samedi 19 décembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 35

J’ai passé une nuit abominable et c’est Lucie qui est venue me réveiller au petit matin, les parents de Corinne étaient venus la chercher dans la soirée, on ne rentrait tous les deux qu’à neuf heures et nous avions du temps devant nous, elle en a profité pour mettre définitivement les choses au clair, selon son expression.

- Tu vas aux toilettes, je te lave et ensuite on fera le point.

- Mais je peux me laver tout seul !

- Tu fais ce que je te dis, on ne va pas commencer.

J’ai eu beaucoup de mal à me soulager, mes fesses me cuisaient encore et je n’ai pas pu les poser sur la lunette, j’ai dû rester accroupi en équilibre. La douche n’a pas été moins douloureuse même si je dois reconnaître que ma cousine y a été mollo, elle n’a pas manqué cependant de s’attarder sur ma raie culière et mon sexe qu’elle a décalotté à plusieurs reprises comme à plaisir avant de le laisser prépuce baissé, avant de me sécher.

- Allez, tu viens sur mes genoux.

- Encore la fessée, mais je n’ai rien fait, pitié, j’ai encore trop mal.

- Qui te parle de fessée, je veux seulement examiner l’état de tes arrières après cette belle correction aux orties dont tu te souviendras, n’est- ce pas ?

- Oh oui !

- Allez, tu restes tout nu.

Effectivement, tu es très marqué, il y a de toutes petites cloques un peu partout, je vais te passer un peu de Biafine. Tu vois que je peux être gentille

Je préférais me tenir cois pendant qu’elle passait la pommade cicatrisante sur mes fesses, mes cuisses et même le haut de mes mollets qui avaient eux aussi eut droit au passage des terribles plantes ;

- Il faut bien que tu comprennes que tu es en quelque sorte mon soumis, compte tenu des vidéos dont je dispose, ce n’est pas la peine que tu perdes ton temps à les chercher, elles ne sont pas ici et de toutes façons on a tiré des copies et aussi de ce que sais sur ton compte, capito ?

- Oui Lucie.

- En conséquence, je peux tout exiger de toi, surveiller ta manière de t’habiller, de te laver, d’aller aux w.-c., ta santé, tes fréquentations, tes branlettes sournoises. Ah ce propos, tu as aimé ce qu’a fait Corinne ?

Joignant le geste à la parole, la coquine s’était emparée de mon sexe, qu’elle caressait doucement et qui avait immédiatement pris une belle dimension.

– Je ne sais pas trop.      

– Et ce que je te fais en ce moment, tu aimes ?

– Oui, bien sûr.

– Je vais m’arrêter là, mais il faut que tu saches que ce domaine aussi m’appartient et celui-là aussi.

Elle avait lâché mon sexe pour envoyer un de ses doigts pile à l’intérieur de mon fondement.

– Ça aussi, j’y ai droit, c’est bien pigé ?

Ça me faisait un drôle d’effet de me retrouver de bon matin, allongé complètement nu sur les cuisses de ma jeune cousine à me faire tarauder le trou de balle, juste après qu’elle se soit amusée avec ma queue.

– Tu ne réponds pas, tu préfères que je claque à nouveau les fesses, je ne sais pas ce qui me retient.

– Oui Lucie, tu as le droit de tout me faire, mais je t’en supplie, pas la fessée.

– A la bonne heure, il faut aussi que tu saches que je veillerai strictement à ton hygiène, j’ai remarqué que tous tes slips étaient tâchés d’urine, ce n’est pas acceptable. Quand, ce sera possible, ce sera moi qui t’essuierai à chaque fois que tu feras ton pipi, pour le reste à toi de t’appliquer, je vérifierai et tout slip sale te vaudra une correction, je serai ta baby sitter. Cette mise au point étant faite, je t’autorise à t’habiller, le car de ramassage ne va pas tarder à se pointer, il ne manquerait plus que je sois en retard chez l’autre folle de Bruno.

Cette remarque me rappelait opportunément que si pour l’heure, j’avais officiellement accepté d’être le jouet de me cousine, elle n’était pas la reine partout, il s’en fallait de beaucoup et je ne désespérais pas de me venger tôt ou tard. Mais il ne fallait pas que j’oublie que ma déchéance actuelle était justement le résultat de la vengeance de Lucie après mes manœuvres pour la faire fesser par la tante Maud. Décidemment, je payais bien cher ces agissements coupables, car si j’avais bien compris le discours de ma cousine, en sa présence, je perdais toute autonomie et elle s’était arrogé tous les droits sur ma personne, y compris sur ma plus stricte intimité !  

 

Lucie s’en tient à son programme, les cinq premiers jours de la semaine ne me furent pas trop pénibles, nous étions très occupés par nos cours et je m’empressais dès leur fin de rentrer chez Madame Leblanc, où paradoxalement je me sentais protégé de l’autorité de ma cousine, j’espérais que Justine passerait me voir le samedi et je me tenais au maximum à carreau. J’eus mal aux fesses et aux cuisses presque trois jours de file, elles ne m’avaient pas raté, encore heureux que la Biafine que je m’appliquais comme je le pouvais me soulageât quelque peu, les orties c’était vraiment abominable, ne parlons pas si tu te prenais des fessées par-dessus, comme cela m’était arrivé dans les premières semaines de mon séjour chez la mère Leblanc.

J’étais très déprimé, je ne savais pas où j’en étais avec Justine, passerai-t-elle et si c’était le cas, à quelle attitude devais-je m’attendre ?

Il était tout à fait possible qu’elle prenne la main sur moi, imitant Lucie et Corinne et que je passe ainsi de Charybde en Scylla !

Soucieux de ne pas risquer de tomber sous les fourches caudines de la mère Leblanc, nous nous appliquions à respecter toutes les règles de la maison, respectant également parfaitement les horaires fixés.

J’eus le bonheur relatif d’assister à une fessée carabinée de la jolie Julie, qui avait ramené des notes désastreuses, la pauvre eut droit en guise d’apéritif à une déculottée devant tout notre petit aéropage, ce furent les mains battoirs de notre logeuse qui portèrent son séant à incandescence, elle eut droit en prime à vingt coups de martinet qui la laissèrent dégoulinante de larmes et haletante, avant qu’elle aille se calmer au piquet, robe relevée par ses soins aux fins d’exhiber devant toute la compagnie son fessier rubicond.

Lucie semblait avoir la tête ailleurs et ne tourmentait plus guère, je me disais qu’elle était peut-être amoureuse et que c’était une opportunité pour moi d’échapper à ses manœuvres perverses, voire éventuellement d’en tirer une sorte de monnaie d’échange.

Le jeudi soir cependant, alors qu’on regagnait notre appartement après le dîner, j’eus droit à ce qu’elle nommait une inspection de routine ; je dus me présenter devant elle les mains jointes sur ma tête, elle dégrafa mon ceinturon, baissa mon jean et constatât que le devant de mon slip était tâché de pipi.

- Je le savais, décidemment, tu es vraiment un dégoûtant, mais je te garantis que je vais te faire passer cette sale manie de ne pas t’essuyer quand je ne suis pas là pour le faire, allez, tu viens te mettre à plat ventre sur mes genoux, dépêche-toi, je n’ai pas que ça à faire.

- Mais Lucie, c’étaient juste quelques gouttes et j’ai encore des séquelles de la fessée aux orties, je t’en prie, pas ce soir.

- Si tu insistes, tu auras double dose, c’est ce que tu cherches ?

- Non, pardon, je viens tout de suite.

Je me dépêche de baisser mon pantalon.

- Allez, enlève tout, de toute façon, tu vas aller te coucher ensuite.

Je m’exécute et je me présente devant elle dans la position traditionnelle du futur fessé, c’est-à-dire bien droit, les pieds joints et les mains croisées sur la tête, j’ai pris la précaution de descendre la peau de mon prépuce. J’ai toujours aussi honte de me retrouver devant elle, mes attributs virils à une cinquantaine de centimètres de son visage et surtout peur de déclencher une érection qui me vaudrait certainement un supplément de coups.

- C’est bon, arrive.

Je me couche sur ses cuisses, elle me cale à sa convenance, vérifie que son mouvement n’a pas fait remonter mon prépuce.

- C’est humide, je suis sûre que tu ne l’as pas nettoyé et que ça pue la pisse, pouah ! 

Elle m’écarte les fesses et enfonce un truc dans mon trou de balle, qui me fait me crisper, une petite claque suit.

- On se calme, je dois prendre soin de ta santé et vérifier que tu ne me fais pas de température.

Je me mords les lèvres pour ne pas protester, tandis qu’elle en profite pour m’enfoncer le thermomètre, ça m’a fait un mal de chien et je n’ai pu me retenir de crier.

- Tu deviens de plus en plus douillet mon chéri, il va pourtant falloir que tu t’habitues car comme tu t’en doutes, je n’ai pas l’intention de te ménager ; 37°5, c’est parfait, tu as de la chance que je te le fasse pas lécher comme mes doigts. Allez c’est parti.

Effectivement, elle a commencé à me claquer les fesses, je me dis que si elle ne se sert pas d’un instrument, cela va être à peu près supportable, mais elle a repris la vieille tactique de frapper sur une fesse après l’autre, n’en changeant que quand elle devient cuite à point.

Quoiqu’elle en dise, je ressens encore les séquelles de l’abominable fessée aux orties et je me mets vite à pousser des cris, qui vont crescendo, jusqu’à ce qu’enfin elle s’occupe de mon autre globe.

La chipie a fait des progrès et que je sache, c’est au détriment de mon bas du dos qu’elle s’est entraînée, elle est désormais entrée dans la catégorie des maîtres fesseurs, la preuve, même sans instrument, elle n’est pas loin de me tirer des larmes.

Et ça vient, elle tape trop fort, les larmes commence à perler à mes paupières, pour l’instant, je réussis à ne pas la supplier, ce qui sera je le sais tout à fait vain.

Je ne sais pas ce qu’elle a, sans doute une frustration quelconque à surmonter, mais elle s’acharne, je n’ai pas souvenir qu’elle m’ait fessé à mains nues aussi longtemps, je me console en songeant que ses mains doivent être douloureuses, moins que mes fesses, désormais cuites à point, mais il n’empêche, mas je ne résiste pas davantage, les orties sont passés par là et je commence à sangloter.

C’est semble-t-il ce qu’elle cherchait car elle cesse tout à coup, passant sa main sur mon cul massacré comme pour bien en apprécier l’incandescence.

- Eh bien, tu en mis du temps à chialer, je ne voulais pas prendre la brosse ou le martinet pour t’épargner, mais u m’as fait transpirer. Tu sais bien que la fessée a des vertus curatives, il faut que tu pleures pour que cela te fasse vraiment du bien, que tu te repentes de tes bêtises, tu comprends ça ?

- Oui Lucie, arrête s’il te plait, j’ai trop mal.

Le tout éructé entre deux gémissements.

- Encore une petite série pour que ça te rentre bien dans la tête, tu es toujours décalotté au moins.

Elle préfère vérifier en glissant sa main entre mes cuisses, heureusement pour moi, c’est toujours le cas, j’ai même une légère érection qui s’accentue au contact de ses doigts.

Et c’est reparti pour un tour, tu parles que ma queue reprend son volume minimal, elle a repris sa technique du départ, une fesse après l’autre, la petite interruption lui a redonné de la vigueur et je prends cher, je perds le peu de dignité qui me restait et je mets à la supplier de me faire grâce et pleure à gros sanglots.

Enfin elle cesse de me martyriser le fondement et se moque de moi.

- Alors le bébé a un gros chagrin, on a fait du mal à son cucu, oh la vilaine Maman. Allez c’est fini, on va aller se calmer au piquet et on ira faire un gros dodo les fesses bien rouges.

En même temps, elle les caressait d’une main tandis qu’elle introduisait l’autre entre mes cuisses.

- C’est qu’il a un tout petit Kiki, le bébé, bien à l’air, c’est bien Fabien, allez, arrête de pleurnicher, ti ne crois pas que c’est un peu exagéré pour une simple fessée à la main ?

Elle avait raison, c’était trop et j’avais autrement souffert dans d’autres circonstances, notamment avec les terribles orties, non, je pleurais sur ma situation, sur ce que j’étais devenu en un peu plus d’une année.

Cela avait commencé avec ma logeuse qui m’avait fessé et humiliée devant les filles de la maison, me rabaissant au rang de gamin, puis à l’école avec cette correction à la règle cul nu devant toute la classe et ensuite l’enchaînement fatal des choses. Ma mère interpellée par la lettre de la mère Leblanc, à laquelle elle avait joint un martinet, qu’ultime humiliation, j’avais été obligé de convoyer, qui s’était remis à m’infliger des fessées, dix ans après avoir cessé de le faire, m’estimant trop grand garçon ! Quelle dérision !

Et quelles fessées, pas des petites, il n’aurait jamais fallu accepter la première correction, il avait bien tenté de se rebeller, mais il avait pris cher, quatre fessées publiques successives dont une aux orties dont il gardait encore plus d’une année plus tard, un souvenir cuisant, mais que faire, il aurait fallu tout envoyer balader, ses études, sa mère, son foyer, risquer de crever de froid et de faim, il n’avait pas eu le courage et à présent il payait cette impéritie au prix fort.

Après sa mère qui l’avait fessée et humilié devant la tante Maud et ses deux cousines, c’est cette dernière qui s’était autorisée à lui claquer les fesses et pas qu’un peu et pour finir, l’enchaînement fatal, il avait voulu faire punir sa peste de cousine par ce qu’il pensait être de subtiles manœuvres et à la sortie, tout s’était retourné contre lui, Lucie avait été autorisé à le corriger ! Quand il y repensait, il n’arrivait pas à y croire, sa cousine plus jeune que lui bénéficiait de l’autorité d’une grande personne le concernant, nul n’aurait voulu y croire et pourtant, c’était la triste réalité.

Sans parler des autres individus qui s’étaient autorisées à le déculotter et le fesser comme un bambin, la liste commençait à être longue ; l’amie de la tante Maud, la terrible Madame Bruno, Audrey, la pionne, Madame Sands, la directrice du supermarché, la gamine qui l’assistait, sans parler de Corinne qui depuis n’avait de cesse de renouveler l’opération, leur amie et son copain, une brute qui tapait comme un forcené et enfin le plus avilissant, Justine, sa « fiancée » !

Il y songeait tandis qu’il languissait, allongé sur les genoux de sa jeune cousine et c’est pourquoi, même si la cuisson de ses fesses commençait à faiblir, il continuait de sangloter.

- Bon puisque c’est comme ça, tu vas aller faire un séjour au piquet à genoux pour te calmer, si une si petite fessée te met dans cet état, tu n’as pas fini d’en voir. Au fait, est-ce que nous aurons le bonheur de retrouver Justine ce week end ?

Je lui dis entre deux hoquets que je ne sais pas et je quitte le relatif confort de ses cuisses pour me traîner face au mur que je commence à connaître.

- Tu tapes trop fort, tu ne te rends pas compte, on dirait la mère Leblanc.

- Merci du compliment, mais il y a autre chose pour que tu te mettes dans cet état, n’est-ce pas ?

- Oui.

- Quoi, crache ? C’est à propos de Justine ?

- Pas seulement, c’est de voir à quoi j’en suis réduit, regarde-moi, je suis là le cul en feu et le reste à l’air, les bras croisés sur la tête devant ma cousine qui est plus jeune que moi et qui prétend avoir désormais tous les droits sur ma personne, tout cela en quelques mois, tu ne crois pas que c’est un peu dur à vivre.

- ça mon coco, il fallait y penser avant et tu n’en serais pas là, si tu n’avais pas fait connerie sur connerie, tu n’as pas l’air de te douter, que toutes les personnes qui te corrigent et moi la première, agissent pour ton bien. Je reconnais que parfois j’exagère un peu, histoire de me faire un peu plaisir, de me venger de ce que tu m’as fait subir il y a encore quelques semaines, j’imagine que tu t’en souviens, mais c’est bien normal que je compense un peu tout le mal que je me donne pour toi et dont tu n’as pas l’air d’être conscient. De toute façon, il faut que tu t’y fasses, tu n’as fini d’avoir les fesses rouges, arrête tes jérémiades et assume ta nouvelle condition une fois pour toutes. Allez au lit à présent.

- Mais, il n’est que neuf heures et demie.

- C’est déjà bien tard pour un petit garçon qu’on fesse, dépêche-toi si tu ne veux pas que je t’en colle une autre.



Les aventures de Fabien...

Elles remontent, plus exactement leurs publication sur ce blog, à août 2016 quand paraissait le 1er épisode, et nous l'avions laissé remontant de la plage lors de l'épisode 19, dans une tenue... Relisez l'épisode, vous verrez bien !

Elles continuent...

Serge reprend le flambeau et nous a proposé un vingtième chapitre et il y en a plusieurs autres, dont le dernier publié : le chapitre 34

Et les commentaires ?

Oui, c'est vrai, et les commentaires ? Serge se fera un plaisir de répondre à ceux que vous lui adressez. Si vous voulez le joindre directement, passez par moi : legall.josip35@laposte.net, je transmettrai

2 commentaires:

  1. Bonjour Serge.
    Merci pour ce beau récit. J'adore la façon dont Lucie éduque Fabien. Elle sait s'y prendre avec les jeunes males. Elle s'arrange pour l'avoir en soumission. Tout un programme !
    Amitiés.
    Elena.

    RépondreSupprimer
  2. Amis de la poésie et des fessées en série... Bonjour!
    Bonjour Serge.

    Fabien ne manque de rien, entre les mains de sa cousine Lucie, qui s'occupe de lui, du sol au plafond, du derrière au menton!
    Il faut dire que la petite vicieuse ne gâche pas son plaisir ni celui du lecteur avec un sens aigu de la propriété. N'a t elle pas décrété, sans lui demander son avis, que la personne de son cousin Fabien lui appartenait corps et âme. Plutôt le corps d'ailleurs et particulièrement les fondations postérieures et les parties trois pièces en façade.
    Outre les cuisantes fessées d’entretien de la surface corrigée et bien charnue, elle aime explorer les mystérieuses profondeurs de l'entre-fesses et prend bien soin de tester régulièrement la rigidité du pilier de soutènement de l'édifice. Avec, en récompense,quelques réjouissantes fessées supplémentaires. Enfin, réjouissantes, pas pour tout le monde!

    Bref, tout ceci pour dire que le pauvre garçon, se retrouve entièrement soumis aux caprices disciplinaires de sa diabolique cousine qui ne manque ni de charmes pervers ni d'imagination pour lui en faire voir de toutes les couleurs. Essentiellement du rouge aux fesses, dont elle s'occupe avec un soin méticuleux, comme du reste d'ailleurs, recto, verso! . Décalotté au recto, calotté au verso...Un peu raide comme formule, j'en conviens.
    Ce qui est passionnant dans ce récit, entre deux séances de fessées et décalottées en tout genre, c'est qu'on se demande, à chaque chapitre, jusqu'où la délicieuse Lucie, va t- elle s'arrêter d'inventer de nouveaux humiliants stratagèmes pour parfaire le dressage, déjà bien avancé du cousin...
    Dans le genre de facéties, on s'attend à la fessée avec le manche du martinet dans le derrière, ou autre objet pénétrant, mais sait on l'avenir qu'elle lui réserve... à son derrière! Pas rose en tout cas, mais beaucoup plus foncé ! (rire)
    Amicalement
    Ramina

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.