« Qu’est-ce que j’apprends ? Tu as recommencé ?
–
Mais non que…
–
Ne me mens pas ! Karine qui est là à assisté à toute la scène. Elle était
dans le bureau d’à côté. Là où elle était placée, tu ne pouvais pas la voir, mais
elle a tout entendu.
– Hein ? Mais quoi… que… ce n’est pas vrai ! Je n’ai rien dit à la nouvelle.
–
Comment sais-tu que c’est d’elle dont nous parlons ?
–.
Je… je…
–
Tu ferais mieux de te taire ! Cela t’évitera de me mentir. Tu te rappelles
ce que je t’avais promis si tu recommençais ?
–
Euh, non… enfin je veux dire oui, mais…
–
Bon, alors il n’y a plus besoin de discuter. C’est l’heure de ta punition. Tu
sais que je tiens toujours mes promesses.
– Non, s'il te plait, Vanessa, pas ça !
–
Et que crois-tu avoir mérité d’autre qu’une bonne fessée ? Viens-ici !
– Non, s'il te plait, pas ici… pas maintenant.
–
Je t’avais pourtant prévenu : à la moindre attitude déplacée, au moindre
geste équivoque, ce sera la fessée.
– N’essaye pas de me faire croire que tu as eu mal. Cette claque sur le fond du pantalon n’est même pas un hors-d’œuvre ! Tu sais parfaitement que quand je te punis, il faut quelque chose de plus consistant, et je vais m’y employer.
– Bon, j’avoue ! J’ai sans doute été un peu désagréable avec la nouvelle.
–
La nouvelle, elle a un prénom ! Elle d’appelle Alice.
–
Avec Alice…
–
Pour toi, ce sera Mademoiselle Alice !
–
Oui Mademoiselle Alice. Mais qu’est-ce que tu fais ?
– Mais comme d’habitude quand je te donne la fessée, mon garçon, je prépare tout ce qu’il faut. Une chaise sur laquelle je vais m’assoir pour que tu puisses venir me présenter correctement tes fesses et que je sois à l’aise pendant la longue correction que tu vas recevoir.
– Et maintenant le pantalon.
–
Oh non, pas ici. Pas devant…
–
Pas devant qui ?
–
Mais devant elle !
–
Elle a aussi un prénom, n’est-ce pas ?
–
Oui, pas devant Corinne, s'il te plait !
–
Au contraire, ce sera devant Corinne ! Corinne, peux-tu préparer la
palette à fessée pour que je m’occupe correctement des fesses de ce grand
garçon ?
– Garde-la, s'il te plait, le temps que je le déculotte.
–
Non ! Pitié ! Tout le monde va savoir !
– Mais c’est exactement pour cela que j’ai demandé à Corinne de venir. Elle n’osait pas venir me raconter ce que tu avais fait. Après tout, c’est toi le directeur, c’est délicat de venir dénoncer tes frasques.
– J’ai donc décidé que tout le mode devait maintenant savoir comment tu es puni quand tu te comportes mal, tout directeur que tu es.
–
Non, pas la culotte, non :
– Bien sûr que si : la culotte. Crois-tu qu’elle soit à sa place ? Je la mets où elle doit être quand je te punis : à hauteur des genoux.
I
–
Pardon, Vanessa, je ne le ferai plus !
–
Je sais ce que valent tes promesses quand je te déculotte et que tu sais qu’il
va y avoir une sévère fessée ensuite. Tu ferais n’importe quoi pour l’éviter. Mais
tu peux compter sur moi pour te donner la correction que tu as méritée.
I
– Eh bien voilà : Nous avons bien avancé, tu ne trouves pas ? Nous avons maintenant un grand garçon, la culotte baissée qui attends sa punition pour avoir eu une attitude déplacée avec sa jeune collaboratrice. Vois-tu Corinne comment il faut s’y prendre avec lui ?
– Oui, mais je n’aurais pas imaginé que tu le fessais comme un petit garçon pas sage, après l’avoir déculotté.
–
C’est sûr qu’il recommence régulièrement. Il choisit les personnes qui ne
peuvent pas se défendre : les nouvelles, les stagiaires…
–
Dorénavant ; les fessées déculottées, ce sera tout de suite, là où il en a
besoin, quelles que soient les personnes présentes.
Et encore je pense que ce malotru s'en tire bien ... merci pour ce beau recit
RépondreSupprimerCaroline,
SupprimerQuelque chose me dit que ces dames ne vont pas en rester là.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour Caroline et JLG.
SupprimerMerci pour ce beau récit. Nous comptons effectivement sur une suite.
Amitiés.
Elena.
Elena,
SupprimerC'est promis. Il y aura une suite, sans doute vendredi prochain.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
bonjours les homme c'est les slips pas les culotte en dirait que l'histoire correspond pas avec le dessin et quand en verra un dessin ou un homme se fait fessée en public parce que il le dit a la fin l'histoire "Dorénavant ; les fessées déculottées, ce sera tout de suite, là où il en a besoin, quelles que soient les personnes présentes" merci.
RépondreSupprimerBien évidemment les fessée c’est en public et pas autrement
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