Elle était tout excitée, Margaux.
« Vous vous
rappelez la fois où la directrice a renvoyé Adilson, Paul et Arnaud en classe
en petite jupette bleue et chemisier blanc ?
Évidemment qu’on se rappelait ! Évidemment ! Du lundi précédent ça datait. On n’avait pas encore Alzheimer quand même !
N’empêche
qu’est-ce qu’on avait rigolé après, dans la cour, à leur mettre les fesses à
l’air !
‒ Surtout
que comment elles étaient rouges !
‒ Et toutes
striées. C’était joli comme tout.
‒ Eh ben, je
l’ai…
‒ Quoi ?
Qu’est-ce tu as, Margaux ?
‒ Le film de
leur punition. Je l’ai.
D’un petit air
triomphant.
‒ C’est pas
vrai ! Comment t’as fait ?
Chelsea a coupé
court.
‒ Mais on
s’en fiche de comment elle a fait. On s’en fiche. L’essentiel, c’est qu’elle
l’ait. Et qu’on puisse le voir.
Si. Oui.
Là-dessus tout le monde est tout de suite tombé d’accord. Non, ce qu’il
fallait, c’était s’organiser. Ça a discuté un bon moment et puis finalement on
a décidé de toutes se retrouver, toutes celles qui le voudraient, le soir même,
chez Laura. Parce qu’elle avait une salle de séjour immense, un écran gigantesque
et que ses parents ne rentraient pas du travail avant huit heures.
Et Théo ? Il
pouvait pas venir, Théo ?
Ça n’a été qu’un
cri.
‒ Ah, non,
il peut pas, non ! Pas de garçons ! Que nous ! Que les
filles !
J’étais désolée.
J’aurais tant aimé qu’il vienne. Partager ça avec lui.
Il m’a posé un
petit baiser dans le cou.
‒ Pas
grave ! Tu me raconteras. Profites-en bien !
Et, après les
cours, on s’est retrouvées à près d’une trentaine chez Laura. Rien que des
filles. Comme convenu. La plupart de notre classe. Ça a fait tout un brouhaha
le temps que tout le monde arrive et s’installe. Un peu partout. Surtout par
terre. Il y en avait qui avaient apporté des bières. D’autres de la tequila.
Plein d’autres trucs encore…
‒ Bon,
allez, on y va ?
Le silence s’est
fait. Laura a baissé les volets métalliques. De moitié.
Et ça a démarré.
La salle de
classe juste à côté de la permanence. Vide. Avec seulement les tables, les
chaises et le bureau. La porte s’est ouverte et ils ont fait leur apparition.
Tous les trois. Tout seuls. Et Adilson s’en est pris aussitôt aux deux autres.
‒ C’est
votre faute ! C’est vous qu’avez voulu qu’on leur soulève les jupes aux
filles…
‒ Oh, le
menteur !
Et on l’a toutes
copieusement hué.
Paul et Arnaud
n’ont pas eu le temps de lui répondre parce que Mère Jolanta S. et sœur
Weronika O. sont arrivées, armées de leurs fouets, avec la directrice, Fabienne
D., sa secrétaire Mary P. et Léa, notre déléguée de classe, sur leurs talons.
Chelsea a
marmonné entre ses dents.
‒ Oui, oh
ben alors là, si c’est les deux bonnes sœurs qui les punissent, ils vont le
sentir passer…
Margaux a
gloussé.
‒ Et elles,
elles vont sacrément y trouver leur compte. On les connaît maintenant.
La mère supérieure
les a longuement pris, l’un après l’autre, sous son regard.
‒ Vous
n’avez pas honte ?
Ils n’ont pas
répondu. Ils sont restés tête basse. Tout penauds.
‒ Hein ?
Vous n’avez pas honte ? Eh bien ? J’attends.
C’est Arnaud qui
s’est dévoué.
‒ Oh, mais
c’était pas bien méchant. C’était juste comme ça, pour s’amuser…
‒ Pour
s’amuser ? Ah, ben on va s’amuser tous ensemble alors puisque ça vous
plaît tant. Et on va commencer par toi, mon garçon, qui as la langue si bien
pendue. Allez, tu te déshabilles ! Et tout t’enlèves. Tout.
Arnaud a regardé
tout autour de lui d’un air effaré, puis suppliant.
‒ Ma mère,
je…
Elle a fait
claquer son fouet en l’air.
‒ Tu rien du
tout. Tu te déshabilles. C’est tout ce qu’on te demande. Et tu te dépêches,
parce que sinon…
Il s’y est
finalement résolu. Le sweet par-dessus la tête. En même temps que le maillot de
peau. Il les a déposés sur le bureau. Ses chaussures. Ses chaussettes. Il a
lentement, très lentement, déboutonné son pantalon. Qui a suivi le même chemin.
Et puis il est resté là, en boxer, à danser d’une jambe sur l’autre.
Sœur Weronika O.
est passée derrière lui.
‒ On t’a dit
de te dépêcher !
Et elle le lui a
fait dégringoler sur les pieds, le boxer.
Il a poussé un
petit cri et il s’est précipitamment dissimulé ce qu’il a en bas avec ses deux
mains ramenées en coquille devant lui.
Ce qui nous a
toutes fait éclater de rire.
‒ Enlève-les !
Et Mère Jolanta
S. lui a envoyé un petit coup de fouet dessus pour l’obliger à les retirer.
Avant de constater.
‒ Mon pauvre
garçon, il y a vraiment pas grand-chose à cacher.
Il y avait plein
de filles qu’étaient de cet avis.
‒ Oh, ben
oui, tu parles ! C’est tout juste si on arrive à distinguer quoi que ce
soit.
‒ Il est
carrément handicapé, oui, vous voulez dire !
Ce qui
n’empêchait pas Mary P. et Léa d’avoir les yeux rivés dessus avec un petit air
intéressé. Et gourmand.
Sœur Weronika O.
a froncé les sourcils, lui a passé la main sur le torse, le lui a scruté. De
tout près.
‒ L’hygiène,
c’est pas vraiment ton point fort, toi, hein !
Elle a poursuivi
son examen, est descendue, s’est emparée de sa queue.
‒ Tu te
laves au moins ?
Et elle la lui a
décapuchonnée. Pour vérifier. Ça a fait comme un sursaut. Un soubresaut. Et
puis un bond.
On y est aussitôt
allées de nos petits commentaires.
‒ Ça le fait
un peu quand même !
‒ Oui, oh,
pas tant que ça ! Il y a pas de quoi crier au miracle non plus.
‒ Moi, en
tout cas, je sais que ça me tenterait pas vraiment.
Les deux
religieuses l’ont fait mettre à genoux sur l’estrade, le nez collé au tableau.
Il s’est encore efforcé de les apitoyer.
‒ Ma
mère ! Ma sœur ! Me le faites pas ! Me fouettez pas ! Je
recommencerai pas. Je vous promets.
Pour toute
réponse, Mère Jolanda S. lui a expédié un grand coup de fouet sur les fesses.
Il s’est cabré. Et sœur Weronika O. aussi. Sur le dos. Il a hurlé.
Il y a eu comme
un frémissement tout autour. Des filles se sont agitées.
Il y en a une qui
a claironné.
‒ Oh,
putain, ça y est ! Ça attaque. Comment j’aime ça !
À ces deux
premières cinglées en ont tout aussitôt succédé d’autres. Régulières.
Méthodiques. Sur les fesses. Sur le dos. Sur le haut des cuisses. Sur les
reins. Elles lâchaient leurs coups de loin, les deux sœurs. Pour qu’ils portent
davantage. Ils s’incrustaient en longues stries rouges qui se croisaient et se
recroisaient sur la peau d’Arnaud plaqué, les bras levés, contre le tableau à
l’intérieur duquel on aurait dit qu’il voulait disparaître. Il criait. Il
hurlait. À pleins poumons.
Un coude a vibré
contre ma hanche. Celui d’Elena qui avait enfoui sa main dans son pantalon et
s’y
activait
énergiquement. Tout autour il y avait des soupirs. Des halètements. Des
gémissements.
‒ Cinquante !
Et la directrice
a dit que c’était bon. Que ça suffisait.
‒ Tu peux te
relever !
Mais elle n’a pas
voulu qu’il s’en aille. Il a dû rester là, debout, tout nu, les mains sur la
nuque, le nez collé au tableau.
‒ Et tâche
de bien te mettre dans la tête qu’il y a des choses qui ne se font pas, mon
garçon ! Qui sont tout à fait inacceptables.
Et ça a été au
tour de Paul. Qui a fait le bravache. Qui s’est déshabillé à toute allure en
les regardant droit dans les yeux, les deux sœurs.
‒ Oh, alors
ça, ça va pas leur plaire.
Il a posé ses
vêtements sur le bureau à côté de ceux d’Arnaud et il est allé, de lui-même, se
mettre en position devant le tableau. À côté d’Arnaud.
‒ Pas si
vite ! Pas si vite !
Et sœur Weronika
O. l’a fait revenir.
‒ Fais-toi
voir !
Elle lui a
longuement scruté les oreilles, sourcils froncés, lui a examiné le cou.
‒ Mouais…
Le torse. Le
ventre. Et, à lui aussi, la queue. Dont elle a fait sortir le bout.
Et, évidemment,
il y en a qui ont commenté.
‒ Pas
mal !
‒ Oui,
oh !
‒ Oh, si,
si !
Elle appréciait
énormément, Grace.
‒ Oh, ben
oui ! Oui. Parce que j’aime trop ça, moi, quand les boules elles sont bien
détachées du reste. Comme là.
En attendant, en
douce que celui qui filmait…
‒ Qui c’est,
d’ailleurs ? On n’en sait rien.
Ben, il était
particulièrement doué. Il zoomait juste quand il fallait, et comme il fallait,
qu’on perde rien du spectacle.
Sœur Weronika O.
a continué son inspection.
‒ Tourne-toi !
Elle a repoussé
tout ce qui se trouvait sur le bureau et elle lui a ordonné de venir s’y
pencher à l’équerre.
‒ Pourquoi ?
Qu’est-ce que… ?
‒ Mets-toi
là, je te dis ! Et tais-toi !
Et elle lui a
résolument écartelé les fesses.
‒ Ah, non,
hein ! Non !
Il a voulu se
relever, s’enfuir. Mais, sur un signe de la directrice, Mary P. Et Léa sont
venues le maintenir solidement, que la sœur puisse poursuivre son inspection.
Minutieusement. En prenant tout son temps.
‒ Écarte les
jambes !
Il a encore
protesté et elles ont été obligées de le forcer à le faire. La sœur s’est
longuement penchée. Tout près. Et elle a fait la grimace.
‒ Mouais !
Va vraiment falloir qu’on vous apprenne à vous laver, hein ! Tous autant
que vous êtes. Bon, mais on s’en occupera. Pas plus tard que ce soir. Promis.
En attendant…
Mère Jolanda S.
l’a rejointe. Elles ont voulu qu’il reste là, courbé sur le bureau et elles ont
recommencé à jouer du fouet à qui mieux mieux. En inversant les rôles cette
fois. C’était sœur Weronika qui s’occupait de lui cingler les fesses tandis que
la mère supérieure, elle, lui fouettait le dos.
‒ Comment
elles y vont ! Non, mais comment elles y vont !
Ah, ça, elles
faisaient pas dans la dentelle ! Ça tombait. Ça crépitait. Ça s’inscrivait
sur sa peau en une multitude de longues traînées rosâtres et boursouflées.
Lui, les deux
mains crispées sur les rebords du bureau, il trépignait, il se tortillait. Et
il bêlait. Il y a pas d’autre mot. Il bêlait. Un long bêlement continu. Et désespéré.
Iourievna a
murmuré.
‒ Comment
elles sont rouges, les deux sœurs, t’as vu ça ?
Elles étaient
rouges, oui, écarlates même. Mais il y avait pas qu’elles. Il y en avait tout
un tas, des filles, derrière et tout autour, qui avaient les pommettes en feu
et qui filaient, à corps perdu, vers leur plaisir. Il y avait, de-ci de-là, des
seins à l’air dont on était en train d’agacer les pointes. Il y avait des
pantalons ouverts. Des jupes relevées. Des culottes sur les chevilles. Des
halètements. Des plaintes. Des gémissements. Des clapotis. Parfois un cri de
bonheur. Et des mains. Des mains partout. Des mains en pleine action. Des
doigts qui lissaient. Qui lustraient. Qui s’infiltraient.
Iourievna a
constaté.
‒ Tu vois,
on n’est pas les seules…
Ah, pour ça, non,
on n’était pas les seules.
Les cinglées se
sont faites plus vigoureuses encore. Sœur Weronika O. accompagnait chacune des
siennes d’un grand « Han ! » déterminé. Mère Jolanda S.
haletait.
‒ Elle est
trempée. Tu paries qu’elle est trempée ?
‒ L’autre aussi,
je suis sûre !
Paul, quant à
lui, poussait maintenant des cris à fendre l’âme.
La directrice a
ordonné.
‒ Cinquante !
Stop ! On arrête.
Il y a eu
quelques protestations.
‒ Oh,
non ! Pas déjà !
Elles l’ont
laissé penché sur le bureau.
‒ T’es très
bien comme ça ! Profites-en pour méditer !
Elles se sont
tournées vers Adilson.
‒ À notre
tour, jeune homme !
Elena s’est passé
la langue sur les lèvres. A poussé un long soupir de béatitude.
‒ Adilson !
Alors là ! Là ! Je vais apprécier, moi ! Et comment !
Ça a été soudain.
Sans que rien puisse le laisser prévoir. Il s’est élancé, d’un coup, vers la
porte. Comme un dératé. Pour fuir. Pour échapper à la fessée méritée. Il n’est
pas allé bien loin. Au moment où il allait passer devant elle, Léa a tendu la
jambe. Et il s’est étalé de tout son long.
‒ Oh, mais
c’est qu’il est courageux, ce grand garçon ! Très. Ça fait plaisir à voir.
Et Mère Jolanda
lui a expédié deux ou trois petits coups, du bout du pied, dans les côtes.
‒ Relève-toi !
Allez, debout !
Ce qu’il s’est
empressé de faire, tout piteux.
‒ Bon, ben
tu sais pas, puisque c’est comme ça, c’est ta déléguée de classe en personne
qui va te punir. Ça te servira de leçon.
Léa n’en croyait
pas ses oreilles.
‒ Moi ?
‒ Ben, oui,
toi, pas le roi de Prusse.
Et elle lui a
tendu son fouet.
Léa l’a pris avec
un petit air ravi. Elle s’est approchée de lui. Lui a tourné trois ou quatre
fois autour.
‒ Bon.
Comment on va procéder, Adilson ? Tu te déshabilles tout seul ou c’est moi
qui te le fais ? Qu’est-ce tu préfères ?
Pour toute
réponse, il lui a lancé un regard noir.
‒ On va
partager la poire en deux alors puisque t’arrives pas à te décider. Toi, le
haut. Et moi, le bas. Allez, action !
Il n’a pas bougé.
‒ Plus tu
vas attendre et plus je taperai fort. Alors à toi de voir.
Un regard
furibond. Un deuxième. Mais il a obéi. Il a enlevé le haut.
‒ Ah, ben
voilà ! Suffisait de te le demander gentiment.
Et elle lui a
lentement promené les lanières tout au long du torse.
‒ Comment je
vais bien te le décorer ! Ce sera superbe, tu vas voir ! Tu vas
adorer. Ah, si, si ! Fais pas cette tête-là ! Je suis une véritable
artiste quand je veux. Tout le monde le dit. Bon, mais perdons pas de
temps !
Et elle lui a
dégrafé sa ceinture. Elle lui a lentement, très lentement, déboutonné son
pantalon. Elle le lui a tout aussi lentement descendu. Et puis le boxer.
‒ Qu’on voie
un peu ce qui se cache là-dedans…
Elle a eu un
petit rire moqueur.
‒ C’est
tout ? Ça casse pas trois pattes à un canard, dis donc ! Et elle est
bizarre en plus. Elle est pas du tout comme les autres. Si, c’est vrai,
hein !
Elle a tendu la
main.
‒ Oui. Elle
est vraiment bizarre.
Il l’a sèchement
repoussée.
‒ T’y
touches pas.
‒ Oui, ben
alors là, c’est ce qu’on va voir ! Je fais ce que je veux. C’est moi qui
décide.
Et elle la lui a
empoignée. Il a un peu bandé. Pas beaucoup. À peine. Elle la lui a
énergiquement fait coulisser. Ce qui n’a pas changé grand-chose.
Elle a encore ri.
Un peu plus moqueur encore.
‒ Bon, mais
allez ! On passe aux choses sérieuses.
Et elle lui a
lancé un grand coup de fouet. À pleines fesses. Il a sursauté. Il a crié. Un
deuxième coup. Un troisième. Tout un tas d’autres. Chaque fois il criait. Un
grand cri rauque. Et il a voulu détaler. Mais, avec le pantalon aux chevilles,
c’était compliqué. Ça lui faisait faire tout un tas de petits pas ridicules.
Toutes les filles rigolaient à qui mieux mieux.
Elena jubilait.
‒ J’en peux
plus, moi ! Non, mais j’en peux plus. Après tout ce qu’il m’a fait, non,
mais comment je me régale.
Il a tout de même
fini par arriver, tant bien que mal, sous les coups de Léa, jusqu’à la porte
contre laquelle il s’est retrouvé bloqué.
‒ Ah, tu
l’aimes cette porte, hein !
Et elle s’en est
donné à cœur-joie. Elle a tapé, mais tapé ! Et c’est venu, moi. Un plaisir
fou. Intense. Que j’ai chanté comme une perdue en regardant le fouet s’abattre
sur son dos, sur ses fesses. En l’écoutant crier.
Et Iourievna ? On la connait
Il y a un début à cette série
et l'épisode précédent : chapitre 34
Amis de la poésie et de la colère de Dieu (s'il existe)... Bonjour
RépondreSupprimerDéjà là, dès le début... ça ne rigole pas !
La perversité chronique des soeurs, pas "en-cornettes", promptes à manier les instruments de discipline, en dit long sur le niveau de frustration consécutif à leur voeux d'abstinence. Quand elles ne s'auto-flagellent pas, ou s'esquintent les lombaires à porter le silice pour faire pénitence. Ouille-Ouille-ouill, ça pique! Mon dieu pardonnez leur, elles savent très bien ce qu'elles font...
Oula,la... mais où parté-je ainsi? ... en lévitation au dessus de mon bureau ?
Rudes récits, rêches comme le cuir des lanières, écrits à coups de fouets à genoux au pilori les fesses à l'air. C'est vivant, radical, réaliste et te vous plonge le lecteur dans un univers impitoyable, où par comparaison, le fameux feuilleton "Dallas", c'est Alice au pays des merveilles.
Sans complexe, sans peur et sans reproche, François, le chevalier fouettard, balance un mille feuilles de tout les effets secondaires gravitant autour de l'utilisation des châtiments corporels dans les institutions religieuses. Voyeurisme, exhibitionnisme, érotisme, sadisme y sont décrits sans concession. Il faut bien faire expier leurs fautes à cette bande de pêcheurs dévergondés!
Bon, je ne vois rien d'autre pour me calmer, que de me retirer dans un monastère du massif central, pour un séminaire de méditation paranormale. Dix "Notre père", quinze "Je vous salut marie" et cinquante coups de martinet... Euuh non, quarante neuf, ça faisait peut-être beaucoup pour un débutant dans la spiritualité ... (rire)
Pieusement vôtre.
Ramina
Bonjour Ramina.
SupprimerQue rajouter après cette superbe synthèse, que j'aimerais regarder aussi le film des fessées reçues par ces chers garçons effrontés et corrigés comme il se doit... Ca ne doit pas être désagréable de les regarder se tortiller et de les sentir soumis.
Les femmes dans cet épisode se régalent et Léa a de plus en plus un pied dans le corps enseignant, avant d'avoir autre chose dans son corps à elle !
Je crois que moi aussi, je vais avoir besoin d'une retraite spirituelle pour retourner à la réalité.
Entre mes écritures et les lectures, je vais basculer dans le lubrique, telle une abeille attirée par les fleurs.
Amitiés.
Elena.
Bonjour, Elena. Bonjour, Ramina. Et bonjour à tous.
SupprimerMerci de vos commentaires à tous les deux. Ces trois garçons en ont pris pour leur grade. Ça leur apprendra à vouloir aller vérifier de visu ce qu'il y a sous les jupes des filles. Notons malgré tout que lorsque celles-ci leur ont fait subir le même traitement aux garçons à la suite de ces fessées dont elles peuvent enfin découvrir le film aujourd'hui, on ne leur a strictement rien reproché. Il semble même que, dans les hautes sphères, on ait plutôt apprécié. Deux poids, deux mesures.
Amicalement.
François
Bonjour Elena, François, Ramina,
RépondreSupprimerEn effet, Le péché de voyeurisme caractérisé est sévèrement réprimé dans cette école. Gérome n'est pas loin derrière quant à sa manie d'espionner les cousines . Mais maman et Tantines veillent au grain.
Condisciples en fessées.
Amicalement. Peter.
Bonjour, Peter Pan,
SupprimerEn effet, oui. Le voyeurisme est sévèrement réprimé à Sainte-Croix, mais il serait tout de même "normal" que les filles soient punies au même titre que les garçons quand ce sont elles qui laissent traîner les yeux...
Amicalement.
François