lundi 4 janvier 2021

Les rebelles - chapitre 47 - acte1

 Marie-Rose M., une fort belle femme de trente-trois ans, a des problèmes d’argent et son seul salaire ne suffit pas à couvrir les besoins qu’elle a. Marie-Rose M. aime se montrer dans les réceptions mondaines pour tenter de se trouver un mari fortuné qui l’aiderait à combler ses ambitions de pouvoir.

Pour le moment, elle n’est que la seconde au réfectoire de Ste CROIX. Elle supplée Damian N. lorsque celui-ci est absent, mais cela ne la comble pas et surtout sa paie est celle d’une employée de l’éducation nationale, même si son poste est plus relevé qu’une simple femme de service.

Marie-Rose M. cherche quelques compléments de salaire, compatible avec son emploi à plein temps à Ste CROIX. Elle a déjà tenté de faire des petits travaux de classements ou des distributions de prospectus, mais ce qu’elle constate, c’est que ces travaux d’appoints ne suffisent pas à augmenter radicalement ses revenus et à couvrir ses dépenses pour qu’elle soit parée comme une femme mondaine.

Lors d’un banquet chez un aristocrate de la région, elle se prend des remarques sur la qualité du tissu de sa robe. Les femmes qui sont présentes ont bien vu que Marie-Rose M. n’achetait pas ses tenues dans les boutiques de luxe et elle dépareille vis-à-vis des parures des autres dames.

Elle tente de faire un emprunt, mais celui-ci est refusé par la banque et Marie-Rose M. doit se résoudre à paraitre la plus roturière des femmes présentes dans les soirées et les cocktails. Elle y est reçue, seulement par pure amitié. De ce fait, presque aucun homme ne se retourne sur elle et Marie-Rose M. voit s’éloigner ses espoirs de faire un mariage heureux et rentable.

En fouillant sur Internet, Marie-Rose M. remarque des annonces pour des recherches de mannequins pouvant poser pour des calendriers de charme. Avec des séances payées entre cent et cinq cents euros, Marie-Rose M. se dit que si elle était retenue, elle pourrait avoir les rentrées d’argent espérées. Elle mettra ses charmes en valeur et elle se dit qu’elle pourrait faire un mannequin tout à fait acceptable. Marie-Rose M. répond à l’annonce de l’agence PIN UP.

Une quinzaine de jours plus tard, Marie-Rose M. reçoit un mail de la part de la directrice artistique de PIN UP pour un rendez-vous d’essai. Marie-Rose M. est ravie qu’elle puisse allez démontrer qu’elle peut faire un mannequin tout à fait honorable, malgré son âge.

Lors de l’entrevue, Stéphanie A., la responsable artistique lui fait remplir un formulaire avec multiples formalités, car l’agence doit se protéger des éventuelles attaques des modèles et celles-ci doivent aussi avoir des garanties sur le devenir de leurs photos.

Stéphanie A. demande à sa photographe de tester Marie-Rose M. La photographe, Angélique P., emmène Marie-Rose M. dans la salle de prise de vue et lui demande de se mettre nue pour quelques photos d’essai. Marie-Rose M. retire ses vêtements, non sans rougir, car elle dévoile ses charmes devant des gens qu’elle ne voit que pour la première fois. Stéphanie A. se doute qu’elle n’a pas l’habitude de se faire prendre en photo, nue et lui dit :

« Marie-Rose, j’aime bien la façon dont vous rougissez, ça vous donne un côté juvénile tout à fait délicieux »

« Euh, Merci. Je n’ai jamais fait ça avant. Je suis tout émue »

« Ça se voit, vos tétons pointent et ça renforce ce côté effarouchée. Nous allons faire une première série de photos »

Angélique P. mitraille de photos Marie-Rose M., sous toutes les coutures et lui demande de prendre des poses très suggestives, ce qui renforce l’émotion de Marie-Rose M.

« Bien, Marie-Rose, c’est parfait pour cette séance. Nous vous appellerons pour d’autres séances en sous-vêtements et après sans rien ! »

Marie-Rose M. retourne dans le bureau de Stéphanie A. et se rhabille. Elle empoche son premier chèque pour la séance.

En sortant du studio PIN UP, Marie-Rose M. se dit qu’après l’émotion et le stress, elle a gagné cet argent tout à fait honnêtement et ne se reproche rien. Elle rentre chez elle, heureuse d’avoir réussi la séance, car d’autres viendront.

Le lendemain, sur son mail, elle trouve un fichier avec les photos de la veille et un mot accompagnant, le tout de la part de Stéphanie A. lui demandant de revenir pour une autre séance. Elle devra être épilée, car au studio, on s’occupera de son maquillage et de sa coiffure, pour une vraie séance.

Stéphanie A. a eu une commande de photo pour un calendrier de charme et toutes les tranches d’âge doivent être représentées. Marie-Rose M. est heureuse d’avoir été retenue pour la sélection du calendrier de charme. Les séances sont assez pressées, car la fin de l’année arrive et il faut que les calendriers soient prêts pour Janvier.

Stéphanie A. contacte les postulantes et leur programme des séances pour des photos vêtues et dévêtues. Marie-Rose M. confirme sa venue. Elle s’absentera une demi-journée de l’école pour se rendre à son rendez-vous, puis elle reprendra son travail, comme si de rien n’était.

Le jour venu, elle va trouver son responsable, Damian N., et lui demande pour s’absenter :

« Rien de grave, j’espère, Marie-Rose ? »

« Non, ne vous inquiétez pas, juste un rendez-vous chez le médecin, pour un contrôle de routine et je serai de retour après »

Marie-Rose M. part donc pour son rendez-vous chez PIN UP. Elle est tout excitée de poser pour un calendrier et elle touchera une enveloppe qui lui permettra de se racheter des vêtements pour ses soirées mondaines.

La préparation dure une heure, entre maquillage, coiffure et conseil pour la séance. Angélique P. prend les candidates une par une et leur explique ce qu’elle attend d’elle lors de la séance, le tout supervisé par la responsable d’agence.

« Allez, Mesdemoiselles, dépêchez-vous, vous avez une centaine de photos à réaliser. Alyson, passez à la coiffure ! Cassandra, préparez-vous, ça va être à vous pour les photos en nudité complète ! Victoria, il était stipulé que les modèles soient épilés, alors pourquoi vous reste-t-il des poils ? allez-vous faire épiler en vitesse, on décalera votre passage. Margot, pourquoi gigotez-vous ? si vous avez envie d’uriner, c’est maintenant, votre tour arrive pour la séance en sous-vêtements »

L’appareil de photo d’Angélique P. crépite et les flashes éclairent les modèles. Angélique P. gère les mannequins :

« Voilà, Charlotte, prend cette pose, c’est bien. Ecarte les cuisses et sois lascive. Redresse-toi maintenant ! c’est parfait, courbe-toi, maintenant ... »

Marie-Rose M. regarde les mannequins qui sont en séance :

« Stéphanie, s’il vous plait, je vais devoir faire pareil que la jeune femme dans le studio ? »

« Oui, pourquoi ? »

« C’est super osé, comme poses »

« Vous vous attendiez à quoi ? Nous sommes en photos de charme, rien à voir avec des photos de catalogue ! » rétorque Stéphanie A.

« Je ne sais pas si je pourrai ! » s’inquiète Marie-Rose M.

« Vous avez signé un contrat, Marie-Rose, il faut l’honorer, maintenant. On ne vous paie pas cette somme pour faire semblant ! Préparez-vous, c’est bientôt votre tour. Courage, je suis sûre que ça va aller ! »

Marie-Rose M. se sent prise au piège, à présent, consciente de ce qu’elle va devoir faire devant la photographe. Elle sent qu’elle a la chair de poule et ses tétons se dressent sous l’émotion. Elle commence à regretter sa décision.

Lors de son passage, Marie-Rose M. est écarlate, tant elle a honte d’exhiber son intimité en public. Angélique P. la prend en photos sous tous les angles. Marie-Rose M. se prête au jeu, mais les larmes commencent à lui venir aux yeux. Elle se dit qu’elle va craquer avant la fin de la prise.

Sentant venir cette crise de larmes, Angélique P. cesse les photos et renvoie Marie-Rose M. aux vestiaires pour qu’elle se rhabille. Les larmes coulant sur son visage, Marie-Rose M. se rhabille et va chercher son chèque.

« Eh bien, Marie-Rose, ça s’est bien passé ! Ce n’était pas si compliqué que ça ! Je vous rappelle dans le mois pour une autre série de photos. Nous avons des clients pour votre style »

« Merci Madame » dit Marie-Rose M. en tentant de faire bonne figure.

En sortant de la prise photo, Marie-Rose M. rejoint Ste CROIX pour y reprendre le cours de sa vie.

Les séances photos se suivent à PIN UP. Avec quelques autres filles, Marie-Rose M. est l’une des modèles préférés de l’agence, du fait de ses formes assez généreuses. Stéphanie A. promet à Marie-Rose M. une belle carrière. Elle envisage même de lui faire faire des prises de vue en extérieur... Marie-Rose M. n’accepte pas de suite, car elle a trop peur qu’on la voit nue. Stéphanie A. lui promet que les endroits pour les prises de vues sont soigneusement choisis pour rester discrets.

Un mois et demi plus tard, Marie-Rose M. est convoquée chez Fabienne D. qui lui montre un calendrier où elle apparait :

« Marie-Rose, pouvez-vous m’expliquer votre présence sur ce torchon, car c’est bien vous, là-dessus ? Je ne vous savais pas exhibitionniste ! »

« Je vais vous expliquer, Madame D. » tente d’amadouer Marie-Rose M.

« Gardez vos explications pour le conseil de discipline ! Nous sommes dans une institution religieuse et vos actes sont inqualifiables ! »

« Mais, Madame, je fais partie du corps enseignant, je ne peux pas passer en conseil de discipline comme ces petites sottes d’étudiantes ! » se rebiffe Marie-Rose M.

« Raison de plus, pour que vous soyez irréprochable. A Ste CROIX, tout le monde peut être conduit au conseil de discipline, même les femmes de petite vertu comme vous »

Marie-Rose M. est honteuse d’être traitée comme une de ces gamines de l’établissement. Avec son statut de seconde de cuisine, elle est assez fière !

Le lendemain soir, le conseil de discipline est réuni. Marie-Rose M., n’en menant pas large, arrive, la tête basse. Les autres professeurs la dévisagent, certains outrés par sa conduite, d’autres moqueurs en regardant le calendrier.

Celui qui est le plus remonté est Damian N., le responsable du réfectoire de Ste CROIX. Son bras droit est dans de beaux draps et les photos sont très explicites. Marie-Rose M. est rouge pivoine du fait que ses collègues l’aient vu nue. Elle a l’impression qu’ils ne la verront plus que comme ça. Son honneur et sa fierté sont à jamais souillés.

Fabienne D. entame la séance :

« Marie-Rose, vous vous êtes montrés très légère dans votre attitude. De source sûre, un bon nombre d’élèves de Ste CROIX ont vu ce calendrier sur Internet »

« Ce n’était pas mon intention que de porter préjudice à Ste CROIX, Madame, je vous présente toutes mes excuses » s’excuse Marie-Rose M.

« Comment retrouver votre crédibilité après ça ? »

« Je vais m’excuser devant tout le monde »

« Le problème est que certains parents demandent votre démission ! »

« Oh, non, Madame, comment vais-je faire pour vivre ! »

« Il fallait y penser avant que de faire ces photos dégradantes, mais une solution serait de vous administrer une sévère correction, en public, pour laver ce qui peut encore l’être »

« Je ferai tout ce que vous voudrez, Madame, mais ne me renvoyez pas, pitié ! » s’affole Marie-Rose M.

« D’accord, Marie-Rose, nous avons votre accord et nous allons voter »

Le temps du vote, Marie-Rose M. sort de la salle, pour laisser les discussions et le verdict se rendre.

Quinze minutes plus tard, Fabienne D. appelle Marie-Rose M. :

« Marie-Rose ! Vous pouvez entrer ! Notre décision est prise à une grande majorité »

Marie-Rose M., les larmes inondant son visage, entre, toute penaude.

« Les professeurs ont rendus leur verdict. Ils acceptent de vous garder en ces lieux. Votre démission n’est pas demandée, cependant au vu de votre faute vis-à-vis de la réputation de Ste CROIX, le conseil demande que vous receviez soixante coups de martinet de discipline et que vous restiez entièrement nue, un mois complet. De cette façon, les élèves pourront tout à loisir se rincer l’œil, puisque c’est ce que vous souhaitez ! »

« Non, Madame, je ne voulais pas que les élèves me voient nue. J’avais besoin d’argent et ce travail d’appoint est très lucratif. Rester un mois toute nue est très humiliant, vous ne pouvez pas me faire ça, tout de même. Je suis seconde de la cuisine, tout de même » se défend Marie-Rose M.

« Le vote est entériné. Vendredi midi, à la cantine devant tous les élèves et les professeurs, vous serez corrigée sur tout le corps et la période de nudité dans l’établissement commencera. J’expliquerai au parents que vous vous repentez et que votre punition est à la hauteur de la salissure que vous faites subir à l’établissement. Espérons pour vous que les parents s’en contenteront »

Marie-Rose s’écroule en sanglots, car elle va être humiliée devant toute l’école.

« Inutile de pleurnicher, Marie-Rose, il fallait réfléchir avant ! »

Dès le lendemain, les délégués de classe informent leurs camarades de ce qui va arriver.

« Vous savez pas ? La Marie-Rose de la cantine va se faire fouetter toute nue après demain devant tout le monde » nous annonce Léa.

« Cette peau de vache ne l’a pas volé. A chacun son tour de se retrouver à poil devant tout le monde ! Elle verra ce que ça fait ! Je ne la plains pas. Elle va recevoir combien de coups ? » se réjouit Clairanne, car elle lui en veut encore des humiliations qu’elle lui a fait subir durant sa semaine de mise à l’épreuve.

« Soixante cinglées au martinet de discipline ! » lui répond Léa.

« Eh bien, ça va lui cuire un moment, à cette pouf ! On verra comment elle gigote lorsqu’elle recevra les coups de martinets sur ses mamelles ! Je suis super heureuse de voir ça ! » s’amuse Clairanne.

« Et ben, sur ses prochaines photos, on verra peut-être des marques... » ironise Olga

« Oh, ça m’étonnerait qu’elle en refasse avec ce qu’elle va se prendre, la meuf. Et puis même si elle refait des photos dans une semaine, ses traces seront parties, ça reste pas des semaines ! Heureusement ! » dis-je à l’entourage.

Marie-Rose M. est pas mal chahutée, durant les services à la cantine :

« Alors Madame M., il parait qu’on va vous voir toute nue ? » plaisante un élève de seconde.

« Même que vous allez vous prendre un pan-pan cul-cul ! » renchérie son camarade.

« Mais non, elle va se prendre le martinet et à poil, en plus... On va enfin voir ses nichons et son minou et on va la voir danser et brailler ! » rigole une jeune élève.

Marie-Rose M. rougit de se faire moquer comme ça par de jeunes élèves, elle qui avait l’habitude de les rabrouer et de les punir, à présent, les rôles sont inversés. Elle ne répond pas aux provocations.

Le Vendredi, peu avant midi, Marie-Rose M. est appelée dans le bureau de Fabienne D. Laetitia F. et Damian N. sont déjà présents dans le bureau.

« Bonjour Marie-Rose. J’espère que vous êtes en forme, car vous allez en avoir besoin ! Veuillez-vous déshabiller entièrement, il est temps de payer votre légèreté. Nous allons vous faire regretter d’avoir sali la réputation de Ste CROIX » lui ordonne Fabienne D.

Docilement, Marie-Rose M., tête basse, retire un à un ses vêtements et les pose sur une chaise.

« Vous viendrez les récupérer ce soir, juste avant de rentrer chez vous. Mademoiselle F., veuillez examiner Marie-Rose »

« Très bien madame » dit Laetitia F., l’infirmière

« Vous n’allez quand même pas m’ausculter ici devant tout le monde ? » se plaint Marie-Rose M.

« Si, bien sûr. Ça vous dérange ? Votre pudeur se réveillerait-elle ? » ironise la proviseure.

Sous le regard narquois de Damian N., Laetitia F. examine la punie. Elle la palpe bien partout et dit qu’elle supportera la correction :

« Tout est correct. Je donne mon autorisation pour la correction. Elle est un peu grassouillette et les cinglées vont la faire gesticuler ! »

« Tant mieux, ça lui apprendra ! Marie-Rose, je suis déçu par votre attitude » ment Damian N., intérieurement heureux de voir son assistante se faire punir, entièrement nue. Ainsi châtiée et rendue soumise, il espère qu’elle ne refusera plus ses avances.



Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 46 acte 3

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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4 commentaires:

  1. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
    Ou comment on peut mettre, par cupidité, le doigt dans un engrenage dont on ne parvient plus ensuite à s'extirper. La perspective d'être fouettée d'importance, à son âge, devant des élèves qu'elle a l'habitude de réprimander, de devoir ensuite les servir nue un mois durant est particulièrement humiliante. Mais ce qui l'est sans doute bien plus encore, c'est de devoir se dire que tout ce joli monde va y prendre du plaisir. Qu'en attendant de la voir corriger, les professeurs, les élèves et son supérieur direct Damian N. vont, pour tromper leur attente, se repaître encore et encore des pages de ce calendrier pour lequel elle a eu la très mauvaise idée de poser nue. Quelles mauvaises nuits elle a dû passer en se remémorant les commentaires des élèves sur son passage, en les imaginant, hilares, commenter son anatomie, peut-être la noter. Elle doit appréhender le moment où elle va être punie, oui, mais, en même temps, être pressée qu'il ait lieu, qu'il soit enfin derrière elle, que tout cela soit enfin fini. Quant au lecteur, il savoure le plaisir de l'attente.
    Amicalement.
    François

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    1. Bonjour François,
      Parfaitement résumé l'atmosphère angoissant de ce premier texte. Tout ce que vous dites s'y trouve. Marie-Rose M. va en prendre pour son grade. Après ça, comment pourra t-elle donner des signes d'autorité vis-à-vis des élèves turbulents de Ste CROIX ? Le calendrier va tourner dans les classes et l'image de Marie-Rose M. dans les esprits de chacun sera celui de la photo du calendrier et non pas celle de la responsable de la salle du restaurent. Les journées la séparant de la correction publique seront longues et plus angoissantes au fur et à mesure où l'échéance va se rapprocher. C'est clair que les élèves vont noter Marie-Rose M., car il existe des fichiers réservés à cet effet, accompagnés de commentaires peu flatteurs...
      Amitiés.
      Elena.

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  2. Amis de la poésie et des photos de chats à poils sur les calendriers des postes...Bonjour.
    Bonjour Elena.
    Encore un beau drame de société et une belle affaire pour la presse à scandale !
    Car, Oui Madame la présidente Elena, je vais encore plaider la cause d'une non veuve, même pas orpheline, mais tout de même, simple torchon à vaisselle de 2è rang à la cantine de Ste Croix.
    La pauvre Marie Rose, coupable d'avoir voulu améliorer son ordinaire en posant nue pour un calendrier. Fallait il qu'elle n'ait pas eu le choix! Et quand bien même ce fut pour s'acheter quelques parures jusque là réservées aux bourgeoises emperlousées qui la méprisaient pour ses tenues en mauvais tissus. Poil au... Non j'ai rien dit...

    Non monsieur le procureur François, il ne s'agit pas de cupidité alors qu'elle essaye simplement de sortir de sa misérable condition de serpillière de carrelage au réfectoire à Ste Croix !!!
    Ah monde cruel, pourquoi donc accabler une simple technicienne, même pas de grande surface, qui espérait prendre l'ascenseur social et se retrouve au sous sol, victime de sa naïveté.
    Oui mesdames et messieurs les jurés, l'accusée devient victime dès lors que, sans défense et sans culotte, sur les pages d'un calendrier, elle est montrée dans l'engrenage du doigt de la vindicte populaire! Comme Blandine, dans les jeux romains du cirque, livrée au lion de la barre chocolatée.

    Et puis qu'est ce c'est que ces manières de vilipender une pauvre fille qui pose nue sur un calendrier, alors qu'à Ste Croix la moitié de la population se prend des raclées au martinet, cul nu, recto verso, , par des soeurs lubriques en rut? Quand l'autre moitié doit se balader à poil dans tout l'institut pendant des semaines entières, même les jours fériés!! Qu'on y tourne des vidéos pornos des révoltés du Bounty en train de se faire labourer le derrière à coup de lanières, devant des membres du conseil municipal qui viennent se rincer l'oeil gratos!!!
    Voila madame la présidente, en conséquence de quoi, je demande l'indulgence du jury et que Maris Rose soit fouettée avec un poireau en lieu et place du martinet... D'autres questions ?
    En fait, la fessée c'est à quelle heure? C'est pas tous les jours qu'on s'amuse...
    Amicalement
    Ramina
    . ua au ,esdmaes et messieurs les jurés, je dem

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    1. Amis de la poésie et du poireau d'Hercule, bonsoir,
      Ah, Monsieur l'avocat général, votre réquisitoire est d'une finesse à toute épreuve, qui ébranlerait les deux religieuses de Ste CROIX et Dieu sait qu'elles en manquent...
      Dans cet établissement, le sens religieux prévaut au même titre qu'un sens giratoire. Le prendre en contre sens est considéré comme une offense à l'ordre établi et dans la mesure où les corrections publiques sont également prisées de la haute hiérarchie, toute infraction donnent lieu à des spectacles où tout le monde peut constater ce qu'il en coute de franchir les lignes blanches.
      Marie-Rose n'avait pas à poser pour ce calendrier. Je vous le concède, sa naïveté est effrayante et elle aurait pu se douter que ces photos en tenue d'Eve allait lui causer d'énormes tracas.
      Et puis, Monsieur l'avocat si vous n'êtes pas cru, c'est Marie-Rose qui sera cuite...
      Comme dirait Madame la proviseure, une fessée n'a jamais tué personne, et ça fait circuler le sang en sens giratoire, bien sûr.
      Pour l'horaire, c'est une très bonne question, merci de m'avoir posée : C'est le Vendredi midi devant tous les élèves et professeurs réunis, sans oublier la caméra pour immortaliser l'instant qui rentrera dans les annales voire anal, ça dépend de qui tient le manche...
      Amitiés.
      Elena.

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