samedi 28 novembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 32

 Ce fut moins rude qu'avec la brosse, il n'empêche, dès que le martinet est venu mordre mes fesses, j'ai eu beaucoup de mal à me contenir, en plus en exigeant de me décalotter avait vu juste, le bout de mon pénis frottait sur son jean et me causait une souffrance supplémentaire. Toute honte bue et me trouvant pour cette fois sans spectateur de ma déchéance, je me laissais aller, les nouvelles perspectives affichées par ma cousine n'étaient guère réjouissantes, j'allais à nouveau passer complètement sous sa coupe et je redoutais le pire, en attendant de trouver une parade.

Je pleurais donc à chaudes larmes dès que les lanières du martinet se firent plus prégnantes, c'était sa technique, elle montait en gamme et tu ne pouvais pas t'habituer, dès que j'avais l'impression que la douleur devenait presque supportable, elle me connaissait bien et se mettait à frapper avec plus de violence, me poussant à bout, me faisant redevenir petit garçon, gigotant lamentablement sur ses genoux, écartant mes cuisses. Elle m'avait promis une bonne correction et ce fût le cas, elle ne s'arrêtât de me martyriser le fessier qu'au bout d'une quarantaine de coups, ayant atteint son but, me laissant hoqueter et vainement faire appel à sa clémence, la morve me coulait du nez encore une fois et j'avais du mal à reprendre mon souffle.

Comme elle en avait désormais l'habitude, une fois la raclée achevée, elle a fait le tour du propriétaire comme pour vérifier qu'aucune partie de mes fesses n'avait échappées aux lanières du martinet et qu’elles étaient totalement écarlates et bouillantes.

– Tu peux me remercier, je ne me suis pas occupé de tes cuisses, tu n'auras pas toujours autant de chance.

Ses doigts s'égaraient à présent dans ma raie, frôlant mon anus, comme si elle hésitait à y glisser son majeur ou son index en avant goût du manche du martinet dont la pénétration m'était promise après un lavement ! J'en frémissais par avance en espérant que cela ne se ferait pas devant d'autres personnes.

– Bien, mon pauvre ami, tu vas aller te calmer dans ton lit, j'ai la flemme de t'infliger le piquet qui t'aurait permis de le faire ici, tu dormiras encore sur le ventre, tu commences à y être habitué n'est ce pas ?

– Oui Lucie.

– Tu vas me remercier pour t'avoir bien châtié.

Au point où j'en étais, je murmurais un "merci".

– Pas comme ça, merci Lucie pour cette bonne fessée bien méritée, prononcé à haute et intelligible voie, tu le feras à chaque fois.

Je m'exécutais, ma position allongée nu sur les genoux de me jeune cousine, les fesses en feu et m'efforçant de rentrer mes sanglots dans ma gorge, tandis qu'elle continuait à me caresser les fesses, ne me permettant guère de ne pas m'incliner devant cette ferme demande.

 

Je passais une fort mauvaise nuit et je dois avouer que quand Lucie vient me réveiller un peu avant l'heure habituelle aux fins de passer une pommade apaisante sur mes fesses encore très piquantes, je ne fis nulle manière et je me laissais faire, retombant dans mes réflexes de naguère.

A telle enseigne que je fus presque surpris qu'elle ne s'occupe pas de ma toilette et de mon habillement. Mais ce n'était que partie remise.

- Il me semble que tu négliges ton hygiène corporelle, je te donnerai une douche, ce soir en rentrant, ce ne sera pas du luxe.

 

J'y ai bien eu droit, juste avant qu'on aille dîner chez notre "tutrice", elle a recommencé les mêmes manœuvres que chez sa mère, à savoir, passage de tout mon corps au savon, y compris bien entendu l'intérieur de mes fesses, mon sexe et mon pubis de nouveau déplumé, avec retrait de mon prépuce, sans oublier derrière et dans les oreilles, pour finir par un shampoing, sans oublier un séchage méticuleux en s'attardant une nouvelle fois sur mes parties sexuelles.

– Je vois à tes grimaces que tes fesses sont encore un peu sensibles, je te passerai encore un peu de crème ce soir avant de te coucher. Qu'est ce qu'on dit ?

– Merci Lucie.

– On dirait que ça t'arrache la bouche, si tu crois que ça m'amuse de te laver les fesses comme à un bambin Fais attention à ne pas mériter une nouvelle correction, tiens à propos, puisque Justine ne nous fera pas l'honneur de sa présence ce week end, j'ai invité Corinne à nous rejoindre, cache ta joie...

Il ne manquait plus que ça, un peu timorée au début, sa copine était devenue presque pire que Lucie, si elle avait un peu tâtonné au départ, elle frappait à présent aussi fort qu’elle, décidemment la fin de semaine s'annonçait douloureuse pour mon arrière-train, quant à mon ego, je préférais ne pas même y songer.

Dès notre arrivée chez Madame Leblanc, elle m'invitât à aller jeter un œil au tableau des points, j'en étais resté à cinq ou six points et je me retrouvais avec un deux, ce qui signifiait que j'allais avoir droit à une fessée.

– Je ne comprends pas, j'avais six.

– Oui, mais entre temps, j'ai reçu ta dernière note d'économie, tu as eu deux justement, ce qui te vaut trois points de moins, tu sais ce qua ça veut dire, va chercher le martinet et prépare-toi.

Je regardais mes camarades qui s'ils ne se réjouissaient pas ouvertement de ma proche déconvenue, n'avaient pas l'air mécontents de me voir enfin châtié, puisque depuis un mois que la rentrée s'était effectuée, j'avais réussi à échapper à la fessée déculottée. Seule Lucie faisait la gueule et j'en pigeais rapidement la raison.

Je baissais mon pantalon et mon slip et je me présentais devant notre tutrice, les mains sur la tête, qui s'était déjà installée sur une chaise placée bien centre du salon pour que nul n'ignore.

Je tends le redoutable martinet à ma future fesseuse qui la pose sur le guéridon qui lui est proche.

– Mais qu'est-ce c'est que ces fesses tannées, on dirait bien que quelqu'un est passé avant moi ?

– C'est moi qui l'ai puni, Madame Leblanc, glisse Lucie, pas très fière.

– Ah bon, tu fesses ton cousin et pas qu'un peu si j'en juge à l'état de son fessier, tu t'es servi d'un martinet on dirait, je vois encore quelques traces de lanières, les habituelles petites rigoles. 

– Oui, c'est bien ça.

– Et ça s'est passé quand ?

– Hier soir.

– Bien, je vois que tu ne l'as pas ménagé, il semble que tu sois une maîtresse fesseuse. Depuis quand te permets tu de châtier Fabien ?

– Depuis les dernières vacances, c'est ma mère qui m'y a autorisé avec l'accord de sa sœur, la Maman de Fabien, cela a donné de si bons résultats cet été quand il était chez nous, qu’elle m’a demandé de continuer.

– Et ainsi, tu poursuis ton sacerdoce ?

– Beh oui.

– Cela me paraît un peu étrange, mais après tout cela ne me regarde qu'en partie. Je vais éclaircir tout cela et on en reparlera, il est bien possible que ton derrière ait sérieusement à en souffrir, si tu m'as menti, on jouera à la fesseuse fessée. En attendant, je vais m'occuper de celui de ce grand dadais, allez, en place.

– On ne pourrait pas remettre ma punition à demain, j'ai encore les fesses très sensibles.

– Et puis quoi encore, Fabien, il me semble que tu devrais commencer à connaître les règles de la maison ; les fessées sont données quand elles sont méritées et en les différant le moins possible, quelque soit l'environnement et les éventuels témoins.

– Oui Madame Leblanc, pardon d'avoir posé la question.

– Allez en piste, mauvaise graine.

 

Je me suis encore ramassé une sacrée raclée, deux séances de martinet successives, c'est très raide, même si Lucie m'avait passé de la crème apaisante ; il y a longtemps que je n'avais pas autant hurlé de douleur.

Les trois filles m'avaient déjà vu dans cette affligeante situation et connaissaient mon anatomie par cœur, sans parler de Lucie, c'était une première en revanche pour Kevin qui voyait enfin un autre mâle présenter ses attributs à cet aréopage féminin et également pour une nouvelle arrivée, une certaine Marlène d'à peine dix-huit ans, une ravissante petite blonde que j'avais mise dans mon viseur. On voit que fort de mon succès avec Justine, j'étais sur toutes les balles, ce d'autant plus que je sentais bien que ma relation avec cette dernière risquait de devenir compliquée, compte tenu des derniers développements.

J'étais donc fort marri de me trouver à nouveau les fesses et le reste à l'air, croyez-moi, ce sont des choses auxquelles on ne s'habitue pas.

Je m'attendais à souffrir et je n'ai pas été déçu, Madame Leblanc ne m'a guère semblé tenir compte du fait que mon fessier était déjà fort endommagé par la dernière correction de ma chère cousine.

En dépit de ma volonté de me montrer courageux, je suis rapidement venu à résipiscence et j'ai repris l'habituelle litanie, avec sanglots rentrés, larmes, supplications, tandis que je battais des jambes comme une sorte d'automate, livrant à toute la compagnie mes parties les plus intimes et me couvrant une nouvelle fois de ridicule.

J'ai toutefois réussi à ne pas tenter de me dégager de l'emprise de ma fesseuse, ce qui m'aurait valu on le sait un complément de raclée.

C'est presque en courant que mon supplice achevé, j'ai été me réfugier au coin, pantalon et slip aux chevilles, humilié comme jamais et prenant beaucoup sur moi pour ne pas continuer à brailler, ravalant comme je le pouvais morve et sanglots, sans compter la terrible envie de frotter mon fessier massacré.

La douleur s'apaisant tout de même au fil des minutes, je pouvais songer à l'affligeant spectacle que j'avais une nouvelle fois donné, surtout à la petite Marlène. L'année d'avant, mes éventuelles vues sur les jeunes filles qui partageaient ma pension de famille, avaient été réduites à néant pratiquement dès mon arrivée par les humiliantes fessées déculottées que je m'étais ramassées devant elles, sans parler d'autres misères moins frappantes mais encore plus mortifiantes si possible comme des prises de température rectale au milieu du salon ou encore l'épisode où je fus pourvu de couches durant toute une semaine avec demande de pipi et caca à ma logeuse.

Après avoir vécu tout ça, on comprendra que je n'étais guère en mesure de jouer les princes charmants, alors qu’objectivement je trouvais fort à mon goût mes colocataires, en particulier Julie qui me faisait beaucoup d'effet avec ses yeux azur et ses longs cheveux bruns.

Ce, même si toutes ces jeunes personnes avaient tour à tour été fessées cul nu en ma présence, là encore, nous étions frères et sœurs de fessée, mais cela n'avait provoqué nul rapprochement, sans parler du fait que Carole sur la fin de notre séjour, avait pris du grade et en tant que répétitrice, m'infligeait également de belles corrections.

Néanmoins, durant la période où nous ne nous étions pas côtoyés, je m'étais en quelque sorte refais une virginité, si je peux oser l'expression, s'agissant essentiellement de mon bas du dos, s'y ajoutait le fait que depuis la rentrée, c’est-à-dire plus d'un mois, j'étais passé entre les gouttes, n'étant pas appelé à aller faire une petite station sur les genoux de la mère Leblanc.

Là, c'était l'horreur, je changeais de statut, je redevenais le petit garçon qu'on fesse et déculotte à loisir en lieu et place du jeune homme commençant à s'affirmer, jouant les conquérants que je m'efforçais d'être depuis mon retour de chez la tante Maud.

Je m'imaginais que la jeune Marlène, pas encore forcément informée des us et coutumes de la maison au regard de son arrivée tardive qui avait forcément dû remarquer que je n'étais pas complètement indifférent à son charmant minois, après m'avoir contemplé en train de me faire rougir les fesses d'importance, exhibant mes attributs, pleurant au final comme un gosse sous les coups de martinet, avant de se retrouver slip et pantalon baissée, au piquet, les mains sur la tête, ne pouvait plus guère m'envisager comme un possible flirt.

Ce d'autant plus, qu'elle avait eu tout le loisir de découvrir mon absence de toison pubienne et fessière qui n'augurait pas d'une puberté pleinement accomplie. 

La honte s'ajoutait donc à la douleur bien réelle car la mère Leblanc, semble-t-il toute contente de retrouver mon fessier ne m'avait pas fait de cadeaux.

Mais je n'en avais pas fini de mes misères avec l'arrivée de Corinne, au départ, tout se passât bien, les deux filles étaient ravies de se retrouver et ne s'occupaient pas de moi, échangeant des confidences en se marrant.

 

Evidemment, cela ne pouvait pas durer et sans doute stimulée par sa copine, Lucie se mit en tête de m'humilier encore plus, histoire de lui démontrer qu'elle n'avait rien perdu de son emprise sur ma personne.

Il fallut d'abord que je présente mes fesses, qui gardaient quelques traces de la rude correction infligée la veille par Madame Leblanc, sans parler des précédentes, brosse puis martinet.

Je refusais d'abord de m'exhiber, ce qui eut pour effet d'énerver mon ombrageuse cousine.  

- Tu as trois secondes pour t'exécuter, après c'est la grosse rouste Fabien, mais pour qui tu te prends ?

C'était le tournant du week end, soit je cédais et je pouvais m'attendre, sinon à de l'indulgence, à tout le moins à de la modération, soit je me rebiffais et nous entrions en conflit lourd et pour longtemps.

Mais pour l'instant, je n'avais pas beaucoup de cartes en mains, même si les dernières réflexions de Madame Leblanc qui s'était étonnée de constater que ma cousine prétendait avoir le droit de me châtier, me laissaient une petite porte ouverte. Je me résignais donc lâchement à baisser pantalon et slip et à présenter mon fessier encore marqué aux deux filles qui poursuivaient leurs conciliabules tranquillement installés au fond du canapé, comme si mon obéissance aux injonctions de Lucie était une évidence.

Corinne trouvât qu'il était bien "décoré" et elle félicitât son amie qui "n'avait rien perdu de son talent". Elle passât son ongle sur les parties qui restaient encore marquées, me faisant pousser de petits cris de douleur.

– Que tu es douillet, je vois bien les traces des lanières du martinet, mais ces marques jaunâtres au milieu des fesses, c'est quoi ?

– La brosse ma chérie, comme tu le vois, c'est très efficace, même si les marques sont moins spectaculaires qu'avec le martinet, si j'en crois les réactions de Fabien, c'est assez douloureux, au contraire des lanières qui laissent subsister de petites vallées, voire des écorchures quand il est appliqué un peu trop sévèrement, la brosse provoque des bleus qui virent au jaune, c'est moins spectaculaire mais la chair est plus marquée en profondeur, il faut tout essayer n'est ce pas ?

– Bien sûr, gageons ma chère Lucie, que ces fesses ne resteront pas en l'état avant que je ne vous quitte, en plus, c'est sympa tu l'as épilé complètement.

– Oui, même la poitrine et les aisselles, il faudra qu'un jour je m'occupe aussi de ses guibolles et de ses bras, afin qu'il soit bien lisse partout, comme les cyclistes.

– Pour ce qu'il a comme poils, je ne suis pas sûre que cela vaille la peine, il a presque des jambes de fille.  Dis-moi, ce serait sympa d'aller faire un tour en ville tous les trois, Fabien est ce que tu as toujours ton short de sport, tu sais bien le très court.

– Non, je ne crois pas.

– Si tu l'as toujours, je te prends en flagrant délit de mensonge et cela te vaudra un passage sur mes genoux, allez va le chercher avant que je ne m'énerve.

– Je t'assure que je ne sais plus où il est.

– Tu t'enfonces Fabien, dépêche-toi.

Je n'avais d'autre solution que de m'incliner et je revins, piteux me présenter devant elles, mon short à la main, que ne l'avais je jeté !

– Bien, passe-le, on va aller se promener.

– Oh non, pitié, pas ici, s'il te plait Lucie.

– Il me plait justement, mais avant de le mettre, tu vas te déculotter à nouveau et venir t'allonger sur les cuisses de Corinne qui ne les a pas touchées depuis quelques temps et sera ravi de les retrouver.

– Mais oui, j'imagine que tu vas ensuite lui infliger quelques jolis coups de martinet sur les cuisses.

– Tu as tout compris ma chérie, mais c'est juste pour ménager son petit cul, déjà un peu trop abîmé, qu'elle glisse en se marrant.  Allez en piste Fabien, on dirait que tu as oublié les bonnes habitudes, tata Corinne est impatiente de retrouver tes fesses, surtout qu'à présent, elles sont parfaitement lisses.

Je restais planté pantalon et slip baissés devant mes tourmenteuses, Corinne décidemment bien délurée, se saisis de mes testicules à pleine main et les pose dans sa pomme.

- Mon pauvre Fabien, tu n'as pas été gâté par la nature, j'ai rarement vu un attirail aussi laid, il y a des hommes chez qui c'est harmonieux, ce n'est pas ton cas, en plus tu as vu Lucie, il a une couille plus grosse que l'autre.

-  Tu parles que je m'en suis aperçue, tu te souviens qu'il n'y a pas si longtemps c'est moi qui lui faisais sa toilette à fond et que j’ai recommencé, il paraît que c'est pareil chez tous les mecs.

Je suis plus honteux que jamais, pour bien marquer ma soumission, j'ai posé mes mains sur ma tête, Corinne me décalotte à présent le sexe et me procure un début d'érection.

- Je vérifie que c'est bien propre, bon ça ira, mais voilà t’y pas qu'il en profite pour bander, c'est encore plus moche quand tu entre en érection mon pauvre Fabien.

Elle parlait comme si elle avait derrière elle une longue carrière d'amoureuse, alors qu'elle était peut-être encore pucelle ! Même chose que Lucie, qui se ressemble, n’est-ce-pas …

 - Allez ça suffit, vient t'installer sur mes genoux que je vois si je n'ai pas trop perdu la main.

Si elle avait eu un peu de mal lors de sa première fessée, était à présent parfaitement rodée et il ne lui fallut guère de temps pour me faire gémir et crier, tu parles que mon fessier était sensible après les trois corrections que je venais de me ramasser. C'est Lucie qui dut l'arrêter juste avant qu'elle me tire des larmes.

– Ma chérie, il faut que tu m'en laisses un peu, si tu continues il va brailler comme le sale gosse qu'il est, même si les gens du coin sont probablement habitués à entendre des hurlements de douleur provenant de chez la mère Leblanc, ce n’est pas la peine de nous faire remarquer. Allez Fabien, relève-toi et va te mettre en position sur la table, ce sera bien plus pratique pour t'appliquer le martinet et ne fais pas semblant de pleurer et t'avoir mal, Corinne t'a à peine caressé le cul.

Je n'avais pas le choix et j'allais me placer à plat ventre sur la table de notre petite cuisine, en profitant au passage pour essuyer les larmes qui commençaient à envahir mes paupières.

– Ecarte bien tes jambes, on veut voir tes balloches se balancer et si tu cries trop, je vais te mettre un bâillon.

Ma vicieuse de cousine ne m’a pas plus ménagé que d’habitude et en dépit de ses menaces, je n'ai pu m'empêcher d'hurler vers le quinzième coup de martinet, le reliquat des fessées précédentes, plus la sévère infligée par Corinne, c'était too much et je commençais à pleurer à gros sanglots, tout en me cramponnant de mes deux mains à la table, sachant que si je me dérobais, je m'exposais à encore de plus sérieuses misères, me ridiculisant une fois de plus. Encore heureux que dans sa volonté de me marquer les cuisses, elle ne s'acharnât pas sur mon fessier terriblement meurtri, mais les cuisses ça fait horriblement mal et comme la surface est plus réduite, les lanières percutaient presque autant sur leur arrière que sur leur devant.



Les aventures de Fabien...

Elles remontent, plus exactement leurs publication sur ce blog, à août 2016 quand paraissait le 1er épisode, et nous l'avions laissé remontant de la plage lors de l'épisode 19, dans une tenue... Relisez l'épisode, vous verrez bien !

Elles continuent...

Serge reprend le flambeau et nous a proposé un vingtième chapitre et il y en a plusieurs autres, dont le dernier publié : le chapitre 31

Et les commentaires ?

Oui, c'est vrai, et les commentaires ? Serge se fera un plaisir de répondre à ceux que vous lui adressez. Si vous voulez le joindre directement, passez par moi : legall.josip35@laposte.net, je transmettrai

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