Manche raté, c'est la fessée, manche foutu, tu l'as dans le c.. Rooooh, la Elena se lâche, c'est pas bon !
Amitiés.
Elena.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerOuaww, quelle émulation ! Bravi, bravo! Chaque commentaire devient une petite œuvre à elle toute seule, festival de slogans et jeux de mots pas laids du tout!
L'arrière train de Norbert va claquer trois fois! Et dans le genre référence cinéma, après " La valse des pantins " pourquoi pas "le Cave se rebiffe" et "Norbert voit rouge" Mais si, mais non!
En attendant, se sont plutôt ses fesses qui voient la vie en rouge.
Rires
Amicalement
Ramina
Bonjour Elena,
RépondreSupprimerDécidément, les auteurs ont du talent, les commentateurs aussi ... les lecteurs sont ravis. On joue avec les maux, comme avec les mots. Mots d'esprit, esprit frappeur, la main de sa soeur sur les fesses de Gérôme ! Bon, ça rime pas, mais ça claque quand même.
Joli et bien troussé, le "rectum-verso"! - Pas sans fondement, la remarque sur le "marcher droit avec un martinet planté"...dans le tunnel sous la ceinture. Avec le Brexit celui sous la manche est moins fréquenté!
Elena se lâche, bien sûr que si, c'est bon pour son moral et celui des lecteurs. Les amateurs de postérieurs en couleurs ne comptent pas pour du beurre... Même pas peur!
Amicalement
ramina
« Sur tant de fondements, ma puissance établie ». Racine, Britannicus, acte III
RépondreSupprimerBravo à tout les trois, j'aime autant vos commentaires que vos récits, quel talent, quel esprit, un véritable festival.
Sympathiquement .
Serge
Bonsoir Serge,
RépondreSupprimerMerci beaucoup pour vos compliments qui nous encouragent à persévérer. Nous les savourons comme des parts de galette des Rois.
Amicalement. Peter.
Bonjour Serge,
RépondreSupprimerGrand merci pour ce commentaire élogieux! Je ne sais pas mes amis, mais j'en ai personnellement rougit jusqu'aux orteils en passant par la racine des cheveux. Jolie référence au théâtre racinien qui ajoute une touche de culture classique à celle, moins académique, de la fessée avec racine de gingembre dans le derrière ! (rire)
Au moins, là, on sait où sont nos '' wouacines ''...
Amicalement
Wouamina!