Ce fut moins rude qu'avec la brosse, il n'empêche, dès que le martinet est venu mordre mes fesses, j'ai eu beaucoup de mal à me contenir, en plus en exigeant de me décalotter avait vu juste, le bout de mon pénis frottait sur son jean et me causait une souffrance supplémentaire. Toute honte bue et me trouvant pour cette fois sans spectateur de ma déchéance, je me laissais aller, les nouvelles perspectives affichées par ma cousine n'étaient guère réjouissantes, j'allais à nouveau passer complètement sous sa coupe et je redoutais le pire, en attendant de trouver une parade.
Je pleurais donc à chaudes larmes dès
que les lanières du martinet se firent plus prégnantes, c'était sa technique,
elle montait en gamme et tu ne pouvais pas t'habituer, dès que j'avais l'impression
que la douleur devenait presque supportable, elle me connaissait bien et se
mettait à frapper avec plus de violence, me poussant à bout, me faisant redevenir
petit garçon, gigotant lamentablement sur ses genoux, écartant mes cuisses.
Elle m'avait promis une bonne correction et ce fût le cas, elle ne s'arrêtât de
me martyriser le fessier qu'au bout d'une quarantaine de coups, ayant atteint son
but, me laissant hoqueter et vainement faire appel à sa clémence, la morve me
coulait du nez encore une fois et j'avais du mal à reprendre mon souffle.
Comme elle en avait désormais l'habitude,
une fois la raclée achevée, elle a fait le tour du propriétaire comme pour vérifier
qu'aucune partie de mes fesses n'avait échappées aux lanières du martinet et
qu’elles étaient totalement écarlates et bouillantes.
– Tu peux me remercier, je ne me suis
pas occupé de tes cuisses, tu n'auras pas toujours autant de chance.
Ses doigts s'égaraient à présent dans ma
raie, frôlant mon anus, comme si elle hésitait à y glisser son majeur ou son
index en avant goût du manche du martinet dont la pénétration m'était promise après
un lavement ! J'en frémissais par avance en espérant que cela ne se ferait pas
devant d'autres personnes.
– Bien, mon pauvre ami, tu vas aller te
calmer dans ton lit, j'ai la flemme de t'infliger le piquet qui t'aurait permis
de le faire ici, tu dormiras encore sur le ventre, tu commences à y être habitué
n'est ce pas ?
– Oui Lucie.
– Tu vas me remercier pour t'avoir bien châtié.
Au point où j'en étais, je murmurais un "merci".
– Pas comme ça, merci Lucie pour cette
bonne fessée bien méritée, prononcé à haute et intelligible voie, tu le feras à
chaque fois.
Je m'exécutais, ma position allongée nu sur
les genoux de me jeune cousine, les fesses en feu et m'efforçant de rentrer mes
sanglots dans ma gorge, tandis qu'elle continuait à me caresser les fesses, ne
me permettant guère de ne pas m'incliner devant cette ferme demande.
Je passais une fort mauvaise nuit et je
dois avouer que quand Lucie vient me réveiller un peu avant l'heure habituelle
aux fins de passer une pommade apaisante sur mes fesses encore très piquantes,
je ne fis nulle manière et je me laissais faire, retombant dans mes réflexes de
naguère.
A telle enseigne que je fus presque surpris
qu'elle ne s'occupe pas de ma toilette et de mon habillement. Mais ce n'était
que partie remise.
- Il me semble que tu négliges ton hygiène
corporelle, je te donnerai une douche, ce soir en rentrant, ce ne sera pas du
luxe.
J'y ai bien eu droit, juste avant qu'on
aille dîner chez notre "tutrice", elle a recommencé les mêmes
manœuvres que chez sa mère, à savoir, passage de tout mon corps au savon, y
compris bien entendu l'intérieur de mes fesses, mon sexe et mon pubis de
nouveau déplumé, avec retrait de mon prépuce, sans oublier derrière et dans les
oreilles, pour finir par un shampoing, sans oublier un séchage méticuleux en s'attardant
une nouvelle fois sur mes parties sexuelles.
– Je vois à tes grimaces que tes fesses
sont encore un peu sensibles, je te passerai encore un peu de crème ce soir
avant de te coucher. Qu'est ce qu'on dit ?
– Merci Lucie.
– On dirait que ça t'arrache la bouche, si
tu crois que ça m'amuse de te laver les fesses comme à un bambin Fais attention
à ne pas mériter une nouvelle correction, tiens à propos, puisque Justine ne
nous fera pas l'honneur de sa présence ce week end, j'ai invité Corinne à nous
rejoindre, cache ta joie...
Il ne manquait plus que ça, un peu timorée
au début, sa copine était devenue presque pire que Lucie, si elle avait un peu tâtonné
au départ, elle frappait à présent aussi fort qu’elle, décidemment la fin de
semaine s'annonçait douloureuse pour mon arrière-train, quant à mon ego, je préférais
ne pas même y songer.
Dès notre arrivée chez Madame Leblanc,
elle m'invitât à aller jeter un œil au tableau des points, j'en étais resté à cinq
ou six points et je me retrouvais avec un deux, ce qui signifiait que j'allais
avoir droit à une fessée.
– Je ne comprends pas, j'avais six.
– Oui, mais entre temps, j'ai reçu ta dernière
note d'économie, tu as eu deux justement, ce qui te vaut trois points de moins,
tu sais ce qua ça veut dire, va chercher le martinet et prépare-toi.
Je regardais mes camarades qui s'ils ne
se réjouissaient pas ouvertement de ma proche déconvenue, n'avaient pas l'air
mécontents de me voir enfin châtié, puisque depuis un mois que la rentrée
s'était effectuée, j'avais réussi à échapper à la fessée déculottée. Seule Lucie
faisait la gueule et j'en pigeais rapidement la raison.
Je baissais mon pantalon et mon slip et
je me présentais devant notre tutrice, les mains sur la tête, qui s'était déjà
installée sur une chaise placée bien centre du salon pour que nul n'ignore.
Je tends le redoutable martinet à ma
future fesseuse qui la pose sur le guéridon qui lui est proche.
– Mais qu'est-ce c'est que ces fesses
tannées, on dirait bien que quelqu'un est passé avant moi ?
– C'est moi qui l'ai puni, Madame Leblanc,
glisse Lucie, pas très fière.
– Ah bon, tu fesses ton cousin et pas
qu'un peu si j'en juge à l'état de son fessier, tu t'es servi d'un martinet on
dirait, je vois encore quelques traces de lanières, les habituelles petites rigoles.
– Oui, c'est bien ça.
– Et ça s'est passé quand ?
– Hier soir.
– Bien, je vois que tu ne l'as pas ménagé,
il semble que tu sois une maîtresse fesseuse. Depuis quand te permets tu de
châtier Fabien ?
– Depuis les dernières vacances, c'est
ma mère qui m'y a autorisé avec l'accord de sa sœur, la Maman de Fabien, cela a
donné de si bons résultats cet été quand il était chez nous, qu’elle m’a demandé
de continuer.
– Et ainsi, tu poursuis ton sacerdoce ?
– Beh oui.
– Cela me paraît un peu étrange, mais
après tout cela ne me regarde qu'en partie. Je vais éclaircir tout cela et on en
reparlera, il est bien possible que ton derrière ait sérieusement à en souffrir,
si tu m'as menti, on jouera à la fesseuse fessée. En attendant, je vais m'occuper
de celui de ce grand dadais, allez, en place.
– On ne pourrait pas remettre ma punition
à demain, j'ai encore les fesses très sensibles.
– Et puis quoi encore, Fabien, il me
semble que tu devrais commencer à connaître les règles de la maison ; les
fessées sont données quand elles sont méritées et en les différant le moins
possible, quelque soit l'environnement et les éventuels témoins.
– Oui Madame Leblanc, pardon d'avoir posé
la question.
– Allez en piste, mauvaise graine.
Je me suis encore ramassé une sacrée raclée,
deux séances de martinet successives, c'est très raide, même si Lucie m'avait
passé de la crème apaisante ; il y a longtemps que je n'avais pas autant hurlé de
douleur.
Les trois filles m'avaient déjà vu dans
cette affligeante situation et connaissaient mon anatomie par cœur, sans parler
de Lucie, c'était une première en revanche pour Kevin qui voyait enfin un autre
mâle présenter ses attributs à cet aréopage féminin et également pour une nouvelle
arrivée, une certaine Marlène d'à peine dix-huit ans, une ravissante petite
blonde que j'avais mise dans mon viseur. On voit que fort de mon succès avec
Justine, j'étais sur toutes les balles, ce d'autant plus que je sentais bien
que ma relation avec cette dernière risquait de devenir compliquée, compte tenu
des derniers développements.
J'étais donc fort marri de me trouver à
nouveau les fesses et le reste à l'air, croyez-moi, ce sont des choses auxquelles
on ne s'habitue pas.
Je m'attendais à souffrir et je n'ai pas
été déçu, Madame Leblanc ne m'a guère semblé tenir compte du fait que mon fessier
était déjà fort endommagé par la dernière correction de ma chère cousine.
En dépit de ma volonté de me montrer
courageux, je suis rapidement venu à résipiscence et j'ai repris l'habituelle litanie,
avec sanglots rentrés, larmes, supplications, tandis que je battais des jambes
comme une sorte d'automate, livrant à toute la compagnie mes parties les plus intimes
et me couvrant une nouvelle fois de ridicule.
J'ai toutefois réussi à ne pas tenter de
me dégager de l'emprise de ma fesseuse, ce qui m'aurait valu on le sait un
complément de raclée.
C'est presque en courant que mon supplice
achevé, j'ai été me réfugier au coin, pantalon et slip aux chevilles, humilié
comme jamais et prenant beaucoup sur moi pour ne pas continuer à brailler, ravalant
comme je le pouvais morve et sanglots, sans compter la terrible envie de
frotter mon fessier massacré.
La douleur s'apaisant tout de même au fil
des minutes, je pouvais songer à l'affligeant spectacle que j'avais une nouvelle
fois donné, surtout à la petite Marlène. L'année d'avant, mes éventuelles vues sur
les jeunes filles qui partageaient ma pension de famille, avaient été réduites
à néant pratiquement dès mon arrivée par les humiliantes fessées déculottées
que je m'étais ramassées devant elles, sans parler d'autres misères moins
frappantes mais encore plus mortifiantes si possible comme des prises de température
rectale au milieu du salon ou encore l'épisode où je fus pourvu de couches durant
toute une semaine avec demande de pipi et caca à ma logeuse.
Après avoir vécu tout ça, on comprendra
que je n'étais guère en mesure de jouer les princes charmants, alors qu’objectivement
je trouvais fort à mon goût mes colocataires, en particulier Julie qui me faisait
beaucoup d'effet avec ses yeux azur et ses longs cheveux bruns.
Ce, même si toutes ces jeunes personnes
avaient tour à tour été fessées cul nu en ma présence, là encore, nous étions
frères et sœurs de fessée, mais cela n'avait provoqué nul rapprochement, sans
parler du fait que Carole sur la fin de notre séjour, avait pris du grade et en
tant que répétitrice, m'infligeait également de belles corrections.
Néanmoins, durant la période où nous ne
nous étions pas côtoyés, je m'étais en quelque sorte refais une virginité, si
je peux oser l'expression, s'agissant essentiellement de mon bas du dos, s'y ajoutait
le fait que depuis la rentrée, c’est-à-dire plus d'un mois, j'étais passé entre
les gouttes, n'étant pas appelé à aller faire une petite station sur les genoux
de la mère Leblanc.
Là, c'était l'horreur, je changeais de
statut, je redevenais le petit garçon qu'on fesse et déculotte à loisir en lieu
et place du jeune homme commençant à s'affirmer, jouant les conquérants que je
m'efforçais d'être depuis mon retour de chez la tante Maud.
Je m'imaginais que la jeune Marlène, pas
encore forcément informée des us et coutumes de la maison au regard de son arrivée
tardive qui avait forcément dû remarquer que je n'étais pas complètement
indifférent à son charmant minois, après m'avoir contemplé en train de me faire
rougir les fesses d'importance, exhibant mes attributs, pleurant au final comme
un gosse sous les coups de martinet, avant de se retrouver slip et pantalon baissée,
au piquet, les mains sur la tête, ne pouvait plus guère m'envisager comme un
possible flirt.
Ce d'autant plus, qu'elle avait eu tout
le loisir de découvrir mon absence de toison pubienne et fessière qui n'augurait
pas d'une puberté pleinement accomplie.
La honte s'ajoutait donc à la douleur bien
réelle car la mère Leblanc, semble-t-il toute contente de retrouver mon fessier
ne m'avait pas fait de cadeaux.
Mais je n'en avais pas fini de mes misères
avec l'arrivée de Corinne, au départ, tout se passât bien, les deux filles
étaient ravies de se retrouver et ne s'occupaient pas de moi, échangeant des
confidences en se marrant.
Evidemment, cela ne pouvait pas durer et
sans doute stimulée par sa copine, Lucie se mit en tête de m'humilier encore
plus, histoire de lui démontrer qu'elle n'avait rien perdu de son emprise sur ma
personne.
Il fallut d'abord que je présente mes
fesses, qui gardaient quelques traces de la rude correction infligée la veille
par Madame Leblanc, sans parler des précédentes, brosse puis martinet.
Je refusais d'abord de m'exhiber, ce qui
eut pour effet d'énerver mon ombrageuse cousine.
- Tu as trois secondes pour t'exécuter,
après c'est la grosse rouste Fabien, mais pour qui tu te prends ?
C'était le tournant du week end, soit je
cédais et je pouvais m'attendre, sinon à de l'indulgence, à tout le moins à de
la modération, soit je me rebiffais et nous entrions en conflit lourd et pour
longtemps.
Mais pour l'instant, je n'avais pas
beaucoup de cartes en mains, même si les dernières réflexions de Madame Leblanc
qui s'était étonnée de constater que ma cousine prétendait avoir le droit de me
châtier, me laissaient une petite porte ouverte. Je me résignais donc lâchement
à baisser pantalon et slip et à présenter mon fessier encore marqué aux deux
filles qui poursuivaient leurs conciliabules tranquillement installés au fond
du canapé, comme si mon obéissance aux injonctions de Lucie était une évidence.
Corinne trouvât qu'il était bien
"décoré" et elle félicitât son amie qui "n'avait rien perdu de son
talent". Elle passât son ongle sur les parties qui restaient encore marquées,
me faisant pousser de petits cris de douleur.
– Que tu es douillet, je vois bien les
traces des lanières du martinet, mais ces marques jaunâtres au milieu des fesses,
c'est quoi ?
– La brosse ma chérie, comme tu le vois,
c'est très efficace, même si les marques sont moins spectaculaires qu'avec le
martinet, si j'en crois les réactions de Fabien, c'est assez douloureux, au
contraire des lanières qui laissent subsister de petites vallées, voire des écorchures
quand il est appliqué un peu trop sévèrement, la brosse provoque des bleus qui
virent au jaune, c'est moins spectaculaire mais la chair est plus marquée en
profondeur, il faut tout essayer n'est ce pas ?
– Bien sûr, gageons ma chère Lucie, que
ces fesses ne resteront pas en l'état avant que je ne vous quitte, en plus, c'est
sympa tu l'as épilé complètement.
– Oui, même la poitrine et les aisselles,
il faudra qu'un jour je m'occupe aussi de ses guibolles et de ses bras, afin
qu'il soit bien lisse partout, comme les cyclistes.
– Pour ce qu'il a comme poils, je ne
suis pas sûre que cela vaille la peine, il a presque des jambes de fille. Dis-moi, ce serait sympa d'aller faire un tour
en ville tous les trois, Fabien est ce que tu as toujours ton short de sport,
tu sais bien le très court.
– Non, je ne crois pas.
– Si tu l'as toujours, je te prends en flagrant
délit de mensonge et cela te vaudra un passage sur mes genoux, allez va le
chercher avant que je ne m'énerve.
– Je t'assure que je ne sais plus où il
est.
– Tu t'enfonces Fabien, dépêche-toi.
Je n'avais d'autre solution que de m'incliner
et je revins, piteux me présenter devant elles, mon short à la main, que ne
l'avais je jeté !
– Bien, passe-le, on va aller se promener.
– Oh non, pitié, pas ici, s'il te plait
Lucie.
– Il me plait justement, mais avant de le
mettre, tu vas te déculotter à nouveau et venir t'allonger sur les cuisses de
Corinne qui ne les a pas touchées depuis quelques temps et sera ravi de les
retrouver.
– Mais oui, j'imagine que tu vas ensuite
lui infliger quelques jolis coups de martinet sur les cuisses.
– Tu as tout compris ma chérie, mais
c'est juste pour ménager son petit cul, déjà un peu trop abîmé, qu'elle glisse en
se marrant. Allez en piste Fabien, on dirait
que tu as oublié les bonnes habitudes, tata Corinne est impatiente de retrouver
tes fesses, surtout qu'à présent, elles sont parfaitement lisses.
Je restais planté pantalon et slip baissés
devant mes tourmenteuses, Corinne décidemment bien délurée, se saisis de mes testicules
à pleine main et les pose dans sa pomme.
- Mon pauvre Fabien, tu n'as pas été
gâté par la nature, j'ai rarement vu un attirail aussi laid, il y a des hommes
chez qui c'est harmonieux, ce n'est pas ton cas, en plus tu as vu Lucie, il a une
couille plus grosse que l'autre.
-
Tu parles que je m'en suis aperçue, tu te souviens qu'il n'y a pas si
longtemps c'est moi qui lui faisais sa toilette à fond et que j’ai recommencé,
il paraît que c'est pareil chez tous les mecs.
Je suis plus honteux que jamais, pour bien
marquer ma soumission, j'ai posé mes mains sur ma tête, Corinne me décalotte à
présent le sexe et me procure un début d'érection.
- Je vérifie que c'est bien propre, bon
ça ira, mais voilà t’y pas qu'il en profite pour bander, c'est encore plus moche
quand tu entre en érection mon pauvre Fabien.
Elle parlait comme si elle avait derrière
elle une longue carrière d'amoureuse, alors qu'elle était peut-être encore pucelle
! Même chose que Lucie, qui se ressemble, n’est-ce-pas …
-
Allez ça suffit, vient t'installer sur mes genoux que je vois si je n'ai pas
trop perdu la main.
Si elle avait eu un peu de mal lors de sa
première fessée, était à présent parfaitement rodée et il ne lui fallut guère
de temps pour me faire gémir et crier, tu parles que mon fessier était sensible
après les trois corrections que je venais de me ramasser. C'est Lucie qui dut
l'arrêter juste avant qu'elle me tire des larmes.
– Ma chérie, il faut que tu m'en laisses
un peu, si tu continues il va brailler comme le sale gosse qu'il est, même si
les gens du coin sont probablement habitués à entendre des hurlements de douleur
provenant de chez la mère Leblanc, ce n’est pas la peine de nous faire
remarquer. Allez Fabien, relève-toi et va te mettre en position sur la table,
ce sera bien plus pratique pour t'appliquer le martinet et ne fais pas semblant
de pleurer et t'avoir mal, Corinne t'a à peine caressé le cul.
Je n'avais pas le choix et j'allais me
placer à plat ventre sur la table de notre petite cuisine, en profitant au passage
pour essuyer les larmes qui commençaient à envahir mes paupières.
– Ecarte bien tes jambes, on veut voir
tes balloches se balancer et si tu cries trop, je vais te mettre un bâillon.
Ma vicieuse de cousine ne m’a pas plus ménagé
que d’habitude et en dépit de ses menaces, je n'ai pu m'empêcher d'hurler vers
le quinzième coup de martinet, le reliquat des fessées précédentes, plus la
sévère infligée par Corinne, c'était too much et je commençais à pleurer à gros
sanglots, tout en me cramponnant de mes deux mains à la table, sachant que si
je me dérobais, je m'exposais à encore de plus sérieuses misères, me ridiculisant
une fois de plus. Encore heureux que dans sa volonté de me marquer les cuisses,
elle ne s'acharnât pas sur mon fessier terriblement meurtri, mais les cuisses
ça fait horriblement mal et comme la surface est plus réduite, les lanières percutaient
presque autant sur leur arrière que sur leur devant.
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