Enfin, mon calvaire cessa, je ne sentais plus mes arrières, j'avais cependant échappé aux vaines supplications et au hoquet qui me prenait lorsqu'au bout de mes souffrances, je n'arrivais plus à hurler ma douleur.
– Eh bien voilà un fessier qui ne pourra
pas se plaindre d'avoir été négligé, ça brûle hein mon Fabien.
Elle en profitait pour me masser mes fesses,
déclenchant de nouveaux gémissements.
– Oui, ça brûle terriblement Lucie.
– Il te reste à me remercier de m'être si bien employée, je suis presque en nage.
– Merci Lucie.
Rien ne m'était épargné et je n'étais pas
au bout de mes peines, puisque après m'avoir imposé le piquet, dans la position
habituelle, nez contre le mur, slip et pantalon aux chevilles, une quinzaine de
minutes, le temps de prendre une douche et de se changer, ma cousine me donnât l'ordre
d'ôter mon pantalon et de passer le trop fameux short de gym ultra court qu'elle
nommait opportunément "le slip à fessée", non sans me gratifier au passage
de deux claques sur mes fesses meurtries histoire de me rendre encore plus docile.
Je fus obligé de quitter l'appartement
dans cet étrange accoutrement, en passant mes mains sur mes cuisses flagellées,
je sentais bien les rigoles des lanières du martinet qui les décoraient jusqu’aux
hauts de mes genoux, sans parler des marques qui couraient aussi sur le devant.
Dès qu'on franchit le seuil de l'immeuble,
les deux filles me prirent chacune une main, à chaque fois qu’on devait traverser
une rue, histoire de bien me ravaler à mon rôle de petit garçon.
J'étais pétri de honte, cette promenade n'avait
rien à voir avec celles qu’elles m'avaient déjà infligées l'été dernier, là, je
pouvais à tout moment tomber sur des camarades de l'école, voire des profs, qui
ne manqueraient de s'étonner de ma tenue, d'autant plus que pour l'heure, mes
cuisses largement découvertes restaient marquées par les coups de martinet, même
si elles commençaient probablement à perdre leur rougeurs, c'était mon visage à
présent qui prenait la belle couleur de la tomate mûre.
Au premier feu rouge, Corinne lâchât ma
main, c'était pire, tenant les deux filles par la main, je pouvais à la rigueur
passer pour quelqu'un qui sortait avec ses deux copines, mais en étant tenu par
l'une des deux et compte tenu de ma tenue baroque et de l'état de mes cuisses, on
pouvait plutôt supposer qu'il s'agissait d'une personne qui avait autorité sur une
jeune homme, un peu plus âgé qu'elle qui sortait d'une bonne raclée.
C'était ma troisième sortie dans ces
conditions, si j'excepte l'abominable retour de la plage en slip d'abord puis complètement
nu sur la fin.
Je ne m'y habituais pas ! C'était même de
plus en plus humiliant, d'autant plus que ma cousine ne se gênait pas pour
m'envoyer de petites claques sur mes fesses quand elle jugeait que je lambinais
de trop. Quelques passants nous repérèrent et se mirent à ricaner en comprenant
peu ou prou de quoi il retournait. J'eus même droit à un "alors on a été
vilain, on a eu droit au pan pan cul cul" de la part de trois gamines
d'une quinzaine d'années, heureusement trop jeunes pour être à notre école.
On m'exhibait comme une sorte de
trophée, à plusieurs reprises profitant du passage dans des rues plus étroites,
je m'efforçais de lâcher la main de Lucie qui me tenait fermement, ce fut peine
perdue.
– A présent, ça suffit, si tu tentes
encore de te libérer, tu vas avoir droit dès notre retour à une nouvelle séance
de martinet, c'est ce que tu veux ?
Ceci prononcé à haute et intelligible
voix afin que nul n'ignore.
– Non Lucie, pardon, je ne l'ai pas fait
exprès.
– C'est ça, prend moi pour une idiote,
je ne sais pas ce qui me retient de t'en coller une dès à présent, qu'en dis-tu
Corinne ?
– Pourquoi pas, il faudrait trouver un
endroit un peu isolé, tiens, je vois un porche là bas qui pourrait faire
l’affaire.
– Non, ce n’est pas possible, vous ne
pouvez pas faire ça, pas en pleine ville, vous êtes devenues complètement folles.
– On va te démontrer le contraire et pas
plus tard que tout de suite, allez engouffre toi et dépêche toi, pour l’instant
il n’y a personne et je te conseille de te laisser faire si tu ne veux pas prendre
le risque de rentrer chez toi complètement à poil, comme la fois du retour de
la plage.
J’étais tellement abasourdi, tétanisé
même, que je me suis laissé faire, je me disais que je me plaindrais auprès de Madame
Leblanc et que cela pourrait modifier très largement les choses.
Lucie a posé son pied sur un morceau de
fer scellé dans le mur d’entrée de l’immeuble, m’a passé son bras autour du
corps, me forçant à me pencher en avant.
– Corinne, s’il te plait, aide-moi à le déculotter
et toi tiens toi tranquille si tu ne veux pas que je me fâche.
L’autre ne s’est pas fait priée et
quelques secondes plus tard, je me suis retrouvé avec mon mini short ramassé sur
mes chevilles, mes fesses pointées vers la porte de l’immeuble et mon regard scrutant
la rue, heureusement pas très passante dans l’angoisse de voir des gens
survenir et me découvrir dans ma honteuse posture, me disant qu’évidemment je n’étais
nullement à l’abri d’une sortie d’un des habitants de immeuble qui se trouverait
pile en face de mes fesses que venait de mettre à nues ma cousine, mon slip ayant
rejoint mon short sur mes mollets.
La fessée n’a été ni très longue, ni
très forte, il n’empêche, mes fesses restaient douloureuses des précédentes et
la situation si gênante que je me suis mis à pleurer ;
– Voilà autre chose, il pleure comme une
mauviette alors que je lui ai à peine caressé le fessier, tu ne t’améliores pas
mon pauvre Fabien, allez, ça suffit, on va aller prendre un verre et on finira
de s’occuper de toi à la maison.
Je me doutais bien que cette soudaine indulgence
n’augurait rien de bon, mais j’étais néanmoins soulagé de pouvoir remonter mon
slip et mon short, même si ma tenue, avec mes cuisses marquées par le martinet
largement exhibées, restait tout à fait honteuse.
D’ailleurs notre installation à la terrasse
d’une brasserie du centre ville n’a pas manqué d’attirer nombre de regards et
quelques commentaires peu amènes sur ma personne me venaient aux oreilles.
Genre « je crois bien que le mec qui vient
de s’asseoir est une tante, à mon avis il vient de s’en ramasser une bonne, à moins
que ce soit un soumis avec ses maîtresses, même si les deux minettes ont l’air
un peu jeunes pour le rôle » et d’autres du même acabit.
Je baissais la tête et mes joues devenaient
aussi rouges que l’étaient encore mes fesses, je n’osais pas regarder autour de
moi, craignant de découvrir au milieu de l’assemblée des clients, des personnes
de ma connaissance.
Mes deux « copines » prenaient
au contraire un air parfaitement dégagé, se fumant deux clopes chacune afin de
faire durer le plaisir, encore heureux qu’une fois assis, douloureusement sur
les rudes fauteuils en osier qui m’arrachaient la peau des cuisses, nous
passions presque inaperçus. J’avais une folle envie d’uriner, mais je me retenais
pour ne pas avoir à traverser toute la terrasse et la salle de bar dans mon
triste accoutrement en exhibant des cuisses qui ne laissaient pas de place à l’équivoque ;
je m’étais ramassé il y a peu une bonne fessée.
Le temps se couvrait et fort heureusement
pour moi, on a commencé à regagner nos pénates, Lucie me tenait toujours la
main comme à un gosse et croyez moi avec la fermeté qu’elle y mettait, on ne pouvait
s’y tromper, il ne s’agissait pas d’une promenade en amoureux. A un feu rouge,
j’avais revécu le même truc que l’été précédent de funeste mémoire, on avait attendu
que le feu passe au vert pour les piétons et elle m’avait gratifié d’une bonne
claque sur la fesse pour me faire traverser plus vite, les passants qui ne pouvait
faire autrement que de découvrir mes cuisses marquées ne pouvaient s’y tromper
et je me bouchais fictivement les oreilles pour échapper aux réflexions désobligeantes
ou rigolardes qui fusaient.
Ma vessie me tenaillait et j’ai été
contraint de demander à ma cousine la permission de me soulager.
– Tu n’avais qu’à faire à la brasserie,
c’est tant pis pour toi.
– Lucie, je t’en supplie, je n’en peux plus,
je vais faire sur moi.
– Il ne manquerait plus que ça, bon,
c’est d’accord, va pisser dans ce renfoncement, mais cela te vaudra un gage,
car pour l’heure, tes fesses sont trop abîmées pour qu’on puisse te flanquer
une nouvelle raclée.
Je me suis exécuté alors que la pluie
commençait à tomber drue, on est rentré en courant et pour l’occase ma cousine
a bien voulu me lâcher la main.
Nous sommes arrivés à la piaule pas mal trempés,
les filles sont allées se sécher et se changer dans la salle d’eau, alors que j’ai
été obligé de les attendre dans le hall d’entrée, dégoulinant.
Quand elles se sont pointées, elles m’ont
mis nu, m’ont passé une serviette sur tout le corps, insistant bien entendu aux
endroits stratégiques, entre les fesses, sur le pubis me déclenchant une belle
érection.
– Bien tu es sec, tu vas rester comme ça
toute la soirée, ce sera ton premier gage, n’est ce pas Lucie.
– Parfaitement, surtout que ce saligaud a
l’impudence de nous braver en bandant, il faut immortaliser ce moment, j’espère
que tu t’es muni de ton appareil photo ma chère Corinne, on va envoyer quelques
échantillons à sa fiancée, ça lui fera un souvenir.
Je suis donc resté en tenu d’Adam jusqu’à
ce que je puisse enfin regagner mon page, elles me traitaient en esclave, non seulement
j’ai dû m’appuyer toutes les tâches ménagères, passage d’aspirateur, lavage des
sols, tout le retard de vaisselle, nettoyage à fond du frigo, épluchage des légumes,
Corinne était partante pour une soupe, mais en plus subir leurs moqueries et
leurs attouchements à chaque fois que je leur passais à proximité, sans compter
quelques claques bien appuyées et autres coups de martinet quand elles n’étaient
pas contentes de mon travail.
Je n’ai pas échappé à la séance
photographique, très troublé au début, au bout d’un moment, je n’y prêtais plus
attention, sauf quand Lucie m’a obligé à me m’accroupir dans la fameuse position
du cycliste, c’étaient ses mots, c'est-à-dire, la plus humiliante qui soit, la
tête touchant le sol, les cuisses relevées et très écartées, exhibant on ne
peut plus mon service trois pièces et mon trou de balle.
– Allez cambre toi plus, qu’on voit bien
que tu te donnes, remue un peu pour faire bouger tes boules, que ce soit un peu
rigolo, c’est bien, mais le spectacle n’est tout de même pas terrible, c’est
bon, ne bouge plus. Allez encore une autre et tu tournes ta tâte vers moi pour
que l’on puisse bien identifier à qui appartiennent ces fesses marquées.
J’entendais derrière moi l’horrible clic
clac de l’appareil photo, je me disais que de toutes façons, ces morues avaient
déjà de quoi détruire ma réputation, soudain j’ai senti que Lucie introduisait
ses doigts dans mon anus.
– Je te conseille de ne pas te rebiffer,
sinon tu vas avoir droit à une nouvelle séance de martinet, je suis en train de
te graisser le trou du cul pour pouvoir y introduire ce que je t’ai promis ;
– C’est dégoûtant, tu ne peux pas faire
ça pitié.
– Mais non, ce n’est pas sale, à moins que
tu préfères au préalable un bon petit lavement pour te nettoyer les entrailles.
C’est ça que tu veux ?
– Non, je t’en prie.
– Alors, laisse-toi faire, offre-moi bien
ton cul.
– Voilà c’est mieux.
Et j’ai senti qu’elle m’introduisait dans
le rectum le manche du martinet, elle y allait doucement et ça ne me faisait
pas trop mal, même si à l’évidence, non seulement c’était très désagréable, la
dimension du truc était largement supérieure à celle du thermomètre et aussi à
celle du bec de la poire à lavement qu’elle m’avait déjà envoyé quand on était
dans la villa du bord de mer.
Je ne parle même pas de l’humiliation qu’il
y a à se faire sodomiser, car en somme il s’agit bien de ça, en public, avec en
prime une grognasse qui immortalise le truc, j’en transpirais à grosse goutte
tandis qu’inexorablement, Lucie enfonçait sans désemparer le manche dans mon
anus béant.
Elle avait dû en faire pénétrer presque la
moitié et je commençais à véritablement souffrir de cette intromission, même si
elle s’efforçait d’y aller progressivement.
Je souffrais à présent autant sinon de
plus de l’intérieur de mes fesses que de l’intérieur.
– Lucie, tu ne crois pas que c’est suffisant ?
– Mais non ma chérie, il va en prendre
la totalité, il n’y a pas de raison.
Je me suis mis à sangloter plus sous le
coup de la douleur, finalement supportable, que de l’humiliation.
– Allez, je vais te le mettre à fond, ne
fais pas tant de manière, on est presque au bout, tu n’es pas le premier garçon
à qui ça arrive, tu vas voir que tu vas finir par aimer ça. En tout cas, ça
pourra inspirer Justine pour autant qu’elle ne t’envoie pas bouler. Allez,
encore un peu de courage, on y arrive, tu auras bientôt tout absorbé, ça me rappelle
ce que disait un de mes potes du lycée
« Dans le cul la balayette, le manche et
l’étiquette », toi c’est le manche du martinet, c’est du kif. Si je retrouve
son mail, je vais lui envoyer une photo, ça l’amusera et nous rappellera des
souvenirs. C’est bon Corinne, il l’a complet dans le trou de balle, prends le bien
en photo s’il te plait. C’est ça, le cul bien tendu, bien offert, que tous qui regarderont
le cliché voient bien que tu te régales à te le faire mettre.
La pouffiasse m’avait fait très mal et étrangement,
cela se tassât quand après la prise des photos, elle se mit à effectuer des allers-retours
dans mon rectum malmené, là on y était véritablement dans la sodomie et le pire
était que je ne trouvais pas le truc si déplaisant.
– Tu lui as bien défoncé le cul, je n’aurais
pas cru que tu en serais capable.
– Ma chère Corinne, tu n’as encore rien vu,
je n’envisage pas de m’arrêter en si bon chemin, hein Fabien que tu aimes ça, une
bonne enculade et que tu sais que ta cousine n’a pas fini de te faire souffrir ?
Elle avait ponctué sa tirade de trois vigoureuses
claques sur mes fesses encore endolories et je préférais obtempérer plutôt que
de me ramasser une nouvelle raclée.
– Oui, Corinne, j’aime ça.
– A la bonne heure, enfin un aveu !
Elles m’ont laissé un bon quart d’heure
dans la même position humiliante avec le manche du martinet enfoncé dans les
fesses jusqu’à la garde, tandis qu’elles s’envoyaient un apéro. Je n’osais pas
bouger un brin, j’avais non seulement peur de me ramasser une fessée de plus, mais
surtout de me blesser les entrailles.
Amis de la poésie et du double usage du martinet... Bonjour!
RépondreSupprimerQue voila un épisode de qualité, qui ne manque pas de fondement où l'on retrouve aussi les fameux et si affriolants, slips à fessées tant appréciés de ces CDAMF. Un chapitre où l'auteur n'hésite pas à aller au fond des choses. Laquelle chose, promise, chose due...ment introduite, par la cousine maline qui tient ses engagement. Elle avait prévenu! Ou comment tirer le meilleur parti d'un simple instrument de discipline en joignant l'utile à l'humiliant par les deux bouts.
Vous avez aimé les fessées au martinet avec les lanières sur les fesses, vous allez adorer la version avec le manche dans le derrière.
Lucie n'y va pas par quatre chemin, un seul suffit, droit au but après un petit doigt de lubrifiant pour faire avaler la pilule... en cuir.
La cousine mutine, consciencieuse et joliment perverse ( personne ne s'en plaindra!), ne fait pas l'économie d'un centimètre et lui enfonce l'objet longiligne, entièrement dans le derrière. C'est comme la journée des soldes... tout doit disparaître !! "Il n'y a pas de raison!", dit elle, en s'assurant que Corinne la copine prend des photos pour immortaliser la manière originale dont on peut élargir le cercle de ses amis avec un simple manche de martinet.
Au début elle est froide après on s'habitue. Passé le chapitre d'introduction le jeune homme à l'air d'apprécier la suite d'un roman à la Jules Verne, "Voyage au centre de l'hémisphère".
Après le mélange deux temps au piment d'Elena, la fessée au gingembre de la tante Astrid dans CDAMF, Serge nous propose une réjouissante variante par la cousine Lucie avec, en attendu et avec impatience, la fessée avec sa garniture en cuir dans le fondement...
L'imagination au pouvoir pour rendre les fessées plus attrayantes...
Cordialement
Ramina
Mille mercis Ramina pour votre lecture appliquée, quant à vos commentaires, je vous envie, quel talent avec vos jeux de mots renouvelés, votre ironie mordante et fort plaisante par ailleurs. Sinon, il faut bien sûr recycler les bonnes idées.
SupprimerPar ailleurs à l'attention de notre cher Webmaster, je lui ai fait tenir par mail un projet de suite des joies et misères de Fabien, quid ?
Pardon à mes interlocuteurs, j'ai omis de les saluer, c'est fait et sympathiquement .
RépondreSupprimerSerge
Bravo quel beau récit ho la honte à quatre pattes enculé par son martinet j'ai connu cela en blouse boutons dos , je ne suis pas d'allure féminin mais sa me trouble quand je suis dans cette situation
RépondreSupprimer