samedi 12 décembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 34

 Quand on m’a enfin délivré, Lucie m’a insulté.

- Regarde moi ça, petit salopard, il y a sali le martinet, tu vas aller me nettoyer ça illico, tu as de la chance que je ne te le fasse pas lécher, je savais que j’aurais dû te donner un lavement.

- Ne t’énerve pas Lucie, ce sera pour la prochaine fois, mais je pense que cela justifie une petite correction, comme ça Fabien pourra aller se coucher avec les fesses bien chaudes, il parait que c’est un excellent somnifère, je veux bien m’en charger.

- Bien volontiers ma chérie, allez presse toi, je veux que tu me rendes le martinet nickel.

Effectivement, l’instrument de mes souffrances avait recueilli au « passage » un peu de matière fécale et aussi du sang, preuve que ma cousine ne m’avait pas ménagé. Je n’ai guère eu de difficulté à nettoyer l’engin et Lucie à qui je l’ai remis, à genoux s’il vous plait, dans une sorte d’offrande dont elle a bien voulu s’en contenter, avant de m’envoyer faire un tour sur les genoux de son amie.

Et c’était reparti pour un tour, Corinne frappait moins fort que Lucie, mais je ressentais encore les séquelles du martinet et surtout, cette sodomisation en direct live m’avait fracassé le moral. Je me sentais plus mortifié que jamais par le spectacle qu’on m’avait imposé et dans lequel mes fesses jouaient le rôle principal et surtout par le fait que tout cela avait été immortalisé, Dieu sait l’usage qu’elles en feraient.

J’étais désormais complètement dépendant de leur bon vouloir, une sorte d’esclave moderne, du coup je me mis à sangloter dès les premières claques infligées par Corinne.

– Eh bien, il pleure déjà alors que tu lui à peine caressé les fesses, il devient de plus en plus douillet notre Fabien, j’aurais pourtant cru qu’il s’endurcirait, je crois que je le ménage trop, s’esclaffe Lucie.

C’est vrai que je me suis complètement lâché, trop c’est trop, je suis au bout et je sanglote comme le grand bébé que je suis devenu entre leurs mains.

Sans doute troublée, Corinne n’a pas prolongé très longtemps la fessée, au grand courroux de son amie.

– Tu arrêtes déjà, il a à peine les fesses rouges,

– Oui, mais regarde comme il pleure, il me fait de la peine.

– Eh bien, ce n’est pas mon cas, tu es trop sensible, il m’en a trop fait subir, garde ta pitié pour d’autres causes, laisse-moi ta place, je vais le finir.

Je me suis agenouillé, juste le temps pour les filles d’alterner leur position et de me passer la main sur mes paupières pour évacuer quelques larmes.

Lucie a pris tout son temps, elle a commencé par faire le tour du propriétaire, me massant légèrement les fesses, afin de bien vérifier qu’elles étaient cuites à point, puis elle m’a fait écarter les jambes au maximum, dégageant bien mes attributs que sans vergogne elle a pris à pleines mains, déclanchant aussitôt une jolie érection.

– Regarde-moi ça Corinne, soi-disant qu’il est au bout du rouleau et regarde comme il en profite pour bander dès que je lui touche un peu les burnes ! Tu ne crois pas que ça mérite qu’on prolonge la correction ?

Elle n’a pas attendu la réponse de son amie et elle s’est mise à claquer mon fessier meurtri, elle tapait plus fort que Corinne et avec une sorte de rage, ce qui m’a immédiatement déclenché une nouvelle crise de larmes, certes c’était largement moins douloureux que la brosse ou le martinet, mais j’avais bien trop subi ces dernières heures et mes fesses étaient d’une extrême sensibilité, sans compter mon ego largement mis à mal tout au long de cette terrible journée.

Je me suis même abaissé à supplier ma cousine de cesser de me battre, lui disant, je ne sais plus trop quoi, globalement que je ferais tout ce qu’elle voulait pourvu qu’elle cesse de me martyriser le cul.

Je braillais vraiment et elle a fini par m’entendre, elle s’est mise à me parcourir les fesses, frôlant au plus près mes bourses, passant son doigt sur ma raie à plusieurs reprises, me déclenchant à nouveau un début de bandaison.

Elle s’est même enhardie jusqu’à m’enfoncer son majeur dans le rectum, j’ai été si surpris qu’alors que mes pleurs commençaient à s’apaiser, j’ai poussé un cri.

– Oh ça va, tu ne vas pas faire un drame pour un petit doigt dans ton trou de balle, tu t’es déjà pris bien plus gros, que ce soit avec le manche du martinet ou la canule du lavement et même le thermomètre qui allait bien plus profond !

J’entendais Corinne qui se marrait.

– Eh bien, tu ne lui auras rien épargné, il ne manque pas plus que tu le fasses venir avec une bonne branlette, on essaye ?

Ma cousine s’amusait à effectuer des allers retours dans mon anus, introduisant même un second de ses doigts et me le taraudant, ce qui me fit pousser un hurlement, plus de mortification et de surprise que de vraie douleur, même si la pénétration du martinet m’avait fortement irrité le conduit anal.

– Là, c’est un peu plus important, je comprends que tu le sentes passer mon salop. Et puis quoi encore Corinne, nous sommes là pour le dresser définitivement, en faire notre carpette et pourquoi pas notre esclave, pas pour lui donner du plaisir en le masturbant. Mais tu me donnes une idée, on pourrait l’obliger à le faire devant nous, ce pourrait être amusant, n’est ce pas Fabien ?

Elle complétât sa question par quelques vigoureuses claques sur mon derrière en feu, qui me fit gémir de plus belle, à présent, Lucie n’avait plus de retenue, non seulement, elle me fessait d’importance avec différents instruments, m’obligeait à sortir en ville fort bizarrement accoutré, me faisait circuler tout nu dans l’appartement, mais à présent, elle s’en prenait à mes parties honteuses, s’en amusant comme une sorte de jouet, pour finir par me sodomiser de diverses façons !

– Alors Fabien, j’attends ta réponse, tu veux bien te faire jouir devant nous ?

– Je ferai ce que tu voudras.

– A la bonne heure, te voilà parfaitement soumis et docile. Corinne, tu veux toi aussi lui mettre un doigt ?

– Non merci, c’est dégoûtant.

– Tu as raison, le mien pue un peu, la prochaine fois, il aura droit à un bon lavement auparavant, c’est dommage, je n’ai pas le matériel, n’est ce pas ?

Elle ponctue sa question par de nouvelles claques vigoureuses sur mes cuisses qui me tirent de nouveaux cris, je n’en peux plus, trop, c’est trop, la rouste et ses pénétrations sauvages m’ont ramené au rang d’objet, je n’ose même pas songer aux abominables photos qu’a pris Corinne et à l’usage que mes bourrelles peuvent en faire, je suis brisé, je n’existe plus, je ne suis plus qu’un corps nu, inerte dont elles peuvent à présent me faire tout ce qu’elles veulent.

– Oui Lucie, comme tu voudras, pitié, je n’en peux plus !

–Oh, arrête de pleurnicher, tu nous fatigues, tu vois, quand je te disais qu’il est douillet, on l’a à peine fessé et il ne s’arrête plus de brailler, allez vas au coin et ferme ta bouche, sinon, tu retournes sur mes genoux.

Je m’empressais d’obéir et de m’installer à l’angle des deux murs, les mains croisées sur la tête et toujours dans le plus simple appareil, j’ai réussi à tarir mes pleurs, pour l’heure j’avais échappé à la séance de masturbation publique, mais je me doutais bien que mes tourments n’étaient pas terminés.

Les filles m’ont laissé une bonne demi-heure à me morfondre dans mon renfoncement, à telle enseigne que mes bras commençaient à me tirer sérieusement ce qui ajoutait au reste de mes souffrances, j’avais une folle envie de me passer les mains sur mon fessier qui s’il me cuisait moins, était toujours aussi irrité, la peau de mes fesses semblaient dure comme du carton, tandis que celle de mes cuisses me grattait terriblement. Je résistais bien sûr sachant que toute infraction à l’immobilité exigée me vaudrait immédiatement de nouvelles misères. Les deux morues papotaient dans leur coin, elles parlaient bas et je ne pouvais pas très bien suivre leur conversation. Elles se mirent à rire et Lucie s’approcha de moi.

– Il ne faut pas te braquer, je vais te faire du bien, ne bouge pas et laisse-toi faire.

Quand elle glissât sa main entre mes cuisses et se saisit de ma verge, je compris vite où elle voulait en venir. Elle se mit à me triturer les bourses, plutôt adroitement avant que prendre ma queue dans son autre main, passant cette fois par devant, tu parles que j’ai eu immédiatement une belle érection.

Cela faisait déjà quelques temps que je ne m’étais pas soulagé et elle était plutôt adroite, à croire qu’elle ne me racontait pas des craques quand elle prétendait avoir une jolie expérience sexuelle, ce qui fait que j’ai assez rapidement éjaculé.

– Ah, il m’en a mis plein les mains, tu me paieras ça dégoûtant ! Va te prendre une douche et tu te remets au coin.

J’en avais plus que marre du coin et du reste, mais je ne sais pas pourquoi, j’étais anéanti, elles étaient parvenues à leur fin, à force de brimades et de corrections, je n’avais plus envie de me rebeller, elles m’avaient véritablement brisé.

Une fois lavé, ce qui m’a fait grand bien, même si ça n’a pas suffit à remonter un moral au plus bas, je suis retourné dans le coin, les mains sur la tête, toujours nu tel le ver.

Elles m’y ont laissé encore presque une heure, ça me tirait un max dans les épaules, mais je ne me hasardais pas à changer de position, sachant pertinemment que cela vaudrait immanquablement un nouveau séjour sur les genoux des filles.

Elles papotaient tranquille, ne me donnant pas plus d’importance qu’à un meuble.

Enfin, alors que je ne pouvais véritablement plus, elles m’on libéré et enjoint de mettre la table tandis qu’elles préparaient le dîner.

Lucie s’est approchée de moi et a baissé mon prépuce.

– Comme ça, tu seras vraiment nu mon coco.

Je n’ai pas moufté, au point où j’en étais, n’est ce pas, ça a fait marrer Corinne qui pouvait constater que ma soumission était désormais totale. Elles m’ont obligé à les servir comme le bon petit esclave que j’étais devenu, j’étais supposé finir les restes.

Les filles profitaient de mes passages pour me toucher les fesses, toujours très sensible, Lucie les tapotant longuement tout en devisant avec son amie, comme pour bien me faire sentir mon insignifiance, j’étais désormais sa chose et elle faisait de moi tout ce qu’elle voulait.

Tandis que je subissais ses attouchements, je songeais que ma situation ces dernières semaines s’était abominablement dégradée.

Il n’y avait pas si longtemps que j’avais fessé Lucie et assisté aux corrections que lui avait infligées la tante Maud et pourtant il me semblait qu’il y avait un siècle que cela s’était déroulé.

A présent, je n’étais plus qu’un jouet entre ses mains ; elle me fessait quand ça lui prenait, à la main ou à l’aide de divers instruments, m’habillait ou me déshabillait à son gré, quitte comme à présent à me laisser durant des heures entièrement nu, pis, désormais elle avait pris le contrôle de mon anus, on avait commencé par l’intromission de thermomètre, des lavements extrêmement humiliants, sous de vagues prétextes médicaux, pour conclure comme tout à l’heure par une véritable sodomisation avec le manche du martinet, plus ses doigts qu’elle n’avait pas hésité à introduire à plusieurs reprises dans mon sphincter. Le fait est que de tourments en tourments et de mortifications en soumissions, je trouvais la situation presque normale, elle avait brisé ma résistance, j’admettais désormais sa pleine autorité sur moi ; cela ne m’empêchait pas de garder dans ma tête qu’un jour ou l’autre, toutes ces misères auraient une fin et que je pourrais alors exercer ma vengeance.

Néanmoins, j’étais tellement écrasé par son pouvoir sur moi, que je n’envisageais nul scénario à ce sujet, à peine si j’espérais un secours de Madame Leblanc, mais cette dernière avait largement contribué par le passé à me dresser, sans parler de ma mère ou de la tante Maud. Les deux dernières à l’origine de la domination de Lucie sur ma personne auraient bien du mal à se dédire et tout ce que je raconterais, non seulement ne serait pas forcément cru, tant c’était gros, mais pourrait se retourner contre moi et me valoir de nouvelles avanies.

En l’état, j’essayais de me consoler en me disant que toutes ces affronts m’avaient tout de même permis de progresser dans nombre de domaines et notamment dans celui de mes études où mes notes étaient désormais très convenables.

J’ai poursuivi mon service, entre deux plats, je me tenais juste à côté de Lucie, les mains croisées derrière le dos et les filles faisaient semblant de trouver naturel qu’un mec plus vieux qu’elle soit en train de les servir complètement nu et les fesses très endolories. D’ailleurs, il n’y avait pas que mon fessier qui me faisait mal, l’intromission plutôt violente du martinet dans mon fondement, au-delà de la terrible humiliation, ne m’avait pas fait du bien et je souffrais encore.

J’avais mon sexe toujours décalotté à hauteur de la table et de temps à autre une des deux s’amusait à le prendre négligemment en mains, le faisant grossir et l’abandonnant ensuite, à moins qu’elles ne soupèsent mes burnes tout en continuant de discourir mine de rien.

Enfin mon supplice a pris fin, elles m’ont autorisé à finir leurs restes, il y avait largement de quoi me nourrir, mais ces épreuves m’avaient coupé l’appétit, le peu que j’ai mangé, je l’ai fait debout, mon arrière-train me faisait trop souffrir, dedans et dehors. Quand j’ai fini de ranger méticuleusement la cuisine aux fins d’éviter une nouvelle correction, je suis allais me présenter quasiment au garde à vous devant les deux filles.

Elles s’amusaient avec les photos qu’elles avaient prise de ma déchéance en riant de toutes leurs jolies dents, faisant comme si je n’étais pas planté devant elles à attendre leur bon vouloir, j’avais pris soin de décalotter à nouveau mon gland, ça n’avait l’air de rien, mais c’était très pénible à supporter sur la durée et j’avais remonté mon prépuce discrètement pendant que je faisais la vaisselle.

Corinne a fini par lever les yeux sur moi.

– Alors qu’est-ce qu’on en fait à présent de notre petite soubrette.

– Elle a bien travaillé et on va pouvoir l’envoyer au dodo, à moins qu’on ne lui inflige une dernière petite fessée, les fesses rouges c’est bien meilleur qu’un Lexomil pour trouver le sommeil. Je ne sais pas si tu sais mon chéri, mais on a préparé un choix de photos pour Justine, un véritable diaporama, j’en connais une qui va être ravie de te contempler dans toutes ses positions avantageuses, comme tu t’en doutes, les plus belles sont celles où tu as le manche du martinet dans le cul, une vraie petite tapette.

– Vous n’allez pas faire ça, c’est pas possible !

– On va se gêner ! Allez, toi tu vas au lit.

– Mais il n’est que neuf heures.

– C’est déjà bien tard pour un gosse à qui on est obligé de claquer le cul pour l’éduquer. Dépêche-toi, demain ta journée risque d’être rude. Fais-nous une petite révérence avant d’aller te pieuter.

– Une petite révérence ?

– Oui, comme le font les gamins quand ils donnent un bouquet de fleurs par exemple et applique toi, sinon tu es bon pour une nouvelle fessée.

Au point où j’en étais arrivé, je n’en étais pas à une humiliation près, je me suis donc exécuté du mieux que j’ai pu, toujours en tenue d’Adam, j’ai dû m’y reprendre à trois pour les satisfaire et obtenir l’autorisation d’aller me coucher.



Les aventures de Fabien...

Elles remontent, plus exactement leurs publication sur ce blog, à août 2016 quand paraissait le 1er épisode, et nous l'avions laissé remontant de la plage lors de l'épisode 19, dans une tenue... Relisez l'épisode, vous verrez bien !

Elles continuent...

Serge reprend le flambeau et nous a proposé un vingtième chapitre et il y en a plusieurs autres, dont le dernier publié : le chapitre 33

Et les commentaires ?

Oui, c'est vrai, et les commentaires ? Serge se fera un plaisir de répondre à ceux que vous lui adressez. Si vous voulez le joindre directement, passez par moi : legall.josip35@laposte.net, je transmettrai

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