samedi 26 décembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 36

J’ai obtempéré, de toute façon, je n’en pouvais plus et j’étais épuisé aussi bien physiquement que mentalement, tant les perspectives qui m’attendaient étaient affligeantes, je ne savais plus si je souhaitais revoir Justine, dans quelle condition serait-elle après m’avoir fessé comme un gosse sous l’impulsion de ma cousine ?

Pourrait-elle à nouveau me considérer comme son amoureux et j’avais très envie de faire l’amour avec elle, ou au contraire me mépriserait-elle, soit en me laissant tomber sèchement, soit en décidant de s’amuser encore un peu avec ce qui risquait de devenir son jouet ?

Mon réveil fut difficile, je n’avais qu’une envie, rester pelotonné sous mes couvertures, pour une fois, ma cohabitation avec ma cousine m’était de quelque utilité, c’est elle qui me réveillât et me secouât sans tendresse.

- Encore heureux que je sois là et que j’ai procédé à ta toilette hier soir, faute de quoi, tu étais bon pour un gros retard et une bonne fessée déculottée chez madame Leblanc.

 

Après ce début précipité, ma journée fut convenable et j‘eus la bonne surprise en rentrant le soir dans le bus d’entendre des étudiants de première année que je ne connaissais pas se gausser d’une élève qui avait été aperçue dans les couloirs de l’établissement en train de se ramasser une fessée déculottée par la très redoutée Aude, celle qui faisait fonction de surveillante. Je m’approchais et me mêlais à la conversation ce qui ne fut pas difficile, en tant que plus ancien, je bénéficiais pour l’heure d’une certaine aura, peut-être toute provisoire, en attendant qu’ils aient eu vent de mes misères passées et notamment de ma terrible déculottée en pleine classe.

On n’est encore qu’au début du trimestre et les élèves ne se connaissent pas tous, il s’en faut, mais j’ai tout de même l’impression que la victime de cette fessée quasi publique pourrait bien être ma chère cousine, en tout cas, c’est une fille de sa classe puisqu’elle venait d’être virée du cours. Je n’en saurais pas davantage, la description physique assez flou, évidemment on avait surtout vu ses fesses, si elle correspondait assez bien, une brunette plutôt jolie, ne me permettait pas de me faire une opinion très ferme. En tout cas, les témoignages concordaient, elle s’était pris une bonne raclée les fesses à l’air et comme c’était juste avant la fin des cours et l’envahissement des couloirs par les élèves, un certain nombre avait assisté à la fessée avant que la punie relâchée par Aude, s’éloigne en courant vraisemblablement vers les toilettes pour échapper à la honte et se refaire un visage possible. Je me réjouissais d’interroger Lucie mine de rien dès qu’elle se pointerait à l’appart, si c’était bien d’elle qu’il s’agissait, elle serait bien obligée d’avouer sachant que dès le lendemain, il ne me serait pas difficile de savoir quelle fille avait été virée d’une des trois classes de première année.

 

Elle s’est pointée une heure plus tard, tandis que j’étais dans ma chambre à revoir mon contrôle du lendemain et n’a pas tardé à m’interpeller.

- Fabien, c’est l’heure de ta douche, dépêche-toi, je ne veux pas être à la bourre chez la mère Leblanc.

- J’y vais.

- Non, tu m’attends, tu sais bien que tu ne sais pas te laver correctement, on ne sait jamais, si tu venais à te prendre une déculottée, je ne voudrais pas subir de reproches si tu as le cul sale.

Je me mis donc sous la douche, plus ou moins dégouté, Lucie ne tardât à m’y rejoindre, se régalant comme d’habitude à me passer le gant de toilette dans mes parties les plus intimes, m’écartant la raie des fesses, y introduisant limite son index, insistant sur mes boules, me soulevant la verge et me la décalottant et recalottant comme à plaisir, me prenant véritablement pour un pantin de chair.

- Tu as encore le cul sale et le slip pareil, décidemment tu ne sais pas t’essuyer, dorénavant, c’est moi qui le ferai, tu m’appelleras.

- Mais enfin, ça ne va pas, je ne suis plus un bébé.

– Ça suffit, si tu veux t’en ramasser une bonne, tu n’as qu’à insister.

Pendant qu’elle me sèche, je lui glisse sans trop y toucher.

- A propos de fessée, j’ai entendu dire qu’une fille de ta classe s’en était ramassé une bonne par Aude.

Immédiatement, elle s’empourpre, ce qui me confirme que j’avais vu juste, hésite quelques instants à s’enfoncer dans le mensonge, avant d’avouer la vérité.

- Tu es déjà au courant, les nouvelles vont vite ! Eh bien oui, je me suis fait coincée par elle.

- Aude ?

- Oui, je crois bien que c’est elle.

- Si c’est le cas, tu dois avoir les fesses encore marquées, parce que j’ai déjà eu affaire à elle et je m’en souviens encore, elle tape comme une sourde, c’est l’âme damnée de la mère Bruno, c’est elle qui a dû la former.

- Je confirme, j’en ai encore mal aux fesses.

Soudain, nous changions de catégorie, pour le moment, je n’étais plus le soumis de ma cousine, mais son alter ego, nous nous retrouvions comme avec d’autres camarades, frère et sœur de fessée, je savourais ces instants de grâce, sachant d’expérience qu’ils ne dureraient guère. Je feins la compassion, sait-on jamais, cela pourrait me valoir quelques faveurs en retour, ou plutôt adoucir mes futures misères.

- Qu’est-ce qui s’est passé précisément ?

- Eh bien, je me suis fait mettre à la porte par la prof d’anglais alors que je n’avais fait que participer au bavardage général, du coup, je suis furieuse et alors que j’essaie de me planquer quelque part en attendant la fin du cours, je tombe sur cette pétasse, elle m’a demandé ce que je faisais là et comme une conne, je l’ai envoyé aux bains, je ne pensais pas qu’elle était si raide. Ça n’a pas traîné, elle m’a empoignée, mis sous son coude, relevé ma robe, baissé ma culotte et en avant nous autres, je n’ai rien compris au film. Elle a une force et une poigne extraordinaire cette garce, mes pieds ne touchaient plus par terre, j’en ai pris une bonne, encore heureux qu’elle s’est arrêtée de me fesser quand la sonnerie a retenti, j’avais en beau prendre sur moi, je commençais à sangloter quand elle m’a enfin lâchée en me disant :

- La prochaine fois, tu me parleras correctement, oui ou non ?

- Qu’est-ce tu as répondu ?

- Je n’ai pas risqué de faire ma maline, les élèves commençaient à sortir des salles de cours, je lui servi un piteux oui mademoiselle et je me suis reculottée. Mais bon, c’était trop tard, la chipie l’avait fait exprès, quelques-uns m’ont aperçue en fâcheuse posture et voilà, ça va faire le tour de l’école, la preuve, tu es déjà au parfum.

- C’est comme ça, tu n’as pas eu de chance.

- Ne fais pas semblant de me plaindre, tu parles que ça te fait plaisir.

- Mais non, tu te trompes, je te plains sincèrement.

- C’est ça, prend moi pour une bille, bon, c’est pas tout ça, tu t’habilles et on va bouffer, il ne s’agirait pas que je m’en prenne une autre en étant en retard.

 

Finalement Justine me fit signe, elle venait le samedi, elle était invitée à une soirée et nous y étions conviés avec Lucie.

Je n’étais que moyennement enthousiaste, je me demandais où j’allais tomber, y-aurait-il des copains de l’école ou au contraire exclusivement des gens appartenant à ses relations avec qui je ne me sentirai pas trop à l’aise, de toutes façons, je n’avais guère le choix, si je voulais conserver un espoir de poursuivre mes relations avec elle et puis j’étais en manque de sexe, surveillé comme le lait sur le feu comme je l’étais par ma cousine, je ne pouvais m’adonner que fort peu à l’onanisme et en prenant mille précautions.

Cette dernière en revanche était ravie de l’aubaine, elle allait pouvoir faire la belle, une seule ombre au tableau cependant, je me chargeais de lui rappeler qu’il serait préférable que nul des participants n’ait été informé de sa dernière déconvenue.

- Tu es vraiment chiant, tu as le don pour remuer le couteau dans la plaie, je ne sais pas ce qui me retient de te flanquer une bonne fessée, on n’a pas le temps, il faut que je me prépare, mais nous sommes en compte, ne l’oublie surtout pas.

Qu’est-ce qui m’avait pris de lui dire ça, du coup, c’est moi qui étais anxieux, d’une part de revoir Justine, je ne savais plus trop où on en était de notre relation et par ailleurs, j’étais certain que Lucie ne me raterait pas, j’espérais toutefois qu’elle attendrait notre retour au bercail pour me faire passer un moment douloureux sur ses genoux.

La coquine est tout à fait ravissante, minijupe à ras le bonbon, des baskets mignons tout plein et un très joli chemisier bleu ciel sous lequel, je remarque tout de suite qu’elle a les seins libres, les ongles des mains faits elle est un peu trop maquillée à mon goût, avec un rouge à lèvres carmin que je trouve bien trop agressif, il n’empêche, je suis bien obligé de reconnaître qu’elle est très bandante ma cousine, gare à ses fesses, si la mère Leblanc la rencontre dans cet équipage.

La soirée se déroule chez Anaïs, une copine de Justine dont les parents ont bien voulu lui laisser leur villa à disposition.

Nous ne sommes pas très nombreux, une douzaine environ, c’est la jauge maximale qu’on lui a autorisée car il est prévu que les participants dormiront sur place, ce qui évidemment plus prudent.

Les retrouvailles avec Justine sont chaleureuses, même si je pressens une sorte de réserve, comme si elle prenait un peu sur elle, je ne tarde pas à comprendre que la belle est l’objet des assiduités d’un grand diable très brun qui ne la quitte guère des yeux et auxquelles elle ne semble pas totalement insensible, il s’en faut !

Cela me met le moral un peu en berne, mais je suis néanmoins décidé à m’accrocher, ma cousine n’a pas ses problèmes et n’a qu’à choisir entre trois ou quatre prétendants, le hic, c’est que je m’aperçois rapidos au travers des conciliabules des minettes que notre hôtesse vit assez moyennement son esquisse de flirt avec son mec. A tous les coups, ma mutine cousine l’a fait exprès, histoire de démontrer qu’elle est bien la reine de la soirée

On s’est tapé du punch un peu trop tassé comme qui rigole et avec la sono qui t’en met plein les oreilles et qui déchire grave, l’ambiance commence à bien monter en gamme.

Justine danse langoureusement avec moi, mais je sens bien l’embrouille, elle kiffe le grand Marco, cela me navre, mais que faire, de toutes façons, je me doute bien que je suis largement descendu dans son estime. Elle m’a vu me prendre une fessée déculottée par ma mère, une autre par ma cousine, avant de m’en flaquer une elle-même, excusez du peu !

Je me décide à faire contre mauvaise fortune bon cœur et essaie de draguer une autre minette, las, cela ne me semble pas être mon soir, autant à l’école, ça roule plutôt bien, autant ce soir, c’est misère et compagnie. Du coup, je m’intéresse au manège de ma cousine, grisée par le punch, elle se laisse embrasser par le mec de la puissance invitante, elle a fait ça en catimini, planquée derrière une porte, mais je l’ai bien repérée, j’ai un instant le réflexe d’aller balancer, mais je prends sur moi, laissons-faire les choses, les esprits sont déjà suffisamment échauffés par les whiskys Coca qui ont succédé au punch à qui la compagnie a fait un sort.

 

Evidemment Anaïs, la maîtresse des lieux n’a pas tarder à être informée par une bonne âme de son infortune et je la vois littéralement se jeter sur Lucie en la traitant de tous les noms.

Ça bagarre sévère, comme seules savent le faire les filles, on se tirent les cheveux et on tente de se griffer le visage, des gens bien intentionnés, garçons majoritaires, parviennent non sans mal à les séparer et tandis que ma cousine est maintenue par deux mecs, l’autre lui sort.

- Je crois que ce qui convient, c’est une bonne fessée, j’ai entendu dire qu’elle s’en était prise une à son école et je crois que c’est ce qui lui manque ce soir.

Je n’étais pour rien dans cette révélation, mais dans un petit bourg, les rumeurs couraient vite, je me disais qu’à tous les coups, ça allait me retomber dessus et que Lucie ne manquerait pas de se venger sur moi de ses misères du moment.

Car misères, il y avait, tu parles que la compagnie, déjà largement prise de boisson, avait applaudi des deux mains à la proposition d’Anaïs, y compris son copain qui voulait à l’évidence se dédouaner et qui n’était pas le dernier à hurler qu’il n’était pour rien dans l’histoire que c’était elle qui s’était jeté sur lui, l’avait presque violenté, pauvre innocent qu’il était.

Ma cousine a beau se démener, crier, rien n’y fait, elle se retrouve bientôt allongée sur les genoux de notre hôtesse qui particulièrement en colère, lui remonte sa jupette et dégage une jolie petite culotte bleu ciel plutôt transparente et parfaitement assortie, j’ai réussi à me glisser aux premières loges, même si je me garde bien de participer de près ou de loin à la correction qui s’annonce, ce n’est pas si simple car Lucie se débat de plus belle, hurle comme une diablesse. Anaïs ne doit pas en être à sa première fessée, car elle bloque rapidement sa victime, un bras maintenu relevé dans le dos et une cuisse passée au-dessus de la sienne et le tour est joué, même si ma cousine rendue folle furieuse par ce qui va immanquablement lui arriver, à savoir une fessée déculottée devant une douzaine de personnes de son âge, ne renonce pas et continue de se démener en se tordant et en remontant ses mollets frénétiquement.

Cela ne dure guère et le copain de notre hôtesse, probablement soucieux de se racheter une conduite, lui maintient les pieds au sol, ce qui permet à Anaïs de baisser le slip de ma cousine jusqu’à ses chevilles, dévoilant ses jolies fesses et c’est parti, très énervée, la fesseuse démarre sur un tempo très élevé qui déclenche au bout de quelques claques très appuyées les cris de ma cousine qui résonnent grave dans le salon où le silence s’est fait, la sono est arrêtée et tous entourent le canapé où l’exécution du châtiment se poursuit, on se presse pour mieux voir le fessier prendre des couleurs et je suis bousculé par Justine qui veut être aux premières loges, il semble que la petite garce ait pris goût à la chose.

Je me sens enfin vengé de mes misères, j’ai peine à y croire, ma garce de cousine est en train de se ramasser une fessée déculottée en public devant moi, j’en ai une monstrueuse érection, je suis parvenu malgré la presse à conserver une position enviable, je suis presque en face des fesses malmenées, à peine à plus d’un mètre.

Encouragée par les cris des spectateurs, que dis-je les hourras, les hurlements, les filles ne sont pas les dernières, il s’en faut, Anaïs ne ménage pas sa peine, sa victime qui sait à présent que toute résistance est inutile continue néanmoins de se tordre sous les claques, c’est de douleur à présent, tu parles que je connais le processus, bientôt comme dans toute fessée bien menée, elle se mettra à sangloter et c’est bien ce qui survient à ma grande satisfaction, je l’entends car les clameurs se sont presque tues, nous sommes fascinés par la vision qu’elle nous offre en remuant ses gambettes sur lesquelles le garçon a relâché sa pression en constatant qu’en les agitant en tous sens, elle découvre à l’assemblée sa chatoune vierge de tout follicule pileux. Ça tombe bien, c’est un des coins les plus éclairés du salon, je ne sais pas qui a envoyé les watts, alors que comme il se doit, le reste des lieux est largement tamisé, je me régale de l’entendre pleurer, hoqueter et nous dévoiler toute son intimité.

Car l’autre semble inépuisable, elle doit avoir les mains brûlantes, pas autant que les fesses de sa rivale, mais tout de même, je l’ai elle aussi en ligne de mire, les traits crispés, habitée par une rage folle, elle tape comme une sourde à l’aveuglette, ne mesurant pas ses coups, frappant comme ça vient, du moment que ça fait mal, à telle enseigne qu’elle atteint à moment donné la fente de Lucie, en plein sur son clitoris j’imagine, qui la fait se cabrer et pousser un hurlement de bête fauve.

Enfin, essoufflée, en nage, Anaïs met fin à la solide correction, elle laisse sa main droite quelques instants sur le cul en feu, comme pour vérifier qu’aucune zone n’a été épargnée, tandis que sa victime sanglote bruyamment.

– Ça t’apprendra à vouloir prendre les fiancés des autres !



Les aventures de Fabien...

Elles remontent, plus exactement leurs publication sur ce blog, à août 2016 quand paraissait le 1er épisode, et nous l'avions laissé remontant de la plage lors de l'épisode 19, dans une tenue... Relisez l'épisode, vous verrez bien !

Elles continuent...

Serge reprend le flambeau et nous a proposé un vingtième chapitre et il y en a plusieurs autres, dont le dernier publié : le chapitre 35

Et les commentaires ?

Oui, c'est vrai, et les commentaires ? Serge se fera un plaisir de répondre à ceux que vous lui adressez. Si vous voulez le joindre directement, passez par moi : legall.josip35@laposte.net, je transmettrai

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.