mercredi 11 novembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 23

 « A ton tour, jeune fille ! »

Jeune fille ? Aurélie n’avait pas vraiment l’impression d’être tellement plus jeune que celle qui venait l’inviter à la rejoindre pour recevoir sa fessée. Oui, mais elle avait tout de même le droit de la corriger. Aucun doute sur cette question. Aurélie avança vers la policière. Elle ne le voulait pas, mais que faire d’autre ?

Ce n’était pas simple pour Aurélie. Elle connaissait Marjorie depuis qu’elles étaient toutes petites. Elles avaient fréquenté les mêmes classes depuis la maternelle et, durant les dernières années de lycées, elles avaient fait partie du même groupe d’amis. Il y avait eu quelques fâcheries d’adolescentes entre elles deux, rien de grave et elles s’étaient toujours appréciées, comme deux filles très différentes mais assez complémentaires : Aurélie la première de la classe et Aurélie celle qui ne s’en laissait pas compter, même s’il fallait aller à l’affrontement physique avec les garçons.

« Approche ! »

Tirée par le bras, Aurélie fit les deux derniers pas en un saut. Marjorie voulait montrer quel niveau d’obéissance elle attendait de son ancienne condisciple. Elle souleva le bas de la jupe en glissant ses mains vers la culotte.

« Mais Marjorie… non, s'il te plait !

– Je ne veux pas t’entendre ! Ce n’est pas l’ancienne amie qui va te donner une fessée déculottée, mais la policière municipale. Je te conseille de ne pas l’oublier ! »

Aurélie hocha la tête. Evidemment, leur relations ne pouvaient plus se placer sur un plan d’égalité. Elles appartenaient maintenant à deux groupes très différents : celles qui donnaient la fessée et ceux qui la recevaient. Elle sentit que sa culotte descendait et un petit courant d’air froid passa sur ses fesses nues. Elle n’eut plus le temps de réfléchir à ce qui lui arrivait et comment gagner encore un peu de temps avant que la correction ne commence.

Fermement, la policière coucha Aurélie sur ses genoux. Elle glissa sa main sous la jupe et elle la remonta le long des cuisses, puis des fesses pour retrousser la jupe.

« Bien qu’elle ait plus de trente ans, ses fesses ressemblent bigrement à celles des jeunes filles que je fesse habituellement. »

Cette constatation fit s’envoler les dernières réticences qu’elle avait à fesser son amie. Elle ne faisait que son devoir, comme elle le faisait habituellement. Il n’y avait aucune raison qu’Aurélie bénéficie d’un traitement de faveur. Elle abattit sa main sur les fesses qui s’étaient couvertes de chair de poule. Aurélie cria et elle crispa tous ces muscles, mais sans chercher à quitter les genoux sur lesquels elle était punie.

Cette réaction conforta Marjorie dans la certitude qu’elle avait fait le bon choix. Aurélie n’avait rien de différents des jeunes gens qu’elle corrigeait. Elle fit tomber sa main sur l’autre fesse. Aurélie cria de nouveau, mais sa plainte fut écourtée par la main qui claqua de nouveau les fesses.

La fessée se poursuivit. L’attention de Marjorie était centrée sur l’efficacité de ce qu’elle faisait. C’était important d’ôter définitivement ; à Aurélie, l’envie de recommencer. Quand elle se lèverait des genoux sur lesquels elle gisait, il fallait qu’elle ait une nouvelle vision de l’obligation de respecter les règles définies par la loi.

« Comme elle est plus âgée que mes habituels punis, je dois sans doute appuyer mes claques un peu plus fort. Marjorie frappa un peu plus fort.

« Ce n’est parce que c’est une fille, qu’il faut que je sois plus clémente ! »

Elle y mit toutes ses forces et toute son application et cela se vit aux réactions d’Aurélie. Celle-ci dansait maintenant sur les genoux de sa correctrice et si ce n’étaient ses cris particulièrement dissonants, cela aurait pu passer pour un ballet moderne.

Marjorie continua tant qu’elle en eut la force. Son bras finit par fatiguer et sa paume devenait incandescente.

« Bon, je crois que ça suffit pour le moment, se dit-elle ! »

Aurélie éclata en sanglot dès qu’elle comprit que la fessée était terminée. Elle n’en avait pas eu le loisir jusqu’à maintenant, tant la fessée avait été rude. Elle était restée le plus souvent en apnée, retenant sa respiration pour absorber la cuisson que Marjorie dispensait généreusement sur ses fesses. Cela ne lui avait pas permis d’extérioriser ses sentiments, mais le barrage avait rompu, dès que la correction lui en laissa le temps.

Elle resta allongée sur les genoux de la policière, le corps secoué des spasmes provoqués par ses pleurs.

 

«  Pas tant de comédie, lui intima sa mère ! Tu as reçu la fessée que tu as méritée ! »

Aurélie sentit la main de sa correctrice se poser sur le sommet de ses fesses, puis dessiner des petits cercles sur la peau enflammée. Cela lui fit du bien, pas tant physiquement que psychologiquement. Grâce à la caresse sur ses fesses, elle sentait la compassion de la policière et cela la rasséréna. Pas un instant elle ne songea à elle comme une ancienne condisciple. Non, elle représentait maintenant la loi et elle avait été punie de l’avoir outrepassée. Les genoux sur lesquels elle se tenait à plat ventre et la main qui l’avait si rudement fessée, n’en avaient été que l’instrument. Justice avait été faite.

«  Va te mettre au coin, ordonna sa mère ! Nous avons encore à discuter de votre désobéissance de ce matin. La punition de Marjorie, c’était pour être sortis sans l’attestation. Il reste à régler la question de votre fugue. Je n’ai pas l’intention que vous recommenciez ! »

Aurélie, à petits pas pressés, se dirigea vers le coin où elle avait ses habitudes.

« Evidemment, se dit-elle, je ne comptais pas m’en tirer à si bon compte. »

Elle prit la position que sa mère attendait. C’était toujours la même, celle que Philippe, dans son coin, avait également prise.

« Madame le Maire, vous avez fait du bon travail. Ils sont très obéissants ! En trois jours, c’est remarquable ! »

Marjorie savait apprécier l’autorité que sa patronne avait sur sa fille et son gendre. Elle avait pu constater, à plusieurs reprises, qu’il n’en était pas ainsi dans toutes les maisons du village. Dans bien des endroits, les parents, les compagnes ou plus généralement ceux ou plus souvent celles, qui avaient la tutelle sur les jeunes gens dont elles s’occupaient, devaient faire un ferme usage de leur ascendance sur leur pupille, pour les faire obéir quand il était question de punition, surtout quand cela se passait en public. Cela ne suffisait pas toujours.

La plupart de ceux qu’il s’agissait de punir n’appréciaient pas leur nouvelle condition. Les premières fois, cela se traduisait très souvent par des protestations indignées, des appels à leur âge censé les protéger d’une fessée déculottée, à leur condition d’adulte et à leur pudeur bafouée.

Certains déculottages s’étaient révélés sportifs quand les pupilles avaient décidé de ne pas se soumettre aux injonctions de leur tutrice. Les faibles résistances avaient été le plus souvent ignorées mais les oppositions les plus fortes avaient demandé des mesures plus fermes.

Les mises au coin aussi s’étaient souvent révélées problématiques, surtout quand le puni devait s’en acquitter devant témoins. Marjorie avait été appelées plus d’une fois pour prêter main forte à l’un deux et elle s’acquittait de sa tâche avec zèle, ne laissant jamais l’un de ses jeunes gens s’en tirer sans une monumentale fessée, en paiement du déplacement qu’elle avait dû faire en raison de leur désobéissance.

Habituellement, une seule intervention de la policière municipale suffisait pour mettre fin aux oppositions des récalcitrants. La menace de faire de nouveau appel à elle suffisait pour faire plier les personnes qui avaient besoin d’une fessée. Ils se soumettaient de mauvaise grâce à une nouvelle punition, mais ils ne prenaient pas le risque de provoquer une seconde immixtion de Marjorie dans leur régime disciplinaire.

Assez rarement, il avait fallu un deuxième déplacement. Marjorie avait alors utilisé son ceinturon et administré la fessée déculottée en extérieur et les punis avaient dû s’y tenir un long moment en pénitence. Puis ils avaient dû aller demander pardon à leur tutrice qui leur avaient administré une nouvelle correction sur le champ.

Une seule fois, il avait été nécessaire d’aller plus loin. La fessée domestique qu’il avait reçue à cette occasion n’avait pas soldé sa désobéissance. Il avait été convoqué dans les locaux municipaux tous les soirs pendant une semaine. Sur le trottoir, il avait reçu la fessée chacun de ces sept jours, puis, les fesses nues, il avait dû patienter au piquet, attendant l’autorisation de se reculotter et de rentrer chez lui. Il n’avait pu compter le nombre de personnes qu’il connaissait qui avaient assisté à au moins l’une de ses punitions. Il se l’était tenu pour dit et acceptait maintenant, sans tergiverser, les corrections de sa tutrice, y compris quand elles se déroulaient dans un lieu public.

Chez Madame le Maire, rien de tel. Quand Marjorie retourna à ses affaires, Aurélie et Philippe se tenaient chacun dans leur coin, montrant leurs fesses encore rougies de la fessée qu’ils venaient de recevoir.

« J’espère, Marjorie, que la prochaine fois que vous prendrez l’un de ces deux-là en faute, vous n’attendrez pas mon autorisation pour le déculotter et le fesser, où que vous soyez !

– Je vous le promets, Madame le Maire. Ce sera fait. »

 

Maman Marianne avait vaqué à ses obligations pendant un long moment sans s’occuper des deux punis en pénitence. Quand elle était arrivée, Madame Bernadette avait grondé. Philippe et Aurélie avaient serré les fesses, craignant une nouvelle correction, mais cela n’avait pas été plus loin.

« Venez ici, tous les deux ! »

Sur la table, il y avait deux couteaux de cuisine que Maman Marianne désignait.

« Vous allez me couper deux baguettes dans le noisetier. »

Aurélie devint toute blanche. Elle savait ce que cela voulait dire.

« Je vois Aurélie que tu te souviens de leur destination. Tu montreras à Philippe quelle badine il faut choisir. Je pense que tu t’en rappelles. »

Aurélie s’en rappelait, oui. Comment oublier ? Mais elle ne trouvait rien à dire. La bêtise qu’ils avaient commise ce matin demandait une réaction ferme. Avec la baguette, elle le serait. Aurélie le savait, par expérience.

« Allez ! Filez ! Je veux vous voir de retour ici dans moins de deux minutes ! Si vous n’êtes pas revenus à temps, il y aura une double dose pour celui qui arrivera en retard ! »

Deux minutes pour se rendre au fond du jardin et en revenir avec la démarche entravée par une culotte baissée, il n’y avait pas de temps à perdre. Aurélie marcha vers la porte aussi rapidement qu’elle le pouvait. Philippe, sentant l’urgence de la situation lui emboita le pas. Il eut une courte hésitation quand il fallu franchir le seuil pour se retrouver dehors.

« Aurélie ! Ta culotte ! N’importe qui peut voir tes fesses !

– Je sais, mais tu ferais mieux de te dépêcher ! »

Aurélie avait pris quatre ou cinq mètres d’avance. Elle ne faisait pas du tout attention aux éventuels passant sur la route qui ne pourraient pourtant pas la manquer.

« Tu n’as pas encore compris que d’être les fesses nues là où des gens peuvent nous voir est le cadet des soucis de Maman ? Cela t’arrivera très souvent. Tu ferais mieux de t’y habituer et de te dépêcher de me suivre. A moins que tu ne veuilles une double dose de la baguette, mais je ne te le conseille pas. »

Philippe en réfléchit pas plus d’une seconde. Aurélie parlait avec clairvoyance. Il fallait se faire une raison. Il soupira. Ce n’était pas la première fois qu’il se retrouverait les fesses nues dans un lieu où des personnes qu’il ne connaissait pas pouvaient l’apercevoir. Chez sa belle-mère, cela n’avait rien d’incongru ni d’indécent, malgré son âge. Il se hâta de rattraper sa compagne, sans tourner le regard vers la route. Advienne que pourra !

Il y eut deux voitures qui passèrent, le temps qu’ils arrivent à l’autre bout du jardin. Elles ne freinèrent pas du tout, bien qu’elles ne pussent manquer de voir les deux adultes qui se hâtaient de leur démarche hésitante, les fesses à l’air. Monsieur Antoine était dans son jardin. Il les aperçut par-dessus la haie.

« Tiens, dit-il, il y a de la baguette dans l’air. Pas étonnant après vos exploits de ce matin ! »

Une dame qui se rendait à pieds au village fit une pause devant la barrière.

« Bonjour ! Dites-moi, Monsieur Antoine, c’est vous qui vous apprêtez à les fesser. Car il y a bien une fessée en préparation, je me trompe ?

– Bonjour, Madame Moreau. Vous ne vous trompez pas, mais ce n’est pas moi qui vais sévir. C’est Madame le Maire !

– Ah oui, j’ai entendu dire que la petite Aurélie était de retour et qu’elle avait emmené son conjoint. Il parait que Madame le Maire a repris ses bonnes vielles habitudes pour tenir sa fille dans le droit chemin et que son gendre profite du même traitement. Je vois que c’est bien le cas !

– Ce qui est sûr, c’est que ces deux-là vont avoir les fesses striées pour toute lajournée ! »

Aurélie ignorait la présence de la dame. Elle avait tout juste ralenti le pas pour lui adresser un « bonjour Madame » rapide avant de reprendre sa marche vers sa destination. Philippe n’avait pas eu cette présence d’esprit.

« Dis-moi, mon garçon, l’apostropha Monsieur Antoine, tu ne sais pas dire bonjour ? Tu sais que les garçons impolis reçoivent la fessée, ici ! Veux-tu que je demande à Madame Moreau de te la donner elle-même ?

– Oh non, Monsieur Antoine, Pardon ! Bonjour Madame ! Excusez-moi, je ne voulais pas être impoli. Je… je … la surprise…

– Ça ira pour cette fois, mon garçon, mais que je ne t’y reprenne pas ! Allez file ! Je crois que tu es attendu ! »

La conversation reprit quelques minutes avec Monsieur Antoine, sans que ni l’un ni l’autre ne fît plus attention à Aurélie et à Philippe qui se pressaient vers le fond du jardin.

 

Aurélie avait guidé Philippe dans le choix de sa baguette pendant qu’elle en coupait une pour elle.

« Bien droite, avait-elle dit. Longue comme ça, en écartant les mains de quelques dizaines de centimètres. Pas de nœuds, avait-elle précisé et grosse comme mon petit doigt ! »

Il n’y avait pas encore de feuilles. Ce n’était pas encore la saison.

« Mais c’est pour quoi faire ?

– Tu es bête ou quoi ? Maman va te donner la fessée avec la baguette que tu es en train de couper. Je peux t’assurer que ça ne fait pas du bien. Je parie qu’après, tu n’auras plus envie de partir sans son autorisation. »

Bien sûr, Philippe avait compris ce qui l’attendait, mais il avait besoin de se l’entendre dire par sa compagne pour en palper la réalité. Il serra les fesses. Il ne pouvait éviter la punition qui l’attendait. Elle l’effrayait rien que d’y penser. Il grommela pour toute réponse.

Aurélie attendit que Philippe eût trouvé ce qui correspondait à ses indications, puis ils firent le chemin inverse.

 

Maman Marianne les attendait derrière la porte à travers des vitres de laquelle elle avait surveillé leur périple. Elle avait apprécié leur empressement à revenir vers elles tout en sachant ce qui les y attendait/

« Montre-moi ça ! »

Elle prit la baguette des mains d’Aurélie et elle la fit siffler dans l’air.

« Parfait ! Exactement ce qu’il te faut pour te faire passer l’envie de fuguer ! Donne-moi la tienne ! »

Elle fit le même geste avec celle de Philippe qu’avec celle d’Aurélie. Elle hocha de la tête en signe d’approbation, puis elle rendit son instrument punitif à son gendre.

« Je vais commencer par Aurélie, comme ça tu sauras ce qui t’attend ! »

Elle attrapa sa fille par le bras et elle l’emmena vers un tabouret bas sur lequel elle posa son pied. Aurélie dut se courber sur la cuisse qui était maintenant à l’horizontal. Maman Marianne passa son bras entre les jambes de sa fille et elle la hissa un peu plus haut. Les pieds d’Aurélie ne touchaient plus le sol et ses bras pendaient dans le vide. Elle posa une main sur le mollet de sa mère. Elle senti que la jupe était replacée sur son dos. Elle crispa ses fesses, attendant la douleur dont elle avait gardé le souvenir. Le temps ne l’avait pas édulcoré.

La baguette siffla et son élan s’acheva sur les fesses d’Aurélie. La jeune femme rua, arquant son corps et tétanisant ses muscles, se plaçant brièvement à l’horizontal, puis retombant dans sa position de départ. Aurélie hurla. Elle n’était restée en position que grâce à la poigne de sa mère qui la maintenait en équilibre sur sa cuisse.

La baguette retomba une deuxième fois. Maman Marianne n’avait pas diminué la vitesse avec laquelle elle avait appliqué la badine sur les fesses de sa fille. Deux longs traits rouges barraient maintenant les fesses d’Aurélie. Cela ne contenta pas Marianne. Aurélie avait besoin d’une correction bien plus sévère.

La baguette siffla de nouveau, dessinant un troisième trait qui croisa les deux premiers. Aurélie se raidit de nouveau. Ensuite, elle n’en eut plus la possibilité. Le rythme auquel sa mère abattait la baguette sur ses fesses ne lui en laissait pas le temps. Elle eut l’impression que la correction n’allait jamais cesser. Elle ne se débattait pas vraiment, mais ses mouvements involontaires étaient si erratiques que sa mère était obligée de la maintenir en place. Une main encerclant la taille le permettait sans trop de difficulté. Il fallait juste amortir les gestes les plus vifs.

« Est-ce toi qui a eu la géniale idée de cette excursion matinale ?

– Non, Maman, non, c’est pas moi !

– En es-tu certaine ?

– Oui, Maman, oui ! C’est Philippe ! Il m’a obligé. J’ai dû le suivre.

– Et toi, tête de linotte, tu n’as pas réfléchi plus loin que le bout de ton nez ? »

La baguette vint confirmer le jugement de Marianne sur le comportement de sa fille.

« Je vais voir cela avec Philippe tout de suite. En attendant, je crois que le fessée, ne serait-ce que pour avoir participé, n’a pas encore été assez démonstrative. Continuons encore un peu ! »

Le cri d’Aurélie n’y changea rien. La badine retrouva le chemin de ses fesses.

Quand les fesses d’Aurélie furent presque entièrement couvertes de stries que s’entrelaçaient, Marianne estima que la leçon donnée à sa fille était suffisante. Elle toucha l’épiderme zébré de sa main. Un cri étouffé accompagna ce geste. L’échauffement était parfaitement perceptible. Elle remit sa fille sur ses pieds et elle dut la soutenir un peu afin qu’elle retrouve son équilibre.

Les yeux embrumés par les larmes, Aurélie resta immobile auprès de sa mère.

Philippe, mais aussi de désespoir de savoir que sa correction n’était pas encore achevée et qu’elle allait, au contraire, entrer dans une phase très douloureuse.



Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !

Ah, là, là, là, là, là, là ! Bon,  voici début : le chapitre 1
Et le précédent : le chapitre 22


Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?

Eh ben... tu verras bien la semaine prochaine !

Allez, un commentaire !

Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.

3 commentaires:

  1. Bjr JLG,
    je vois que les fesses de 2 citadins sont de plus en plus connus dans le village , bientôt un tour au village et reconnus ?
    Au plaisir de vous lire

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    1. Cher lecteur anonyme,
      Vous le saurez en lisant les prochains épisodes...selon la formule consacrée.
      Au plaisir de vous lire
      JLG.

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  2. Bonjour JLG. Et bonjour à tous.
    Devoir être fessée, parce qu'on l'a mérité, par une ancienne camarade de classe devenue gendarme, quelle redoutable épreuve! De même, être contraints, pour nos deux coupables d'aller se choisir, les fesses à l'air, les badines qui vont servir à les punir, au risque d'être vus de la rue, quel périlleux exercice! Vous rendez remarquablement bien compte du climat de cette scène. On a le sentiment d'y assister.
    Amicalement.
    François

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