jeudi 26 novembre 2020

Le journal d'Olga - chapitre 35 - acte 1

 Elle était tout excitée, Margaux.

« Vous vous rappelez la fois où la directrice a renvoyé Adilson, Paul et Arnaud en classe en petite jupette bleue et chemisier blanc ?

Évidemment qu’on se rappelait ! Évidemment ! Du lundi précédent ça datait. On n’avait pas encore Alzheimer quand même !

N’empêche qu’est-ce qu’on avait rigolé après, dans la cour, à leur mettre les fesses à l’air !

‒ Surtout que comment elles étaient rouges !

‒ Et toutes striées. C’était joli comme tout.

‒ Eh ben, je l’ai…

‒ Quoi ? Qu’est-ce tu as, Margaux ?

‒ Le film de leur punition. Je l’ai.

D’un petit air triomphant.

‒ C’est pas vrai ! Comment t’as fait ?

Chelsea a coupé court.

‒ Mais on s’en fiche de comment elle a fait. On s’en fiche. L’essentiel, c’est qu’elle l’ait. Et qu’on puisse le voir.

Si. Oui. Là-dessus tout le monde est tout de suite tombé d’accord. Non, ce qu’il fallait, c’était s’organiser. Ça a discuté un bon moment et puis finalement on a décidé de toutes se retrouver, toutes celles qui le voudraient, le soir même, chez Laura. Parce qu’elle avait une salle de séjour immense, un écran gigantesque et que ses parents ne rentraient pas du travail avant huit heures.

Et Théo ? Il pouvait pas venir, Théo ?

Ça n’a été qu’un cri.

‒ Ah, non, il peut pas, non ! Pas de garçons ! Que nous ! Que les filles !

J’étais désolée. J’aurais tant aimé qu’il vienne. Partager ça avec lui.

Il m’a posé un petit baiser dans le cou.

‒ Pas grave ! Tu me raconteras. Profites-en bien !

 

Et, après les cours, on s’est retrouvées à près d’une trentaine chez Laura. Rien que des filles. Comme convenu. La plupart de notre classe. Ça a fait tout un brouhaha le temps que tout le monde arrive et s’installe. Un peu partout. Surtout par terre. Il y en avait qui avaient apporté des bières. D’autres de la tequila. Plein d’autres trucs encore…

‒ Bon, allez, on y va ?

Le silence s’est fait. Laura a baissé les volets métalliques. De moitié.

Et ça a démarré.

La salle de classe juste à côté de la permanence. Vide. Avec seulement les tables, les chaises et le bureau. La porte s’est ouverte et ils ont fait leur apparition. Tous les trois. Tout seuls. Et Adilson s’en est pris aussitôt aux deux autres.

‒ C’est votre faute ! C’est vous qu’avez voulu qu’on leur soulève les jupes aux filles…

‒ Oh, le menteur !

Et on l’a toutes copieusement hué.

Paul et Arnaud n’ont pas eu le temps de lui répondre parce que Mère Jolanta S. et sœur Weronika O. sont arrivées, armées de leurs fouets, avec la directrice, Fabienne D., sa secrétaire Mary P. et Léa, notre déléguée de classe, sur leurs talons.

Chelsea a marmonné entre ses dents.

‒ Oui, oh ben alors là, si c’est les deux bonnes sœurs qui les punissent, ils vont le sentir passer…

Margaux a gloussé.

‒ Et elles, elles vont sacrément y trouver leur compte. On les connaît maintenant.

La mère supérieure les a longuement pris, l’un après l’autre, sous son regard.

‒ Vous n’avez pas honte ?

Ils n’ont pas répondu. Ils sont restés tête basse. Tout penauds.

‒ Hein ? Vous n’avez pas honte ? Eh bien ? J’attends.

C’est Arnaud qui s’est dévoué.

‒ Oh, mais c’était pas bien méchant. C’était juste comme ça, pour s’amuser…

‒ Pour s’amuser ? Ah, ben on va s’amuser tous ensemble alors puisque ça vous plaît tant. Et on va commencer par toi, mon garçon, qui as la langue si bien pendue. Allez, tu te déshabilles ! Et tout t’enlèves. Tout.

Arnaud a regardé tout autour de lui d’un air effaré, puis suppliant.

‒ Ma mère, je…

Elle a fait claquer son fouet en l’air.

‒ Tu rien du tout. Tu te déshabilles. C’est tout ce qu’on te demande. Et tu te dépêches, parce que sinon…

Il s’y est finalement résolu. Le sweet par-dessus la tête. En même temps que le maillot de peau. Il les a déposés sur le bureau. Ses chaussures. Ses chaussettes. Il a lentement, très lentement, déboutonné son pantalon. Qui a suivi le même chemin. Et puis il est resté là, en boxer, à danser d’une jambe sur l’autre.

Sœur Weronika O. est passée derrière lui.

‒ On t’a dit de te dépêcher !

Et elle le lui a fait dégringoler sur les pieds, le boxer.

Il a poussé un petit cri et il s’est précipitamment dissimulé ce qu’il a en bas avec ses deux mains ramenées en coquille devant lui.

Ce qui nous a toutes fait éclater de rire.

‒ Enlève-les !

Et Mère Jolanta S. lui a envoyé un petit coup de fouet dessus pour l’obliger à les retirer. Avant de constater.

‒ Mon pauvre garçon, il y a vraiment pas grand-chose à cacher.

Il y avait plein de filles qu’étaient de cet avis.

‒ Oh, ben oui, tu parles ! C’est tout juste si on arrive à distinguer quoi que ce soit.

‒ Il est carrément handicapé, oui, vous voulez dire !

Ce qui n’empêchait pas Mary P. et Léa d’avoir les yeux rivés dessus avec un petit air intéressé. Et gourmand.

Sœur Weronika O. a froncé les sourcils, lui a passé la main sur le torse, le lui a scruté. De tout près.

‒ L’hygiène, c’est pas vraiment ton point fort, toi, hein !

Elle a poursuivi son examen, est descendue, s’est emparée de sa queue.

‒ Tu te laves au moins ?

Et elle la lui a décapuchonnée. Pour vérifier. Ça a fait comme un sursaut. Un soubresaut. Et puis un bond.

On y est aussitôt allées de nos petits commentaires.

‒ Ça le fait un peu quand même !

‒ Oui, oh, pas tant que ça ! Il y a pas de quoi crier au miracle non plus.

‒ Moi, en tout cas, je sais que ça me tenterait pas vraiment.

Les deux religieuses l’ont fait mettre à genoux sur l’estrade, le nez collé au tableau. Il s’est encore efforcé de les apitoyer.

‒ Ma mère ! Ma sœur ! Me le faites pas ! Me fouettez pas ! Je recommencerai pas. Je vous promets.

Pour toute réponse, Mère Jolanda S. lui a expédié un grand coup de fouet sur les fesses. Il s’est cabré. Et sœur Weronika O. aussi. Sur le dos. Il a hurlé.

Il y a eu comme un frémissement tout autour. Des filles se sont agitées.

Il y en a une qui a claironné.

‒ Oh, putain, ça y est ! Ça attaque. Comment j’aime ça !

À ces deux premières cinglées en ont tout aussitôt succédé d’autres. Régulières. Méthodiques. Sur les fesses. Sur le dos. Sur le haut des cuisses. Sur les reins. Elles lâchaient leurs coups de loin, les deux sœurs. Pour qu’ils portent davantage. Ils s’incrustaient en longues stries rouges qui se croisaient et se recroisaient sur la peau d’Arnaud plaqué, les bras levés, contre le tableau à l’intérieur duquel on aurait dit qu’il voulait disparaître. Il criait. Il hurlait. À pleins poumons.

Un coude a vibré contre ma hanche. Celui d’Elena qui avait enfoui sa main dans son pantalon et s’y

activait énergiquement. Tout autour il y avait des soupirs. Des halètements. Des gémissements.

‒ Cinquante !

Et la directrice a dit que c’était bon. Que ça suffisait.

‒ Tu peux te relever !

Mais elle n’a pas voulu qu’il s’en aille. Il a dû rester là, debout, tout nu, les mains sur la nuque, le nez collé au tableau.

‒ Et tâche de bien te mettre dans la tête qu’il y a des choses qui ne se font pas, mon garçon ! Qui sont tout à fait inacceptables.

 

Et ça a été au tour de Paul. Qui a fait le bravache. Qui s’est déshabillé à toute allure en les regardant droit dans les yeux, les deux sœurs.

‒ Oh, alors ça, ça va pas leur plaire.

Il a posé ses vêtements sur le bureau à côté de ceux d’Arnaud et il est allé, de lui-même, se mettre en position devant le tableau. À côté d’Arnaud.

‒ Pas si vite ! Pas si vite !

Et sœur Weronika O. l’a fait revenir.

‒ Fais-toi voir !

Elle lui a longuement scruté les oreilles, sourcils froncés, lui a examiné le cou.

‒ Mouais…

Le torse. Le ventre. Et, à lui aussi, la queue. Dont elle a fait sortir le bout.

Et, évidemment, il y en a qui ont commenté.

‒ Pas mal !

‒ Oui, oh !

‒ Oh, si, si !

Elle appréciait énormément, Grace.

‒ Oh, ben oui ! Oui. Parce que j’aime trop ça, moi, quand les boules elles sont bien détachées du reste. Comme là.

En attendant, en douce que celui qui filmait…

‒ Qui c’est, d’ailleurs ? On n’en sait rien.

Ben, il était particulièrement doué. Il zoomait juste quand il fallait, et comme il fallait, qu’on perde rien du spectacle.

Sœur Weronika O. a continué son inspection.

‒ Tourne-toi !

Elle a repoussé tout ce qui se trouvait sur le bureau et elle lui a ordonné de venir s’y pencher à l’équerre.

‒ Pourquoi ? Qu’est-ce que… ?

‒ Mets-toi là, je te dis ! Et tais-toi !

Et elle lui a résolument écartelé les fesses.

‒ Ah, non, hein ! Non !

Il a voulu se relever, s’enfuir. Mais, sur un signe de la directrice, Mary P. Et Léa sont venues le maintenir solidement, que la sœur puisse poursuivre son inspection. Minutieusement. En prenant tout son temps.

‒ Écarte les jambes !

Il a encore protesté et elles ont été obligées de le forcer à le faire. La sœur s’est longuement penchée. Tout près. Et elle a fait la grimace.

‒ Mouais ! Va vraiment falloir qu’on vous apprenne à vous laver, hein ! Tous autant que vous êtes. Bon, mais on s’en occupera. Pas plus tard que ce soir. Promis. En attendant…

Mère Jolanda S. l’a rejointe. Elles ont voulu qu’il reste là, courbé sur le bureau et elles ont recommencé à jouer du fouet à qui mieux mieux. En inversant les rôles cette fois. C’était sœur Weronika qui s’occupait de lui cingler les fesses tandis que la mère supérieure, elle, lui fouettait le dos.

‒ Comment elles y vont ! Non, mais comment elles y vont !

Ah, ça, elles faisaient pas dans la dentelle ! Ça tombait. Ça crépitait. Ça s’inscrivait sur sa peau en une multitude de longues traînées rosâtres et boursouflées.

Lui, les deux mains crispées sur les rebords du bureau, il trépignait, il se tortillait. Et il bêlait. Il y a pas d’autre mot. Il bêlait. Un long bêlement continu. Et désespéré.

Iourievna a murmuré.

‒ Comment elles sont rouges, les deux sœurs, t’as vu ça ?

Elles étaient rouges, oui, écarlates même. Mais il y avait pas qu’elles. Il y en avait tout un tas, des filles, derrière et tout autour, qui avaient les pommettes en feu et qui filaient, à corps perdu, vers leur plaisir. Il y avait, de-ci de-là, des seins à l’air dont on était en train d’agacer les pointes. Il y avait des pantalons ouverts. Des jupes relevées. Des culottes sur les chevilles. Des halètements. Des plaintes. Des gémissements. Des clapotis. Parfois un cri de bonheur. Et des mains. Des mains partout. Des mains en pleine action. Des doigts qui lissaient. Qui lustraient. Qui s’infiltraient.

Iourievna a constaté.

‒ Tu vois, on n’est pas les seules…

Ah, pour ça, non, on n’était pas les seules.

Les cinglées se sont faites plus vigoureuses encore. Sœur Weronika O. accompagnait chacune des siennes d’un grand « Han ! » déterminé. Mère Jolanda S. haletait.

‒ Elle est trempée. Tu paries qu’elle est trempée ?

‒ L’autre aussi, je suis sûre !

Paul, quant à lui, poussait maintenant des cris à fendre l’âme.

La directrice a ordonné.

‒ Cinquante ! Stop ! On arrête.

Il y a eu quelques protestations.

‒ Oh, non ! Pas déjà !

Elles l’ont laissé penché sur le bureau.

‒ T’es très bien comme ça ! Profites-en pour méditer !

Elles se sont tournées vers Adilson.

‒ À notre tour, jeune homme !

Elena s’est passé la langue sur les lèvres. A poussé un long soupir de béatitude.

‒ Adilson ! Alors là ! Là ! Je vais apprécier, moi ! Et comment !

Ça a été soudain. Sans que rien puisse le laisser prévoir. Il s’est élancé, d’un coup, vers la porte. Comme un dératé. Pour fuir. Pour échapper à la fessée méritée. Il n’est pas allé bien loin. Au moment où il allait passer devant elle, Léa a tendu la jambe. Et il s’est étalé de tout son long.

‒ Oh, mais c’est qu’il est courageux, ce grand garçon ! Très. Ça fait plaisir à voir.

Et Mère Jolanda lui a expédié deux ou trois petits coups, du bout du pied, dans les côtes.

‒ Relève-toi ! Allez, debout !

Ce qu’il s’est empressé de faire, tout piteux.

‒ Bon, ben tu sais pas, puisque c’est comme ça, c’est ta déléguée de classe en personne qui va te punir. Ça te servira de leçon.

Léa n’en croyait pas ses oreilles.

‒ Moi ?

‒ Ben, oui, toi, pas le roi de Prusse.

Et elle lui a tendu son fouet.

Léa l’a pris avec un petit air ravi. Elle s’est approchée de lui. Lui a tourné trois ou quatre fois autour.

‒ Bon. Comment on va procéder, Adilson ? Tu te déshabilles tout seul ou c’est moi qui te le fais ? Qu’est-ce tu préfères ?

Pour toute réponse, il lui a lancé un regard noir.

‒ On va partager la poire en deux alors puisque t’arrives pas à te décider. Toi, le haut. Et moi, le bas. Allez, action !

Il n’a pas bougé.

‒ Plus tu vas attendre et plus je taperai fort. Alors à toi de voir.

Un regard furibond. Un deuxième. Mais il a obéi. Il a enlevé le haut.

‒ Ah, ben voilà ! Suffisait de te le demander gentiment.

Et elle lui a lentement promené les lanières tout au long du torse.

‒ Comment je vais bien te le décorer ! Ce sera superbe, tu vas voir ! Tu vas adorer. Ah, si, si ! Fais pas cette tête-là ! Je suis une véritable artiste quand je veux. Tout le monde le dit. Bon, mais perdons pas de temps !

Et elle lui a dégrafé sa ceinture. Elle lui a lentement, très lentement, déboutonné son pantalon. Elle le lui a tout aussi lentement descendu. Et puis le boxer.

‒ Qu’on voie un peu ce qui se cache là-dedans…

Elle a eu un petit rire moqueur.

‒ C’est tout ? Ça casse pas trois pattes à un canard, dis donc ! Et elle est bizarre en plus. Elle est pas du tout comme les autres. Si, c’est vrai, hein !

Elle a tendu la main.

‒ Oui. Elle est vraiment bizarre.

Il l’a sèchement repoussée.

‒ T’y touches pas.

‒ Oui, ben alors là, c’est ce qu’on va voir ! Je fais ce que je veux. C’est moi qui décide.

Et elle la lui a empoignée. Il a un peu bandé. Pas beaucoup. À peine. Elle la lui a énergiquement fait coulisser. Ce qui n’a pas changé grand-chose.

Elle a encore ri. Un peu plus moqueur encore.

‒ Bon, mais allez ! On passe aux choses sérieuses.

Et elle lui a lancé un grand coup de fouet. À pleines fesses. Il a sursauté. Il a crié. Un deuxième coup. Un troisième. Tout un tas d’autres. Chaque fois il criait. Un grand cri rauque. Et il a voulu détaler. Mais, avec le pantalon aux chevilles, c’était compliqué. Ça lui faisait faire tout un tas de petits pas ridicules. Toutes les filles rigolaient à qui mieux mieux.

Elena jubilait.

‒ J’en peux plus, moi ! Non, mais j’en peux plus. Après tout ce qu’il m’a fait, non, mais comment je me régale.

Il a tout de même fini par arriver, tant bien que mal, sous les coups de Léa, jusqu’à la porte contre laquelle il s’est retrouvé bloqué.

‒ Ah, tu l’aimes cette porte, hein !

Et elle s’en est donné à cœur-joie. Elle a tapé, mais tapé ! Et c’est venu, moi. Un plaisir fou. Intense. Que j’ai chanté comme une perdue en regardant le fouet s’abattre sur son dos, sur ses fesses. En l’écoutant crier.



Et Iourievna ? On la connait

Je veux ! Elena nous l'a longuement présentée mais si vous êtes passés à côté,  voici le premier épisode de la série : le chapitre 1

Il y a un début à cette série

Le chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 34
Mais si vous voulez lire ce récit d'un autre point de vue : les rebelles chapitre 35

Et la suite ?

François nous la prépare pour la semaine prochaine

N'hésitez pas pour les commentaires

Tout le monde les attend : que pensez-vous de cette série croisant l'imaginaire d'Elena et celui de François ?

5 commentaires:

  1. Amis de la poésie et de la colère de Dieu (s'il existe)... Bonjour

    Déjà là, dès le début... ça ne rigole pas !
    La perversité chronique des soeurs, pas "en-cornettes", promptes à manier les instruments de discipline, en dit long sur le niveau de frustration consécutif à leur voeux d'abstinence. Quand elles ne s'auto-flagellent pas, ou s'esquintent les lombaires à porter le silice pour faire pénitence. Ouille-Ouille-ouill, ça pique! Mon dieu pardonnez leur, elles savent très bien ce qu'elles font...
    Oula,la... mais où parté-je ainsi? ... en lévitation au dessus de mon bureau ?

    Rudes récits, rêches comme le cuir des lanières, écrits à coups de fouets à genoux au pilori les fesses à l'air. C'est vivant, radical, réaliste et te vous plonge le lecteur dans un univers impitoyable, où par comparaison, le fameux feuilleton "Dallas", c'est Alice au pays des merveilles.
    Sans complexe, sans peur et sans reproche, François, le chevalier fouettard, balance un mille feuilles de tout les effets secondaires gravitant autour de l'utilisation des châtiments corporels dans les institutions religieuses. Voyeurisme, exhibitionnisme, érotisme, sadisme y sont décrits sans concession. Il faut bien faire expier leurs fautes à cette bande de pêcheurs dévergondés!

    Bon, je ne vois rien d'autre pour me calmer, que de me retirer dans un monastère du massif central, pour un séminaire de méditation paranormale. Dix "Notre père", quinze "Je vous salut marie" et cinquante coups de martinet... Euuh non, quarante neuf, ça faisait peut-être beaucoup pour un débutant dans la spiritualité ... (rire)
    Pieusement vôtre.
    Ramina

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    1. Bonjour Ramina.
      Que rajouter après cette superbe synthèse, que j'aimerais regarder aussi le film des fessées reçues par ces chers garçons effrontés et corrigés comme il se doit... Ca ne doit pas être désagréable de les regarder se tortiller et de les sentir soumis.
      Les femmes dans cet épisode se régalent et Léa a de plus en plus un pied dans le corps enseignant, avant d'avoir autre chose dans son corps à elle !
      Je crois que moi aussi, je vais avoir besoin d'une retraite spirituelle pour retourner à la réalité.
      Entre mes écritures et les lectures, je vais basculer dans le lubrique, telle une abeille attirée par les fleurs.
      Amitiés.
      Elena.

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    2. Bonjour, Elena. Bonjour, Ramina. Et bonjour à tous.
      Merci de vos commentaires à tous les deux. Ces trois garçons en ont pris pour leur grade. Ça leur apprendra à vouloir aller vérifier de visu ce qu'il y a sous les jupes des filles. Notons malgré tout que lorsque celles-ci leur ont fait subir le même traitement aux garçons à la suite de ces fessées dont elles peuvent enfin découvrir le film aujourd'hui, on ne leur a strictement rien reproché. Il semble même que, dans les hautes sphères, on ait plutôt apprécié. Deux poids, deux mesures.
      Amicalement.
      François

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  2. Bonjour Elena, François, Ramina,

    En effet, Le péché de voyeurisme caractérisé est sévèrement réprimé dans cette école. Gérome n'est pas loin derrière quant à sa manie d'espionner les cousines . Mais maman et Tantines veillent au grain.
    Condisciples en fessées.
    Amicalement. Peter.

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    1. Bonjour, Peter Pan,
      En effet, oui. Le voyeurisme est sévèrement réprimé à Sainte-Croix, mais il serait tout de même "normal" que les filles soient punies au même titre que les garçons quand ce sont elles qui laissent traîner les yeux...
      Amicalement.
      François

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