lundi 14 décembre 2020

Les rebelles - chapitre 46 - acte 1

 Le SIE ( Syndicat Indépendant Etudiants ), dont le rôle est d'améliorer la condition des élèves et étudiants, est en campagne contre certains établissements scolaires de notre région qui ont, dans leur règlement intérieur, inscrit le recours aux châtiment corporels, comme moyen de punition, dans les cas les plus graves. Bien qu’il y ait des films pour prouver que les punitions sont réalisées dans le plus stricte respect des lois, le syndicat est opposé, par principe, à ce moyen d’éducation.

Etudiante elle-même, Clairanne L. dirige le syndicat dans notre région. A plusieurs reprises, avec ses amies, toutes âgées d’une vingtaine d’années ( Alexia D., Orlane F., Marine R. et Cécile F. ), nous l’avons vu intervenir auprès de Fabienne D., notre proviseure, pour faire annuler des punitions et pour faire retirer les châtiments corporels des textes à Ste CROIX.

« Pour une école à connotation religieuse, les fessées sont en contradiction avec la foi et les élèves peuvent être traumatisé par ces punitions dont certaines sont en public, comme au moyen âge ! » tente de faire entendre raison Clairanne.

« Mademoiselle L., merci pour votre attention envers les élèves, mais sachez que tous sont traités équitablement et la fessée est un moyen de leur faire découvrir le repentir, ce qui est important pour garder le cap. Nos élèves peuvent partir de l’établissement lorsqu’ils le souhaitent, mais je n’ai encore reçu aucune demande de leur part » réplique Fabienne D.

« Lorsqu’ils sortent d’ici, nos élèves nous remercient de les avoir gardés sur la voie de la réussite et de la lumière » complète mère supérieure, qui assiste à chaque visite des membres du syndicat, pour tenter de justifier des méthodes de Ste CROIX.

Fabienne D., qui n’est pas une femme qui se laisse dicter sa conduite dans son établissement et qui est convaincue du bienfondé des châtiments corporels pour faire entendre raison aux étudiants indisciplinés, reçoit les membres du syndicat et les mets à la porte après leur avoir énoncé la liste des étudiants qui ont une bonne situation professionnelle, grâce à ses méthodes. Fabienne D. n’est pas étonnée que d’autres établissements corrigent leurs élèves en reproduisant les méthodes pédagogiques éprouvées de Ste CROIX.

Même le recteur d’académie, Bernard B., encourage les établissements à expérimenter les méthodes de Ste CROIX. Le recteur se réjouit lorsque des films lui sont envoyés. Ils les regardent avec délectation, surtout lorsqu’il s’agit de jeunes et jolies jeunes femmes. Il aimerait les soumettre par lui-même, mais les fessées ne doivent être données que par des femmes, nettement moins puissantes que celles faites par des hommes, ce qui fait que ces corrections ne risquent pas de blesser le ou la punie.

Clairanne et les membres du syndicat organisent des pétitions pour faire cesser les pratiques punitives. Les pétitions arrivent sur le bureau du recteur qui s’offusque de cette révolte. Si le SIE gagnait la partie, les fessées et donc les films ne pourraient plus être réalisés.

Le recteur décide donc de saborder le mouvement syndicaliste et ordonne que des fonds soient versés à Clairanne pour un motif de soutien au mouvement.

Lors d’une entrevue un certain Monsieur T., se disant représentant du recteur, sous prétexte d’éclaircissement de certains points vis-à-vis des règlements intérieurs des établissements, Clairanne empoche cinq mille euros pour limiter ses actions contre certains établissements de notre région. Clairanne, mettant de côté ses convictions, prend l’argent et signe un document officialisant la transaction entre elle et le rectorat.

Clairanne ne se vante pas de cette transaction, mais cette rentrée d’argent lui va bien, car ça lui permettra, en plus de sa bourse d’étudiante, de continuer ses études dans une école de commerce privée de grande renommée. Avec cette première victoire, elle pourra élargir ses moyens syndicaux et peut-être prétendre à un poste dans une formation plus politisée.

Quelques semaines après la transaction, lors d’une réunion avec quelques sympathisants, Clairanne annonce l’arrêt de certaines distributions de tracts auprès de certains établissements, tels que Ste CROIX ou St THOMAS.

Clairanne explique :

« J’ai pris la décision, car ces établissements ont promis de limiter les corrections des élèves. J’ai eu un représentant du rectorat, cette semaine »

« Mais, Clairanne, ce n’est pas une limitation que nous voulons, mais l’arrêt total de ces pratiques ! » réplique Marine R.

« Je sais, mais c’est un bon début. Il est prévu que je fasse un point avec la proviseure tous les mois pour statuer sur les punitions et sur d’autres points, tels que les hébergements dans l’internat » conclut Clairanne.

Dans la presse locale sur les réseaux sociaux, un article de MEDFIP dénonce un arrangement entre Clairanne et une tierce personne pour saborder le syndicat SIE. L’article dit que Clairanne aurait reçu une somme d’argent pour ne plus protéger les élèves mais privilégier son ascension sociale. Des exemples sont donnés sur des combats perdus par le SIE et qui auraient été provoqués par le SIE.

Ce mini scandale touchant le syndicat majoritaire des étudiants fait l’effet d’une bombe, car certains voyaient déjà le retrait des punitions corporelles des règlements intérieurs, or avec ces révélations, il n’en sera rien.

« Allo, Olia, Ça va ? Regarde l’article que je t’ai envoyé par mail. Ils disent que le SIE a reçu de l’argent pour fermer les yeux sur certaines actions militantes auprès du rectorat » dis-je à Olga.

« Ouais, j’ai vu, nous étions justement en train d’en parler avec Ioura et Maman. C’est un scandale, je trouve. Nous, qui espérions que les corrections et les humiliations publiques allaient cesser ! Et ben, c’est raté » me répond Olga.

Je lui réponds : « Je suis super déçue, comme toi ! »

« Moi, moins, puisque je ne m’en prends pas souvent, mais pour mes proches, telles que toi et Ioura, je me doute que c’est la douche froide » me dit Olga

« Ah, cette Clairanne, si je la tenais ! avec ses discours sur ses grandes convictions, je t’en fou, c’était du vent, lorsqu’elle nous disait qu’on serait juste collé au lieu de se faire corriger toute nue ! C’était juste de la démagogie pour qu’on adhère au SIE. Ils sont tout juste bons à négocier les menus des cantines. Je vais résilier mon adhésion dès cet après-midi »

Parallèlement, Clairanne dépose plainte pour diffamation, car elle se dit victime d’un coup monté, pour tenter de sauver ce qui peut encore l’être. Avec l’article, le syndicat a perdu bon nombre de soutiens, ce qui le place au même niveau que les autres organisations de la région.

Lors de l’enquête, il est prouvé qu’elle a eu de l’argent et on retrouve le formulaire de la transaction. Par contre, au rectorat, il n’y a pas de Monsieur T. Le juge de proximité, Claude R., en charge de l’enquête reproche à Clairanne son manque de lucidité et le fait qu’elle s’est octroyée l’argent.

Avec cette accusation, Clairanne est destituée de son poste de directrice du SIE et c’est Orlane F. qui la remplace, par contre, la crédibilité du syndicat étant tellement tâché, que leurs combats sont de suite placés aux oubliettes.

Les ennuis de Clairanne ne sont pas finis, car elle est mise en cause pour avoir touché des dessous de table. Ses amies du SIE la lâchent et Clairanne doit faire face à ces accusations et son petit ami, Pierre G. la lâche également, ce qui accentue la tristesse de Clairanne.

Le recteur, Bernard B., à l’origine de la manipulation, encourage les autorités à corriger corporellement et publiquement cette fille indigne des responsabilités qui étaient les siennes au SIE et il retirera sa plainte, en signe de compassion...

Virginie B. l’avocate de Clairanne demande la relaxe de sa cliente, car elle serait victime d’un complot, à n’en pas douter.

Lors d’une réunion avec Maître Virginie B., le juge débordé d’affaires, lui suggère :

« Maître, il s’agit là d’une affaire qui pourrait s’arranger pour les deux parties. Mademoiselle L. devra restituer l’argent au SIE, organisme bénéficiaire et je préconise qu’elle soit corrigée comme une sale gamine ! Par ailleurs, elle sera privée de tout mandat auprès qu’une association quelle qu’elle soit et devra faire des travaux d’intérêt général durant un an »

« Mais, Monsieur le juge, ne croyez-vous pas que cette sentence est disproportionnée ? »

« Maître, je vous rappelle que nous avons un détournement de fond dans un intérêt d’enrichissement personnel, je vous rappelle la loi : un million d’euros et dix ans de prison... Ça vous va comme argument ? C’est déjà bien que je fasse un geste pour cette jeune femme et que le recteur pense retirer sa plainte »

« Oui Monsieur le juge, j’accepte la punition pour ma cliente » doit s’incliner Maître Virginie B.

« Bien, alors, elle recevra cinquante coups de martinet sur tout le corps, dans le gymnase de la gendarmerie, seule salle assez grande pour accueillir du monde, en ces temps de confinement. Il sera à noter que le film de la punition sera projeté dans quelques établissements scolaires, pour montrer à tous ce qu’il en coûte de détourner de l’argent. Avec cette humiliation, Mademoiselle L. devrait revenir à de meilleures dispositions en ce qui concerne ses choix »

Clairanne est doublement punie, car elle perd sa place auprès du SIE et elle va se faire corriger, dans les conditions de celles et ceux qu’elle voulait protéger.

« Mais Maître, je ne peux pas me faire fouetter en public, de quoi vais-je avoir l’air auprès de mes amis et de ma famille ? » proteste Clairanne.

« Il fallait y penser avant, Mademoiselle, maintenant, il faut accepter et allez de l’avant. Vous n’irez pas en prison et pourrez continuer vos études, c’est déjà un miracle que vous puissiez le faire. Ah, j’oubliais, vous devrez faire une année de travaux d’intérêt général et vous êtes inscrite à Ste CROIX, pour la fin de votre cursus mastère dans la section Business & Administration »

« Alors là, c’est le bouquet, avec tous les conflits qui m’ont opposée à Fabienne D., elle va pas me rater, celle-là ! » déplore Clairanne.

« Mademoiselle, n’allez pas envenimer la situation, car toute dérapage de votre part à Ste CROIX et ce sera la punition, toute nue et en public. Madame la proviseure se fera un plaisir de vous faire corriger »

La décision fait le tour de Ste CROIX.

« J’ai appris par Léa que Clairanne allait venir à Ste CROIX, après avoir été fouettée. On aura même le droit de voir le film de sa correction » me dit Iourievna.

« Tant mieux, ça lui fera les pieds à celle-là ! Parce que maintenant, on n’est plus défendu. Sans contrôle de la part du SIE, le conseil de discipline de Ste CROIX pourra faire ce qu’il veut, maintenant que le SIE n’a plus aucun poids » me faisant me lamenter.

« Ouais, les flagellations publiques au centre de la cour à Ste CROIX ont encore de belles années devant elles... » dit Olga.

« J’en reviens pas qu’on ait été lâché par le syndicat ! Déjà que Léa est plus vraiment de notre côté, alors qu’elle devrait l’être, et là, c’est le SIE, notre dernier rempart qui est démoli ! J’en reviens pas ! Dès que je vais la voir à Ste CROIX, je vais lui dire ma façon de penser, à la Clairanne »

« En plus, elle sera dans ma section, je pense qu’elle va prendre cher ! » complète Olga

Le jour de sa correction, Clairanne est convoquée à la gendarmerie où elle est reçue par le commandant et la doctoresse Cindy B. de la caserne :

« Vous allez me suivre, Mademoiselle L. Mettez-vous entièrement nue ! »

« Nue ? Oh, non, je suis super pudique, j’oserais jamais ! »

« Vous allez en recevoir cinquante, voulez-vous que j’en rajoute dix de plus pour votre résistance ? »

« Non, pas ça ! je vais me déshabiller ! » supplie Clairanne.

En rougissant, Clairanne se déshabille et se laisse examiner par la Capitaine Cindy B. qui ne se prive pas pour la palper un peu partout, histoire de bien lui faire sentir qu’elle n’a plus son libre arbitre.

La doctoresse signe le registre d’aptitude à la correction :

« Vous êtes parfaitement apte, Mademoiselle. Sportive comme vous êtes, vous supporterez bien la correction. Mettez les mains dans le dos, je vais vous menotter. Maintenant, suivez-moi sans faire d’histoires ! »

Les deux femmes traversent les couloirs pour se rendre dans le gymnase de la caserne où se trouvent des gens éparpillés un peu partout. Clairanne reconnait ses parents, ses cousins et même Fabienne D. et le recteur, malgré leur masque. La proviseure est visiblement en grande conversation avec le commandant Jean-Luc L.

L’arrivée de Clairanne est saluée par des applaudissements de la part des spectateurs. Quant à Clairanne, les larmes coulent déjà sur son visage et ses tétons pointent sous l’humiliation et l’émotion subie de devoir exhiber son corps nu devant des inconnus.

Le commandant la présente comme étant la responsable de détournement de fond. Aussitôt des sifflets de désapprobation s’élèvent dans la salle où chaque son résonne.

« Cadettes, attachez-la, elle doit payer pour ce qu’elle a fait » ordonne le Commandant.

Deux cadettes l’attachent, en premier dos au public, bras et cuisses écartés, de façon à ce qu’elle ne puisse pas se protéger d’aucune sorte. Son corps doit être parfaitement offert aux lanières qui vont lui enflammer son épiderme.

Sous le commandement du Lieutenant Helga K., les cadettes Alicia H. et Lucie S., munies de leur long martinet de discipline, cinglent les fesses, les cuisses puis le dos de Clairanne.

Les claquements sonores des martinets sur la chair sont amplifiés par l’écho de l’immense salle et déjà les premiers gémissements de Clairanne sortent de sa gorge. Les traces rouges font leurs apparitions sur la chair blanche de la punie qui s’agrippe fermement à ses liens, en tressaillant à chaque fouettée.

Au fur et à mesure où la correction avance, Clairanne se démène davantage et pousse de vrais hurlements, qui ravissent les spectateurs, venus essentiellement admirer et écouter la punie brailler de repentir. Seuls ses parents ressentent de la tristesse pour leur fille.

Lorsque vient la flagellation du dos, Clairanne hurle à gorge déployée en se secouant comme une damnée. Certains hurlements montent dans les aigues, ce qui prouve l’efficacité de la punition.

Lorsque la vingt-cinquième cinglée est donnée, le Lieutenant Helga K. demande aux cadettes de la détacher puis de retourner Clairanne, afin de procéder aux fouettée sur le torse de la jeune femme.

S’affaissant à genoux, Clairanne, l’arrière du corps en feu, supplie qu’elle en a eu assez et qu’elle est à bout :

« Voyons, Mademoiselle, je vous pensais plus résistante que ça. Faite preuve d’un peu de courage » lui lance la femme médecin.

Après l’avoir ausculté, la Capitaine médecin affirme :

« Ne vous faite pas avoir par ses lamentations. Elle va pouvoir recevoir la fin de sa correction, cette pleurnicheuse. Donnez-lui un peu à boire et vous pourrez continuer »

Les cadettes Alicia H. et Lucie S. attachent Clairanne, cette fois, face au public.

Ses ancien amis, Pierre G., Alexia D., Orlane F., Marine R. et Cécile F., furieuses contre leur ancienne présidente se moque d’elle :

« Eh, patate, pour piquer de l’argent, t’es forte, mais là, t’as le trouillomètre à zéro, ma vieille ! » dit Orlane F.

« Fouettez-lui les seins, à cette greluche, qu’on l’entende beugler ! » ajoute Marine R.

« Ouais, à cause d’elle, on n’est plus crédible, faites-la brailler, cette voleuse ! » complète Cécile F.

A suivre...



Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 45

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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4 commentaires:

  1. Bonjour Elena. Et bonjour à tous.
    Ouf! On a eu chaud. Parce que si cette Clairanne avait réussi à faire interdire les châtiments corporels à Sainte-Croix on se serait retrouvés, vous et moi, au chômage. Heureusement qu'elle avait l'appât du gain et que le recteur appréciait la vue de jeunes fessiers féminins abondamment rougis. Cela a permis de remettre les choses dans le bon sens. Et finalement Clairanne va être condamnée, pour le plaisir de beaucoup de monde, à ce châtiment qu'elle avait voulu faire interdire. Cruel retour de bâton.
    Amicalement.
    François

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    1. Bonjour François,
      Oui, en effet. Le début de ma fiction est tirée d'un fait réel ( je le précise au cas où quelqu'un penserait encore que c'est de la science-fiction... ) ! Le reste est romancé, bien évidemment.
      Il y aura 3 parties à ce chapitre. Là, j'aborde le syndicalisme étudiant. Assez vindicatifs, les jeunes veulent remettre de l'ordre dans les pratiques de châtiments corporels qu'ils jugent d'un autre âge. Cependant, l'appât du gain est toujours assez fort et dans ce chapitre, on voit que le pouvoir peut faire faire des choses que les idéaux empêcheraient. Mal en prend à Clairanne, qui se laisse prendre par le détournement de fond public à des fins personnelles.
      Elle sera rapidement mise hors combat par le recteur qui souhaite assister aux punitions d'étudiants et étudiantes et que rien ne change. Le stratagème mis en place aura raison de Clairanne, qui sera prise dans un tourbillon judiciaire. Elle sera à la place de ceux et celles qu'elle voulait défendre... Pour notre plus grand plaisir !
      Amitiés.
      Elena.

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  2. Amis de la poésie et de la fessée en dessous de table et pas au dessus comme d'habitude... Bonjour !

    Ah ben bravo!! La honte... Qu'est ce qu'on apprend...Hein ? Le Recteur d'Académie, non seulement se tripatouille ( parce que c'est bien de cela qu'il s'agit! ) devant les films de jeunes filles en train de se faire cingler le derrière dans la cour de St croix, et voudrait bien y participer, mais en plus, il pratique la corruption et les dessous de tables véreux pour saborder le syndicat anti-fessées de Clairanne.
    Bravo, c'est du propre, belle mentalité!

    Clairanne ne vois tu rien venir ? La mignonnette n'a rien vu, que les billets de mille euros, mais pas la poussière du coup monté qui poudroie à ses yeux, et elle tombe dans le panneau qui ne lui a rien signalé.
    Le piège machiavélique, tendu par le Recteur pervers, avec la complicité du mystérieux Monsieur T, comme "Traquenard", soudainement disparu après la sinistre machination...
    Euuh... attendez, la phrase est vachement longue, je ne sais plus où j'en suis du coup. Ah oui, ça y est,ça me revient! Alors bon, oui... Le piège, c'est ça, le piège se referme sur la pauvre syndicaliste qui se ramasse le genre de raclée qu'elle voulait faire interdire. L'arroseuse, fessée!

    La pauvre Cosette du syndicat, est seule contre tous, comme "Sissi face à son destin". Même les élèves qui réclament de la fessée et des dégelées au martinet, à tour de bras, raccourcis, se liguent contre elle!! Misère!
    Alors, c'est là, mesdames et messieurs les jurés, madame la présidente Elena, que je demande votre attention. Qui mérite la sanction, les fesses à l'air, tout nu dans la cour ? Je vous le redemande...mesdames et messieurs...Présidente Elena.
    La présidente vénale du syndicat qui voulait soulager ses semblables des châtiments corporels, ou l'infâme Recteur manipulateur, voyeur tricheur, menteur, cuisine au beurre...pardon je m'égare... manipulateur! Mais hein, lequel des deux ?
    Bon maintenant c'est trop tard, Clairanne n'a pas vu, non plus, venir sur ses arrières, la grosse fessée au martinet . Pffff, Quelle histoire ! Comme dit François, certains ont frisé des mises au chômage, comme les fabricants de martinets, dont la maison Delaniaires, pour interdiction de fesser. Autant dire qu'en fin de compte, il n'y a pas que Clairanne à avoir eu chaud aux fesses!
    Amicalement.
    Ramina

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    1. Amis de la poésie et des bons réquisitoires pour sauver la veuve et l'orphelin, bonjour Ramina.
      Merci de ce bon réquisitoire, Ramina. Encore une bonne partie de rire en disant ce commentaire. Heureusement qu'il y a des gens comme vous, pour me redonner joie en l'écriture.
      Pour être sincère, j'ai pioché dans les fait divers pour l'inspiration et voilà ce que j'ai trouvé. La pauvre Clairanne, ne va pas en être quitte pour autant. Le seul syndicat digne de ce nom, torpillé par sa présidente, ne fait pas l'affaire des étudiants, mais je dois reconnaître que notre recteur s'en lèche les babines. Un peu pervers, le gars, quand même, mais on ne va pas lui retiré cette qualité... ( utile dans mes fictions ). C'est pour le bien des élèves et du Blog. Dans tous les combats, il y a des perdants, dans le cas présent, c'est Clairanne qui montera sur l'autel des sacrifiées au nom de la pérennité du Blog UNE BONNE FESSEE. A l'heure où le confinement fait perdre leur emploi aux petits commerçants, il aurait été dommage de fermer la maison DELANIAIRES, célèbre maison de fabrication artisanale des martinets et autres ustensiles de punition, utilisés dans mes fictions. Avec ce qui arrive à nos personnages, la maison DELANIAIRES n'est pas prête de faire faillite.
      Amitiés.
      Elena.

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