Toujours un cran plus sévère

 « J’ai l’impression que les fessées que je te donne n’ont pas d’effet durable, même quand elles sont très sévères. Sur le moment, bien sûr, tu as honte d’avoir la culotte baissée et d’être puni comme on le fait pour un petit garçon désobéissant. Ensuite, tu te tiens tranquille pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines, mais tu finis toujours par recommencer.

– J’ai compris, je te l’assure. Je ne recommencerai plus.

– Je sais ce que valent tes promesses. Non, tu espères toujours que tes frasques ne me viendront pas à l’oreille et que tu éviteras la punition que tu as méritée. Tu ne cesseras tes gestes déplacés que si tu es certain d’en être puni à chaque fois.

– Mais non, je te promets. Je vais arrêter maintenant.

– J’ai bien vu comment la présence de Corinne pendant que je te déculottais et que je te fessais, t’a indisposé. Ce qu’il faut, c’est que je ne sois plus la seule à te corriger quand tu en as besoin.

– Oh non, s'il te plait !

– Non seulement c’est comme cela que ça se passera désormais, mais nous allons commencer tout de suite. Allons, en place !

– Non, attends !

– C’est toi qui vas attendre sagement que Corinne ait fini de te punir. Es-tu prête, Corinne ?

– Je ne suis pas certaine d’être prête, mais je crois que c’est nécessaire.

– Tiens, voilà ce qu’il te faut !

– Franchement je dois t’avouer que c’est la journée des premières. Quand tu m’as dit de venir avec toi, je m’attendais à ce que nous ayons une discussion houleuse avec lui, mais je ne pensais pas que tu lui donnerais une fessée.

– Je comprends, mais avoue que c’était nécessaire. Relève bien la chemise pour dégager les fesses.

– Je ne dis pas le contraire. Je pense que c’est une très bonne solution, mais si on m’avait dit, ce matin quand je suis arrivée au travail, que moins de deux heures plus tard j’aurais mon directeur allongé à pat ventre en travers de mes genoux, la culotte baissée, je n’y aurais pas cru.

– Bien sûr, cela m’a fait la même effet la première fois où j’ai dû sévir, mais c’est une question d’habitude. Tu verras, quand tu lui auras donné deux ou trois fois la fessée, cela te paraîtra normal.

– Je crois que je vais m’y faire facilement.

– Va y franchement ! Evidemment, être déculotté et allongé en travers des genoux d’une de ses employées constitue une bonne partie de la punition. Cela lui démontre que s’il n’est pas assez grand pour se discipliner lui-même, d’autres vont s’en charger. Mais il faut aussi qu’il sente la rigueur de la brosse sur ses fesses. Elles doivent finir écarlates et bien cuisantes.

– Comme cela ?

– Exactement, tu dois même pourvoir y aller un peu plus fort.

– Aïe... aïe !

– Tu as raison, quand j’y mets plus d’énergie, ça se sent tout de suite.

– Aïe ! Corinne, s'il vous plait ! Aïe !

– Voilà ! Maintenant c’est parfait ! Continue encore un peu !

– Je saurai comment m’y prendre désormais.

– Regarde, quand tu touches la peau, non seulement elle est brûlante, mais en plus elle change de couleur quand tu appuies/

– Ah oui, c’est vrai !

– C’est malheureux, à son âge de devoir encore lui donner la fessée déculottée pour qu’il soit sage, mais que veux-tu, c’est ce dont il a besoin.

– C’est sûr que s’il en prenait une à chaque fois qu’il l’a méritée, nous aurions bien moins de soucis avec lui.

– Je pense que c’est la solution. Il faut que nous soyons bien plus nombreuses à réagir immédiatement quand son comportement laisse à désirer. Je vais informer toutes nos collègues que je leur donne l’autorisation de le déculotter et de le fesser au moindre petit problème. Tu leur confirmeras combien c’est efficace.

– Bien entendu, je n’y manquerai pas à chaque fois que cela se présentera.

– Oh non, pas ça !

– Corinne, je crois qu’il n’en a pas eu assez. Tu continues, s'il te plait ?

– Aïe ! Non, aïe… pardon, aïe !

– Je crois qu’il va finir par comprendre.

Merci à...

... eh bien, à personne, je crois, à moins que ce ne soit au photographe qui a pris cette photo que les logiciels permettent de transformer en dessin. Pas mal, non ? Qu'en pensez-vous ? Faut-il continuer dans cette voie ?

Il faut lire le début de l'histoire !

 

 

Laisser un commentaire, un témoignage ? C'est ci-dessous !

N'hésitez pas à en faire un usage immodéré. Le commentaire ne s'use pas quand on s'en sert.