lundi 16 novembre 2020

Les rebelles -chapitre 43 acte 1

Avec les récentes découvertes d’élèves qui possèdent et tiennent à jour des fiches sur d’autres élèves et sur les professeurs, Fabienne D. se montre intraitable. Elle convoque ces élèves au conseil de discipline, en pleine semaine de rentrée, rendue compliquée avec le confinement et les mesures qui doivent être prises pour assurer la sécurité du personnel.

Dans notre section de mastère, onze étudiants, se sentant coupables et démasqués, sont angoissés à l’idée de passer en conseil de discipline, car ils ont encore en tête les corrections exemplaires d’Andréa et moi, qui ont eu lieu il y a très peu de temps et ils se voient déjà tous attachés, nus, devant tout le monde, en train de se faire corriger par les deux religieuses de notre établissement, responsables de l’application de la discipline. Ce qui les effraie et ils s’en veulent de n’avoir pas fait plus attention.

De notre côté, nous soufflons, car Olga, Iourievna et moi, faisons aussi des fiches sur les élèves et sur les professeurs. Par contre, nous n’avons pas été démarquées. Ce qui nous amuse, c’est de prendre des notes sur les élèves qui se font corriger et de comparer les attitudes et courage des punis puis de fil en aiguille, ce jeu de notation s’est propagé aux autres élèves et au corps enseignant, avec des commentaires personnels sur tout le monde, ce qui est formellement interdit.

Le conseil de discipline se réunira le Mercredi soir et tous les professeurs des sections des incriminés jugeront les actes de leurs élèves.

Le fameux Mercredi soir, après les cours de la journée, les premiers à passer sont les secondes puis premières puis terminales. Les élèves étant mineurs, le conseil de discipline les exclus pour quelques jours avec un rapport sur leur dossier scolaire, ce qui fait toujours mauvais effet pour le passage dans les classes supérieures. Par contre, les parents de ses élèves peuvent sévir et infliger des punitions corporelles, s’ils le souhaitent, ce qui arrivera dans la majorité des cas. Pour les cas les plus graves, la fessée sera donnée dans le bureau de la proviseure en présence des parents, du délégué de classe et du professeur principal de l’élève puni.

Pour les élèves de BTS et les mastères, les élèves étant majeurs, s’il devait y avoir punition corporelle, elle serait donnée devant les autres élèves, pour les obliger à réfléchir à leurs actes.

Léa amène au conseil les onze étudiants de notre section de mastère. Pour tenter de brouiller les pistes, Léa réconforte ses camarades tout en espérant qu’ils prendront le maximum. Elle-même sera jurée et elle n’en épargnera aucun.

« Allez les mecs et les meufs, courage ! Au pire ce sera un pan-pan cul-cul et ce sera terminé, faites pas cette tête » dit faussement Léa, qui souhaite énormément plus que ce qu’elle annonce.

« Ça se voit qu’c’est pas toi qui va devoir être les fesses à l’air et humiliée devant tout le monde ! » rétorque Tiphanie.

« Ouais, j’sais bien, mais r’garde Elena, elle s’en est pris une sévère, complétement à poil en plus, et elle en est pas morte ! J’dirais même que ça lui a fait du bien... Elle réfléchira plus le prochain coup » tente de se justifier Léa.

Lorsque tout le monde est en salle, c’est la proviseure qui ouvre la séance pour les sections mastères :

« Messieurs, Mesdemoiselles, je suppose que vous savez pourquoi vous vous trouvez ici, ce soir ? »

Les étudiants acquiescent, connaissant la raison de leur présence en ces lieux.

« Mademoiselle Emma D. et Monsieur Clément G. ! Approchez-vous ! »

Les deux étudiants se détachent du groupe et la tête basse arrivent près de leurs professeurs.

« N’ayant pas de preuves formelles de votre implication dans cette histoire de fichage, aucune sanction ne sera retenue contre vous pour cette fois, mais faites attention, car nous vous avons particulièrement à l’œil et toute autre suspicion sera sanctionnée. Avez-vous compris ? »

« Oui, Madame » répondent Emma et Clément, qui respirent mieux d’un seul coup.

« Vous pouvez partir ! Quant aux autres, nous allons étudier votre cas »

Les différents fichiers ont été étudiés et certaines remarques sur tel ou tel, sont particulièrement salées voire salaces. Les professeurs sont choqués par certaines annotations qui portent sur l’attitude des punis lors de leur correction. Vulgarité et insultes sont mis en face de certains élèves ou professeurs. Même les religieuses sont notées et pas en bien.

« Nous avons déjà sanctionné les élèves plus jeunes que vous par des jours de mise à pied ou des fessées en privé, mais pour vous, comme vous êtes majeurs, la sanction sera plus sévère. Vous le savez très bien et vous n’en avez tenu aucun compte. Nous sommes dans un établissement respectable et de tels actes sont inadmissibles. Nous allons donc vous remettre dans le rang et vous serez à la place des punis que vous insultez, pour que vous vous rendiez compte de ce que ça fait et on verra votre attitude face à la correction »

Les étudiants commencent à se rendre compte qu’ils n’échapperont pas à la punition et que celle-ci risque d’être sévère.

Un vote a lieu et les retours sont à quatre-vingt-quinze pour cent en faveur d’une punition. Léa a du mal à retenir sa joie.

« Mesdemoiselles, Messieurs, la délibération a été facile, car vous êtes tous coupables, mais à des degrés divers : Mesdemoiselles Sixtine J., Chelsea C., Messieurs Yohan K., Lucas C. et Thomas P., vous recevrez trente coups de canne, Mesdemoiselles Mélodie M., Alicia G. et Lucia Q., vous recevrez vingt coups de canne et Mademoiselle Tiphanie de M., vous recevrez dix coups de canne. En cette période assez fraiche, notre infirmière ne permet pas la fessée dans la cour, donc elles auront lieu à la cantine devant les autres élèves et les professeurs, à l’heure du repas et vous resterez toute l’après-midi, les fesses à l’air, ça vous aidera à méditer »

Les étudiants ont la mine décomposée, car les coups de canne vont les empêcher de s’assoir durant plusieurs jours, ça, ils le savent bien.

Sixtine, Chelsea et Alicia sont en larmes. Entre deux sanglots, elles demandent pardon et promettent de ne plus recommencer, mais le verdict est rendu et rien ne pourra le remettre en cause.

« Silence Mesdemoiselles, gardez vos larmes pour votre correction, car elles vont couler, je vous en fais la promesse ! Ah ! j’oubliais, pour Vendredi, veillez à tous être bien épilés. Vous vous comportez comme des enfants immatures et bien, vous leur ressemblerez aussi physiquement. A présent, partez ! la séance est levée »

Malgré l’ordre de se taire, Sixtine, Chelsea et Alicia insistent lourdement et tentent coûte que coûte, d’échapper à leur correction.

« SILENCE, JE VOUS DIS ! ! ! Puisque vous insistez, à la fin de votre correction, Laetitia F. vous mettra sa mixture à base de camphre et de piment dans votre anus et dans votre vagin, pour vous apprendre à être insolentes »

Les yeux et la bouche grands ouverts, consternées par ce qu’elles entendent, les trois jeunes femmes n’en reviennent pas d’avoir eu cette punition supplémentaire, qu’elles trouvent disproportionnée par rapport à leurs suppliques.

Les neuf étudiants rentrent chez eux et sont accueillis par leurs parents qui ont été prévenus du verdict du conseil et qui, pour certains, passent un sacré savon à leur progéniture.

Le restant de la semaine passe et les discussions entre étudiants tournent souvent autour des corrections qui vont avoir lieu. Certains s’en réjouissent d’avance, d’autres, assez rares, compatissent. Pour leur part, les punis se tiennent à carreau.

Léa, comme à son habitude, nous fait un rapport précis du verdict du conseil de discipline, auquel elle a participé :

« Et en plus, Sixtine, Chelsea et Alicia vont avoir droit à la crème chauffante dans leurs deux trous intimes, parce qu’elles ont protesté »

« Non ! tu plaisantes ? C’est pas possible... » réplique un étudiant

« Ben si, c’est vrai, je te dis, elles vont s’en prendre une dose dans l’anus et une autre dans le minou »

« Wouah ! ça va les faire danser ça, les trois cocottes » réplique Adilson

« T’as raison, mec ! Pourtant elles le savent qu’il faut se la fermer devant la proviseure ! »

« Eh, visez un peu, y’a Sixtine et Chelsea qui s’pointent »

« EH, les filles ! vous aurez beau être à moitié à poil, vous aurez chaud au cul, Vendredi ! J’ai hâte d’y être » ironise Augustin.

« Ferme-là, pov’ débile » réplique Sixtine, piquée au vif.

« Par contre, toi, tu risques pas de la fermer, Sixtine, car tu vas chanter, comme une poulette en train pondre ! » lui répond Augustin.

« Vas-y, lâche-nous, pov’ naze ! »

« Vous avez pas mieux à faire que de baver sur les punis ? C’est déjà assez dur pour eux » dit Alexia, la copine de Thomas.

« Bah, comme ça, tu pourras le réconforter ton Thomas ! Y parait qu’après une bonne fessée, les garçons sont très performants... Il va te combler ! Tu nous diras comment c’était ? » se moque Megan.

« T’es vraiment une crétine, ma pauvre ! » rétorque Alexia.

Léa nous fait part d’une confidence :

« Vous savez pas qui va venir assister aux fessées de nos chers punis ? »

« Non, vas-y, raconte ! »

« Va y’avoir Anne-Sophie C. de V., l’adjointe au Maire pour la sécurité publique et Mélissa M., l’adjointe au Maire pour la jeunesse et l’éducation »

« Qu’est-ce qu’elles vont v’nir foutre ici, ces deux nanas ? »

« Officiellement, voir comment ça se passe à Ste CROIX en ce qui concerne les punitions et officieusement, surement pour se rincer l’œil ! »

« Ah, d’accord... La Anne-Sophie C. de V., elle a aussi intégré le conseil des mères » dit Lyana.

« Ouais, c’est bizarre, car elle a déjà tous les films qui sont enregistrés lors des punitions, qu’est-ce qui lui faut de plus, à celle-là ? »

« Les nobles, c’est tous des aigris de la vie. Elle va venir pour avoir quelques frissons et mater en direct » se moque une étudiante.

« Eh, la ruskof ! Dommage qu’on ait pas trouvé tes fiches, tu t’en serais encore pris une sévère ! » Lâche Adilson, à mon égard

Je lui rétorque :

« T’es toujours aussi marrant, le brésilien ou devrais-je dire la brésilienne ? » dis-je du tac au tac.

« Arrête Lena, tu vas encore t’attirer des ennuis » m’obligeant à me taire Olga.

Le vendredi midi, sachant ce qui va arriver, tous les élèves se pressent à la cantine pour avoir la meilleure place possible. Les surveillants sont obligés de faire régner l’ordre dans les rangs, car ça aurait été une foire d’empoigne.

« Méfiez-vous, tous les chahuteurs rejoindront les punis sur l’estrade, alors tenez-vous le pour dit et avancez dans le calme ! »

Lorsque les élèves sont installés, la proviseure, Fabienne D. arrive avec les deux adjointes du Maire, à qui elle réserve des places aux premières loges...

Sur l’estrade arrivent les neuf punis, le bas du corps nu. Les étudiants ont les mains devant leur sexe, honteux d’être exposés devant tous les élèves réunis. Leur visage est rouge écarlate et les filles sont en pleurs.

« Pour posséder des fichiers sur les élèves et sur des professeurs, ces étudiants vont être fessés à la canne devant vous. Si quelqu’un dans l’assistance possède des fichiers, priez pour que je ne le sache jamais, car il serait corrigé sur le champ »

Les élèves se regardent entre eux, ne sachant quoi en penser, car certains n’ont pas la conscience tranquille.

« Mademoiselle Tiphanie de M., veuillez-vous avancer et mettez-vous en position sur cette table »

Mère Jolanta et Sœur Weronika courbent Tiphanie sur la table, lui attachent les poignets, lui écartent les cuisses et lui attachent les chevilles aux pieds de la table. De cette façon, cuisses écartées, nous avons une vue directe sur sa fente et sur la partie sombre de son anus découvert. Nous l’entendons qui sanglote, consciente de ce qu’elle exhibe devant tous les élèves de l’établissement.

« Léa, vous êtes déléguée de classe et à ce titre avec Sœur Weronika, vous allez appliquer la punition, toutes les deux »

Comblée, Léa s’empresse de monter sur l’estrade et prend la canne. Tiphanie la regarde, implorante. Léa prend conscience du pouvoir qu’elle a face aux autres élèves. Pour elle c’est presque jouissif.

Dès les premiers coups de canne, les deux punisseuses arrachent des cris à cette pauvre Tiphanie qui gigote en tirant sur ses liens. Des traces très rouges se dessinent rapidement sur ses fesses et sur le haut des cuisses. Nous voyons Tiphanie se crisper tant elle peut, ce qui fait ouvrir et se fermer sa fente au rythme de ses contractions frénétiques.

Lorsque les dix coups ont été donnés, les fesses en feu, Tiphanie est détachée et elle se relève. Elle se caresse les fesses meurtries, ce qui découvre son pubis.

« Mademoiselle de M., faites face à vos camarades et demandez-leur pardon pour les commentaires que vous avez écrit sur certains »

De façon pitoyable, entre deux sanglots, Tiphanie demande pardon aux professeurs et aux élèves.

« Maintenant à genoux, dos au public et les mains sur la tête »

Rendue docile, Tiphanie s’agenouille et met ses mains sur la tête bien qu’elle préfèrerait se masser les fesses brulantes. L’infirmière jette un œil sur l’arrière-train de la punie et fait une moue satisfaite, signe que tout va bien.

« Mesdemoiselles Mélodie M., Alicia G. et Lucia Q., avancez-vous. Mademoiselle Alicia G., vous passerez en dernier, car l’infirmière vous a concocté une mixture de sa spécialité, vous nous en direz des nouvelles ! Léa, ma Sœur, attachez et punissez Mademoiselle Mélodie M. »

En pleurs, Mélodie est mise en position et attachée à la table, puis elle reçoit vingt coups de canne, qui la fond crier et gesticuler. Les traces s’incrustent dans sa chair et laissent des trainées bouillantes. Mélodie trépigne, hurle et tape des pieds lorsque la douleur augmente.

« Ces filles ne sont pas très courageuses, elles piaillent comme des gamines ! Et regardez-la mouiller, en plus ! Aucune tenue ! » fait remarquer Mélissa M.

Au terme des vingt coups de canne, Mélodie, redoublent de larmes et tremblante, rejoint Tiphanie, à genoux et les mains sur la tête.

Lucia est empoignée et on la force à se mettre en position sur la table, car à la vue des deux fessées précédentes, Lucia est angoissée à l’idée d’être dans le même état que ses camarades.

« Si vous rechignez à vous présenter dignement sur la table, vous recevrez cinq coups de canne supplémentaires ! » protestent notre proviseure pour étouffer dans l’œuf toute tentative de résistance de la part des punis.

Lors de sa fessée, Lucia s’agite et se débat en hurlant de douleur. Elle donne des coups de genoux dans les pieds de table pour tenter de se dégager, mais fermement attachée, elle ne peut se défaire de sa position.

« Décidément, elles n’ont aucune dignité et aucune fierté, ces filles... Quel piètre spectacle elles donnent » se plaint Anne-Sophie C. de V.

« Vous avez raison, mais nous apprécions les voir gigoter et geindre, ça leur fait comprendre ce qu’est la discipline » répond Fabienne D.

« Et pour gigoter, ça, elles gigotent ! Ce sont les garçons qui en profitent le plus, non mais, regardez-les se caresser ceux-là ! » remarque Anne-Sophie C. de V.

Les fesses bien marquées et en feu, Lucia est détachée et accompagnée près de ses camarades où on l’agenouille, les mains sur la tête, le corps secoué de longs sanglots.

A suivre...



Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 42 acte 3

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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8 commentaires:

  1. Bonjour Elena,
    Hola! Il y a du monde à la recevoir cette fessée! Et encore! Il est clair que tous ceux qui l'ont méritée ne l'ont pas reçue. Ce n'est peut-être que partie remise. La présence de deux personnalités "officielles" donne une ampleur inédite à la punition. Il va s'en parler dans les couloirs de la mairie et peut-être cela va-t-il donner des idées au conseil municipal... Léa est de plus en plus désinhibée et de plus en plus ravie du rôle qui lui est imparti. Même si elle s'efforce tant bien que mal de le dissimuler. D'une façon générale, les élèves ne boudent pas le plaisir qu'ils éprouvent à voir leurs camarades punis. Quitte à se scandaliser de ces comportements quand ils en sont à leur tour les victimes.
    Amicalement.
    François

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    1. Bonjour François,
      Vous avez raison, ficher tel ou tel est répréhensible par la loi. L'article de loi L1222-4 est très clair sur ce point.
      Les délégués de classe n'ont pas réussi à donner tous les élèves qui s'adonnaient à ce jeu, d'où le faible nombre d'élèves punis. Sur Sept cent cinquante, ça fait peu. C'est vrai !
      Les 2 officiels sont là pour superviser le tout et pour se rincer l'oeil, de surcroit. La mairie autorise les corrections à condition qu'elles soient filmées et qui puissent prouver qu'il n'y a pas eu torture des punis, juste des correction amplement méritées. C'est ce qui justifie les films réalisés lors des corrections. Le conseil des mères n'échappe pas à la règle. La mairie est très scrupuleuse sur le bon déroulement des punitions corporelles. Sans film, pas de correction possible, même dans un cadre familial. Rappelons que la fessée est interdite en France, car il pourrait y avoir dérive. Avec un film, tout est contrôlé et vérifié !
      Léa a un penchant très prononcé pour le côté du corps enseignant. En sera t-elle, plus tard ?
      Amitiés.
      Elena.

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  2. Bravo Elena et bravo François-Fabien, vos récits me comblent et depuis que vous oeuvrez en duo, c'est encore plus palpitant et excitant. Une petite remarque, Mary P la secrétaire de direction n'avait-elle pas été condamnée à 1 mois de nudité, sauf erreur, vous n'y faites plus allusion.
    Bien sympathiquement .

    Serge

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    1. Bonjour Serge.
      Merci infiniment pour vos encouragements. C'est toujours plaisant à lire lorsque l'on passe des heures et des jours à écrire et c'est toujours gratifiant de discuter avec les lecteurs. Le partage passe aussi par les commentaires.
      Nous nous sommes bien trouvés avec François. C'est une combinatoire intéressante, car il a des idées que je n'ai pas et ses textes ont une réelle plus value par rapport aux miens. La preuve, j'ai pris un peu de son style sur lequel je n'étais pas à l'aise au départ. On se complète bien.
      Pour Mary P. ( chapitre 26 ), non, il y a juste eu une fessée à la canne, devant tous les élèves, au centre de la cour, lieu de prédilection pour les fautes graves. La pauvre Marie P. a été fessée pour rien, car les dossiers n'avaient pas été perdus, juste mal rangés par les gens du rectorat. Des injustices, il y en a partout... La faute était tellement grave qu'elle aurait pu avoir ce mois de nudité pour lui faire prendre acte de l'importance de son travail, par contre, la proviseure s'étant rendu compte de la source de l'erreur aurait, de toute façon, mis fin à cette seconde punition et Marie P. n'aurait pas fait ce mois de nudité. Dans mes textes, je tente d'appliquer des principes de base, pas juste une fessée pour une fessée, il y a aussi des bons sentiments, des moments où la personne punie est réconfortée. Ca donne un semblant de réalisme dans des textes qui ne le sont pas.
      Amitiés.
      Elena.

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    2. Bonjour, Serge. Et bonjour à tous.
      Ravi que notre collaboration vous comble d'aise. Je sais que, pour ma part, j'éprouve beaucoup de plaisir à me connecter sur les textes d'Elena. Ce n'est pas la première fois que je me lance dans une collaboration d'écriture. Toutes les autres ont très rapidement échoué. Nos attentes n'étaient pas les mêmes ou nos univers étaient trop différents. Mais là, on se renvoie en permanence la balle. Plus on avance et plus j'éprouve une véritable jubilation d'écriture. Peut-être cela transparaît-il dans les textes eux-mêmes?
      Amicalement.
      François

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  3. Amis de la poésie et de la crème chauffante à boucher les trous, la, li, trous la la, trous la lère... bonjour.

    Et bien encore un fois, à Ste Croix, croise les doigts pour ne pas t'en prendre une, parce que tu ne pourras pas te servir d'une chaise pendant un bout de temps. Après de pareilles corrections, il vaut mieux se faire raconter des histoires à dormir debout! Même un voile sur les fesses devient insupportable, alors pensez donc...un drap en coton, ou une couverture en laine...
    Car il s'en passe des choses pas catholiques dans cet institut qui en revendique pourtant l'appellation non contrôlée. Institut privé certes, mais pas privé de fessées!

    Et serait ce la frustration du fruit défendu qui rend les soeurs aussi hargneuses, pour porter la bonne parole de notre seigneur à coup de trique sur les fesses des punis ? Quand ce n'est pas de leur tartiner le trou de balle avec de la sauce piquante ! C'est du propre! Alors, vicieuses les religieuses ? Celles là, en tout cas, c'est pas du gâteau! Comment s'étonner après qu'elles, aussi, sont notées et " pas en bien " Tiens comment ça se fait ? Ah ben elles sont toujours du côté du manche à reluquer les filles et les garçons tout nus, se tortiller sous les cinglées. Pardi! Dieu est amour, il reconnaitra les fesses des pêcheurs. Par difficile, elles sont plus rouges que les autres.
    Indépendamment des fouetteuses , ce qui frappe dans cet épisode, c'est la descriptions détaillée de la vie de l'établissement avec son personnel administratif hiérarchisé et ce petit monde d'indiscipliné au derrière en ébullition sous les séances de fessées en public. On voit même des représentantes de la municipalité venir s'y rincer l'oeil.
    Et tout cela est si bien documenté qu'on se demande au fil de la lecture, si Elena n'habiterait pas sur place...
    Amicalement
    Ramina
    Amicalement
    Ramina

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    1. Bonjour Ramina,
      Si un jour, je venais à mourir de rire, ce serait de votre faute, tant je me gausse devant vos commentaires si riches en expressions de notre terroir. C'est un bon moment que je passe en lisant vos remarques, cher Ramina.
      J'entraine mes lecteurs dans mon univers un peu particulier, celle de ma ville qui a décidé de prôner le zéro délit. Donc on y va de tout bords et pas question d'engorger les prisons, donc, la fessée comme alternative me parait pas mal. Tout est bon pour faire entendre raison à nos citoyens, élèves et étudiants en premier, car c'est dans nos écoles que commencent l'éducation, juste après le foyer maternel.
      Pour le côté documentation, c'est vrai, je m'inspire de ma ville et de ma région, en effet, sans la nommer, mais mes personnages y évoluent. Ca donne à mes textes un côté réaliste. En tout cas, moi, je sais où les personnages sont lorsque j'écris. Ca me donne aussi un fil conducteur géographique tout au long de mes chapitres. Dans la mesure où je prends aussi le rôle d'Elena dans mes textes, j'intègre en quelque sorte les scènes et c'est plus immergeant. Il y aurait 2 côtés, la fiction mixé au réel. C'est ce qui fait ce monde que vous lisez.
      Mais rassurez vous, ma vie en dehors de mes textes est tout à fait normale et je suis épanouie.
      Amis de l'explication et de l'interprétation, bonne journée...
      Amitiés.
      Elena.

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  4. Re-Bonjour Elena,

    Fichtre! je m'en voudrais à mort de vous faire mourir de rire ! Certains diraient que c'est une belle mort , mais finir comme ça ou écrasé sous une péniche , on s'en fiche... On est mort! Rions en !
    Amicalement
    Ramina

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