lundi 28 décembre 2020

Les rebelles - chapitre 46 - acte 3

 Le Samedi matin, dernier jour de sa semaine de nudité, Clairanne se présente à Ste CROIX. Elle y est reçue par Sœur Weronika :

« Bonjour Clairanne. Vous êtes à l’heure, c’est bien »

« Bonjour ma Sœur »

« Je vais vous emmener au réfectoire. J’ai eu des consignes de la part de Damian N. Lui et Marie-Rose M. passeront tout à l’heure pour l’inspection. Il faudra que tout soit propre. L’hygiène des lieux est primordiale »

« Oui, ma Sœur »

« Andreea est déjà en train de nettoyer. Déshabillez-vous entièrement et allez l’aider »

Clairanne va au vestiaire et se met entièrement nue. Le chauffage étant au minimum, Clairanne frisonne et attrape la chair de poule.

« Il fait froid, ma Sœur ! »

« Il fait pourtant dix-sept degrés, c’est la température requise le weekend ! La solution est de bien vous activer et vous vous réchaufferez, vous verrez... »

Clairanne voit Andreea qui est en cuisine en train d’astiquer les fourneaux.

« Ma Sœur, pourquoi Andreea n’est pas toute nue comme moi ? »

« Mais Clairanne; Andreea a déjà été punie il y a quelques mois, et elle est ici en qualité de mise à l’épreuve, d’où sa tenue »

Clairanne rougit jusqu’aux oreilles d’être une nouvelle fois humiliée, par sa nudité. Elle se dit que c’est son dernier jour, mais elle ne s’y habituera jamais.

« Alors, ma vieille, y parait que t’as piqué dans la caisse, c’est du joli, ça ! Tu vas pas t’faire qu’des copains, du coup ! »

« Ouais, je sais, t’es la centième à m’le dire... J’ai compris ! Et qu’est ce qui caille, ici ! »

« Ça se voit, tes tétons sont tout dressés ! Qu’est-ce qu’ils sont longs ! des vraies tétines ! Mais rassure-toi, j’suis passé par là aussi, moi, c’était du plus humiliant »

« Oh ! ça va ! Inutile de te foutre de ma tronche ! Je sais que j’ai de gros nichons » lui reproche Clairanne

Les deux jeunes femmes astiquent la cuisine de fond en comble, sous la surveillance de Sœur Weronika, qui donne de la voix lorsqu’elle juge que la cadence ralentit un peu.

« Allez Mesdemoiselles, du nerf ! Monsieur N. ne va pas apprécier d’arriver et de trouver sa cuisine dans cet état »

« On fait c’qu’on peut, ma Sœur ! » Tente de se dédouaner Andreea.

« Eh bien, ce n’est pas assez ! Voulez-vous que je l’appelle tout de suite ? Et puis ne soyez pas insolente, Andreea, vous savez ce que vous risquez si je me fâche ? »

« Ouuuuuuiiiiiii, ma Sœur, je sais ! Je vais avoir les fesses toutes rouges ! ironise Andreea.

« Clairanne, vous vous moquez de moi, ce coin est encore tout gras ! Recommencez ça de suite ! »

« J’arrive pas à le ravoir, c’coin-là, ma Sœur ! »

« Et bien insistez mieux, frottez ! »

« Je peux pas, ma Sœur, j’ai vraiment trop froid ! »

« Je vais aller chercher la crème pimentée et je vais vous en mettre une bonne dose dans l’anus et une autre dans le vagin, de cette façon, vous aurez chaud de suite ! »

« NON, ma Sœur, pas ça ! Pardon ! Je regrette c’que j’ai dit ! J’ai pas froid du tout ! »

« Et dépêchez-vous, jeunes femmes ! Car il n’y a pas que le réfectoire à nettoyer. Je vais aller chercher la palette à fessée, celle avec la large sangle de cuir ! Celle que vous aimez bien... ça vous donnera peut-être de l’énergie »

Pendant que la Sœur va récupérer sa palette à fessée, les deux jeunes femmes se reprochent mutuellement le manque d’efficacité.

« T’as intérêt à te magner, ma cocotte, parc’qu’elle va pas nous rater, la Sœur ! Que t’aies froid ou pas, j’m’en fou, grouille-toi ! »

« Tu crois qu’ça m’amuse de m’cailler les miches ? »

« Tu veux vraiment qu’elle t’les réchauffe, tes miches ? »

« Alors, Mesdemoiselles, me revoici ! Ça a avancé un peu ? » avertit Sœur Weronika.

« Oui, ma Sœur ! On frotte... » répond Clairanne.

En lui décochant un grand coup de sangle sur les fesses, Sœur Weronika lui dit :

« Vous vous moquez de moi, Clairanne, c’est toujours dans le même état ! Activez ou je vous fesse toutes les deux ! »

Les deux jeunes femmes frottent avec énergie les plans de travail et la cuisinière.

Pour les stimuler, Sœur Weronika leur met quelques coups de palette à fessées lorsqu’elle voit que leurs efforts se relâchent.

« Andreea ! Retirez votre pantalon et votre culotte, les claques que je vous mets à travers le pantalon n’ont pas l’air de faire effet, sur la peau nue, ça sera plus efficace » ordonne la Sœur.

Comme ordonné, Andreea retire le bas et se met les fesses à l’air :

« Alors, contente, vous pouvez vous rincer l’œil ? » répond effrontément Andreea

« Mais, c’est qu’elle est insolente, petite effrontée ! Penchez-vous en avant et écartez les cuisses, je vais vous apprendre le respect ! »

En la toisant du regard, Andreea se courbe, l’air défiant. Sœur Weronika la cingle intensément, ce qui fait grimacer et tressaillir Andreea.

Rapidement, les fesses d’Andreea deviennent rouge et Andreea a du mal à rester stoïque, mais lorsque la Sœur cesse de la fesser, Andreea, les fesses en feu, se redresse, se disant qu’elle a résisté à la colère de la religieuse.

« A genoux, Andreea ! » Ordonne Sœur Weronika.

Docilement, Andreea se met à genoux.

« Demandez-moi pardon ! Petite sotte ! »

« Je vous demande pardon de vous avoir offensé, ma Sœur »

« Accordé ! Levez-vous et reprenez le travail avec entrain. Clairanne, vous avez vu ce qui arrive lorsqu’on tente de me désobéir ou de me manquer de respect, tenez-le-vous pour dit ou vos fesses seront aussi rouges que celles d’Andreea ! »

Andreea, cul nu et en feu, reprend le travail. A la vue de ce qui est arrivé à sa camarade, Clairanne s’active pour ne pas subir le même sort. Les deux jeunes femmes terminent la cuisine et sont en train de laver la salle, lorsque Marie-Rose M. arrive :

« Ah, bonjour ma Sœur, je vois qu’Andreea s’en est déjà pris une ! »

« Bonjour Marie-Rose, oui, en effet, pour insolence »

« Andreea ! »

« Oui, Madame »

« Vous passerez la journée les fesses à l’air, ça vous apprendra à vous montrer désagréable. Nous allons vous dresser, petite idiote, que ça vous plaise ou non ! » lance Marie-Rose M. à Andreea, pour lui faire honte.

En messe basse, Clairanne confit à Andreea :

« Elle a pas l’air commode la Marie-Rose ! »

« Non, en plus, elle aime bien manier la palette à fessée, cette greluche ! »

« Ne discutez pas, les filles, le lavage ne va pas se faire tout seul ! » lance Marie-Rose M. en guise d’ultime avertissement.

Lorsque la cuisine et le réfectoire sont propres, Marie-Rose M. envoie les deux filles nettoyer les couloirs.

« Clairanne, Andreea, prenez seaux et balais à franges et allez nettoyer les espaces d’inter classe. Je passerai de temps en temps pour inspecter ! »

Sans demander leur reste, les deux jeunes femmes partent, équipées de leurs matériels pour s’acquitter de leurs tâches.

« On n’aura jamais fini ce soir ! » se plaint Clairanne

« Si on se magne, oui, d’habitude, je passe deux jours à moi toute seule, alors à deux... » lui répond Andreea.

Sur ce fait, Anais, la jeune fille de onze ans, d’Andreea arrive pour l’heure du repas.

« Pourquoi tes fesses sont à l’air, Maman, et pourquoi elle est toute nue, elle ? »

« Nous nous sommes fait punir. C’est comme ça, ici, tu le sais bien. On reçoit la fessée lorsqu’on n’est pas sage » dit Andreea à sa fille, super vexée de se faire voir comme ça devant Anais, car elle s’imagine que sa fille va être honteuse d’elle.

« Ça n’a pas beaucoup avancé, Mesdemoiselles ! Clairanne, vous laissez en plan votre matériel ? » reproche Marie-Rose M.

« Je vais continuer après le repas, Madame M. ! »

« Absolument pas, Clairanne, vous allez vider votre seau et vous remettrez de l’eau propre cet après-midi »

« Où vide-t-on l’eau ? »

« Eh bien dehors, dans les égouts ! vous en avez des questions ! Si vous avez peur d’attraper froid, vous allez vider l’eau et faites trois fois le tour de la cour en courant, ça vous réchauffera »

« Mais Madam... »

« Il suffit, Clairanne ! Vous m’énervez avec vos réflexions d’effarouchée, je vous dis d’y aller »

Clairanne prend les deux seaux et sort dehors pour les vider. La fraicheur lui fait attraper la chair de poule.

« Parfait, posez les seaux et maintenant, allez courir ! et n’oubliez pas trois tours, je vous regarde » lui ordonne Sœur Weronika

Clairanne, la tête basse s’élance en petite foulée. La cour est grande et les trois tours lui semble faire des kilomètres.

« Accélérer, Clairanne, accélérez ! On dirait un escargot ! »

Pour la stimuler, Sœur Weronika ne se prive pas de lui donner un coup de sangle sur les fesses, lorsque Clairanne passe à sa portée.

« AOUUUUH ! ! » crie Clairanne en accélérant.

« Alors, vous vous réchauffez, Clairanne ? » lui demande la Sœur, avec ironie.

« Oh, Maman ! Ton amie, elle court toute nue dans la cour, pourquoi ? » demande Anais.

« C’est pour se réchauffer, ma chérie. Après, elle viendra manger avec nous ! » lui répond Andreea

« Maman, regarde, elle a ses nénés qui bougent dans tous les sens, c’est marrant ! » constate, avec naïveté, Anais.

Lorsque Clairanne a fini ses trois tours de cour, tout essoufflée, Clairanne rentre dans la salle pour le repas. S’essuyant, elle se met à table avec Sœur Weronika et Marie-Rose M. Sœur Weronika bénit le repas et invite tout le monde à manger.

Clairanne et Andreea mangent en silence. Il n’y a qu’Anaïs qui parle, posant des questions sur la nature des punitions des deux femmes. Sœur Weronika lui répond :

« Tu sais, Anais, ta maman et Clairanne sont deux vilaines filles et elles doivent être punies pour redevenir gentilles, mais comme elles font sans cesse des bêtises, elles doivent être punies fréquemment »

Cette réponse semble satisfaire Anais, qui voit les deux femmes sous un jour nouveau et elle se dit qu’elle doit être la seule à être raisonnable.

Avec zèle, Clairanne et Andreea débarrassent la table, font la vaisselle et rangent, avant de reprendre leur travail dans les étages de l’établissement Ste CROIX.

En début d’après-midi, Damian N. arrive pour établir la carte des repas et les commandes pour les élèves qui seront présents dans les prochaines semaines. Les vacances de fin d’année arrivent et les stocks doivent être au plus bas.

Avant de finir son travail, Damian N. passe à la cantine pour contrôler le travail fait par les deux mises à l’épreuve. Accompagnés de Marie-Rose M., ils inspectent les lieux et Damian N. semble satisfait.

« Ces deux sottes ont bien travaillé » dit Damian N. à Marie-Rose M.

« Mais il a quand même fallu mettre une fessée à Andreea pour qu’elle ne soit pas insolente » lui répond Marie-Rose

« Vous avez bien fait, Marie-Rose. Une fessée n’a jamais tué personne ! Ça leur fait circuler le sang et ça leur apprend à ne pas se rebeller. Je vais allez contrôler leur travail dans les étages »

A peine Damian N. arrive au second étage qu’il voit Andreea et Clairanne, assises, en train de discuter.

« ANDREEA ! CLAIRANNE ! MAIS QU’EST CE QUE VOUS FICHEZ, ASSISES ? » hurle Damian N.

Les deux jeunes femmes, surprises, se lèvent d’un bond et tentent de se justifier.

« Pardon, Monsieur, nous nous reposions cinq minutes ! » dit Andreea

« Ah bon, vous avez à peine fini de déjeuner que c’est déjà la pause ? Vous savez bien qu’elle se trouve à quinze heures trente, pas avant ? »

« Nous avons bien avancé, tout le premier étage est fait et il ne nous reste plus que celui-là à faire » complète Clairanne

« Je vais vous apprendre à bailler aux corneilles. Vous êtes toutes les fesses les fesses à l’air, ce sera plus pratique pour vous corriger »

« Non, Monsieur, s’il vous plait, on va travailler dur » supplie Clairanne

« Ah, vous voilà ma Sœur, je viens de surprendre ces deux pestes en train de fainéantiser »

« Il suffit que je m’absente cinq minutes et voilà comment vous vous comportez, petites gourdes ! Ça ne se passera pas comme ça. Je vais vous apprendre l’effort. Andreea, penchez-vous en avant, je vais vous enflammer les fesses » leur dit la Sœur.

« Ma Sœur, pitié, j’ai compris, je ne le referai plus ! » supplie Andreea

« PENCHEZ-VOUS ! ! »

Le ton autoritaire de la Sœur a raison de sa défiance et Andreea se courbe. La Sœur prend sa palette à fessée et cingle vigoureusement, faisant grimacer Andreea, qui trésaille à chaque cinglée. La Sœur lui fouette chaque fesse et les marques rouges s’incrustent, Andreea commence à s’agiter et à crier.

Marie-Rose qui voit Anais arriver la retient et lui dit :

« N’y va pas, Anais, ta maman a encore été très vilaine et elle reçoit la fessée. Lorsque ce sera fini, tu pourras aller l’embrasser »

Déçue par l’attitude de sa mère, la fille d’Andreea, entendant sa mère crier puis hurler, attend.

« AAAAA H ! OUUUUUH ! AAAEEEIII H ! » hurle Andreea. Les claquées et les hurlements résonnent dans l’étage du bâtiment, amplifiant l’effet.

Les fesses en feu, Andreea termine à genoux.

« Voilà, Andreea, ça vous apprendra. Je vais vous dresser, espèce d’idiote ! »

En larmes, Andreea se relève, se caressant les fesses et les cuisses meurtries et cède la place à Clairanne, qui est toute pâle en ayant vu sa camarade être corrigée.

« A votre tour, Clairanne, courbez-vous, je vais vous rougir les fesses, Vous le méritez »

Clairanne refuse de se faire corriger, car elle juge que la punition n’est pas justifiée. Damian N. se fâche :

« Voulez-vous que ce soit moi qui vous fesse, Clairanne ? »

« Non Monsieur » lui répond la jeune femme

« Eh bien, prenez position et laissez-vous faire, sinon, je vous donnerais la plus sévère fessée que vous n’ayez jamais reçue ! » la menace Damian N.

Clairanne finit par se courber et s’appuie contre le mur.

« Ecartez les cuisses, Clairanne ! » lui ordonne Damian N.

Se doutant de ce qu’il veut faire, Clairanne lui dit :

« Je vais être punie, alors inutile de m’humilier en m’obligeant à vous montrer mon intimité ! »

« Ma Sœur, allez-y et ne vous arrêtez pas tant que je ne vous l’aurai pas demandé »

Clairanne s’attend au pire, car elle est décidée à ne pas lui offrir la vue de sa vulve.

La Sœur commence à cingler Clairanne à toute volée. Les fesses de Clairanne tremblent sous l’effet des claques reçues. Clairanne grimace et serre les poings et les dents pour ne pas offrir ses cris à Damian N. qui se régale de voir la jeune femme souffrir.

Clairanne a du mal à résister, car ses fesses et ses cuisses sont bouillantes et chaque cinglée accentue les brulures. Clairanne hurle à gorge déployée, mais tient ses cuisses toujours serrées.

Andreea lui demande d’être docile, car elle va souffrir pour rien :

« Ecarte les cuisses Clairanne, ça ne sert à rien de t’entêter ! »

A bout, Clairanne finit par écarter les cuisses et Sœur Weronika cingle l’intérieur de ses cuisses, parachevant la punition. Clairanne pousse des hurlement stridents en trépignant.

A la dernière cinglée reçue, Clairanne s’écroule, en pleurs, se massant le brasier qui irradie dans tout le bas de son corps. A travers ses larmes, elle distingue Anais serrée dans les bras de sa mère.

« Voilà, jeunes femmes, c’est comme ça que je veux que vous soyez, soumises et dociles. Clairanne, vous avez tout de même cédé. Votre entrecuisse mouillé est la preuve que vous avez été bien punie, ce qui tranche avec votre attitude d’ingénue. Reprenez votre travail. Ma Sœur, surveillez-les et à au moindre, écart, cinglez-les à nouveau » leur lance Damian N.

Andreea et Clairanne reprennent avec difficulté leur travail. Leur correction fait qu’elle souffrent au moindre mouvement brusque.

Vers dix-huit heures, leur travail terminé, Sœur Weronika renvoie les deux jeunes femmes chez elles.

Andreea et Anais rentrent dans leur chambre à Ste CROIX, tandis que Clairanne va se rhabiller comme elle peut et rentre chez elle. La route entre Ste CROIX et son domicile lui parait long, tant elle souffre des frottements du tissu sur ses fesses cramoisies, ce qui réveille l’intense douleur.

C’est sa mère qui l’accueille. Elle a été informée de son écart de conduite et lui fait la morale.

« Déshabille-toi, Clairanne, je vais te mettre de la crème sur les fesses »

« Merci Maman. J’ai les fesses en feu, tu peux pas savoir ! »

Clairanne se met nue et se couche sur son lit. En la soignant, Ingrid L. lui fait la morale :

« Regarde tes fesses et tes cuisses, tu ne vas pas pouvoir t’assoir durant quelques jours. La Sœur Weronika nous a écrit que tu avais joué les entêtées. Ça n’a servi à rien, tu vois, tu as cédé ! Tu sais, Clairanne, tu dois faire ce que l’on te dit, sinon, tu vas vers des déconvenues. La période où tu pouvais défier les chefs d’établissement est terminée. Tu n’as plus aucun crédit par ta faute. Tu dois assumer ce que tu as fait et rectifier le tir »

« Oui, Maman, je vais devenir une fille obéissante, je te le promets »

« Mais j’y compte bien, ma fille ! Je fais partie du conseil des mères, à présent, et je vais veiller à ce que tu ne t’égares plus »

« Le conseil des mères ? » s’étonne Clairanne

« Exactement. Là où les mères des jeunes en perdition se réunissent pour remettre les ados du quartier sur de bons rails. Ça a donné de bons résultats avec certains. On me l’a recommandé et ton père est d’accord avec ça. Ça ne veut pas dire que l’on ne t’aime pas, ça veut dire que ton avenir est important et que tu dois t’amender, par le fouet, si nécessaire. Je n’hésiterai pas à te fouetter moi-même si c’est la seule solution »

« J’en ai entendu parler et quand on se fait juger, il n’y a pas beaucoup de chance d’échapper à la correction. Et puis il y a Sœur Marie-Zénaïde, il parait qu’elle est super sévère avec son gros martinet. Tu accepterais de fouetter ou de voir ta fille se faire fouetter ? »

« Pour que tu sois une adulte responsable, oui, ton père et moi y sommes prêt ! »



Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 46 acte 2

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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6 commentaires:

  1. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
    Bon, ben voilà une correction qui aura été extrêmement efficace si l'on en juge par les bonnes dispositions dans lesquelles se trouve Clairanne en rentrant à la maison. Cela étant, sans doute sera-t-elle amenée à rechuter et se trouvera-t-elle soumise au terrible verdict du conseil des mères et aux non moins terribles cinglées du martinet de Marie-Zénaïde.
    Amicalement.
    François

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    1. Bonjour François,
      Clairanne a été la cible d'un machiavélique traquenard. Elle a payé pour que des personnes puissent continuer de faire circuler des photos et films de jeunes gens corrigés. Ce qu'il se passe ensuite est un peu sa faute. Elle a eu tort de se montrer vénale et elle en paie le prix. Prix d'autant plus élevé que Clairanne se trouve à Ste CROIX, établissement tout spécialement dans le viseur du syndicat des étudiants pour sa discipline trop rigide.
      Avec cette période de mise à l'épreuve, Clairanne n'aura d'autre choix que de rentrer dans le rang et de ne plus faire de vagues, domaine dans lequel elle excellait. Clairanne a appris la signification du mot soumission. Elle devra se le rappler pour ne pas être la cible du conseil des mères vers qui sa mère se retourne pour imposer à sa fille toute la discipline qui sert de base à l'éducation. Est-ce que Clairanne saura s'y conformer ? ...
      Amitiés.
      Elena.

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  2. Amis de la poésie et de la palette à fessées à la cantine... Bonjour!
    Bonjour Elena.

    On avait la semaine du blanc, la semaine des quatre jeudis, la semaine de soldes, à Ste CROIX, on a maintenant la semaine tout à poil! Sans chemise et sans pantalon. C'est comme ça, faut faire avec, ou plutôt sans! Coté pratique c'est bien, on n'a pas le temps d'user ses culottes vu qu'on n'a pas souvent les fesses dedans.
    Même Andréa, au départ habillée, finit par devoir enlever le bas pour que les fessées de Soeur Wéronika, soient plus efficaces. Pendant ce temps là, Clairanne, ça devient une habitude, s'entraîne pour les jeux olympiques nudistes en faisant des tours de cour, la poitrine au vent et les fesses dans les courants d'air! Malgré tous ses efforts, difficile de mouiller le maillot dans ces conditions. Une bonne séance de palette à fessée par la dessus, ça vous réchauffe l'arrière train en moins de deux .
    Ste Croix de bois, croix de fer si on ment, fessée d'enfer! Les deux jeunes femme n'ont pas besoin de mentir pour se faire corriger par le duo de choc des Soeurs Weronica et Marie Rose, qui n'a de la fleur que les piquants.
    Et c'est au moment où on s'y attend le moins, que Soeur Elena qui ne recule devant aucun obstacle derrière elle, nous gratifie d'un renversement de situation aussi renversant qu'inattendu... Eh oui, mesdames et messieurs, Anaïs, onze ans de la même année, la fi-fille à maman Andréa, fait une entrée remarquée dans le récit pour demander pourquoi la copine de sa mère fait le marathon du téton, toute nue, autour de la cour.
    "C'est pour mieux se réchauffer mon enfant," dit le loup rebelle, déguisé en Soeur Marie Rose! Sur ce, il se jette sur le petit pot de beurre qu'il dévore d'un seul coup... le pot avec.
    On n'osait pas y croire, mais la vie à Ste Croix, tout nu avec dix sept degrés, à l'ombre des jeunes filles en pleurs... c'est comme un conte de fées. Aussi magique que de marcher sur l'eau en multipliant les petits pains!
    Amicalement
    Ramina

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    Réponses
    1. Bonjour mon cher Ramina.
      Merci pour ce florilège de réflexions bien dosées.
      Vous l'aurez compris de puis le temps, à Ste CROIX, on ne badine pas avec la discipline et les religieuses sont appelées les palettes agiles, voir les agiles de la palette, qui serait une belles réputation.
      Enfin bref, il ne fait pas bon transgresser les règles dans cet établissement. On supposerait presque le duo d'enfer religieuse/responsable de la cantine un tantinet vicieuses ou aigries, surement pour assouvir des besoins peu avouables...
      A Ste CROIX, tout est bon pour remettre les jeunes gens en place et sur la bonne voie de la raison, quitte à les corriger et à les humilier de temps en temps. Clairanne en prend pour son grade, sur ce registre.
      Pour la multiplication des petits pains, Ste CROIX est spécialisée dans la multiplication des fessées et des humiliations en tout genre, c'est plus contemporain.
      Ces jeunes gens doivent rester dans le tempo pour la grandeur de l'établissement.
      Amitiés et bonnes fêtes !
      Elena.

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  3. Re-Bonjour Elena

    Bien vu! Si la grandeur de Ste CROIX est liée à la multiplication des fessées, autant dire que l'établissement n'a pas fini de prendre de la hauteur! Quant aux "besoins inavouables" de ses pauvres créatures, privées d'encensoir dans le tabernacle, ce sont plutôt ces règles d'abstinence contre nature qui en relèvent, de l'"inavouable". N'est il pas ?
    Aaah, doux Jésus! Les voies du seigneur sous la robe des soeurs, sont vraiment impénétrables!!
    Amicalement
    Ramina

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    Réponses
    1. Bonjour Ramina.
      Entièrement d'accord avec vous pour le couplet sur le célibat forcé de ces dames. Ca en fait des gens aigris qui ne pensent qu'à fauter, sans en avoir l'air. A Ste CROIX, les deux religieuses ont à foison toute une panoplie de jeunes dont la qualité première n'est pas la discipline et elles peuvent se réjouir de la fonction qu'elles ont, càd, fesseuses en cheffes...
      Amitiés.
      Elena.

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